Soudal-Quick Step : Geraint Thomas apporte son soutien à Alaphilippe

Guillaume Marion, Media365, publié le mercredi 28 février 2024 à 12h15

Lors d'un épisode de son podcast, Geraint Thomas a pris la défense de Julian Alaphilippe (Soudal-Quick Step), qui n'a pas été épargné ces derniers temps par son patron Patrick Lefévère.

Visiblement, les récentes et vives critiques de Patrick Lefévère à l'encontre de Julian Alaphilippe ne laissent pas indifférentes au sein du peloton. En effet, lors d'un épisode de son podcast « Geraint Thomas Cycling Podcast », le coureur gallois de la formation Ineos Grenadiers s'est exprimé sur cette triste affaire et a notamment pris la défense du double champion du monde sur route. Mais, avant cela, Thomas a dit tout le bien qu'il pensait du patron de l'équipe Soudal-Quick Step. « Pour être honnête, j'ai beaucoup de respect pour Patrick. Ce qu'il a fait au fil des ans avec Quick-Step est incroyable : les résultats qu'ils ont obtenus, les résultats qu'ils ont eus, la façon dont ils roulent, c'est incroyable l'équipe et le succès qu'ils ont eu, donc beaucoup de respect pour lui », a notamment déclaré celui qui a remporté le Tour de France en 2018. C'est ensuite que Thomas s'est rangé du côté du Français.

« J'ai pensé qu'il était ivre. Peut-être qu'il l'était »

« Ce genre de débordements, c'est un peu bizarre. Pour un patron d'équipe avec tant d'histoire et de respect de la part des gens, c'est un peu comme s'il perdait les pédales en public, c'est fou. Avec Sam Bennett, il a eu ce problème et maintenant avec Alaphilippe. En tant que coureur, j'ai de la peine pour mes collègues, vous savez. C'est une situation insensée, qui ne devrait pas se produire en public. J'aime les critiques publiques, si elles sont bonnes pour la personne. (...) Je pensais que Lefévère était ivre, pour être honnête. Peut-être qu'il l'était, je ne sais pas, a même plaisanté Thomas, lors d'un nouvel épisode de son podcast. Cela ne doit pas être agréable d'avoir cela en public, de faire parler de soi et pas dans le bon sens du terme. J'espère donc que l'année sera bonne, ce serait formidable de le voir revenir. »

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