Le premier ministre a accusé «une minorité (d’étudiants) agitée par des forces politiques notamment La France Insoumise (de) chercher à perturber le fonctionnement de cette institution».
VIDÉO - Des journalistes tentaient d’interviewer le député Aymeric Caron en pleine mobilisation, quand un jeune manifestant s’est interposé et les a contraints de quitter le cortège, sous les applaudissements de la foule.
Dans le sillage de la rhétorique de Jean-Luc Mélenchon, l’antisionisme qu’expriment les étudiants de la célèbre école n’est que le cache-sexe de l’antisémitisme.
ENTRETIEN - Dans la nuit de jeudi à vendredi, des étudiants propalestiniens ont occupé le siège historique de l'école, rue Saint-Guillaume, et entrepris de bloquer sa principale entrée. Le professeur à Sciences Po* estime que cette institution est devenue un espace de meeting permanent.
Depuis plusieurs jours, les mobilisations d’étudiants propalestiniens s’intensifient à Sciences Po Paris. Ce vendredi, 1000 à 2000 personnes ont bloqué l’institution.
REPORTAGE - La tension est montée d’un cran vendredi avec l’arrivée d’une cinquantaine de manifestants pro-Israël, devant le siège de l’IEP parisien. Des CRS ont été déployés.
VIDEO - Keffiehs sur la tête et drapeaux palestiniens accrochés aux balustrades, les étudiants de Sciences Po poursuivent leur mobilisation en faveur de la lutte palestinienne. Ils ont notamment passé la nuit dans le siège historique de l'école, rue Saint-Guillaume.
Ce mercredi soir, une trentaine d'étudiants ont installé des tentes dans les jardins du campus de l'institut d'études politiques. Ils ont été délogés vers 1 heure du matin.
Le chef Insoumis se rendra à l’institut d’études politiques parisien ce lundi, après que son intervention à l’université de Lille la semaine dernière a été annulée.
TRIBUNE - Pour l’essayiste*, la crise qui secoue Sciences Po Paris doit être l’occasion d’une profonde réforme, car cette école a abandonné la mission fixée par son fondateur, Émile Boutmy : former une élite pour redresser la France.
TRIBUNE - L’ex-député LR Julien Aubert, président du collectif Oser la France et ancien élève de Sciences Po, critique le virage idéologique pris par l’institution, éloigné de l’universalisme républicain. Certaines entreprises rechignent désormais à recruter des diplômés de Sciences Po, constate-t-il.
L’union des étudiants juifs de France a demandé l’annulation de conférences propalestiniennes en présence d’élus de La France insoumise dans ce campus délocalisé sur la Côte d’Azur.
RÉCIT - D’anciens étudiants des instituts d’étude politique de Paris ou de région dépeignent une atmosphère asphyxiante pour qui ne pense pas comme la majorité estudiantine ou enseignante, marquée à gauche.
CRITIQUE GASTRONOMIQUE - À la faveur de sa reprise par une équipe venue du monde de la nuit, nous sommes retournés voir ce qu’il en était de ce troquet, repaire de la fameuse école de la rue Saint-Guillaume.
DÉCRYPTAGE - Pour Samuel Lejoyeux, président de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF), les responsables des facs et des grandes écoles redoutent de s’attaquer au problème.
ENTRETIEN - Invité du «Buzz TV» ce mardi 19 mars, le journaliste sportif a révélé ses prévisions sur les Championnats du monde de patinage artistique et son avis sur son école au cœur d’une polémique.
CHRONIQUE - Chaque semaine, pour Le Figaro, Samuel Fitoussi pose son regard ironique sur l’actualité. Aujourd’hui, il présente sa lettre de candidature à la direction de Sciences Po, avec un plan bien précis pour rendre cette école plus inclusive.
BLOC-NOTES - «Avec ce texte, on regarde la mort en face», a déclaré Emmanuel Macron pour annoncer son projet de loi en faveur de l’euthanasie. La question n’est pas nouvelle, et la littérature abondante sur le sujet invite à se pencher sur le mystère de la fin de vie.
Les financements de l’État accordés à l’Institut d’études politiques seront conditionnés au respect des principes républicains, a annoncé ce jeudi le premier ministre.
Le prestigieux établissement parisien est plongé dans la tourmente depuis mardi après qu'une étudiante membre de l'Union des étudiants juifs de France a rapporté s'être vue refuser l'entrée dans un amphithéâtre.
Se présentant sous le nom de Rachel, la jeune femme de 20 ans raconte au Parisien ce qu'il s'est passé lors de cette journée de blocage du campus parisien par des étudiants militants pour la cause palestinienne.
ENQUÊTE - Alors que le directeur a démissionné mercredi, renvoyé devant la justice pour des violences conjugales, des étudiants pro-Palestine créaient mardi une forte polémique.
ENTRETIEN - L’anthropologue évoque l’antisionisme des jeunes et des étudiants, notamment après le blocage d’un amphitéâtre à Sciences Po Paris en soutien aux Palestiniens.
TRIBUNE - Après l’occupation d’un amphithéâtre par des étudiants propalestiniens qui en ont barré l’entrée à une étudiante juive, la sociologue Nathalie Heinich* demande à la ministre et aux responsables administratifs d’avoir le courage de mettre fin à ces dérives.
L'Union des étudiants juifs de France a affirmé que des jeunes appartenant à l'association ont été «pris à partie comme juifs et sionistes», ce mardi 12 mars.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Après qu'une étudiante s'est vue refuser l'entrée de l'amphithéâtre principal aux cris de «c’est une sioniste», plusieurs élèves de Sciences Po adressent une lettre ouverte à l’institution pour lui demander de prendre des mesures fortes face aux «dérives» constatées dans cette école.
Cette démission fait suite au renvoi de Mathias Vicherat devant le tribunal correctionnel au côté de son ex-épouse dans une affaire de violences conjugales.
L’ancien directeur de Sciences Po Aix comparaît notamment pour avoir délivré de faux diplômes en multipliant les externalisations. Le ministère public a également requis un an de prison avec sursis contre son adjoint de l’époque.
En 2014, le directeur de l’IEP d’Aix-en-Provence avait démissionné, accusé d’avoir délivré de faux diplômes dans le cadre d’externalisations massives de la formation. Dix ans après les faits, Christian Duval entend plaider la relaxe et dénonce un dossier mal ficelé.
Le directeur a repris ses fonctions ce lundi. En décembre, il avait été placé en garde à vue avec son ex-compagne, pour «violences conjugales réciproques».
Mis en retrait de ses fonctions depuis le 11 décembre dernier, Mathias Vicherat va retrouver ses fonctions à la tête de l’institut d’études politiques.
VIDÉO - L’étudiant fait partie des meilleurs candidats qui ont intégré Sciences Po en septembre dernier, grâce à sa moyenne au bac de 18,8/20 et sa curiosité pour l’actualité.
ENQUÊTE - Entendu dans une affaire de violences conjugales avant d’être mis en retrait, le directeur de l’IEP, Mathias Vicherat, se voulait intransigeant sur ces sujets depuis son intronisation.
EXCLUSIF - Ce mardi 5 décembre, le directeur de l’institut d’études politiques a adressé un mail à ses étudiants pour leur donner quelques explications après sa garde à vue.
REPORTAGE - La garde à vue pour violences conjugales de Mathias Vicherat, le directeur de l’institut d’études politiques, a été levée. L’enquête se poursuit. Les étudiants ne décolèrent pas.
Mathias Vicherat et sa conjointe ont été placés en garde à vue de dimanche soir à lundi en fin d’après-midi, s’accusant mutuellement de violences conjugales.
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