Jeux d’ombres et de lumière, trop plein d’émotions, sentiment de dangers constants… une adaptation magistrale du roman culte de Cormac McCarthy.
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Publié le 29 mars 2024 à 08h00
Mis à jour le 29 mars 2024 à 09h05
Adapter La Route, le chef-d’œuvre « post-apo » de Cormac McCarthy, ne peut se faire sans vision. Si la trame de ce roman couronné par le prix Pulitzer en 2007 tient en quelques mots, un père et son fils traversent à pied un pays dévasté où les plus forts mangent – littéralement – les plus faibles, sa puissance repose moins sur les péripéties que sur sa capacité d’évocation.
Évocation d’un monde effondré, d’une civilisation (la nôtre) à l’agonie, de paysages gelés, couverts de cendres et jonchés de carcasses diverses, où trouver un abri pour la nuit et de la nourriture est l’obsession de tout ce qui a survécu. Évocation, surtout, du lien viscéral, animal et douloureux qui unit
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