Pourquoi Lidl et Aldi n'ont étrangement pas profité de l'inflation alimentaire PremiumContenu réservé aux abonnés
Contenu réservé aux abonnés
Les discounters allemands ont été balayés par Leclerc en 2023. L'inflation a été plus forte sur les marques de distributeur que sur les marques classiques.
Le phénomène surprend à première vue. Alors que les prix des produits de grande consommation ont enregistré une hausse de 20 % sur deux ans, les enseignes qui ont la réputation d'être les moins chères n'ont pas progressé.
La part de marché de celles qui ne veulent plus être appelées « hard discounters » et que les panélistes rangent dans la catégorie des « enseignes à dominante marques propres » n'a pas progressé l'an passé en France. Lidl, Aldi et consorts, qui vendent à 80 % des produits à leurs marques, stagnent au niveau des 13,2 % selon l'institut Circana.
Ce contenu est réservé aux abonnés Premium et Premium Entreprises