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Ligue 1 : le PSG, champion d’automne, déjà

Le Paris-Saint-Germain abordait le match avec 13 points d’avance. En battant Troyes (4-1), il décroche le titre de la mi-saison à l’issue de la 15e journée aller de Ligue 1.

Le Monde avec AFP

Publié le 28 novembre 2015 à 22h52, modifié le 30 novembre 2015 à 08h01

Temps de Lecture 2 min.

Le défenseur du PSG Angel Di Maria (à droite), fauché par le milieu de terrain de Troyes, Thomas Ayasse, sur la pelouse du Parc des Princes, samedi 28 novembre.

Par une victoire facile (4-1), il est vrai face au dernier du championnat de Ligue 1, Troyes, samedi 28 novembre au Parc des Princes, le Paris-Saint-Germain conquiert, dès la 15journée le titre honorifique de champion d’automne. Cette victoire est signée Edinson Cavani (très attendu, cela faisait 5 rencontres qu’il n’avait pas marqué…), Zlatan Ibrahimovic (encore sur le petit nuage de son passage à Malmö), Layvin Kurzawa et le jeune attaquant Jean-Kévin Augustin. Après la défaite de Lyon, vendredi 27 novembre, face à Montpellier (4-2) et avant la rencontre Caen-Bordeaux de dimanche, le club de la capitale ne peut être rattrapé avant l’issue de la phase aller, qui correspond à la fin de l’année civile.

L'attaquant parisien Edinson Cavani (en bleu) aux prises avec les Troyens Johan Martial (Centre) et Matthieu Saunier, samedi 28 novembre au Parc des Princes.

Le Paris-Saint-Germain est donc champion des matchs aller, après Marseille en 2014, à 4 rencontrees de la trêve, soit aussi tôt que le grand Lyon des années 2006-2007.

Hommage, hymnes et autres

Une victoire au-delà de la réussite sportive, puisque la rencontre était la première disputée dans l’enceinte de l’Ouest parisien depuis les attentats du 13 novembre. Avant le coup d’envoi – retardé de douze minutes –, une minute de silence a été observée en hommage aux 130 morts. L’hymne des supporteurs (« Ô Ville Lumière ») et La Marseillaise ont été entonnés dans les tribunes quasi pleines, en musique, alors qu’un drapeau tricolore géant était déployé sur la pelouse.

Dans les tribunes du Parc des Princes, lors des hommages aux victimes du 13 novembre, avant PSG-Troyes, samedi 28 (de gauche à droite) : le patron qatari du PSG Nasser Al-Khelaifi, l'émir cheikh Tamim Bin Hamad Al-Thani et le premier ministre français Manuel Valls.

Une présence des supporteurs d’autant plus remarquable que les Troyens étaient interdits de déplacement, par mesure de sécurité. De plus, les spectateurs venus au stade ont dû patienter pendant plus d’une heure pour franchir les différents barrages et postes de vérification d’identité. Des « Daech, Daech, on t’encule ! » et l’hymne national ont aussi fusé des travées pendant la partie.

Premier but « pro » de Jean-Kévin Augustin

Sur la pelouse, les joueurs parisiens ont mis plus d’un quart d’heure à entrer vraiment dans le jeu. Ce fut un match à sens unique, comme attendu, disputé dans la moitié troyenne et dans le droit-fil des dernières sorties parisiennes à domicile (4-1 contre Saint-Etienne,
5-0 face à Toulouse).

Après cinq matchs sans but, l’Uruguayen de Paris, Edinson Cavani, était particulièrement surveillé. Il a ouvert le score à la 20e minute, avant que Lucas Moura obtienne un penalty transformé par Zlatan Ibrahimovic (58e) et que Layvin Kurzawa ne réussisse une belle demi-volée lointaine (67e). A 18 ans, le jeune Jean-Kévin Augustin a, lui, marqué son premier but chez les pros, d’une frappe plein axe passant entre les jambes du gardien (84e).

Sous cette déferlante, Troyes réussit à réduire le score, grâce à une frappe lointaine de Thomas Ayasse qui lobait le gardien Kévin Trapp dans la 2e minute des arrêts de jeu.

Le Monde avec AFP

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