Parfois, on veut se réfugier dans un bon vieux Simenon, mais on finit par réfléchir aux concepts de transfuge de classe, désenchantement social et montée des nationalismes…
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Dans les périodes alarmantes comme celle que nous traversons (deux guerres à nos portes, une jordan-bardellisation des esprits…), la tentation est grande de se réfugier dans les bons-vieux-polars, l’équivalent littéraire des vieux-films-du-dimanche-soir. Ces derniers temps, je me suis pas mal planqué chez Maigret, le colosse à pipe de Simenon. Maigret, c’est la force tranquille du vrai : il avance, taiseux, inlassable, vers la résolution du crim…
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