Selon une étude, procrastiner pourrait bien avoir des effets négatifs sur votre santé physique et mentale comme un sentiment d’anxiété, des horaires de sommeil dégardés et même des douleurs physiques.
Une nouvelle étude publiée dans JAMA Network Open met en avant les effets très négatifs sur la santé de la procrastination, cette tendance à tout reporter au lendemain. D’après leurs résultats, les personnes qui procrastinent sont plus vulnérables au stress, à l’anxiété, à la dépression et à la privation de sommeil.
Dans leur étude, portant sur 3524 étudiants suédois, 2587 ont répondu au questionnaire de suivi neuf mois plus tard, où plusieurs résultats pour la santé ont été mesurés.
Résultat : "les personnes qui obtiennent un score plus élevé en matière de procrastination au départ… courent un plus grand risque de développer des problèmes physiques et psychologiques plus tard", révèle le co-auteur de l’étude, Alexander Rozental, dans ScienceNews. "Il existe une relation entre la procrastination à un moment donné et ces résultats négatifs à un moment ultérieur."