Paris : une enseignante dépose plainte après avoir été menacée de mort par deux élèves
Les deux élèves mineurs auraient notamment proféré des menaces «explicites» et mimé des égorgements à l’encontre de leur professeur.
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Les deux élèves mineurs auraient notamment proféré des menaces «explicites» et mimé des égorgements à l’encontre de leur professeur.
Le suspect, interpellé vendredi, s'est avéré être sous curatelle. Il a été mis en examen pour «menaces de mort réitérées» dimanche alors qu’une expertise judiciaire doit suivre.
DÉCRYPTAGE - Le responsable d’une boutique à Strasbourg a été violemment accusé d’«islamophobie» après avoir refusé à une intérimaire de travailler au motif qu’elle portait un voile.
Le tribunal de Saint-Nazaire a condamné mardi un quadragénaire de Missillac, en Loire-Atlantique, qui menaçait automobilistes, mairie et riverains. «Nous avions tous peur que la situation finisse par dégénérer», évoque l’édile de la commune.
Interpellé jeudi, le jeune homme était soupçonné d'être à l'origine de menaces de mort envoyées sur les espaces numériques de travail de plusieurs lycées depuis le 20 mars.
INFO LE FIGARO - À Villeneuve-la-Garenne, une enseignante a été menacée de mort par une lycéenne. Cette dernière a depuis été exclue de l’établissement.
Il a reconnu avoir envoyé des mails dans lesquels il menaçait le proviseur et des enseignants de son établissement. Il conteste toute velléité de passage à l’acte et plaide la simple «paresse d'aller en cours».
Un rassemblement s’est tenu devant le lycée Maurice Ravel à l’appel de la fédération du parti socialiste de Paris. Une conférence de presse sur le thème des «atteintes à la laïcité» doit aussi être tenue par le principal syndicat des chefs d'établissements.
Il est soupçonné d’être à l’origine de menaces de mort envoyées sur les espaces numériques de travail de plusieurs lycées depuis le 20 mars.
L’ÉDITORIAL DU FIGARO - Les rapports officiels montrent l'effacement de la laïcité et des valeurs de la République à l'école comme la progression d'une violence endémique dans tous les établissements, dès le primaire.
CONTRE-POINT - Pour Gabriel Attal, le combat pour le respect de l’autorité à l’école et celui pour la défense de la laïcité républicaine contre l’islamisme sont les deux faces d’une même médaille.
L'ex-proviseur a justifié son départ en évoquant dans un courriel envoyé sur la messagerie interne sa «sécurité» et celle de «l'établissement».
Le chef d’établissement de la cité scolaire Maurice-Ravel avait été menacé après avoir demandé à une élève d’enlever son voile en février dernier. Le rectorat évoque pudiquement un «départ à la retraite anticipé».
INFO LE FIGARO - Le jeune garçon scolarisé en CE2 et ses parents ont été entendus par la police vendredi 22 mars. Son âge empêche toute poursuite, indique le parquet.
C’est sur le site de l’espace numérique de travail que les menaces ont été reçues. Les chefs d’établissement ont immédiatement contacté les forces de l’ordre.
Le chef d’établissement avait rappelé à trois élèves leur obligation de retirer leur voile au sein du lycée. L’une d’elles avait ignoré cette demande, provoquant une altercation. Des menaces de mort à l'encontre du proviseur avaient par la suite été proférées sur Internet.
Inscrit au traitement d'antécédents judiciaires mais inconnu des services de renseignement pour le moindre fait de radicalisation, cet homme de 31 ans a été hospitalisé en établissement psychiatrique.
Le jeune homme mis en cause a été placé sous contrôle judiciaire dans l'attente de son procès «pour provocation publique non suivie d'effet à commettre une atteinte volontaire à la vie», selon le ministère public.
RÉCIT - Depuis cinq ans, Arthur* reçoit des insultes antisémites et des menaces de mort d’un vieil «ami», qui l’a récemment poignardé en pleine rue sous les yeux de sa femme.
Interpellés jeudi, deux quadragénaires sont soupçonnés d’avoir menacé et volé un père et son fils pendant six ans. Les victimes présumées ont finalement sollicité l’intervention de la police.
FIGAROVOX/TRIBUNE - La principale-adjointe d’établissement et essayiste, Fatiha Boudjahlat, apporte son soutien au proviseur du lycée Maurice-Ravel, à Paris, menacé de mort après une altercation avec des élèves sur le port du voile. Et rappelle, qu’en France, «l’accusation d'islamophobie tue».
Les règles varient entre les établissements du secondaire et ceux de l’enseignement supérieur.
La ministre de l’Éducation nationale s’est rendue dans l’établissement du 20e arrondissement pour affirmer son soutien au chef d’établissement.
Ils se sont rassemblés ce lundi sur la place de la Sorbonne pour soutenir le proviseur du lycée Ravel, menacé de mort après avoir demandé à une élève d'ôter son voile.
Ce collégien est soupçonné d’avoir menacé de mort l’enseignante par téléphone, promettant notamment de la «découper» et de l’«égorger». Le jeune garçon est en cours de defèrement devant un juge des enfants.
Un quadragénaire poursuivi pour avoir menacé au téléphone une responsable de la communauté juive des…
Une plainte a été déposée par l’enseignante, qui soupçonne un élève exclu de son établissement de La Seyne-sur-Mer d’être à l’origine de l’appel. Une enquête a été ouverte par le parquet de Toulon pour l’identifier.
Un adolescent a proféré des menaces de mort à l’encontre de son professeur sur un réseau social. L’enseignant a porté plainte.
L’un des soldats du feu a reçu un coup de tête de la part d’une personne qu’elle était en train d’aider, tandis qu’un autre équipage a été menacé de mort par un ambulancier privé.
«Je vais n***** ta mère, je vais te crever mon ami», avait hurlé le prévenu au fonctionnaire, mercredi 7 février à Puget-sur-Argens (Var). Un couteau avait été retrouvé sur lui.
«Je vais te crever, je sais où tu vis», l'a menacé un homme qu’il avait auditionné quelques jours auparavant dans le cadre d’une affaire de trafic de drogues.
L’enseignant était professeur au sein de l’IUT de Saint-Malo. Il avait porté plainte à la suite de menaces reçues sur des courriers anonymes.
Un message menaçant de «crever» Alexandre Portier, le député de la 9e circonscription du Rhône, a été inscrit dans un passage souterrain de Villefranche-sur-Saône.
La série de mails malveillants, qui obligent les établissements scolaires à évacuer par précaution, se poursuit en Gironde.
Le Rectorat ainsi que l'établissement sont en «contact régulier» avec l'enseignant. Ce dernier souhaite tout de même retourner au lycée après les vacances de Noël.
L’individu a été arrêté jeudi en Seine-Saint-Denis et placé en détention provisoire. Il avait menacé Marie-Hélène Thoraval de «jongler avec sa tête».
RÉCIT - Pierre-Louis Brière a monté un comité de citoyens à Magny-les-Hameaux pour s’enquérir des contours d’un projet de centre musulman dans un quartier pavillonnaire, dont la mairie n’a pas informé les habitants.
Il avait pris fait et cause pour les terroristes du Hamas et insulté copieusement le maire de Nice dans deux vidéos publiées mi-octobre sur TikTok. Jugé lundi après-midi, le jeune homme a expliqué être «peace and love» et n’avoir cherché qu’à faire le buzz.
L’enseignant, qui officie dans cet établissement situé non loin de Versailles, a déposé plainte dimanche, dans la matinée. L'adolescent a été arrêté le jour même. Mercredi 20 décembre, celui-ci a été placé sous contrôle judiciaire.
L’élève se trouve actuellement dans le service psychiatrique de l’hôpital Pontchaillou de Rennes, où les médecins doivent déterminer si elle était consciente de ses actes ou non au moment des faits.
COMPTE-RENDU D’AUDIENCE - Le ministère public a estimé que le moment choisi par le prévenu, quelques heures après l’assassinat de Dominique Bernard, n’avait «rien d’anodin». Fayssal B. avait déjà proféré des menaces de mort, envers des policiers municipaux, en 2022.
À la suite d’un examen médical psychiatrique de l’élève, une ordonnance de placement provisoire a été prise par le parquet de Rennes confiant la mineure au Conseil départemental avec hospitalisation en milieu spécialisé.
Sur les dents depuis plusieurs jours, l’édile de Montoir-de-Bretagne a porté plainte pour la seconde fois, après avoir déjà reçu une volée de menaces en octobre.
En début de semaine, un professeur de français a été menacé de mort par un élève.
INFO LE FIGARO - Le frère aîné de Mohamed Lamine Aberouz est notamment suspecté d’avoir mimé un égorgement adressé à l’avocat de parties civiles, en octobre dernier. Une information judiciaire a été ouverte ce lundi.
Depuis plusieurs années, l’animateur et producteur s’est entouré de gardes du corps pour assurer sa sécurité. Mais, face aux nombreux messages sur les réseaux sociaux, il a augmenté le nombre d’agents pour ses déplacements.
RÉCIT - Au bord de la crise de nerfs, certains résidents dénoncent des vols, des menaces et des propos à caractère sexuel. Des plaintes ont été déposées.
Des menaces de morts ont été proférées dans les couloirs du lycée professionnel Alfred de Musset de Villeurbanne, en banlieue de Lyon, par des élèves de terminale à l’encontre de leur professeure principale après qu’elle a tenté de régler un différend intervenu hors de sa classe.
La mise en cause, connue pour des troubles psychiatriques, a été hospitalisée d’office. Une enquête a été ouverte pour «menaces de mort».
Interpellé par les policiers dimanche, l’individu incriminé a profité de son hospitalisation pour s’enfuir. Retrouvé, il a été placé à nouveau en garde à vue. Il devrait être jugé jeudi dans le cadre d’une comparution immédiate.
Les faits se sont déroulés à la station Bibliothèque François Mitterrand, ce mardi matin. Touchée à deux reprises à l'abdomen, elle a été opérée et est toujours en réanimation.
Un jeune de 18 ans au profil «très inquiétant» a été condamné mercredi 18 octobre par le tribunal correctionnel…
Les faits se sont produits au cours de la journée de lundi, marquée par un hommage dans les établissements à Dominique Bernard, tué vendredi dernier, et Samuel Paty, assassiné en 2020.
L’occupante du Perchoir avait déjà annoncé avoir porté plainte début 2023 après avoir reçu des lettres de menaces à caractère antisémite.
Le suspect de 19 ans, connu sous de multiples identités, a écopé de quatre ans de prison et d’une interdiction définitive du territoire français.
Depuis la rentrée, de nombreux établissements scolaires ont été évacués partout en France, en raison de menaces de ce type.
Le tribunal correctionnel de Paris a condamné lundi 18 septembre à quatre mois d'emprisonnement avec…
Début du mondial de rugby, sommet du G20, proviseur menacé de mort...Chaque jour, la rédaction Le Figaro Live vous partage les vidéos les plus marquantes pour suivre l'actualité en quelques clics seulement.
Les faits se sont produits au Pecq. Le calvaire de la victime, également menacée de mort, a duré plus de 4 heures.
L’ancien élève du lycée des Iris, à Lormont, a été jugé mercredi à Bordeaux pour avoir proféré des menaces de mort contre l’un de ses professeurs. Le parquet a requis quatre mois d’emprisonnement avec 18 mois de sursis.
Le 27 juin, Cédric B., 30 ans, avait envoyé ces menaces à la première ministre, en remplissant un formulaire sur le site internet de Matignon, en la menaçant notamment de l'«égorger» et de la «cramer dans une poubelle».
Âgé de 20 ans, l’homme a été interpellé puis hospitalisé sous contrainte en raison de son état psychiatrique.
Un père de famille, âgé de 37 ans, a été interpellé près de Bordeaux et déféré, samedi, après avoir insulté et menacé de mort sur Twitter l’avocat du policier mis en cause dans l’affaire Nahel.
Olivier Araujo, le maire de Charly a reçu une torche manuelle chez lui dimanche matin. Les gendarmes sont intervenus et une plainte a été déposée.
Le maire de Saint-Jacut-de-la-Mer, Jean-Luc Pithois, a porté plainte. Il pense que cette menace est liée au projet de départ de la commune de deux médecins.
Un Lyonnais de 36 ans a été arrêté dans la banlieue de Grenoble après avoir harcelé et menacé de mort son ex-petite amie. Il a été interpellé près du domicile de la fille de cette dernière.
Le gardien de la paix, âgé de 24 ans, a été frappé et menacé de mort par trois hommes toujours en fuite.
Des échauffourées ont éclaté devant l'école primaire Pierre Brossolette ce lundi après-midi, où des parents d'élèves ont été violemment pris à partie.
Le 29 mai, l'individu incriminé avait menacé de revenir avec un fusil d'assaut aux urgences psychiatriques d'où il avait été éconduit. Samedi, il a été interpellé alors qu'il se trouvait à nouveau à proximité de l'établissement de santé.