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Le copilote de l'Airbus A320, soupçonné d'avoir précipité l'avion contre une montagne dans le sud-est de la France, a suivi des traitements pour des tendances suicidaires dans le passé, mais pas récemment, a indiqué lundi la justice allemande. "Le copilote a été en traitement psychothérapeutique pour des tendances suicidaires il y a de nombreuses années, avant l'obtention de sa licence de pilotage", a indiqué le procureur de Düsseldorf (Ouest), Ralf Herrenbrück. Après cela et "jusqu'à récemment, d'autres consultations chez le médecin ont eu lieu, donnant lieu à des arrêts maladie, mais sans que soient attestées des tendances suicidaires ou de l'agressivité à l'égard d'autrui", a ajouté le procureur dans une brève déclaration écrite, sans préciser le motif de ces consultations et arrêts de travail.
Le parquet de Düsseldorf a souligné qu'aucune lettre annonçant un éventuel projet de faire s'écraser un avion ou revendiquant le crash qui s'est produit mardi n'avait été retrouvée. Rien "dans son environnement familial, personnel ou sur son lieu de travail" n'a permis jusqu'ici d'apporter des informations sur d'éventuelles motivations, a-t-il encore indiqué. Andreas Lubitz, 27 ans, est soupçonné d'avoir délibérément fait chuter l'avion de la compagnie allemande à bas prix Germanwings, contre la montagne, tuant 149 personnes et lui-même. Vendredi, le parquet de Düsseldorf, où vivait partiellement le jeune homme, avait annoncé qu'il faisait l'objet d'un arrêt de travail le jour des faits, le 24 mars.
Les enquêteurs ont notamment retrouvé des certificats d'incapacité de travail déchirés. Le portrait qui se dessine peu à peu est celui d'un jeune homme, présenté comme sportif, et souffrant de troubles psychologiques ou psychiatriques. Le journal allemand Bild am Sonntag a affirmé que les enquêteurs avaient trouvé dans son appartement des ordonnances pour des médicaments prescrits aux maniaco-dépressifs, ainsi que de grandes quantités de somnifères.
Pour moi il ne s'agit pas d'un suicide... Mais d'un assassinat collectif PREMEDITE (recherches sur internet sur les portes de cocpit)
Et d'une FAUTE grave de l'employeur, qui connaissant les antécédents de déséquilibre mental de ce copilote, ne l'a pas interdit de vol !
Et maintenant 150 familles endeuillées !
La folie régnait dans ce crâne qui causât la mort de 150 personnes !
La presse en fait une orgie !
Des mesures sont à prendre ! Evidemment !
Mais il n'y a pas que des fous chez les pilotes mais aussi parmi ceux qui nous dirigent vers notre malheur et là vous faites quoi ?
Il faudrait éviter de communiquer n'importe quoi comme des éléments très incomplets en particulier sur le dossier médical du co-pilote ! Sous traitement psychiatrique : probable qu'il y ait eu un antidépresseur et un anxiolytique, sur certains sujet et selon l'heure le patient enregistre les inconvénients d'une sédation certaine mais pas au point de faire s'endormir le co-pilote dans la cabine d'un airbus en plein ciel et truffé de manettes, une rupture de la vigilance est possible mais ce n'est pas décisif on reprend le contrôle, si l'hypothèse volontaire est exacte le co-pilote devait plutôt être mentalement en hyperactif/idées à profusion et vagues d'angoisse, sous cette pression jusqu'au passage à l'acte