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Shakespeare aurait pu écrire à ce propos l'une de ses puissantes tragédies royales dont il avait le secret. Telle une malédiction, les malheurs s'accumulent autour de la famille royale britannique depuis le décès d'Elizabeth II. C'est une véritable descente aux enfers que connaît la lignée Windsor. L'annonce, vendredi soir, par la princesse Kate, âgée de 42 ans, qu'elle est atteinte d'un cancer et qu'elle a entamé une chimiothérapie « préventive » est le dernier épisode d'une série noire de revers qui affecte la lignée.
« Tu n'es pas seule Kate » (Sun), « On est à tes côtés Kate » (Mirror), « bravoure et courage » (Express) « La bombe du cancer de Kate » (Mail )… Les titres de la presse populaire soulignent le choc de cette nouvelle, alors que la royauté reste plus que jamais un point fi...
Franchement, les maladies de la famille royale anglaise m'indiffèrent. Il y a tant de personnes qui sont malades comme eux et qui n'ont pas les moyens de se soigner.
Ils sont comme ca les Français : ils ne peuvent pas faire autrement que de lire ce type d’articles. Et bien d’autres. Puis de critiquer ensuite. Ben non, les windsor ne sont pas ordinaires, ne vous en déplaise. Mais ils sont humains, au sens de leurs faiblesses...
"Descente aux enfers" ? "La maison royale vacille" ?
On a plutôt l'impression que c'est le cas de l'auteur et par la faute non pas de la maladie mais au contraire du trop bien boire.
Mais meilleurs vœux quand même à Kate !