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À l'abordage ! Ce mardi 12 mars, à Sciences Po Paris, une centaine de militants « pro-Gaza » prennent d'assaut l'amphithéâtre Émile-Boutmy, censé accueillir un cours d'histoire. À 8 heures, ils déploient de grands drapeaux palestiniens, les visages couverts de masques noirs et de keffiehs. L'amphithéâtre Boutmy devient l'« amphi Gaza ». L'arrivée dans la salle d'une membre de l'Union des étudiants juifs de France (UEJF) va mettre le feu aux poudres. Selon les pro-Gaza qui la refoulent, elle aurait l'habitude de filmer leurs visages. « Ne la laissez pas entrer, c'est une sioniste ! » auraient entendu d'autres participants. Sur la base de ces témoignages, l'UEJF a déposé plainte pour « provocation à la haine et à la discrimination ». De son côté, Sciences Po a ouvert une enquête administr...
Complètement envahie par cette ideologie rsciste d’extrême gauche qui chapeaute les ministres…... La tete du poisson est déjà pourrie !
Je suis rentré à sciences Po quand le grand Raymond Aron était encore vivant.
cela a été un épanouissement intellectuel,
rené Remond nous a bien fait marrer en disant lors de l’accueil « Bonjour, vous faites désormais partie de l’élite. Vous pouvez lire n’importe quel journal à condition que ce soit le Monde »
une école qui visait la morale et la philosophie politique dans une grande liberté mais qui s’arrêtait aux attaques.
jubilation avec les cours lumineux de Carrere d’encausse, Barre Chevenement, Winock et Girardet (moins avec Nicole Questiaux) et tant d’autres.
je n’ai pas connu cela a la fac ou a HEC.
et puis on a vu, Descoing qui est mort dans des circonstances…. Speciales…Duhamel…, vicherat…. Et des élèves qui ne savent plus :
- 1 ce qu’est la liberté
-2 que Siences po a été créé pour assurer le redressement moral de la France après la défaite de 1870.
quelle tristesse.
On a les élites qu'on choisit.
Sciences Po a les dirigeants et les étudiants qu'elle a voulus.
L'œuvre de destruction est presque achevée.
On en fait toute une histoire, mais ça n'a rien de grave, les véritables élites vont ailleurs, voilà tout.