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Joe Flaherty, humoriste connu pour « SCTV » et « Freaks and Geeks », est mort

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Joe Flaherty
PAUL NATKIN / WIREIMAGE

Joe Flaherty a fait ses débuts à Second City et a également joué dans Happy Gilmore, Family Guy et Retour vers le futur II.

Joe Flaherty, surtout connu pour son travail dans les séries à sketches SCTV et Freaks and Geeks, est décédé. Il avait 82 ans. Sa fille, Gudrun, a confirmé sa mort dans un communiqué transmis au New York Times. Aucune cause exacte n’a été donnée, mais Gudrun a déclaré que son père était décédé le lundi 1er avril, après « une brève maladie ».

Elle poursuit : « Depuis, j’ai du mal à accepter cette immense perte. Papa était un homme extraordinaire, connu pour son cœur débordant et sa passion inébranlable pour les films des années 40 et 50. Sa vision de l’âge d’or du cinéma n’a pas seulement façonné sa vie professionnelle, elle a aussi été pour moi une source de fascination inépuisable. Ces derniers mois, alors qu’il était confronté à des problèmes de santé, nous avons eu la précieuse opportunité de regarder ensemble nombre de ces films classiques – des moments qui me seront toujours chers. »

En février, Martin Short, l’ancien partenaire de Flaherty dans la série SCTV, a partagé une note disant que l’acteur était « très malade » et « conscient de la gravité de son état de santé ». Martin Short a donc demandé à ses fans de faire un don pour couvrir les frais de soins afin que Flaherty puisse « passer le temps qu’il lui reste à la maison plutôt que dans un établissement ».

« Nous écrivons à nos amis parce que nous pensons que SCTV a compté pour vous, et ce ne serait pas le cas sans Joe Flaherty, avait déclaré M. Short à l’époque. Il était un mentor, un réalisateur et un improvisateur inspirant qui nous a donné de nombreux outils que nous utilisons encore dans les carrières qu’il a contribué à lancer. Et il nous a tous fait rire ! »

Après l’annonce de sa mort, Short a rendu hommage à son ami dans une déclaration à Rolling Stone, le qualifiant de « simplement l’homme le plus drôle de la pièce » : « En plus de 50 ans d’amitié, il y a eu très peu de personnes aussi sages et hilarantes que Joe en ce qui concerne la comédie, l’enseignement de l’improvisation et l’art de travailler avec des personnages. À SCTV, nous l’appelions le présentateur. Dans la vie, il était tout simplement l’homme le plus drôle de la pièce. Je l’adorais. »

Flaherty faisait partie de la distribution originale de SCTV et a participé à l’émission pendant les six saisons en tant qu’auteur et interprète. Bien que quelque peu éclipsée par Saturday Night Live (qui a débauché plusieurs membres de l’équipe de SCTV au fil des ans), la série a attiré un public dévoué et est devenue un classique de la comédie. Comme Flaherty, les acteurs étaient tous issus de la branche torontoise de la troupe Second City de Chicago, et nombre d’entre eux sont devenus de futures stars, notamment Short, Rick Moranis, John Candy, Eugene Levy, Andrea Martin, Catherine O’Hara et Harold Ramis.

« Nous n’avons jamais voulu être contemporains dans la série, nous n’avons jamais voulu faire des blagues sur le président, ni rien de tout cela, a déclaré M. Flaherty à propos de l’approche comique de SCTV lors d’une interview dans l’émission The Best Show With Tom Scharpling l’année dernière. Nous avons simplement fait des choses que nous trouvions drôles. Et c’était génial, parce que nous avions un groupe de personnes formidables. Je n’arrive pas à croire que c’est presque par hasard que nous avons réuni ce groupe. Ils étaient vraiment bons. »

 

Après SCTV, Flaherty a travaillé régulièrement en tant qu’acteur comique. Levy l’a fait participer à sa sitcom, Une Maison de fous, qui a été diffusée à la télévision canadienne pendant trois saisons au début des années 1990, et il a décroché des rôles d’invité dans des séries comme Mariés, deux enfants. En 1989, il a tenu un petit rôle mémorable, celui de l’homme de la Western Union à la fin de Retour vers le futur 2, tandis qu’en 1996, il a joué le fan fou dans Happy Gilmore qui essaie de déstabiliser le swing de golf d’Adam Sandler et, quand cela ne marche pas, de l’écraser avec sa voiture.

Mais en dehors de SCTV, Flaherty était probablement plus connu pour son rôle dans Freaks and Geeks, où il incarnait Harold Weir, le père de Lindsay (Linda Cardellini) et de Sam (John Francis Daley). Harold était l’un des personnages secondaires préférés de la série : son attitude acariâtre et sévère était souvent contrebalancée par sa gentillesse authentique et ses histoires farfelues sur des « amis » qui ont connu une mort atroce parce qu’ils s’étaient mal comportés.

Dans l’histoire orale de Freaks and Geeks publiée par Vanity Fair, Daley et Jason Segel ont parlé de leur admiration pour Flaherty et de ce qu’ils ont appris de lui dans la série. « La façon dont Sam est tellement amusé par son père est totalement due au fait que je pensais que Joe Flaherty était le type le plus drôle du monde », a déclaré Daley, tandis que Segel s’est souvenu : « Je me suis contenté de regarder et d’apprendre en jouant des scènes avec lui. Il est si rapide. Il y a beaucoup d’improvisation dans tout ce que nous faisons avec Judd [Apatow]. Quand on est jeune, on se dit : “Je ne sais pas si le vieux va pouvoir suivre.® Et puis on se dit : “Oh, merde, c’est lui qui a créé ce style”. »

Pour Flaherty, Freaks and Geeks avait quelque chose qui rappelait SCTV : une émission de télévision brillante qui n’avait tout simplement pas trouvé sa place dans les cotes d’écoute. « Je ne me suis jamais fait d’illusions. J’avais vécu quelque chose de similaire avec SCTV. Ma fille avait un poster de la première page du Soho Weekly News avec un croquis de moi qui disait : “SCTV est-elle trop bonne pour la télévision ?” et une fois de plus, je me suis dit que je vivais dans des séries qui étaient trop bonnes pour la télévision. »

Après Freaks and Geeks, Flaherty a continué à jouer la comédie et à faire des voix off, apparaissant dans des séries comme Frasier, Family Guy et The King of Queens. Il a ensuite fait partie du conseil consultatif de l’école de cinéma Harold Ramis à Second City, et a été artiste en résidence au Humber College de Toronto, où il a enseigné l’écriture comique.

 

Jon Blistein

Traduit par la rédaction

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Quentin Tarantino abandonne le film « The Movie Critic »

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Quentin Tarantino
JACOPO M. RAULE / GETTY IMAGES FOR BELLES RIVES GROUP

Quentin Tarantino ne réalisera pas le film « The Movie Critic », qui aurait dû être son dixième et dernier.

Quentin Tarantino ne réalisera pas The Movie Critic, le film qu’il avait déclaré être son dernier en tant que réalisateur.

Variety a confirmé mercredi que le réalisateur avait renoncé au projet, qui aurait été son dixième film, et a révélé que des sources ont indiqué qu’il ne réécrirait pas non plus le projet.

En février dernier, Brad Pitt aurait été pressenti pour le film (la collaboration aurait permis au duo acteur-réalisateur de se retrouver après avoir travaillé ensemble sur Inglorious Bastards en 2009 et Once Upon a Time … in Hollywood en 2019. Movie Critic se déroulerait en 1977 et suivrait un critique de cinéma qui rédige des critiques pour un magazine pornographique. (La rumeur veut que Pitt ait repris une version de son rôle de Cliff Booth dans Once Upon a Time, selon Variety).

À Cannes l’année dernière, Tarantino a refusé de répondre à des questions sur le film, mais a déclaré : « Je ne peux rien vous dire tant que vous n’avez pas vu le film. Je suis tenté de faire quelques monologues du personnage, mais je ne le ferai pas. Peut-être que s’il y avait moins de caméras… Il faudra attendre et voir. »

Variety avait également rapporté en septembre dernier que Tarantino avait obtenu une subvention de 20,2 millions de dollars de la Californie pour le film, identifié comme « #10 », en référence au 10e film du réalisateur.

« J’adore tourner en Californie, avait déclaré Tarantino à l’époque. J’ai commencé à réaliser des films ici et il est tout à fait normal que je tourne mon dernier film dans la capitale mondiale du cinéma. Il n’y a rien de tel que de tourner dans ma ville natale ; les équipes sont les meilleures avec lesquelles j’ai jamais travaillé et les lieux de tournage sont incroyables. Les producteurs et moi-même sommes ravis de tourner #10 à Los Angeles. »

On ne sait pas encore s’il utilisera la subvention pour un autre film.

 

Tomás Mier

Traduit par la rédaction

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L’armurière du film « Rust » condamnée à 18 mois de prison

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Hannah Gutierrez-Reed Rust
POOL / AFP VIA GETTY IMAGES

Hannah Gutierrez-Reed, armurière du film « Rust », a été reconnue coupable d’homicide involontaire après l’accident mortel sur le plateau.

Hannah Gutierrez-Reed, armurière de Rust, a été condamnée à 18 mois de prison après avoir été reconnue coupable d’homicide involontaire lors du décès accidentel par balle de la directrice de la photographie Halyna Hutchins.

Gutierrez-Reed a été reconnue coupable de l’accident survenu sur le plateau en mars et a été condamnée à rester dans le centre de détention pour adultes du comté de Santa Fe en attendant les résultats de son appel, qui a été rejeté par le juge. Elle encourait une peine maximale de 18 mois de prison, assortie d’une mise à l’épreuve et d’amendes.

En prononçant la peine maximale, comme le rapporte Variety , la juge Mary Marlowe Sommer a déclaré que Hannah Gutierrez-Reed n’avait manifesté aucun remords et qu’elle était en grande partie responsable de la mort de Hutchins.

« Vous seule avez transformé une arme sûre en une arme mortelle, a déclaré Mme Sommer. Sans vous, Mme Hutchins serait en vie, un mari aurait sa compagne et un petit garçon aurait sa mère. »

Un avocat de Gutierrez-Reed n’a pas répondu à une demande de commentaire.

Au terme d’un procès de dix jours, le jury a mis un peu plus de deux heures à rendre son verdict de culpabilité, bien qu’il ait acquitté Gutierrez-Reed d’une accusation distincte de falsification de preuves. La juge Mary Marlow Sommer a déclaré à l’époque : « Il s’agit d’un décès. Il s’agit d’une négligence criminelle, mais c’est quand même un décès. »

Dans une déclaration partagée avec Rolling Stone après la condamnation, l’avocat de Gutierrez-Reed, Jason Bowles, a déclaré à propos de la sentence à venir : « Nous sommes convaincus que la Cour prendra tout en considération, y compris toutes les preuves atténuantes, et rendra un jugement raisonnable et juste. »

Gutierrez-Reed est la deuxième personne à devoir répondre de l’accident survenu le 21 octobre 2021 sur le plateau de tournage de Rust, au cours duquel la directrice de la photographie a été tuée par le pistolet qu’utilisait l’acteur Alec Baldwin. L’assistant réalisateur du film, David Halls, a conclu un accord avec les procureurs, plaidant non coupable d’un délit de manipulation négligente d’une arme à feu.

Alec Baldwin, qui a plaidé non coupable d’homicide involontaire en janvier dernier, sera jugé à partir du 10 juillet. Baldwin avait déjà plaidé non coupable des mêmes chefs d’accusation en février 2023, et l’affaire avait été classée deux mois plus tard. Toutefois, après que de nouveaux procureurs ont de nouveau inculpé Baldwin en janvier dernier, ses avocats ont demandé l’abandon des poursuites en mars.

 

Daniel Kreps

Traduit par la rédaction

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Jackie Chan fête ses 70 ans

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Jackie Chan
VCG / GETTY IMAGES

Jackie Chan a profité de son anniversaire pour répondre aux inquiétudes des fans concernant sa santé.

Jackie Chan, qui vient de fêter son 70e anniversaire, a assuré à ses fans qu’il était en bonne santé après les inquiétudes soulevées par une photo de lui où il ressemble… à un homme de 70 ans.

Bien sûr, Chan n’est pas un septuagénaire comme les autres, et il a insisté sur le fait que les récentes photos, sur lesquelles il arborait des cheveux blanc et une barbe, étaient en fait destinées à un film à venir.

« Il n’y a pas si longtemps, beaucoup d’amis ont vu des photos récentes de moi sur Internet, et ils se sont tous inquiétés de ma santé, a écrit Chan sur Instagram. Je veux profiter de cette occasion pour dire à tout le monde, ne vous inquiétez pas ! C’est juste l’apparence d’un personnage pour mon dernier film… Au fil des ans, j’ai toujours été prêt à essayer de nouvelles choses pour un film, qu’il s’agisse d’une cascade difficile ou d’une apparence inédite pour un personnage. Cela fait 62 ans que je travaille dans le secteur du divertissement et je chéris chaque instant, car j’ai la chance d’être encore en tournage aujourd’hui. »

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par Jackie Chan 成龍 (@jackiechan)

Jackie Chan a partagé ce message rassurant le jour de son anniversaire, le dimanche 7 avril. L’acteur a déclaré que chaque rappel de cet anniversaire était un peu un choc, mais il s’est ensuite souvenu d’une chose que son collaborateur de longue date, Sammo Hung, lui avait dite un jour : « Pouvoir vieillir est une chance ».

Chan a ajouté : « En particulier pour nous, les cascadeurs, nous ne savons pas à quel point nous sommes chanceux de pouvoir vieillir. »

Le message de M. Chan était accompagné d’une série de photos d’archives. « Regarder ces photos me rappelle tellement de bons souvenirs. Tout ce que je peux dire, c’est que j’adore faire des films et que je vous aime tous. »

Il est possible que le rôle pour lequel Chan a dit qu’il devait paraître plus vieux soit celui du prochain film Karate Kid, annoncé l’année dernière. Chan et Ralph Macchio reviennent tous deux dans la franchise, Chan reprenant son rôle de M. Han dans le remake de 2010 (qui mettait en scène un jeune Jaden Smith), et Macchio jouant bien sûr Daniel LaRusso, le champion de karaté qu’il a d’abord incarné enfant dans les films originaux et qu’il a récemment repris à l’âge adulte dans la série télévisée Cobra Kai. Le film est attendu dans les salles de cinéma en décembre.

 

Jon Blistein

Traduit par la rédaction

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Paramount non coupable de violation de droits d’auteur pour « Top Gun : Maverick »

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Premier trailer pour "Top Gun Maverick"
Capture d'écran YouTube

La famille du journaliste dont un article de 1983 a inspiré le premier film Top Gun prévoit de faire appel de la décision.

Paramount a obtenu gain de cause devant les juridictions inférieures dans une affaire de violation des droits d’auteur concernant Top Gun : Maverick.

Dans une décision rendue vendredi 5 avril, un juge de district a rejeté l’action intentée par la famille d’Ehud Yonay, un journaliste dont l’article « Top Guns » publié en 1983 dans le magazine California a inspiré le film original de 1986. À l’époque, Paramount avait obtenu l’exclusivité des droits cinématographiques sur l’histoire et Yonay avait été crédité d’une mention « d’après une idée de ».

En 2018, six ans après la mort de Yonay, sa famille a commencé à essayer de récupérer les droits d’auteur de l’histoire. Les droits leur sont revenus en janvier 2020, et bien que Top Gun : Maverick soit entré en production en mai 2018, le procès initial affirmait que Paramount devait tout de même obtenir une nouvelle licence parce que la production n’était pas terminée avant mai 2021.

Mais le juge Percy Anderson du tribunal de district des États-Unis a finalement décidé qu’il n’y avait pas suffisamment de similitudes entre l’article original de Yonay et la suite pour justifier la revendication de droits d’auteur. Plus précisément, M. Anderson a estimé que l’intrigue et le rythme des deux œuvres étaient « largement dissemblables », tout comme les dialogues, les personnages et le cadre.

Dans la mesure où il y avait un certain chevauchement entre Top Gun : Maverick et l’article de Yonay, M. Anderson a jugé que ces détails spécifiques n’étaient pas protégés par la loi sur le droit d’auteur. Par exemple, il a déclaré que les thèmes des deux œuvres (« les liens qui se forment dans le service militaire », « l’amour pur et simple de l’aviation ») étaient des « thèmes de base non protégés ». Il ne peut y avoir de revendication de droit d’auteur sur les personnages, car les personnages de l’histoire originale de Yonay sont « des personnes réelles et ne sont donc pas protégés par la loi sur le droit d’auteur ».

Un porte-parole de Paramount Pictures a déclaré à Rolling Stone : « Nous sommes heureux que le tribunal ait reconnu que les revendications des plaignants n’étaient absolument pas fondées. »

Mais l’avocat des Yonay, Marc Toberoff, un juriste chevronné spécialisé dans les droits d’auteur, a déclaré que la famille avait l’intention de faire appel de la décision. « Les actions de Paramount sont beaucoup plus éloquentes que les paroles de son avocat, a-t-il déclaré. En 1983, peu après la publication dans le magazine California de l’histoire cinématographique d’Ehud Yonay intitulée “Top Guns”, Paramount s’est littéralement précipitée pour verrouiller les droits d’auteur de l’histoire, à l’exclusion de ceux des autres studios. … Et sans surprise, Yonay a été crédité sur le film dérivé qui en a résulté, Top Gun, donnant naissance à une franchise lucrative pour le studio. Pourtant, lorsque la veuve et le fils de Yonay ont exercé les droits que le Congrès leur avait accordés dans la loi sur les droits d’auteur pour récupérer l’histoire captivante de l’auteur, Paramount les a écartés d’un revers de main en s’exclamant : “Quel droit d’auteur ?”. »

Top Gun : Maverick a été un grand succès lorsqu’il est finalement sorti en salle en 2022 (la star Tom Cruise avait insisté pour que le studio retienne le film afin qu’il puisse sortir en salle après la pandémie). Malgré le procès intenté par les Yonay, le travail sur un éventuel troisième film aurait commencé, le coscénariste de Maverick Ehren Kruger travaillant sur un scénario et le réalisateur Joe Kosinski étant susceptible de revenir lui aussi.

 

Jon Blistein

Traduit par la rédaction

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Joker : Folie à deux : la bande annonce

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Joker Folie à deux bande annonce
Capture d'écran YouTube

Découvrez les images de Joker : Folie à deux, avec Joaquin Phoenix et Lady Gaga, aux cinéma le 4 octobre.

Joaquin Phoenix et Lady Gaga sont prêts à sombrer dans la folie (et à tomber follement amoureux) dans la nouvelle bande annonce de Joker : Folie à deux, dont la sortie au cinéma est prévue pour le 4 octobre.

La vidéo de deux minutes, sortie la nuit de mardi à mercredi, s’ouvre avec le Joker interprété par Joaquin Phoenix voyant Harley Quinn (interprétée par Lady Gaga) pour la première fois en parcourant le couloir d’une prison alors qu’on entend une version ralentie et inquiétante de « Pure Imagination » de Gene Wilder.

« Nous utilisons la musique pour nous reconstruire. Pour compenser les fêlures qui sont en nous » entend-on lors de la première rencontre entre les deux personnages principaux.

« Je ne suis personne. Contrairement à toi, je n’ai rien fait de ma vie » déclare-t-elle. La bande annonce montre ensuite les deux personnages se tenir la main, se faire poursuivre dans la rue, danser lors d’une soirée et jouer sur scène. On voit également Lady Gaga faire le maquillage typique du Joker.

« Je vais vous dire ce qui a changé : c’est que je ne suis plus seul » déclare Joaquin Phoenix. « C’est vraiment de ça qu’il faudrait qu’on parle ! »

La fin de la bande annonce montre Lady Gaga rendant visite à Joaquin Phoenix dans l’asile d’Arkham et dessiner un sourire avec son rouge à lèvres sur la vitre les séparant. « Je veux voir le vrai toi » lui dit-elle.

Il s’agit des premières véritables images de la suite tant attendue du film de Todd Philipps racontant l’origine du supervilain de l’univers de Batman. Avec Lady Gaga et Joaquin Phoenix, le film comprend dans sa distribution Zazie Beetz (reprenant le rôle qu’elle campait dans le film précédent), Brendan Gleeson, Catherine Keener, Steve Coogan, Jacob Lofland, Ken Leung et Harry Lawtey.

Comme la vidéo le laisse entrevoir, Joker : Folie à deux devrait s’apparenter à une comédie musicale. En mars, des insiders avaient dit à Variety que le film devrait comprendre 15 réinterprétations de « morceaux très connus » et que la compositrice Hildur Guðnadóttir « infuserait sa patte musicale distincte et mystérieuse » dans les titres. Il était également indiqué qu’un morceau original ou deux pourraient se retrouver dans le film, sans plus de précision.

Sorti en 2019, Joker est vite devenu un grand succès, dépassant le milliard de dollars au box-office mondial et se retrouvant nommé dans 11 catégories aux Oscars. Il en remporte finalement deux : Meilleur acteur pour Joaquin Phoenix et Meilleure bande originale pour Hildur Guðnadóttir.

Jon Blistein, Tomas Mier

Traduit par la rédaction

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