Voiture électrique, Tesla, Hertz : dans le mur Contenu réservé aux abonnés
Contenu réservé aux abonnés
Hertz fait la preuve que le « buzz » n'est pas à lui seul un bon investissement. La conversion d'une partie de sa flotte aux Tesla aura été une aventure coûteuse.
Par Les Echos
Le « buzz » fait-il un placement ? Aux investisseurs tentés par le thème de l'intelligence artificielle, l'essai manqué de Hertz dans la voiture électrique offre une réponse négative par un cas d'école exemplaire.
Par rapport à ses concurrents Enterprise Rent-A-Car et Avis, le numéro 3 américain de la location automobile, avec sa valse de patrons (6 en dix ans) et de financiers au capital (les fonds Knighthead et Certares ayant succédé à Carl Icahn) et son détour par le chapitre 11 sur les faillites pendant la crise sanitaire, apparaît comme l'outsider fragile d'un oligopole jugé « fonctionnel » par Jefferies, pour l'actionnaire s'entend.
Ce contenu est réservé aux abonnés Access et Premium