Défense : la pépite de l'IA Preligens espère un repreneur d'ici à mi-avril PremiumContenu réservé aux abonnés
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Contraint dans sa croissance en France, le spécialiste français de l'analyse géospatiale de défense a besoin de se diversifier à l'international et vers de nouveaux marchés civils. L'idéal serait d'avoir accès au Département de la défense américain mais le repreneur ne peut être qu'européen.
Par Anne Drif, Anne Bauer
Le futur de la pépite de l'analyse géospatiale Preligens passe par Washington. Mis en vente par ses actionnaires , le spécialiste de la géo-intelligence pour les services de renseignement et les forces armées doit investir aux Etats-Unis s'il veut accélérer sa croissance, explique aux « Echos » son président Jean-Yves Courtois.
Appelé aux commandes il y a un an par les fondateurs de Preligens (ex-Earthcube), Arnaud Guérin et Renaud Allioux, Jean-Yves Courtois a lancé un appel d'offres auprès d'une vingtaine d'acteurs pour sa reprise et espère des remises d'offres mi-avril. Le marché de la défense est porteur mais plus contraint que prévu pour la société.
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