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Le cirque Hossa

Radio-Canada

S'il joue actuellement dans un marché imperméable à la pression, Marian Hossa se dit prêt à revenir dans un marché où le hockey est roi.

« Une ville comme Montréal ne m'effraie pas, j'ai déjà joué au Canada. »

Marian Hossa jouit peut-être d'un anonymat relatif à Atlanta, ville où le hockey n'enflamme pas vraiment les tribunes téléphoniques. Mais s'il doit changer d'adresse, il ne craint pas la pression.

À 24 heures de la date limite des transactions, les Thrashers sont à Montréal pour y affronter le Canadien, mardi. Plusieurs se plaisent à poser la question: dans quel uniforme Hossa disputera-t-il ce match?

Un joueur attendu

Le nom de l'attaquant slovaque a d'ailleurs été crié par des amateurs au Centre Bell, samedi, lors de la défaite de 3-0 du Tricolore contre les Blue Jackets. « J'en ai entendu parler, c'est très flatteur », a raconté Hossa.

Le Canadien n'est toutefois pas la seule équipe mentionnée dans les rumeurs au sujet de l'avenir du 18. Son ancienne équipe, les Sénateurs d'Ottawa, revient également dans les discussions.

La question qui tue: Montréal ou Ottawa?

« Ça serait plus facile à Ottawa, car je connais l'organisation et certains joueurs. Mais c'est à Don Waddell (le directeur général des Thrashers) de décider. »

Détendu

Sans doute un des joueurs les plus convoités en cette fin de saison, Hossa a le malheur d'être de passage à Toronto et à Montréal dans la semaine qui précède la date limite des transactions. « C'est assez différent d'Atlanta », a lancé Hossa à la blague, en parlant de la couverture médiatique.

Le grand frère de Marcel a d'ailleurs surpris par son état d'esprit plutôt détendu, malgré le zoo médiatique qui le suit depuis une semaine. Il s'est même permis une pointe d'humour au sujet de son agent, Ritch Winter.

Questionné à savoir si Winter a entrepris des négociations avec d'autres équipes, Hossa a déridé les journalistes. « Au salaire que je le paye, je ne doute pas qu'il fait son travail en ce moment! »

L'humeur de Hossa était d'ailleurs à l'image de celle de son équipe. Question de s'acclimater à la culture québécoise, les joueurs ont testé la poutine après leur entraînement de lundi...

Un qui n'entendait pas rire était Ilya Kovalchuk. Le Russe est bien conscient de l'ampleur que pourrait avoir la perte de son compagnon d'armes sur son équipe.

« J'aimerais mieux qu'il ne parte pas. En fait, je préférerais que l'on soit dans une position d'acheteur plutôt que de vendeur. Il est le genre de joueur que tu ne peux pas remplacer. Ça créerait tout un trou dans l'équipe. »

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