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La Ve République a connu trois périodes de cohabitation (1986-88, 1993-95 et 1997-2002). Ces phases de démocratie intense ont disparu depuis l’avènement du quinquennat. Un retour en 2022 est-il un scénario sérieux ?
François Mitterrand, Jacques Chirac, Édouard Balladur et Lionel Jospin furent les quatre acteurs des trois cohabitations de la Ve République. Avec une même infortune finale pour les Premiers ministres.
Avant François Fillon, condamné lundi en appel à quatre ans de prison, dont un an ferme, deux anciens présidents, Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy, et trois ex-Premiers ministres ont été sanctionnés par la justice sous la Ve République.
20 ans après l’attentat de Karachi, qui a fait 15 morts dont 11 ouvriers normands, Cherbourg leur rend hommage.
Dunkerque a toujours été une destination prisée des présidents. Depuis l’instauration de la Ve République, seuls deux d’entre eux ne sont pas venus, sans toutefois avoir été totalement absents. Aujourd’hui, Jacques Chirac : un septennat, un quinquennat, douze ans de présidence et une si longue absence. Jamais, en qualité de président de la République, il n’aura visité Dunkerque.
Depuis 2002, les résultats ont assez peu différé des projections, malgré l’angle mort persistant de l’abstention.
À l’approche de la présidentielle, plusieurs candidats se sont emparés du sujet, à l’image d’Éric Zemmour. S’il est élu, le candidat de Reconquête ! souhaite « rétablir la perpétuité réelle ». La « vraie » perpétuité n’existe-t-elle pas en France ? Vérifications.
Lors des journées européennes des métiers d’art du 28 mars au 3 avril 2022, plus de 250 professionnels normands se mobiliseront pour des démonstrations, des salons ou des portes ouvertes. Cyril Gouty, verrier, proposera de s’initier à l’art du vitrail dans son atelier de Cormeilles.
Faussés, influenceurs, biaisés… Les sondages d’intention de vote sont, comme toujours avant une présidentielle, accusés de tous les maux. Et surtout par ceux – politiques et commentateurs – qui pourtant les utilisent le plus ! Mais les critiques sont-elles justifiées ? Nous avons donné la parole à l’accusation… et à la défense.
Chute dans les sondages, scandale ou abandon... La campagne présidentielle est semée d’embûches, rendant l’issue difficile à anticiper. Mais au cours des étés qui ont précédé les échéances, le vainqueur était-il si imprévisible ? De 1981 à 2017, nous avons exploré ce que disait l’opinion.
La chronique de la Ve République est parsemée de surprises, scandales, chausse-trappes, qui ont mis au tapis le champion désigné. Valéry Giscard d’Estaing en 1981, Édouard Balladur en 1995, François Fillon en 2017… Décryptage des ressorts d’une élection à part qui échappe souvent à la logique.
Il s’agit d’archives de l’ancien président François Mitterrand ainsi que celles de son Premier ministre de l’époque Edouard Balladur.
Poursuivi pour financement occulte dans le cadre de sa campagne présidentielle de 1995, l’ancien Premier ministre a été mis hors de cause. François Léotard, alors ministre de la Défense, a été condamné à deux ans de prison avec sursis.
Édouard Balladur, 91 ans aujourd’hui, et son ex-ministre de la Défense, François Léotard, 78 ans, étaient jugés dans le volet financier de l’affaire Karachi. Un dossier vieux de plus de 25 ans.
La Cour de justice de la République rendra le 4 mars sa décision dans le procès de l’ancien Premier ministre Edouard Balladur, jugé depuis le 19 janvier pour des soupçons de financement occulte de sa campagne présidentielle de 1995, l’un des volets de l’affaire Karachi.
L’accusation a requis ce mardi une peine d’un an d’emprisonnement avec sursis et de 50 000 euros d’amende contre l’ex-Premier ministre, Édouard Balladur, jugé à Paris pour des soupçons de financement occulte de sa campagne présidentielle de 1995, l’un des volets de la tentaculaire affaire Karachi.
Longuement interrogé, notamment sur un versement de 10 millions de francs à son compte de campagne, l’ancien Premier ministre – et candidat à la présidentielle – assure qu’il ne se mêlait pas de ces détails.
L’ancien Premier ministre a réfuté ce mercredi toute culpabilité dans l’affaire « Karachi » pour laquelle il comparaît devant la Cour de Justice de la République. Selon lui, on devrait le féliciter pour ce qu’il a fait.
Le procès de l’ex-Premier ministre et de François Léotard, dans le volet financier de l’ « Affaire Karachi » s’est ouvert ce mardi. Avant l’interrogatoire des deux hommes, ce mercredi, la prise de contact a été glaciale.
L’ancien Premier ministre comparait à partir de ce mardi pour des soupçons de financement occulte de sa campagne présidentielle de 1995. À ses côtés, son ministre de la défense d’alors, François Léotard. Le procès d’une autre époque.
L’ancien Premier ministre Edouard Balladur, 91 ans, a été testé positif au coronavirus mais il n’est « pas en danger », a indiqué mardi le maire LR du XVe arrondissement de Paris, Philippe Goujon.
L’ex-Premier ministre Edouard Balladur sera jugé du 18 janvier au 19 février par la Cour de justice de la République (CJR) dans le volet financier de l’affaire Karachi, pour des soupçons de financement occulte de sa campagne présidentielle de 1995
Les commentaires qui ont suivi la condamnation de l’ex-Premier ministre ne sont pas très encourageants.
Ils sont condamnés dans le cadre des commissions occultes sur des contrats d’armements signés en 1994 avec l’Arabie Saoudite et le Pakistan.
L’ex-Premier ministre Édouard Balladur sera bien jugé devant la Cour de justice de la République dans l’affaire Karachi pour les soupçons de financement occulte de sa campagne présidentielle de 1995.
Jean Garrigues est un historien, spécialiste d’histoire politique, auteur de plus d’une trentaine d’ouvrages. Il analyse les défauts et bénéfices de l’usage du 49-3, au regard de son emploi, samedi, pour imposer la réforme des retraites.
Il est soupçonné d’avoir touché des fonds provenant du régime libyen de Kadhafi qui auraient pu alimenter la campagne de Nicolas Sarkozy.
De 18 mois ferme à sept ans de prison sont requis contre les prévenus au procès du volet financier de l’affaire Karachi, une affaire de soupçons de commissions occultes sur des ventes d’armement en marge de la campagne présidentielle d’Edouard Balladur.
Un premier procès s’ouvre lundi dans la tentaculaire affaire Karachi : six hommes sont jugés au tribunal correctionnel de Paris pour des soupçons de commissions occultes en marge de la campagne présidentielle malheureuse d’Edouard Balladur en 1995.
Invité de France 2 dimanche, Nicolas Sarkozy est revenu sur sa relation avec Jacques Chirac.
À l’échelle du Nord – Pas-de-Calais, Jean-Paul Delevoye, l’actuel « M. Retraites » d’Emmanuel Macron, reste sans aucun doute le premier des « chiraquiens » dans la région. Ministre de la fonction publique de 2002 à 2004, l’ancien maire de Bapaume raconte « son Chirac », ce « père en politique » dans le sillon duquel il s’était placé au début des années 1980.
André Soleau a été rédacteur en chef de La Voix du Nord de 1991 à 1995. Son plus grand souvenir de cette période ? L’annonce de candidature de Jacques Chirac à la présidentielle 1994 en exclusivité dans La Voix du Nord.
L’ancien président Jacques Chirac, décédé ce jeudi à l’âge de 86 ans, était un des grands fauves de la droite française dont la longévité, entre succès brillants et échecs cuisants, a démontré une exceptionnelle capacité de rebond.
Jacques Chirac aimait le Nord. Et le Nord lui rendait bien. En 1994, il annonce sa candidature à la présidentielle lors d'un entretien exclusif avec « La Voix du Nord ». Retour sur ses nombreuses visites dans la région.
La commission de l’instruction de la Cour de justice de la République (CJR) doit décider de juger ou non les deux hommes pour leur responsabilité dans le possible financement occulte de la campagne présidentielle de 1995 de d’Édouard Balladur.
Trop de contentieux administratifs, mais pas assez de cours administratives d’appel. Dans les années 90, l’État a rétabli cet équilibre compromis en portant le nombre de ces juridictions de cinq à sept. Douai, candidat parmi d’autres villes, avait été choisi… dans un wagon de TGV.
Avant l’ouverture ce jeudi de la plateforme sur Internet destinée à répondre aux questions des Français et recueillir leurs contributions au débat, le Haut-commissaire, le Nordiste Jean-Paul Delevoye chargé par Emmanuel Macron de piloter la réforme nous en a rappelé les principes.
Édouard Balladur a été mis en examen par la Cour de justice de la République (CJR) dans le volet ministériel de l’affaire Karachi, soupçonné d’avoir financé une partie de sa campagne présidentielle de 1995 grâce à des rétrocommissions sur des contrats d’armement.