Aravind Srinivas, l'homme qui défie Google

Ce docteur en informatique de 29 ans a développé un service d’intelligence artificielle qui encourage le dialogue et liste la provenance de ses informations : Perplexity.ai.

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Aravind Srinivas, cofondateur et directeur général de Perplexity.ai, à Paris, au jardin des Tuileries, le 10 avril. Le scientifique veut promouvoir son propre modèle de recherche.
Aravind Srinivas, cofondateur et directeur général de Perplexity.ai, à Paris, au jardin des Tuileries, le 10 avril. Le scientifique veut promouvoir son propre modèle de recherche.
© Iannis G./Réa

Temps de lecture : 6 min

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C'est un simple robot conversationnel qui suscite la curiosité de Mark Zuckerberg, de Jeff Bezos ou encore de Jensen Huang, le créateur du champion des puces électroniques Nvidia. Son nom ? Perplexity.ai, une application accessible à tous et censée révolutionner notre approche de la connaissance.

C'est bien simple, si Perplexity.ai était un enfant, il tiendrait à la fois de ChatGPT – parce qu'il permet de converser avec une intelligence artificielle – et de Wikipédia – puisqu'il indique les sources des contenus qu'il utilise pour élaborer sa réponse. Car tel est le but que s'est fixé Aravind Srinivas, docteur en informatique né à Madras, en Inde, il y a vingt-neuf ans : réconcilier productivité et accès à la connaissance.

Le ton est donné dès notre inscription à ce service, qui ne promet...

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Commentaires (3)

  • homonoia

    Je suis tout à fait sensible aux sources... J'ai déploré que les systèmes puissent avoir une orientation mais elle ne me gène pas si je sais d'où, ou de qui viennent les infos.

  • Lean start-up

    Issu de la classe moyenne indienne, s'imposer aux Etats-Unis grâce à ses études, et ensuite célébrer les scientifiques français, , un exemple inspirant...

  • Ferula

    L'IA reste du renseignement fortement publicisé quand bien même il serait humanoïdé, voire intégré dans des nounours et des petits chiens de compagnie pour servir de doudous, sans parler des produits pour adultes. Mais Google et Wikipedia restent une référence fiable qu'il serait peut-être bon de rappeler compte-tenu de ce que les dites "révolutions" se vantent d'apporter.