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Poutine battu sur le terrain du renseignement

L’ancien officier du FSB est battu sur son terrain de prédilection : ses services de renseignement n’ont pas été capables de contrer l’organisation Etat islamique. Une défaite de taille pour le Kremlin. Article réservé aux abonnés
Journaliste au pôle Idées Temps de lecture: 1 min

Tenir un fait sanglant pour un motif de guerre est aussi vieux que la guerre elle-même. Vladimir Poutine n’a pas eu à revoir longuement ses manuels de propagande pour saisir l’occasion d’imputer à l’Ukraine la responsabilité du massacre du Crocus City Hall. Vendredi, à Moscou, au moins 137 personnes sont mortes lors de cet attentat terroriste.

L’organisation Etat islamique a pourtant revendiqué l’attaque dont le modus operandi n’est pas sans rappeler une autre de ses tueries, perpétrée celle-là au Bataclan. C’était à Paris, le 13 novembre 2015. Mais le Kremlin préfère de toute évidence instrumentaliser les assaillants présumés, refusant de détailler leurs aveux arrachés sous la torture. Les photos des suspects diffusées après leur arrestation, ainsi qu’une vidéo devenue virale sur le web, laissent peu de doute à ce propos.

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2 Commentaires

  • Posté par Vanloo Marc, mardi 26 mars 2024, 9:40

    E t il n'est pas le seul ici aussi on n'avait rien vu venir concernant les attentats islamistes subis ces dernières années

  • Posté par BRASSEUR Paul, mardi 26 mars 2024, 9:57

    En effet, mais en plus il semblerait qu'il en avait été prévenu...Ou il n'en a pas tenu compte, par orgueil, indifférence ou incompétence du Fsb; ou il a laissé faire pour pouvoir TOUT justifier par la suite: économie de guerre, mobilisation renforcée, répression de toute contestation.... Les grands perdants sont les pauvres gars, des deux côtés, qui tomberont sur le champ de bataille de la guerre la plus absurde qui soit....

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