Pour sa virée au théâtre dans les rues de New York, Hugh Jackman a préféré rester sobre ce lundi. Surpris par ses fans à la sortie de la nouvelle pièce d'Alan Cumming au Studio 54 (Alan Cumming Is Not Acting His Age), l'acteur s'est livré à une séance de signature d'autographes en plein Manhattan. Pour l'occasion, l'australien, moins connu pour son exubérance vestimentaire que pour son style classique, avait troqué le costume deux pièces dans lequel on a l'habitude de le voir sur les tapis rouges pour une tenue décontractée, mais relativement élégante et facile à reproduire au quotidien.
S'il voulait passer incognito, Hugh Jackman n'avait toutefois pas misé sur le bon blouson hier soir. Car malgré l'aspect passe-partout de la tenue, une pièce s'est particulièrement démarquée du reste. À savoir le blouson camel que portait le quinquagénaire. Entre le blouson aviateur et le bomber, la veste contrastait en effet avec les autres vêtements de la tenue, dont ce pantalon et ce tee-shirt, tous en noir sans exception. Grâce à ce classique du vestiaire masculin, Hugh Jackman a su donner une touche personnelle au look. Il suffit parfois d'un seul détail pour rendre un look attrayant, et Hugh Jackman n'est, semble-t-il, pas étranger à cet adage.
L'homme n'est pas sans savoir non plus que, avant de devenir ultra tendance, le bomber était à l'origine un vêtement fait pour les soldats américains. Né dans les années 50, la veste est partie intégrante de l'uniforme du soldat américain, aussi bien portée par les pilotes de la Air Force que ceux de la Navy. Popularisée grâce à sa matière en nylon, son col court et arrondi, le bomber est devenu au fil des années un véritable incontournable du vestiaire masculin. En 2024, il existe d'ailleurs une grande variété de bombers et mille façons de le porter.
Comment porter le bomber en 2024 ?
Aujourd'hui, le bomber se suffit à lui-même. Veste de mi-saison par excellence, il est souvent plus judicieux de le porter sur un tee-shirt ou une chemise, à l'image de Hugh Jackman. Peu épais, le bomber est par nature une veste indépendante. La pièce s'accommode mal des couches, ce qu'on appelle le “layering”. Mieux vaut donc choisir un bomber de bonne qualité, voyant, du type de ceux en daim ou en cuir proposés par Schott ou Chevignon. L'autre possibilité est de miser sur une version en cuir noir (le directeur artistique de Burberry Daniel Lee vient d'en proposer un en version évasée très réussi) ou carrément à motifs à l'image des bombers Gucci.
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