Laurène Marx reprend le pouvoir au nom des femmes transgenres
L’idée c’est un truc du genre : ah… OK, merde… je suis une meuf je crois… je suis une trans je crois… Mais en substance… c’est ça… un peu comme quand t’es persuadée d’avoir laissé le gaz allumé et que tu peux pas aller vérifier. Là, le gaz, il fuit depuis quinze ans, vingt ans et ça va péter… c’est l’heure d’imploser et crois-moi, c’est graphique. » Pour raconter son histoire, Laurène Marx évoque d’emblée une fuite de gaz et très vite, on comprend que cette image résume assez bien l’artiste elle-même : avec son verbe hautement inflammable, l’autrice et interprète aime jouer avec le soufre. C’est inodore mais, vous, spectateurs, avez l’impression que ses vannes peuvent vous exploser à la figure à chaque instant. Oh, pas de dégâts matériels à craindre, rassurez-vous ! Non, sa tuyauterie à elle, ce sont les planches de théâtre et les déflagrations qu’elle engendre risquent surtout de vous faire rire, vous faire mal ou vous guérir.
Accédez à l'information nationale et internationale vérifiée et décryptée 1€/semaine pendant 4 semaines (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction Le journal en version numérique (PDF) Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
"On pave la voie de quelque chose qui va devenir une nouvelle normalité" c est exactement ce que je critique. A bat le patriarcat pour le remplacer par une nouvelle norme. Le vrai message c est f.ck the norm !
J aimerai entendre l avis de personnes souffrant d'un handicap sur vos choix de vie, Marx.