L’imagerie “sissienne” refait des siennes : le grand amour est partout, et même l’autocrate Alexandre II est pris dans ses filets. En interprétant la maîtresse du tsar, Romy se débat encore dans les crinolines de l’impératrice. Mais ce sera la dernière fois.
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Publié le 29 mars 2024 à 12h09
À peine sortie de la série des Sissi, Romy Schneider rempile, prisonnière de son personnage fréquentant les allées du pouvoir. Robert Siodmak plonge avec volupté dans l’imagerie d’Epinal pour décrire les relations adultères de Katia et de son prince charmant, le tsar progressiste (la morale est sauve !).
Ce mélodrame est dominé par la haute et élégante stature de Curd Jürgens. Il ravira les adeptes de tragédies sentimentales et marquera la fin des aventures de Romy chez les rois. Avec Visconti, Cavalier et Welles, une nouvelle carrière commençait pour elle.
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