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François de Rugy prenait l’apéritif, place du Bouffay, à Nantes, quand une femme lui a jeté un paquet de farine au visage. Il a porté plainte.
Si la question de la démission du président de l’Assemblée, Richard Ferrand, se pose, elle n’est pas sans conséquence sur la vie parlementaire.
L’ex-ministre François de Rugy a déclaré lundi sur BFMTV avoir été victime d’une « vengeance personnelle » suivie d’un « lynchage médiatique », n’exprimant aucun regret sur le fond des affaires qui l’ont conduit à démissionner du gouvernement le 16 juillet.
Après que deux enquêtes – de l’Assemblée et du gouvernement – l’ont dédouané en partie des accusations de Mediapart, Français De Rugy a déjeuné avec le Premier ministre jeudi. Un retour au gouvernement serait-il à l’ordre du jour ?
Suite à une série de révélations de Mediapart, l’ancien ministre de l’Environnement François de Rugy a remis sa démission la semaine dernière. Il a été reçu ce mardi soir lors du journal télévisé de France 2.
Sur les 12 dîners mis en avant par Mediapart, trois sont épinglés par l’Assemblée nationale, qui propose à l’ancien ministre de les rembourser.
L’homme qui a dégradé le domicile de François de Rugy fait partie de la mouvance d’ultragauche et a été directement incarcéré.
Selon le rapport du secrétariat général du gouvernement, les travaux engagés dans le logement de fonction de François de Rugy n’ont rien d’anormaux.
La polémique sur les méthodes de Mediapart éclipse le nécessaire questionnement des promesses de l’État. Il faut revenir à l’essentiel.
« Les chiens », « République de la délation »… Les révélations de « Mediapart » sur François de Rugy ont exacerbé les critiques de certains politiques à l’égard du média créé par l’ex-journaliste du « Monde » Edwy Plenel. Plus étonnant, elles ont conduit certains éditorialistes à condamner ses méthodes. Alexis Lévrier, enseignant chercheur en histoire du journalisme, décrypte pour nous ce qui se joue dans la sphère médiatique au travers de l’affaire Rugy.
La ministre des Transports Élisabeth Borne a été nommée mardi soir ministre de la Transition écologique et solidaire en remplacement de François de Rugy, a annoncé l’Élysée.
Successeur de Nicolas Hulot à l’Ecologie en septembre, François de Rugy n’est plus ministre de la Transition écologique et solidaire. Dans la tourmente depuis des révélations de Mediapart, il a présenté sa démission ce mardi matin. Portrait.
Dans la tourmente depuis les révélations de Mediapart, il était attendu cet après-midi devant l’Assemblée nationale pour présenter le projet de loi énergie et climat, le ministre de la Transition écologique vient de présenter sa démission. Celle-ci a rapidement été acceptée.
«Déterminé» mais affaibli par des révélations de repas fastueux lorsqu’il présidait l’Assemblée, François de Rugy défend mardi au Sénat le projet de loi énergie et climat qui décrète «l’urgence climatique» mais laisse les organisations environnementales sur leur faim.
Le ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, François de Rugy est accusé d’avoir organisé des dîners luxueux n’ayant aucun lien avec sa fonction aux frais du contribuable lorsqu’il était président de l’Assemblée nationale. Emmanuel Macron s’est exprimé sur cette affaire.
« Je n’ai rien fait qui soit en dehors des clous », assure le ministre dans les colonnes du JDD.
Près de huit mois après le début de la mobilisation, quelques centaines de Gilets jaunes ont défilé dans les rues à Paris, mais aussi à Lille ou Bordeaux.
Le ministre de la Transition écologique a une nouvelle fois répondu vendredi soir au site d’investigation en ligne, cette fois sur les raisons qui lui ont permis de ne pas payer d’impôts en 2015 sur ses revenus de 2014.
Dans une interview à Ouest-France, Nicole Klein, limogée de son poste de directrice de cabinet après les révélations de Mediapart sur son HLM, accable François de Rugy.
Le ministre de la Transition écologique et solidaire, dans la tourmente après des révélations de Mediapart, aurait organisé un dîner avec un lobby de l’énergie, selon Ouest-France.
Dîners fastueux, travaux aux frais du contribuable, collaboratrice ayant indûment conservé son HLM… : plusieurs révélations publiées dans la presse embarrassent le ministre de la Transition écologique François de Rugy.
«Je suis très en colère», a déclaré vendredi le ministre de la Transition écologique François de Rugy, au centre d’une polémique sur des dîners fastueux dans son ministère et des travaux, ainsi qu’un logement près de Nantes.
Le délégué général de LREM, Stanislas Guerini, a estimé jeudi que la déontologue de l’Assemblée nationale devra se pencher sur les dîners organisés par François de Rugy lorsqu’il était président de la chambre basse du parlement.
Le ministre François de Rugy a demandé à sa directrice de cabinet Nicole Klein de quitter le cabinet.
Ce n’est pas tant la révélation de Médiapart, qui gêne, que la réaction du ministre, dénuée de toute autocritique.
Alors que François de Rugy a été épinglé par Mediapart pour des dîners fastueux, sa directrice de cabinet est accusée d’avoir bénéficié d’un HLM à Paris pendant des périodes où elle n’habitait plus dans la capitale.
Le ministre de la Transition écologique est sous le feu des critiques après les révélations par Mediapart de fastueuses réceptions à l’Hôtel de Lassay alors qu’il était président de l’Assemblée nationale.
Le ministre de la Transition écologique et solidaire s’est justifié après les révélations de Mediapart concernant des dîners organisés à l’Hôtel de Lassay.
Le ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie a multiplié les dîners lorsqu’il était président de l’Assemblée nationale. Problème, il semble que ces fastueux repas n’avaient aucun lien avec sa fonction. Le ministre assure au contraire que ces dépenses étaient « liées à l’exercice de sa fonction auprès de la société civile ».
Alors qu’il était interrogé sur une vidéo postée par le député de la France Insoumise, le ministre de la Transition Écologique et Solidaire François de Rugy a dérapé ce dimanche, en comparant le député de la France Insoumise à un « fasciste ».
François de Rugy a accusé sur Europe 1 Xavier Bertrand de « démagogie » sur le dossier de la hausse des prix de l’énergie, indiquant que le président des Hauts-de-France demande à l’État de baisser ses taxes et en même temps de financer le « projet pharaonique » du canal. Du « dédain », s’emporte Xavier Bertrand qui appelle Emmanuel Macron à éclaircir la position de l’État.
Dix-neuf collectivités, dont la Métropole européenne de Lille, font partie des lauréats de l’appel à projets relatif à l’instauration de zones à faibles émissions (ZFE). Un dispositif destiné à améliorer la qualité de l’air.
L’Autorité de la concurrence a prévenu que le calcul fixant la hausse des tarifs est erroné, les associations de consommateurs dénoncent une « hausse infondée et injuste », mais François de Rugy reste droit dans ses bottes annonçant, à nouveau, une hausse des tarifs réglementés de l’électricité « parce qu’on ne peut pas infiniment repousser les choses ».
Répondant à une question de la députée Laure de La Raudière, le ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie a expliqué qu’il était contraint d’augmenter les tarifs de l’électricité. Une hausse de 5,9 % qui devrait représenter 85 euros annuels
Les tarifs avaient été gelés pendant l’hiver. La hausse pourrait intervenir en juin, selon François de Rugy, et être de 5 ou 6 %
Dix pages d’argumentaire en réponse aux 2 millions de signatures de la pétition climat : le gouvernement a répondu vendredi à la « requête préalable » des ONG qui menacent de le poursuivre pour « inaction climatique », les laissant toutefois sur leur faim.
Brigitte Bardot et François de Rugy, ministre de la Transition écologique et solidaire sont en conflit ouvert depuis plusieurs jours. Pour se défendre, le ministre a évoqué à demi-mots les condamnations de pour incitation à la haine raciale, incompatibles selon lui avec la défense des animaux.
La taxe carbone, à l’originie du mouvement des Gilets jaunes cet automne, sera discutée lors du Grand débat national, a annoncé François de Rugy, le ministre de la Transition écologique et solidaire.
La rémunération de la présidente de la Commission nationale du débat public (CNDP) - 176 000 euros brut par an - fait polémique depuis lundi. Mardi, le ministre de la Transition écologique et solidaire l’a défendu.
Les insititutions ont été visées dans plusieurs villes de France dans le cadre de la quatrième journée de mobilisation des Gilets jaunes. Des personnalités politiques ont également été directement visées. C’est le cas de François de Rigy dont la maison a été taguée et de Jacqueline Dubois , députée de Dordogne, dont la voiture a été brûlée.
C’est la démission fracassante de Nicolas Hulot, numéro 3 du gouvernement dont il était le membre le plus populaire, qui a contraint l’exécutif à renouveler l’équipe. Le président de l’Assemblée François de Rugy lui succède tandis que l’ancienne nageuse Roxana Maracineanu a été nommée ministre des Sports, à la place de Laura Flessel, qui a annoncé son départ ce mardi matin.
Le gouvernement a décidé de suspendre l’examen de la révision constitutionnelle jusqu’à nouvel ordre, a annoncé dimanche la garde des Sceaux Nicole Belloubet, alors que l’Assemblée est paralysée depuis plusieurs jours par l’affaire Benalla.
François de Rugy se rendra en sous-préfecture, lundi. Accompagné d’une délégation de parlementaires, le président de l’Assemblée nationale sera présent pour aborder les négociations liées au Brexit.
François de Rugy a protesté hier contre l’embouteillage de textes et les semaines de « 80 heures »…
Entre le président de l’Assemblée nationale et son homologue du Sénat, la hache de guerre est-elle déterrée à propos de la réforme constitutionnelle à venir ? L’expression guerrière ne colle pas avec le tempérament des deux protagonistes, Gérard Larcher pour le Sénat et François de Rugy pour l’Assemblée, mais le ton est tout de même monté hier à l’occasion des vœux à la presse du titulaire du « perchoir ».
Les parlementaires élus le 18 juin ont peuplé l’Hémicycle pour la première fois hier. Les visages sont plus féminins. Les députés ont désigné un homme, François de Rugy à leur tête. Brigitte Bourguignon, élue du Pas-de-Calais, n’a pas convaincu ses collègues de la République en Marche.
Avec 424 députés débutants, l’Assemblée nationale et son nouveau président devront aussi renouveler les pratiques.
L’ex-écologiste François de Rugy est devenu mardi président de l’Assemblée nationale, après avoir été choisi dans la matinée par les députés de La République en marche, devançant très largement ses concurrents, dont la députée du Pas-de-Calais, Brigitte Bourguignon, désormais pressentie pour présider la commission des affaires sociales*. Il a décroché le perchoir avec 353 voix sur 547 bulletins exprimés.
L’essor de la République en Marche va bouleverser la composition de l’Assemblée nationale ce dimanche. L’effet instantané majeur, c’est qu’un nombre important de novices, en politique et dans des domaines spécifiques et pointus comme la Défense, vont débarquer dans les commissions. Au détriment, au moins dans un premier temps, de l’efficacité, de l’expertise et de la capacité d’influence ou de résistance ?
Député de Loire-Atlantique et soutien d’Emmanuel Macron , François de Rugy était l’invité ce lundi de Territoires d’Infos, la matinale de Sud Radio et Public Sénat présentée par Cyril Viguier, avec la presse quotidienne régionale. Selon lui, renouvellement et rassemblement guideront En Marche ! pour les législatives à venir.
Du social à la sécurité en passant par l’emploi ou les institutions, sans oublier les invités surprises du débat, nous avons choisi de passer au crible quelques thèmes sur lesquels les candidats à la primaire de la gauche s’opposent ou proposent des voies différentes.
Dans le Nord - Pas-de-Calais, comme partout d’ailleurs, c’est Manuel Valls qui dénombre le plus de soutiens de grands élus, et de très loin. À ce compte, Benoît Hamon est derrière et loin, quand la galaxie d’Arnaud Montebourg frôle, elle, le néant. Mais ce qui surprend le plus, c’est le nombre de « non engagés ». Avec cette question : cela pèsera-t-il dans les urnes ? Pas sûr…
Lors du troisième et dernier débat, ce jeudi soir, les candidats à la primaire de la gauche se sont échangé davantage de piques. Arnaud Montebourg a tenté de se distinguer. Le revenu universel a aussi été objet de nombreuses attaques. Mais aucun prétendant n’a créé la sensation trois jours avant le premier tour.
Dans le Montreuillois, neuf bureaux de vote accueilleront les électeurs dimanche 22 et 29 janvier pour les « primaires citoyennes de la belle alliance populaire ». Blandine Drain, responsable du Parti socialiste dans la quatrième circonscription, fait le point sur ce rendez-vous ouvert à tous.
Chaque jour, « La Voix du Nord » dresse le portrait d’un candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire. Classé parmi « les petits candidats » face aux mammouths médiatiques, François de Rugy l’écologiste tente de faire entendre sa voix. Et tous les médias sont bons pour « imprimer » ses idées, aujourd’hui… et demain.