Un projet immobilier à la place d’un camping populaire à Fouesnant : « On ne doit pas être assez riches pour être là »

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Par Olivier Scaglia

Entre colère, tristesse et incompréhension, les propriétaires de mobil-home du Camping de Kerolland, à Beg-Meil en Fouesnant, s’organisent. Ils veulent occuper le camping et comptent sur l’arrivée des vacanciers du printemps pour mobiliser face au groupe immobilier Giboire.

« On nous a dit de dégager avant la fin 2024. On ne doit pas être assez riches pour être là ! », ne décolère pas Paul Savary, 70 ans. Vivant à Saint-Renan près de Brest, il est l’un des propriétaires de la soixantaine de mobil-homes installés sur des aires louées au Camping de Kerolland à Beg-Meil en Fouesnant, depuis des lustres.

Cinq des membres du collectif constitué des propriétaires de mobil-homes du camping de Kerolland à Beg-Meil à Fouesnant entre colère, tristesse et incompréhension.
Cinq des membres du collectif constitué des propriétaires de mobil-homes du camping de Kerolland à Beg-Meil à Fouesnant entre colère, tristesse et incompréhension. (Le Télégramme/Olivier Scaglia)
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