Crèches : Cap Enfants résiste grâce à son modèle de « bulle musicale » Contenu réservé aux abonnés
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Le petit gestionnaire privé de crèches fondé en 2005 échappe à la pénurie de personnels grâce à son concept original.
Par Juliette Poulain
Quand elle fonde Cap Enfants en 2005 à Gennevilliers, dans les Hauts-de-Seine, Claudia Kespy-Yahi est loin d'imaginer que son modèle de crèches privées et musicales lui permettra un jour de résister. Aujourd'hui, le groupe indépendant possède huit crèches, soit 350 berceaux déployés uniquement en région parisienne, qui sont toutes équipées d'une « bulle musicale ». « C'est un équipement pédagogique que l'on a créé en 2007, qui ressemble à un igloo interactif dans lequel les enfants vont et sortent à leur guise en découvrant des univers à travers des sons, des images et des odeurs », détaille la dirigeante.
Avec ce concept, Cap Enfants a développé son réseau de crèches privées à proximité des bureaux de grandes entreprises comme Thales , Atos, Orange et Universal Music. « C'est un facteur d'attractivité pour les entreprises car le salarié sait que son enfant est à cinq minutes du bureau et pas à une heure de bouchon », souligne Claudia Kespy-Yahi.
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