Nicolas Dupont-Aignan - Page 2

A trois semaines du premier tour, Jean-Luc Mélenchon espère rassembler des dizaines de milliers de personnes dimanche à Paris en soutien à une «VIe République».

La candidate à l’élection présidentielle était l’invitée de France Inter, ce matin.

Le président sortant présentera son projet de campagne ce jeudi lors d’une conférence de presse.

Le paysage politique pour les élections législatives se précise petit à petit. « Reconquête », le parti d’Éric Zemmour a choisi ses deux chefs de file : Sylvie Goddyn et Simon Flahaut. Ceux-ci brigueront l’investiture pour juin prochain.

Huit candidats sur douze seront invités sur TF1 lundi 14 mars au soir à l’occasion d’une émission spéciale consacrée à la France face à la guerre en Ukraine. La chaîne défend son choix de ne pas les avoir tous conviés.

Le Cambrésis n’échappe pas à la tendance nationale. Peu d’élus ont offert leur parrainage à un candidat potentiel à l’élection présidentielle. Comment l’expliquer ? Qui est plébiscité par les élus locaux ? Analyse et réactions.

Ce vendredi à 18 h, le Conseil constitutionnel a clos la course aux parrainages, étape décisive pour valider la liste des candidats à la présidentielle. Onze prétendants sont qualifiés. Mais un dernier pourrait s’inviter en dernière minute.

Eric Woerth, ancien ministre de Nicolas Sarkozy et président (LR) de la Commission des finances de l’Assemblée nationale, révèle au Parisien qu’il soutiendra Emmanuel Macron. La candidate LR Valerie Pecresse a demandé à ses soutiens de rester «  impassibles «  devant cette défection.

Le récap de la campagne présidentielle ce jeudi en deux minutes.

À moins de trois mois de l’élection présidentielle, Jean-Marie Allain a décidé de s’en remettre au hasard pour choisir le candidat auquel il donnera son parrainage. Un geste qu’il qualifie de « républicain » et de « démocratique ».

On apprenait vendredi soir la disparition de José Évrard, député de la 3e circonscription du Pas-de-Calais, à l’âge de 76 ans, des suites du Covid-19. Sa mort a été très relayée par les médias nationaux et commentée sur les réseaux sociaux. Pas tant pour évoquer le sinueux parcours politique d’un homme passé de l’extrême-gauche à l’extrême-droite, mais parce qu’il faisait partie des plus farouches opposants à l’obligation vaccinale... bien que lui-même vacciné.

Pour célébrer la présidence française de l’Union européenne, le drapeau européen a été installé sous l’Arc de Triomphe où flotte d’ordinaire le drapeau tricolore. « Outrée », une partie de la droite et de l’extrême droite n’a pas tardé à réagir.

L’ancien gardien de Saint-Etienne, désormais entraîneur de ceux de Valenciennes (Ligue 2), relaie sur les réseaux sociaux des argumentaires proches de la sphère complotiste sans provoquer de réaction de son club.

Des appels téléphoniques, mais surtout des e-mails. Depuis quelques semaines, les maires du Montreuillois sont sollicités à tout-va par les équipes de campagne des (futurs) candidats à la présidentielle en quête de parrainages. Certains réfléchissent, d’autres ne parraineront personne pour ne pas « politiser leur conseil ».

L’équipe de Nicolas Dupont-Aignan avait choisi la mairie d’Aubencheul-au-Bac comme point de chute, ce samedi, pour la course aux parrainages pour la présidentielle dans le Nord. Cinq maires ont participé à la rencontre.

Le président de Debout la France sera à Aubencheul-au-Bac ce samedi 20 novembre. Objectif : rencontrer de potentiels parrains et s’assurer du soutien des sympathisants.

La campagne électorale verra s’affronter classiquement des adversaires, mais aussi le camp du populisme et de la radicalité à celui du possible.

L’atomisation de la gauche et les divisions de la droite sont le résultat de leur incapacité à parler à leur électorat traditionnel.

Pour les élections départementales, une liste détonne dans le paysage flamand : celle d’André Demeester et Anne-Lise Perche. Les deux candidats Debout la France ne vivent pas sur le territoire. Pourtant, ils se défendent d’être parachutés.

La préfecture du Nord a officialisé la semaine dernière les listes déposées pour le premier tour des élections régionales, le 20 juin. Des listes dans lesquelles figurent des candidats issus de la couronne Nord-Ouest. Tour d’horizon des candidats, surprises ou non, issus du secteur.

Les candidats aux élections régionales des 20 et 27 juin avaient jusqu’au lundi 17 mai pour se faire connaître en préfecture. On fait le point sur les candidats du Douaisis présents sur les sept listes en lice à la faveur de quelques places et visages riches d’enseignements.

« Ma proposition, c’est de faire payer la somme de 5 € », par jour a fait savoir sur CNews le député LR des Alpes-Maritimes Éric Pauget.

Issu des rangs de la droite et élu depuis 2001 à Saint-Amand-les-Eaux, Éric Castelain figurera sur la liste du Rassemblement National menée par Sébastien Chenu pour les régionales. L’homme de 51 ans n’adhère pas pour autant au RN, il se dit, en outre, prêt à travailler au niveau communal avec Guillaume Florquin, conseiller municipal « bleu marine ».

François Dubout a été candidat aux régionales à trois reprises et a réussi une fois à se faire élire : en 2004 sur la liste FN menée par Carl Lang. Ce coup-ci, ce n’est pas François Dubout, mais Nénesse qui se présente.

Benoit Dolle, directeur de la Fondation Hopale, le groupe hospitalier, est aussi engagé en politique. Longtemps soutien de Debout La France, le parti de Nicolas Dupont-Aignan, il vient de le quitter. Il rejoint un nouveau parti qui soutiendra Marine Le Pen la Présidentielle.

De nombreuses publications partagées sur les réseaux sociaux présentent l’ivermectine comme un traitement éprouvé contre le Covid-19, voire un remède «miracle». Mais c’est trompeur...

Après les annonces d’Emmanuel Macron, les réactions n’ont pas tardé, sur Twitter. De nombreux internautes, dont un visage plutôt connu, font référence à une citation faussement attribuée à George Orwell.

Conseiller régional depuis dix ans, et élu local depuis vingt-cinq ans, Olivier Delbé a été élu maire de son village de cœur, qu’il n’a quitté que très temporairement en plus d’un demi-siècle.

Emmanuel Macron et Marine Le Pen totaliseraient chacun 28 % des intentions de vote au 1er tour de l’élection présidentielle, selon un sondage.

Ancienne élue d’opposition sous l’étiquette Rassemblement national, siégeant ensuite sous les couleurs du parti de Nicolas Dupont-Aignan Debout la France et désormais sans étiquette, Sylvie Goddyn renonce à se présenter une nouvelle fois aux élections municipales à Marcq-en-Barœul.

Si le groupe « En avant Roubaix ! » parvient à constituer une liste complète, Maël Camerlynck sera en pôle position. L’ancien délégué LR de Roubaix estime représenter la droite populaire dans cette élection municipale.

Le chef de file du mouvement souverainiste Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, a appelé lors de ses vœux à la presse, ce lundi à Paris, à l’organisation d’une primaire des candidats « républicains et patriotes » pour la présidentielle de 2022.

Julien Buisine, seul élu du Rassemblement national à Marcq-en-Barœul, a annoncé qu’il ne se présenterait pas aux prochaines municipales. Aucun autre membre du parti de Marine Le Pen ne se présentera dans la commune en mars 2020.

Rudy Elegeest s’était un peu avancé, lors du dernier conseil municipal, en laissant entendre qu’il ne pensait pas revoir son principal opposant après le 22 mars. En fait, Jérôme Garcia a attendu la fin de la trêve des confiseurs pour lancer officiellement son entrée en campagne.