Mort d’Émile, enfer islamiste et polémique en macronie

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Les captives survivantes des « harems » de Daech : (de g. à dr.) Sarab Naif Issa, Chirine Khalef, Adiba Mourad, Souad Darwich Hamid, Rosita Haddji et Ashwak Haji Hamid.
Les captives survivantes des « harems » de Daech : (de g. à dr.) Sarab Naif Issa, Chirine Khalef, Adiba Mourad, Souad Darwich Hamid, Rosita Haddji et Ashwak Haji Hamid. © Lea Chassagne pour « Le Point »

Temps de lecture : 2 min

Une découverte, et encore beaucoup de questions. Samedi dernier, une randonneuse, habitante du Haut Vernet, retrouvait un crâne le long d'un chemin de basse montagne. Après analyse, il a été confirmé qu'il s'agissait bien de celui du petit Émile S., 2 ans et demi, disparu le 8 juillet 2023 en fin de journée alors qu'il se trouvait en vacances chez ses grands-parents, dans ce petit village des Alpes-de-Haute-Provence. Le « lieu de découverte », situé à environ vingt-cinq minutes à pied du Haut Vernet et que le procureur de la République d'Aix-en-Provence a décrit comme « difficile » et « escarpé », aurait cependant pu être rejoint à pied par le petit Émile. Dans la zone, bouclée, les enquêteurs ont aussi retrouvé certains vêtements que portait le garçonnet, éparpillés sur quelques dizaines de mètres : un tee-shirt, des chaussures et une culotte. Meurtre, homicide involontaire, chute… Si le procureur a indiqué que toutes les hypothèses restaient sur la table, plusieurs indices étayent la piste de l'accident.

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► ENFER. Dans un récit à couper le souffle, Kamel Daoud nous plonge dans l'enfer vécu par les femmes yézidies sous l'État islamique. Le romancier et essayiste a visionné un documentaire événement diffusé sur la chaîne Al-Arabiya, dans lequel ces femmes, violées, réduites en esclavage et déshumanisées, témoignent. Elles racontent l'horreur de leur captivité, mais aussi le rôle effrayant des femmes de terroristes. « Même si je risquais la mort en fuyant, pour moi la mort était une délivrance », a confié une survivante.

► SOUS-COMMISSION. Lui aurait mieux fait de ne pas prendre la parole. Depuis son passage chez Cyril Hanouna, le député Renaissance Quentin Bataillon est dans la tourmente. Il a irrité jusque dans son propre camp, après avoir déclaré sur le plateau de TPMP qu'il avait trouvé l'attitude de Yann Barthès « arrogante » lors de la commission d'enquête consacrée au renouvellement à venir de quinze fréquences de la TNT, qu'il préside. « Emmanuel Macron et Gabriel Attal étaient furax », indique-t-on à notre journaliste spécialiste des médias, Olivier Ubertalli. Invité de France Info jeudi matin, le député sorti de sa réserve s'est excusé du bout des lèvres, regrettant une « maladresse ».

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