Battu à mort à la maison d’arrêt de Brest : histoire d’une « descente aux enfers »

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Benjamin Pontis

Par Benjamin Pontis

Un homme « discret », « trop gentil », mais une personnalité très fragile avec une importante problématique addictive. La nuit du 23 août 2021, il avait été battu à mort par son codétenu à la maison d’arrêt de Brest pour une histoire de télévision allumée. Portrait.

Photo d’illustration.
Photo d’illustration. (Lionel Le Saux/Le Télégramme)

Pendant les deux jours du procès de Florian Jouan, un homme âgé de 27 ans jugé par la cour d’assises du Finistère pour le meurtre d’un codétenu, la famille et les proches de la victime, Paul (*), sont venus en nombre pour rendre hommage à leur fils, frère, ami. « C’est sûr, il n’a pas eu une vie facile suite au décès du papa », a notamment témoigné la maman. Un papa avec lequel la victime entretenait une relation très fusionnelle. Paul avait alors 13 ans et ne s’en remettra jamais malgré une famille aimante. Une longue « descente aux enfers », comme l’avait décrit l’un de ses proches, qui fût sans retour.

Un fils « trop gentil »

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