Elle a mis 50 ans à retrouver ses racines : « On ne devrait rien cacher à un enfant adopté »

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Par Nicolas Salles

Adoptée à 9 ans, il aura fallu 50 années d’enquête à Ginette Lavandier pour reconstituer les premières années de sa vie. Son obstination a payé : une partie de ses racines sont dans le Pays de Paimpol.

Ginette Lavandier a passé 50 ans de sa vie à rechercher ses origines et sa filiation biologique.
Ginette Lavandier a passé 50 ans de sa vie à rechercher ses origines et sa filiation biologique. (Le Télégramme/Nicolas Salles)

« On ne devrait jamais rien cacher à un enfant adopté sur son passé. Aucune question ne devrait rester sans réponse ! Les mensonges et les silences ne sont que douleur ». Les mains posées sur un épais dossier rouge qu’il lui aura fallu 50 ans pour constituer, Ginette Lavandier a le sourire. Et de l’espérance au fond des yeux. En 1971, à l’âge de dix ans, la petite Briochine, fille unique de deux parents aimants, s’est découverte « adoptée ». Et a commencé à « creuser ».

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