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À Paris, si les manifs se passent bien, ce n'est pas seulement grâce au préfet Laurent Nuñez
500 000 manifestants ont défilé à Paris contre la réforme des retraites selon la CGT le 31 janvier dernier, 87 000 selon la préfecture.
Jan Schmidt-Whitley/Le Pictorium/MAXPPP

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À Paris, si les manifs se passent bien, ce n'est pas seulement grâce au préfet Laurent Nuñez

Pas de débordements

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Les deux premières manifestations parisiennes contre la réforme des retraites se sont globalement déroulées dans le calme. Le changement de stratégie de maintien de l’ordre depuis l’arrivée de Laurent Nuñez à la tête de la préfecture a permis une amélioration de la sécurité de la manifestation. Mais c’est loin d’être la seule raison, pointent les spécialistes.

Syndicats, manifestants, opposition politique… Beaucoup le reconnaissent : à Paris, le bon déroulement des deux premières manifestations contre la réforme des retraites tranche avec les violences lors de nombreuses mobilisations ces dernières années. Saluée pour la stratégie d’encadrement policier mise en place, la méthode du préfet de police de Paris Laurent Nuñez tranche avec la dureté revendiquée par l'ancien préfet Didier Lallement, qui a quitté ses fonctions cet été.

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Natacha Polony, directrice de la rédaction de Marianne