"Le passager d’Amercoeur", le nouveau roman d’Armel Job emmène le lecteur dans les méandres de la vie de Momo et de la perte de sa femme Grâce, retrouvée au fond du ravin à l’arrière de la maison familiale, tout comme sa maîtresse, quelques années plus tôt.
Mais malgré les apparences, nous ne sommes pas dans un polar, et Momo n’a pas perdu les femmes de sa vie. Parce que la véritable présence féminine de l’existence de Momo, c’est sa mère. En tout cas elle aimerait le croire, et elle fait tout pour se rendre indispensable, rêvant de partager à nouveau le même toit. Comme quand Momo est entré dans sa vie, à l’âge de quatre ans. Mais la maman aimante et attentionnée, s’est transformée au fil du temps en mère toxique.
"Il n’y a jamais de plainte d’un fils contre sa mère, et je tiens l’information de Boris Cyrulnik"
"Entre un père et sa fille, le mal apparaît de manière plus évidente. Les plaintes des filles vis-à-vis des pères sont tout à fait courantes, même si on sait qu’un grand nombre de filles ne se plaindront pas. Mais chaque année devant les tribunaux, des plaintes sont traitées, alors que, et je tiens mon information de Boris Cyrulnik, elle est fiable, il n’y a jamais de plainte d’un fils contre sa mère. Il y a toujours cette image de la mère, sacrée, sacralisée, et quel que soit le reproche, elle reste au-dessus !"
Rencontre avec Armel Job…
"Le passager d’Amercoeur" d’Armel Job chez Robert Laffont – Un roman exaltant qui révèle délicatement ses secrets.
