Un client trouve un crayon dans son sandwich Burger King et est dédommagé par un menu medium
Lorsque l’on se fait plaisir avec un fast-food, on ne s’attend pas à découvrir un objet... dans son sandwich.
D’après une histoire relayée par le Parisien et les Dernières nouvelles d’Alsace, un Alsacien de 56 ans qui déjeunait en compagnie de sa fille dans un Burger King d’Altkirch (Haut-Rhin) le 10 décembre dernier a retrouvé dans son sandwich... un crayon noir.
« Lors de la deuxième bouchée, je me suis dit Tiens, il y a un os là-dedans… », se souvient t-il auprès du Parisien. « Le feutre était bien camouflé, rien ne dépassait du papier. Heureusement que je l’ai entamé sur le côté, et pas dans le sens du crayon ».
L’homme qui est informaticien se rend alors au comptoir afin de faire part de sa découverte et de rendre son burger dont la valeur est de 2,90 euros. La direction de l’établissement lui indique qu’il s’agit d’un feutre destiné aux enfants, utilisé ordinairement pour jouer dans l’aire prévue à cet effet.
Un bon d’achat comme lot de consolation
Toujours d’après le Parisien, l’Alsacien a eu le droit sur le coup à un nouveau burger en tant que geste commercial de la part de l’enseigne. Un manager l’informe qu’il aura le droit à un menu gratuit lors de sa prochaine visite, ce qui n’a pas encore été honoré d’après le quotidien.
Dès le lendemain, le client prend contact avec le service consommateurs de Burger King France en prenant soin d’inclure une photo de son ticket de caisse et du fameux burger en question. Après quelques échanges par mail, Burger King revient vers l’informaticien en lui envoyant un courrier d’excuses. Le Parisien précise que sa plainte a été transmise aux équipes concernées.
L’enseigne américaine a aussi transmis un bon d’achat pour un menu médium d’une valeur comprise entre 8 et 12 euros. L’informaticien juge cette compensation « un peu ridicule » et la laisse un peu sur sa faim : « Je m’attentais au moins à un grand menu, voire à une carte de membre pendant six mois… Je ne pense pas que je les aurais ruinés, c’est impossible de manger tous les jours au fast-food ! », plaisante l’homme auprès du Parisien.
Comme le disent les plus jeunes d’entre vous : « tema la taille du rat ».