Rapport annuel 2023

In memoriam

La FIFA rend hommage à celles et ceux qui nous ont quittés en 2023

Sir Bobby Charlton 1937-2023

Considéré comme l’un des plus grands footballeurs anglais de tous les temps, l’ancien champion du monde Bobby Charlton s’est éteint cette année, à l’âge de 86 ans.

Il prend rapidement l’habitude de collectionner les titres, remportant toutes les grandes compétitions nationales et internationales (FA Cup, championnat d’Angleterre et Coupe d’Europe) sous les couleurs de Manchester United. En parallèle, il s’illustre à 106 reprises en équipe nationale, signant au passage 49 réalisations.

C’est en tant que capitaine qu’il mène les Red Devils à leur premier sacre européen, en 1968. Son équipe devient au passage la première formation anglaise à inscrire son nom au palmarès de l’épreuve, dix ans après la catastrophe aérienne de Munich.

Ce jour-là, huit de ses coéquipiers, trois membres de l’encadrement technique et douze autres passagers trouvent la mort lorsque l’avion qui ramène les joueurs d’un déplacement à Belgrade s’écrase sur la piste verglacée de l’aéroport de Munich. Toujours attaché à son siège, Charlton est littéralement éjecté de la carcasse de l’avion, en proie aux flammes. Il est alors âgé de 20 ans et, comme on l’imagine, ce drame ne cessera de le hanter tout au long de son existence.

Toutefois, il ne tarde pas à se rétablir sur le plan physique. Au fil d’une longue et riche carrière, il inscrit 249 buts en 758 matches avec Manchester United. Pendant de longues années, il conserve le titre de meilleur buteur de l’histoire du club, jusqu’à ce que Wayne Rooney le lui ravisse en 2017.

Né dans le Northumberland le 11 octobre 1937, Bobby Charlton est le deuxième enfant d’une fratrie de quatre. Son aîné, Jack, a deux ans de plus que lui. Jack et Bobby sont les premiers frères à porter ensemble le maillot de l’équipe d’Angleterre au XXe siècle... malgré une relation pour lemoins tumultueuse. Les frères Charlton sont initiés aux joies du football par leur mère, Cissie, tandis que leur père, Robert, ne manifeste que peu d’intérêt pour le ballon rond.

Capable de marquer des buts spectaculaires des deux pieds, Charlton n’a cependant jamais été considéré comme un buteur à proprement parler, mais plutôt comme un milieu offensif.

Son compteur personnel affiche 757 matches toutes compétitions confondues avec Manchester United, dont 605 en championnat (ce qui constitue un record).

En juin 1984, Charlton intègre la direction de Manchester United.

Véritable symbole de son club, du football anglais et du football en général, Sir Bobby Charlton était une personnalité très respectée et appréciée pour sa courtoisie.

Bobby Charlton holds the Jules Rimet World Cup trophy up to the crowd after England beat Northern Ireland 2-0 in an International at Windsor Park, Belfast - their first match since becoming world champions, 22nd October 1966. Behind Charlton is Martin Peters. England Captain Bobby Moore is at centre, right, and keeper Peter Shilton is in yellow at far left. (Photo by Syndication International/Mirrorpix via Getty Images)

Just Fontaine 1933-2023

Lorsque sa carrière est brutalement interrompue par une blessure, le Français Just Fontaine a déjà gravé son nom en lettres d’or dans la légende du football.

L’attaquant des Bleus inscrit 13 buts lors de la phase finale de la Coupe du Monde de la FIFA 1958™. L’exploit est d’autant plus remarquable qu’à son arrivée en Suède, Fontaine est considéré comme un simple remplaçant.

Pourtant, sa vitesse et son sens de l’anticipation font rapidement de lui un partenaire de choix pour Raymond Kopa.

Le Rémois René Bliard semble assuré d’une place de titulaire, mais une blessure l’oblige à céder sa place contre le Paraguay. Pris au dépourvu, Fontaine est même contraint d’emprunter une paire de chaussures, les siennes étant jugées indignes de ce premier match.

Fontaine naît à Marrakech d’une mère espagnole, Maria, et d’un père français, Delphin Fontaine. Il grandit à Casablanca, en compagnie de ses six frères et sœurs, avant d’être repéré par Nice, qu’il rejoint en 1953.

Il honore sa première sélection en équipe de France à l’âge de 20 ans, à l’occasion d’un match de qualification pour la Coupe du Monde de la FIFA™ contre le Luxembourg. Il termine la partie avec trois buts à son actif. Il lui faut pourtant attendre trois ans avant d’être aligné à nouveau, lors d’une défaite 2-1 contre la Hongrie, à Paris. Une nouvelle année s’écoule sans qu’il rejoue.

On le retrouve face à la Hongrie, à Budapest, en 1957. Cette nouvelle apparition est suivie d’une longue absence, jusqu’en mars 1958 et un but contre l’Espagne. C’est là qu’il gagne sa place au sein du groupe appelé à disputer la Coupe du Monde 1958.

Il porte alors les couleurs de Reims depuis deux ans, dominant le classement des buteurs du championnat de France lors des saisons 1957/58 et 1958/59.

En 1959, il fait face à son ancien complice en finale de la Coupe d’Europe : Kopa, qui porte désormais les couleurs du Real Madrid, s’impose 2-0 à Stuttgart.

À défaut de soulever le trophée, Fontaine termine meilleur buteur de la compétition, avec dix réalisations à son actif.

Quelques mois plus tard, Kopa retourne à Reims pour reformer son duo mythique avec Fontaine. Malheureusement, Fontaine doit mettre un terme à sa carrière en 1962 après deux fractures de la jambe consécutives.

AR 2023 - In memoriam Just-Fontaine

Antonio Carbajal 1929-2023

Surnommé La Tota, le gardien mexicain est aussi connu sous le nom d’El Cinco Copas, en référence aux cinq éditions de la Coupe du Monde auxquelles il participe, entre 1950 et 1966. Il faudra attendre 32 ans pour voir cette performance égalée, par l’Allemand Lothar Matthäus.

Antonio Carbajal, connu pour jouer sans gants, fait l’essentiel de sa carrière au Club León.

Il dispute 364 matches sous les couleurs de son équipe de cœur, s’adjugeant au passage le titre de champion du Mexique en 1952 et 1956. Une fois les gants raccrochés, il reste au club et entame une carrière d’entraîneur.

La suite de son parcours le mène à l’Unión de Curtidores, Atletas Campesinos et l’Atlético Morelia. Avec León, il remporte à deux reprises la Coupe du Mexique et le trophée Campeón de Campeones, avant de mener l’Unión de Curtidores jusqu’aux play-offs.

En 1984, il prend les commandes de l’Atlético Morelia et sauve le club de la relégation dès sa première saison. Il y passera au final plus d’une décennie.

Lorsqu’il décède, au mois de mai 2023, il est le dernier survivant de l’équipe du Mexique engagée à la Coupe du Monde 1950.

July 1966:  Antonio Carbajal, the Mexican goalkeeper, showing his injured left hand during a training session in Hertfordshire.  (Photo by Hulton Archive/Getty Images)

Roberto Dinamite 1954-2023

Le Brésilien Roberto Dinamite nous a quittés en janvier 2023 à l’âge de 68 ans, des suites d’un long combat contre le cancer.

Il passe en tout 21 saisons à Vasco da Gama, ce qui contribue à faire de lui l’une des icônes de cette institution brésilienne. Entre 1971 et 1979, il dispute 1 110 matches et inscrit 708 buts sous les couleurs du grand club de Rio de Janeiro, devenant au passage l’un des attaquants les plus prolifiques de tous les temps.

Il effectue également un bref passage au FC Barcelone, avant de rentrer au Brésil.

Champion du Brésil en 1974, il remporte par ailleurs cinq éditions du championnat de Rio de Janeiro (1977, 1982, 1987, 1988 et 1992).

Dinamite signe en outre 20 buts en 38 matches avec le Brésil, dont trois en cinq sorties pendant la Coupe du Monde de la FIFA, Argentine 1978. Après avoir mené son pays sur la troisième marche du podium, il fait encore partie du groupe quatre ans plus tard, en Espagne.

Il reste à ce jour le meilleur buteur de l’histoire du championnat du Brésil, avec 190 buts en 328 matches. Dinamite doit son surnom au journaliste Aparício Pires, impressionné par un but spectaculaire du jeune attaquant dès ses débuts contre Internacional, au Maracanã.

Il occupe en outre la fonction de président de Vasco da Gama de 2008 à 2014.

AR 2023 - In memoriam Roberto-Dinamite_BW

Salif Keïta 1946-2023

Lauréat du premier titre de Joueur africain de l’année en 1970, Salif Keïta est décédé en septembre, à 76 ans.

Il laisse le souvenir d’une immense carrière en France, tant à Saint-Étienne qu’à l’Olympique de Marseille. Par la suite, il porte les couleurs de Valence, en Espagne, et du Sporting CP au Portugal, avant de partir tenter sa chance en North American Soccer League.

Keïta arrive en France à l’âge de 20 ans. Il boucle l’exercice 1967/68 avec 12 unités au compteur puis signe 22 buts lors de chacune des deux saisons suivantes. Sous son impulsion, Saint-Étienne remporte trois titres de champion, dont deux doublés en 1967/68 et 1969/70. Les Verts font également main basse sur le Trophée des Champions en 1967, 1968 et 1969.

Toutefois, leur hégémonie sur le championnat de France s’étiole : en 1970/71 puis en 1972/73, ils doivent se contenter de places d’honneur. Cette baisse de régime n’empêche pas Keïta de dominer son sujet. Au cours de cette période, il inscrit 71 buts en 72 matches, dont 42 réalisations en 40 sorties lors de la saison 1970/71.

Il honore sa première sélection avec le Mali à 16 ans. Par la suite, il participe à la finale de la Coupe d’Afrique des Nations de la CAF 1972.

En 1994, il ouvre le premier centre de formation au Mali.

L'international malien de l'AS St-Etienne, Salif Keita, est photographié le 19 mai 1972 à Saint-Etienne. Salif Keita vient d'être suspendu 6 mois pour avoir signé "un contrat occulte" avec son employeur l'ASSE, lequel est condamné à une amende de 30.000 frs.  AFP PHOTO (Photo by - / AFP) (Photo by -/AFP via Getty Images)

Saoud Al Mohannadi 1957-2023

Saoud Al Mohannadi était vice-président de la Fédération Qatarienne de Football (QFA) et de l’AFC. Il siégeait également au Conseil de la FIFA.

Ancien dirigeant d’Al Sadd, l’un des géants du football qatarien (16 titres de champion et deux Ligues des Champions de l’AFC), il rejoint la QFA en tant que secrétaire général en 2001.

En 2015, il est nommé vice-président de l’AFC, un poste qu’il conservera jusqu’à sa mort, en janvier de cette année.

Le cheikh Salman bin Ebrahim Al Khalifa le décrit comme « un véritable serviteur du football ». De fait, Al Mohannadi apporte une contribution décisive au développement des compétitions de la QFA ; il joue notamment un rôle essentiel dans l’évolution de la Coupe d’Asie des Nations de l’AFC.

Grâce, entre autres, à ses efforts, l’AFC organise en 2019 la meilleure Coupe d’Asie de tous les temps, aux Émirats arabes unis – un constat validé par de nombreux records d’interactions numériques et d’audiences télévisées.

Aux niveaux national, régional et international, Al Mohannadi s’est bâti l’image d’un dirigeant extrêmement compétent. Il laisse derrière lui un héritage inestimable.

PARIS, FRANCE - JUNE 03: FIFA Council member Saoud Abdulaziz M A Al Mohannadi poses for a portrait ahead of a FIFA Council Meeting at the Hotel Salomon de Rothschild on June 03, 2019 in Paris, France. (Photo by Mike Hewitt - FIFA/FIFA via Getty Images)

Luis Suárez Miramontes 1935-2023

Né en Galice, Luis Suárez Miramontes est le seul Espagnol à avoir remporté le Ballon d’Or au cours d’une riche carrière, essentiellement passée sous les couleurs de l’Inter Milan.

Durant son séjour en Lombardie, il remporte deux Coupes d’Europe, en 1964 et 1965, et trois titres de champion d’Italie. Suárez n’est toutefois pas un inconnu à son arrivée en Serie A. Avant de s’illustrer sur les pelouses italiennes, il décroche deux titres de champion d’Espagne avec le FC Barcelone, signant au total 141 buts en 253 matches avec le club catalan.

Élu Ballon d’Or en 1960, il termine deuxième du classement en 1961 et 1964. Il contribue également à la conquête du premier grand titre international de l’équipe d’Espagne, à savoir le Championnat d’Europe 1964.

Il raccroche les crampons en 1973, mais effectue par la suite trois piges sur le banc de l’Inter Milan, en tant qu’entraîneur. Il occupe par ailleurs le poste de sélectionneur de l’équipe d’Espagne entre 1988 et 1991, un mandat ponctué par une qualification pour les huitièmes de finale de la Coupe du Monde de la FIFA 1990.

Suárez a toujours considéré son succès au classement du Ballon d’Or avec beaucoup de simplicité et de modestie, en dépit du fait que d’autres grands noms du football espagnol comme Andrés Iniesta, Xavi Hernández et Raúl González n’ont jamais réussi à lui succéder.

« Tout dépend de la période », avait-il confié à la FIFA. « Pour gagner, il faut espérer qu’un autre grand joueur connaisse une baisse de régime sur une saison. Il y a une part de chance. Beaucoup d’excellents footballeurs n’ont jamais gagné ce titre. Au fond, ça n’est pas très important. »

Spanish footballer Luis Suarez Miramontes of the Spanish World Cup team, 17th April 1961. (Photo by Keystone/Hulton Archive/Getty Images)

Gianluca Vialli 1964-2023

En 16 années de carrière, Gianluca Vialli a soulevé tous les trophées majeurs du football italien. Son palmarès comprend plusieurs titres de champion d’Italie avec la Sampdoria et la Juventus, une Ligue des Champions de l’UEFA avec la Juventus (en 1996), une Coupe d’Europe des vainqueurs de coupe de l’UEFA et une Coupe de l’UEFA. À cette liste, il convient d’ajouter quatre Coupes d’Italie.

Parallèlement, Vialli inscrit 16 buts en 59 sélections sous le maillot de la Squadra Azzurra, avec laquelle il participe aux Coupes du Monde 1986 et 1990. En 1992, il quitte la Sampdoria et s’engage à la Juventus pour GBP 12,5 millions, ce qui constitue à l’époque un record mondial.

Quatre ans plus tard, Ruud Gullit le convainc de le rejoindre à Chelsea. Le succès est immédiatement au rendez-vous : il remporte la FA Cup avec les Blues. Pour sa deuxième saison, en tant qu’entraîneur-joueur, il ajoute à son tableau de chasse une Coupe de la Ligue et une Coupe d’Europe des vainqueurs de coupe.

À 33 ans et 308 jours, il devient à cette occasion le plus jeune entraîneur à remporter une grande compétition européenne.

Sous sa houlette, Chelsea termine à la troisième place de la Premier League en 1998/99. Pour son ultime campagne en tant que joueur, il tire sa révérence en signant le but décisif lors d’une victoire 2-1 sur Derby County, à domicile.

Il s’adjuge la FA Cup en l’an 2000 et gagne ainsi son cinquième titre majeur en moins de trois ans à la tête de Chelsea.

Par la suite, il participe en tant qu’adjoint de Roberto Mancini à la conquête de l’EURO de l’UEFA 2020 avec l’Italie. Malheureusement, la récidive de son cancer du pancréas le contraint à se mettre en retrait de la vie sportive.

LONDON, ENGLAND - OCTOBER 23:  Gianluca Vialli arrives for The Best FIFA Football Awards - Green Carpet Arrivals on October 23, 2017 in London, England.  (Photo by Michael Steele/Getty Images)

Nora Watkins 1957-2023

Membre de la première équipe de Nouvelle-Zélande féminine et première femme à occuper le poste de sélectionneuse nationale, Nora Watkins est décédée au mois de juin, à 65 ans.

À 18 ans, elle intègre la première équipe nationale féminine du pays. Dans la foulée, elle écrit une page d’histoire en participant à la victoire (2-0) sur Hong Kong, Chine lors de l’édition inaugurale de la Coupe d’Asie des Nations Féminine de l’AFC. Les Néo-Zélandaises remportent la compétition et Watkins (à l’époque, Hetherington) marque en finale contre la Thaïlande.

L’année suivante, elle rejoint les Miramar Rangers où elle évolue aux côtés de Marilyn Marshall, sa partenaire en équipe nationale. Son compteur personnel indique deux buts en dix sélections avec la Nouvelle-Zélande.

Elle prolonge son séjour aux Miramar Rangers jusqu’en 1983. Une fois sa carrière terminée, elle officie en tant qu’entraîneure à cinq reprises sur les sept saisons suivantes. Elle mène cinq fois son club au titre entre 1985 et 1991. Passée à Petone, elle collectionne encore les trophées, avec trois Central Leagues, en 1994, 1995 et 1996.

Elle dirige également l’équipe nationale féminine de Nouvelle-Zélande à l’occasion d’une double confrontation contre l’Australie, en mars 1995, devenant ainsi la première femme à tenir ce rôle.

Entre 1989 et 1994, elle travaille en tant qu’adjointe auprès des Football Ferns. Aux côtés de Dave Boardman, elle participe à l’édition inaugurale de la Coupe du Monde Féminine de la FIFA™, en 1991.

AR 2023 - Nora Watkins

Elaine Watson 1935-2023

Sélectionneuse de la première équipe d’Australie à prendre part au Tournoi international féminin sur invitation à Chinese Taipei, en 1978, Watson fait partie des pionnières du football féminin.

Elle débute sa carrière d’entraîneure en 1964 après avoir occupé toutes sortes de rôles, d’arbitre à adjointe. Elle remplit également une large palette de fonctions administratives, comme trésorière ou directrice financière.

En 1975, elle devient présidente de la Queensland Women’s Soccer Association. La suite de sa carrière la conduira à diriger l’Australian Women’s Soccer Association puis à occuper le poste de présidente de l’Oceania Women’s Soccer Federation pendant huit ans.

On la retrouve en tant qu’accompagnatrice pendant la première Coupe d’Océanie des Nations de l’OFC et lors de l’édition pilote de la Coupe du Monde en RP Chine. Elle est en outre la première personne à être nommée membre à vie de l’Australian Women’s Soccer Association.

La confédération australienne du sport lui décerne son ordre du mérite et, en 1993, elle reçoit la médaille de l’Ordre d’Australie pour services rendus au football féminin.

En 2010, Football Brisbane rebaptise sa principale compétition « Coupe Elaine Watson », en l’honneur de ses « nombreuses années de service ».

Deux blazers ayant appartenu à Watson sont exposés au FIFA Museum : le premier date de l’époque où elle était sélectionneuse des Matildas et présidente de l’Australian Women’s Soccer Association ; le second coïncide avec son mandat à la tête de l’Oceania Women’s Football Confederation.

Elaine Watson-Profile

La FIFA rend hommage

Shaharuddin Abdullah, Malaisie Attila Abonyi, Australie Saeed Al Misnad, Qatar Sharar Haidar, Irak Shaye Al Nafisah, Arabie saoudite Yousef Al Salem, Arabie saoudite Marcos Alonso, Espagne Hassan Amcharrat, Maroc Papa Arko, Ghana Lars Arnesson, Suède Romualdo Arppi Filho, Brésil Christian Atsu, Ghana Tulsidas Balamaran, Inde Clive Barker, Afrique du Sud Boubakari Bello, Cameroun Omar Berdiyev, Turkménistan Georges Bereta, France Silvio Berlusconi, Italie Satiananthan Bhaskran, Malaisie Miroslav Ciro Blazevic, Bosnie-et-Herzégovine/Croatie Reino Borjesson, Suède Jaime Bosch Bedia, Porto Rico Francois Bracci, France Craig Brown, Écosse Henry Browne, Liberia Robert Budznski, France Norman Burtenshaw, Angleterre Henry Caicedo, Colombie Hernan Carrasco, Chili Marc-Kanyan Case, France Ernesto Castano, Italie Bikram Chaudhary, Népal George Chigova, Zimbabwe Karolis Chvedukas, Lituanie Dominique Colonna, France Osvaldo Cruz, Argentine Christian Dalger, France Palhinha, Brésil Stephane Demol, Belgique Camille Dimmer, Luxembourg Jose Dolgetta, Venezuela Benny Dollo, Indonésie Raphael Dwamena, Ghana Freddy Elie, Venezuela Guillermo Escalada, Uruguay Miguel Escobar, Colombie Hans Ettmayer, Autriche Tony Fitzgerald, République d’Irlande Egil Johansen, Norvège Trevor Francis, Angleterre Stanley Franks Jnr, Saint-Kitts-et-Nevis Gints Freimanis, Lettonie Josep Maria Fuste, Espagne Italo Galbiati, Italie Ruud Geels, Pays-Bas Rolf Geiger, Allemagne Nikolay Ghazaryan, Arménie David Gold, Angleterre Alberto Gonzalez, Argentine Sergio Gori, Italie Mohammed Habib, Inde Yehezkel Hazum, Israël Aki Heiskanen, Finlande Guenter Herrmann, Allemagne Toni Hiro, Tahiti Horst-Dieter Hoettges, Allemagne Fernando Jara, Chili Dario Jara, Paraguay Birger Jensen, Danemark Papa Amghar Jiddou, Mauritanie Jan Jongbloed, Pays-Bas Nader Joukhadar, Syrie Antonio Juliano, Italie Harun Jusoh, Malaysie Volkan Kahraman, Autriche Karounga Keita, Mali Nahim Khadi, Sierra Leone Khaleel Ar, Inde Papi Khomane, Afrique du Sud Tony Knapp, Angleterre Gyorgy Kottan, Hongrie Ernst Kozlicek, Autriche Leonie Aragon, Suisse Krister Kristensson, Suède Per Kristoffersen, Norvège Michel Kruin, Suriname Willy Kyambadde, Ouganda Bo Larsson, Suède Alain Laurier, France Wojciech Łazarek, Pologne Francis Lee, Angleterre Miklos Lendvai, Hongrie Roman Lentner, Pologne Giovanni Lodetti, Italie Charly Loubet, France Friedel Lutz, Allemagne Modeste M’Bami, Cameroun Mabo Ismaila, Nigeria Esko Malm, Finlande Bertrand Marchand, France Edgar Marín, Costa Rica Peter Marti, Suisse Raul Machado, Portugal Salem Marwan, Arabie saoudite Néstor Matamala, Chili Ronald McKinnon, Écosse Gordon McQueen, Écosse Loraine Mcdouall, Suisse Avraham Menchel, Israël Rubens Minelli, Brésil Luis Suárez Miramontes, Espagne John Moeti, Afrique du Sud Melika Mohammadi, RI Iran Saoud Al Mohannadi, Qatar Moeketsi Molelekoa, Afrique du Sud Carlos Monín, Paraguay Tom Mtine, Zambie Phillimon Mulala, Zambie Henning Munk Jensen, Danemark Colin Murphy, Angleterre Juan Carlos Murúa, Argentine Vahidin Musemić, Bosnie Kostas Nestoridis, Grèce Edington Ng’onamo, Malawi Ronnie Nolan, République d’Irlande Titus Okere, Nigeria Ferran Olivella, Espagne Jan Olsson, Suède Juvencio Osorio, Paraguay Francisco Osorto, Salvador Abderrahim Ouakili, Maroc Ergun Öztuna, Turquie Ahmet Suat Özyazıcı, Turquie Essop Pahad, Afrique du Sud Theo Pahlplatz, Pays-Bas Mimis Papaioannou, Grèce Jong Hwan-park, République de Corée Marinho Peres, Brésil Georges Perroud, Suisse Petar Zhekov, Bulgarie Odilon Polleunis, Belgique Edgar Quinteros, Bolivie Oleksandr Radchenko, Ukraine Orazio Rancati, Italie Rale Rasic, Serbie/Australie Ronnie Rees, pays de Galles Hans Richter, Allemagne Alfredo Rojas, Argentine Jorge Roldán, Guatemala Per Røntved, Danemark Nelsinho Rosa, Brésil Cédric Roussel, Belgique Gerry Ryan, République d’Irlande Federico Sacchi, Argentine Victoriano Sánchez Arminio, Espagne Buhran Sargun, Turquie Juan Sarnari, Argentine Manfred Schaefer, Autriche Adolf Scherer, Slovaquie Anas Seidu, Ghana Hans Selander, Suède Ziya Şengül, Turquie Vadym Shevchenko, Ukraine Pavlo Shkapenko, Ukraine Claude Simonet, France Eddie Colquhoun, Écosse Henri Stambouli, France Werner Staub, Suisse José Sulantay, Chili Kamel Tahir, Algérie Mackaya Tamane, Gabon Paul Tandou, Congo Carlo Tavecchio, Italie Eric Thompson, Costa Rica Billy Thomson, Écosse Rahman Gumbo, Zimbabwe Ari Tissari, Finlande Usmon Toshev, Ouzbékistan Ahmet Türkaslan, Türkiye Grant Turner, Nouvelle-Zélande Amancio, Espagne Terry Vaughn, États-Unis Terry Venables, Angleterre Gianluca Vialli, Italie Waldemar Victorino, Uruguay Josef Vojta, Tchéquie Nora Watkins, Nouvelle-Zélande Elaine Watson, Australie Marco Warren, Bermudes Christos Zanteroglou, Grèce