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Témoignage

Ma pire rando : «On nous a indiqué une cabane en bois… où nichaient des chauves-souris»

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En randonnée, il y a le marcheur qui anticipe le moindre pépin et celui qui part la fleur au fusil. Jusqu’au jour où la catastrophe arrive. Dans notre quatrième épisode, Louis, 26 ans, ingénieur en IA à Paris, se souvient d’une marche itinérante dans le Pays basque.
par Florian Bardou
publié le 11 avril 2024 à 8h11

Malgré l’expérience, une randonnée, mal préparée, peut virer au cauchemar et parfois au drame. Des randonneurs, néophytes ou chevronnés, racontent une balade qui a tourné à la catastrophe. Retrouvez nos conseils pour partir bien préparé.

«C’était il y a dix ou sept ans, on était parti avec notre bande de potes pour faire le tour du Pays basque en randonnée itinérante. On campait, on n’était pas des grands randonneurs, plutôt de bons petits Parisiens, et on avait trouvé une tente dans laquelle on pouvait dormir tous les six sur le Bon Coin, mais ce n’était pas vraiment une tente de camping : sans double revêtement, elle n’était pas imperméable, bancale, mais elle était grande. Ça a été notre principale erreur. On était aussi très chargés, donc des sacs super lourds. Ça a été un calvaire tout du long et aucune des marches n’a été agréable.

«On a d’abord dormi dans des campings municipaux, mais on voulait faire du camping sauvage. Donc, vers le milieu du voyage, au départ d’une étape du GR10 où on longeait la frontière espagnole, une de nos copines avait mal aux pieds et a pris un taxi pour rejoindre un gîte, un peu avant Bidarray (Pyrénées-

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