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Principe en Guinée : images magiques d'une île sanctuaire

Romain Clergeat

Abandonnée après le départ des colons portugais, cette perle volcanique du golfe de Guinée attire désormais les amateurs d’écotourisme, grâce à l’engagement d’un généreux milliardaire.

La piscine à débordement du Sundy Praia.
La piscine à débordement du Sundy Praia. © Géraldine Bruneel
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Le bar, avec vue sur le golfe de Guinée.
Le bar, avec vue sur le golfe de Guinée. © Géraldine Bruneel
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Une villa lodge ouverte sur la jungle.
Une villa lodge ouverte sur la jungle. © Géraldine Bruneel
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Esprit colonial pour l’une des 15 chambres du Roça Sundy.
Esprit colonial pour l’une des 15 chambres du Roça Sundy. © Géraldine Bruneel
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La salle à manger privative
La salle à manger privative © Géraldine Bruneel
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Une villa lodge ouverte sur la jungle.
Une villa lodge ouverte sur la jungle. © Géraldine Bruneel
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Une des nombreuses chutes d’eau de l’île, gorgée de pluie en saison.
Une des nombreuses chutes d’eau de l’île, gorgée de pluie en saison. © DR
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Une chambre du Roça Sundy.
Une chambre du Roça Sundy. © Géraldine Bruneel
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Un bâtiment de cette ancienne plantation de cacao du XVIIIe siècle.
Un bâtiment de cette ancienne plantation de cacao du XVIIIe siècle. © Géraldine Bruneel
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Des pêcheurs locaux dans le golfe de Guinée.
Des pêcheurs locaux dans le golfe de Guinée. © DR
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La piscine à débordement du Sundy Praia.
La piscine à débordement du Sundy Praia. © Géraldine Bruneel
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Le bar, avec vue sur le golfe de Guinée.
Le bar, avec vue sur le golfe de Guinée. © Géraldine Bruneel
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Une villa lodge ouverte sur la jungle.
Une villa lodge ouverte sur la jungle. © Géraldine Bruneel
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Esprit colonial pour l’une des 15 chambres du Roça Sundy.
Esprit colonial pour l’une des 15 chambres du Roça Sundy. © Géraldine Bruneel
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La salle à manger privative
La salle à manger privative © Géraldine Bruneel
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Une villa lodge ouverte sur la jungle.
Une villa lodge ouverte sur la jungle. © Géraldine Bruneel
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Une des nombreuses chutes d’eau de l’île, gorgée de pluie en saison.
Une des nombreuses chutes d’eau de l’île, gorgée de pluie en saison. © DR
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Une chambre du Roça Sundy.
Une chambre du Roça Sundy. © Géraldine Bruneel
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Un bâtiment de cette ancienne plantation de cacao du XVIIIe siècle.
Un bâtiment de cette ancienne plantation de cacao du XVIIIe siècle. © Géraldine Bruneel
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Des pêcheurs locaux dans le golfe de Guinée.
Des pêcheurs locaux dans le golfe de Guinée. © DR
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Les habitants l’appellent « l’homme de la Lune». Non parce que c’est en survolant les îles de Sao Toméet-Principe que Mark Shuttleworth est tombé sous le charme de Principe, cet îlot d’environ 16 kilomètres sur 8. Mais surtout parce que ce milliardaire sud-africain est devenu, en 2002, le deuxième touriste de l’espace en séjournant dix jours à bord de la Station spatiale internationale. Dix ans plus tard, il repère ce confetti vert émeraude, aux plages de sable blanc bordées par la forêt, et a le coup de foudre pour cette île oubliée.

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À Principe, Shuttleworth est séduit par les paysages à couper le souffle, mais aussi touché par les difficultés des 7000 habitants. Peu d’infrastructures, pas d’hôtels dignes de ce nom... L’île semble figée dans le temps. Pourtant, elle recèle un énorme potentiel touristique, avec ses plages isolées, sa biodiversité exceptionnelle et son patrimoine historique lié aux plantations coloniales de cacao, de café et de canne à sucre datant du XIXe  siècle.

Shuttleworth décide alors d’investir massivement (100 millions de dollars sur quinze ans) à Principe, dans l’espoir de créer un tourisme durable, respectueux de l’environnement et bénéfique aux populations locales. En 2011, il fait l’acquisition de Bom Bom, un ensemble de bungalows sur la plage dans le nord de Principe. Puis, en 2013, il rachète une plantation désaffectée et une bande de terre vierge en bord de mer.

Deux hôtels au charme fou

Avec l’architecte français Didier Lefort (artisan du multiprimé Datai Langkawi), ils créent deux hôtels au charme fou, désormais la vitrine de l’écotourisme à Principe : Roça Sundy, doté de 14 chambres et d’une suite disséminées dans les bâtiments d’époque. Et Sundy Praia, 15 tentes lodges de luxe dans la jungle en bord de mer. Avec un restaurant gastronomique, où le spectacle est autant dans l’assiette qu’à l’extérieur.

Conçu entièrement en bambou par Didier Lefort, sa forme et les jeux de lumière le font ressembler à une cathédrale végétale, où une subtile cuisine célèbre les saveurs locales, puisque rien (ou si peu) n’est importé. Ne reste plus qu’à arpenter les kilomètres de plages immaculées alentour. Totalement désertes. On s’en veut presque d’en parler…

Y ALLER Club Faune Voyages propose un séjour de 9 jours Paris-Paris à partir de 4100 euros avec vols inclus (2 nuits à l’hôtel Omali à Sao Tomé, 2 nuits à la Roça Sundy et 3 nuits au Sundy Praia à Principe). club-faune.com.

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