ACADÉMIE DES SCIENCES.
SÉANCE DU MARDI 27 DÉCEMBRE 4910.
PRÉSIDENCE DE M. Émice PICARD.
MÉMOIRES ET COMMUNICATIONS
DES MEMBRES ET DES CORRESPONDANTS DE L'ACADÉMIE.
M. le Présgvr souhaite la bienvenue à S. E. M. Zsvolski, Ambassadeur
de Russie, qui assiste à la séance.
M. A. Lacroix s'exprime en ces termes :
J’ai l'honneur d’offrir à l’Académie la deuxième partie du Tome IV de ma
Minéralogie de la France et de ses Colontes, comprenant l’étude des phos-
phates, arséniates, vanadates, niobates, tantalates et celle des corps d'ori-
gine organique.
Ce Volume se termine par un supplément aux espèces décrites dans les
Tomes antérieurs; ce supplémentest surtout constitué par des documents
concernant les colonies françaises.
J'’achève ainsi la publication d’un Ouvrage entrepris il ÿ a 17 ans. Je
m'étais proposé un double but :
1° Exposer la façon dont je comprends l’étude des minéraux en donnant
une large place à l'observation de toutes leurs propriétés physiques et chi-
niques, mais aussi en recherchant d’une façon minutieuse leur rôle dans la
nature et notamment leurs conditions de gisement qui éclairent leur genèse.
J'ai considéré pour cela non seulement les seigneurs de grande importance
qui font l’ornement des collections et sont généralement à peu près seuls en
faveur auprès des minéralogistes, mais encore les. infiniment petits qui,
C. R., 1910, 2° Semestre. (T. 151, N° 26.) F5
1324 ACADÉMIE DES SCIENCES.
entrant dans la constitution des roches, ont véritablement une importance
capitale. |
> Faire le bilan des richesses minéralogiques du sol de la plus grande
France en montrant que ses Colonies, tout autant que la métropole, mé-
ritent mieux que la place minuscule qu’elles ont occupée jusqu'ici dans les
Traités spéciaux et en faisant voir qu'elles ne le cèdent en rien aux pays les
plus réputés au point de vue minéralogique.
J'ai accompli de mon mieux cette tâche et je me considérerais comme
largement payé de mon long labeur si ce Livre contribuait à stimuler
l'étude de l’histoire naturelle des minéraux, que je crois féconde.
M. J. Carrenrier présente à l'Académie le Chronophone de M. Gaumont,
appareil constitué par la réunion d’un cinématographe et d'un phono-
graphe parfaitement synchronisés, et destiné à produire les apparences
synthétiques de la vie.
M. Carpentier donne quelques explications sur la difficulté du problème;
il indique que de nombreuses tentatives ont été faites pour le résoudre et
signale les intéressants travaux que M. Gaumont a poursuivis pour atteindre
le but. FA l
Afin de faire l’Académie juge de l’état de la question, un écran de projec-
tion a été disposé au fond de la salle, devant la porte de la pièce où se
tiennent les séances ordinaires de l’Académie française. A un signal donné,
les appareils, dissimulés dans cette pièce, entrent en fonction, et l’on voit
apparaître sur l’écran l’image du D" d’Arsonval donnant lecture de la Note
suivante où sont résumées les explications de M. Carpentier :
Le cinématographe, pour nos yeux, enregistre le souvenir du mouve-
ment; le phonographe, pour nos oreilles, enregistre le souvenir de la
parole.
Réaliser l'alliance parfaite des deux instruments, c’est reconstituer le
souvenir de la vie même.
Le problème est ardu ; deux grosses difficultés en compliquent la solution.
D'abord, au moment de l'enregistrement, le phonographe récepteur ne
doit pas paraître dans le champ de l’objectif; il doit donc être éloigné de la
source sonore. Ensuite, au moment de la restitution, il doit y avoir un syn-
chronisme absolu de marche entre les deux mécanismes répétiteurs qui,
forcément, se trouvent à distance l’un de l’autre.
Contre ces difficultés, que de chercheurs, dans tous les pays, sont venus
? FT
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1325
briser leur ardeur et user leur patience! En France, cependant, un de nos
D RES depuis plus de dix années, s’est acharné à les combattre, et
il n’est pas exagéré de dire qu’il est bien près d’en avoir triomphé.
L’Académie des Sciences prendra certainement intérêt à constater, sans
sortir de chez elle, où en est aujourd’hui la question. Ces résultats acquis
doivent causer un sensible plaisir à notre confrère Carpentier, parce qu'ils
sont l’ouvrage d’un de sesélèves de prédilection, M. Gaumont, passé maître
aujourd’hui. M. Gaumont doit son succès à sa persévérance et au choix
qu'il a su faire de collaborateurs distingués et dévoués.
Je ne saurais entrer ici dans le détail des procédés mis en œuvre : les plus
importants ont fait l’objet, de la part de M. Gaumont, de ne cachetés qui
ont été déposés dans les archives de notre Académie.
Pour mettre en évidence la concordance complète qui Re entre le geste
et l'articulation, il vous suffit de regarder et d'écouter.
Je ne crois pas qu'il soit possible d’arriver à plus de précision. Sans
doute il reste encore quelque chose à faire. Le jour où le phonographe
reproduira sans altération les diverses valeurs phoniques, la vie intégrale
sera reconstituée.
Ce jour-là, point ne sera besoin pour nous de faire nous-mêmes nos com-
munications, nous pourrons les faire quoique morts. C’est alors que nous
serons véritablement immortels.
L'Académie constate que, si la reproduction de la voix laisse encore un
peu à désirer, le synchronisme du mouvement et des sons est parfaitement
réalisé.
ASTRONOMIE. — Théorie analytique et Tables du mouvement de Jupiter
par Le Verrier. Additions et rectifications. Note (!) de M. A. Gairror.
Les Tables de Jupiter construites par Le. Verrier représentent, avec une
exactitude satisfaisante, les observations faites de 1750 à 1869, observations
qui d’ailleurs avaient servi à déterminer les valeurs initiales des éléments
de l’orbite.
A partir de 1870, la comparaison des positions calculées aux positions
observées donne des écarts de plus en n plus considérables, variant d’ailleurs
(1) Recçue dans la séance du 12 décembre 1910.
1326 / ACADÉMIE DES SCIENCES.
avec la position de la planète dans son orbite et atteignant leurs plus grandes
valeurs au moment du passage au périhélie. | |
A quelle cause doit-on attribuer ces discordances? Probablement à ce
que, dans le calcul des perturbations dépendant des actions mutuelles de
Jupiter et de Saturne, Le Verrier n’a tenu compte que des termes du pre-
mier et du second ordre par rapport aux masses, considérant comme négli-
geable l'influence des termes d’ordre supérieur. |
Or, dans notre travail relatif à la rectification des Tables de Saturne (),
nous avons constaté qu’on ne peut arriver à une représentation satisfaisante
des observations de cette planète qu’en tenant compte au moins de l’in-
fluence des termes du troisième ordre, et il était tout naturel de supposer
qu'il en est de même pour Jupiter. |
Nous avons donc, comme nous l’avions fait pour Saturne, entrepris le
calcul à nouveau des perturbations des éléments de l'orbite de Jupiter, par
l'application de la méthode d’interpolation, en faisant usage des Tables pri-
mitives de Jupiter et de Saturne, et en tenant compte par conséquent des
perturbations du premier et du second ordre de ces deux planètes.
L'ensemble des résultats obtenus par cette nouvelle détermination se
compose, sans aucune omission possible, de la somme globale de tous les
termes du premier, du deuxième et du troisième ordre, et en outre des termes
d'ordre supérieur pouvant atteindre une valeur sensible.
En comparant ces résultats avec ceux qu'avaient fournis l’analyse, nous
avons trouvé d’assez grandes différences dans les coefficients de l'inégalité
à longue période, dont l’argument V est égal à cinq fois la longitude
moyenne de Saturne moins deux fois la longitude moyenne de Jupiter.
A l’époque 1850, par exemple, on a :
Longitude moyenne. ÔL — — 43,95 sinV — o, 36 cos V + 3, 10 sin2V — 0,39 cos2V
Excentricité.......: dE —— 0,89 + 0,0 — 0,37 — 0,11
Long. du périhélie.. 0.e05 —— 0,09 + 1,80 — 0,12 + 0,20
sans compter, pour les autres perturbations, un grand nombre de termes
correctifs relativement faibles dont la liste est trop étendue pour être
reproduite ici.
La comparaison des positions observées de Jupiter avec les positions
calculées en tenant compte de l’ensemble de ces termes correctifs et des
. rectifications des éléments de l'orbite, nous a donné les résultats présentés
Re 2
(*) Annales de l'Observatoire de Paris : Mémoires, t. XXIV, .
AP A os ah sttés li Red
mms po an rémpsthi tits het snnres tre
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1327
dans le Tableau suivant, qui donne en même temps les écarts correspondant
à l’emploi des Tables de Le Verrier :
Excès des positions calculées sur les positions observées.
(1. nterpolation. — À, Analyse.)
I. A, I, A. I.
1780-1754: 4. /pa,e —o;g 1848-1849.4: +oir Lr:9 1880........ +0,6
DATSTATSONE ae on lie. on !1 1860. 4x. ee rade bless Hé pya
1759-1761... +o,7 +1,2 ASE sauts 2e, HOplèmeO; 6 1882-1883... —o,1
1766-1770... —+o,9 +o,4 RE Te 0,9 —0,2 18840: 0e +0,9
1771-1774... +2,2 —o,9 1853-1854... +o,5 —71,4 188. ..+4.e0 +0,79
1777-1782... —+1,2 —1,2 RS RCE +o,1 —1,8 1890 27e 0,0
1783-1787... <+o0,9 <+o,4 1856. ..2. 7. —1,7 —1,8 1887........ —0, 1
1790-1793... +1,8 <+1,4 18575 350. —1,3 —0,5 1888... .... 0,0
1795-1798... +o,9 —+o,4 18087: dt —1,0 <+o,1 , 1889........ +0,7
1801-1805... —o,7 —+o,4 1859-1861... —1,9 —o,2 dan. +0,8
1806-1813... <+o,3 —o,2 1862-1863... —o,8 <+o,6 18917 ! +1,2
1815-.818... 0,0 <+2,1 1864........ 1m +1,0 1809 x. MIA 41,8
1820. 45 rue +1,4 +3,2 4865.44. —1,3 +2,0 RU ERA À +132"
14821-18293... —+o,4 —1,0 ASGH ALES. —2,2 +9,0 1894-1895 . .. +1,4
1824-1827... +o,3 —0o,9 1907.20. —1,7 —O0,1 18965, sacre HI, 1
1828-1830... —1,0 <+o,6 1868........ —0,5 —0o,2 1 he PER PRE +1,6
+530: Lenoir. —0,4 —2,0 18092. .2 —0,6 —1,0 Lo sara ES +0 ,8
1837.81 NU —0,2 —0,8 1899. ....... +0,7
1838448 1.5: —0,5 —o, 1870-1871... —o,6 —2,0 19002 D
1839 déni —0,9 —0, 1871-1872... +o,1 —o,8 CLONE EET + 1,4
1840. .:.. —1,0 : —1,6 TAN CR —0, —o, 4909220 1e +0,3
US PERTE HA ep, | AOTRCE Lee —0,1 —<+0,6 1908 ae! —0,Ù
1842 24 unes +0,90 —1,2 1410.41 —0,3 <+1,6 LL Eee À —0,9
dE MER —0,2. —1,3 18764 LINE ni tr 6 1905 21m Re
184. : 60 24h 0,2 —0, MOTIFS LL Hp, Ti 41,9 1906-1907... —1,3
1845..,...., —0,3 —0,4. 1878..-..., —2,2 —0,2
1846-1847... <+0,2 —+2,0 ATOME AUTE 6,10 .-+0,4
On remarquera que, de 1750 à 1869, les écarts sont à peu près du même
ordre de grandeur dans les deux séries, tandis que, de 1870 à 1907, ceux
qui correspondent aux résultats de l’interpolation, se maintenant dans les
Al
mêmes limites, sont tout à fait inférieurs à ceux qui correspondent aux
Tables primitives.
L'accord se prolongera+-il longtemps ? Il serait certainement téméraire
de répondre à cette question par une affirmative trop absolue.
Nous devons signaler toutefois un fait dont on peut déduire, sinon une
1328 | ACADÉMIE DES SCIENCES.
: " . à CL 0 . : e » : L ŒR) \ _
certitude absolue, au moins une indication favorable relativement à l’exac-
titude des résultats que nous avons obtenus. Ja résolution des équations
en'e F L à 1 1 -_
‘de condition nous a donné, pour la masse de Saturne, la valeur 5555 iden
tique à celle que M. H. Struve a conclue de l'observation des satellites de
cette planète par un procédé dont la supériorité est incontestable sur celui
qui a pour base la discussion des perturbations planétaires.
, Q ’ ’ : L Là « Eine ue
La valeur trouvée par Le Verrier, étant égale à, était généralement, .
considérée comme inadmissible.
2
CHIMIE PHYSIQUE. — Sur un procédé pour faire réagir deux corps
dans l'arc électrique. Note de M. Pau SABATIER.
Dans la séance du 5 décembre dernier (‘), M. Salmon a décrit un dispo-
sitif consistant « àifaire jaillir l'arc électrique entre deux électrodes percées
d’un canal suivant leur axe, tandis que le gaz arrive par l’un des canaux et
que les produits de la réaction s’échappent par l’autre ». Il indique comme
résultat nouveau obtenu au moyen de cet appareil la combinaison du car-
bone et de l’azote en cyanogène. |
J'emploie depuis plus de dix ans dans mon laboratoire un dispositif très
simple, tout à fait analogue, constitué par deux charbons creux, et que j'ai
réalisé en 1899 avec la collaboration de M. E. Roca (?). La seule différence
avec le dispositif de M. Salmon, est que le tube-enveloppe de quartz y est
remplacé par un verre de lampe cylindrique, protégé intérieurement contre
le rayonnement de l’arc par des toiles métalliques fines. À
Cet appareil réalise très facilement la synthèse de l’acétylène dans un
courant d'hydrogène, ainsi que celle du cyanure d’ammonium dans le gaz
ammoniac. Mais je dois ajouter que l’azote rigoureusement sec ne nous a
donné, avec des courants de go volts et 15 ampères, aucune formation ap-
préciable de cyanogène, tandis que l’acide cyanhydrique se produit nette-
ment, aussitôt que l’azote est un peu humide, ou bien mélangé d'hydrogène
ou d’un hydrocarbure.
RE Len APS RS ER PR 2 NOR RER Th RENTe
(1) Comptes rendus, 1. 151, p. 107.
(?) Association française pour l’Avancement des Sciences :Congrès de Boulogne,
t. 1; 1899, p. 220. )
teen à ne ne de dote dt fe
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1320
GÉOLOGIE. — Essat de coordination des niveaux de caïlloutis et des terrasses
du Bas-Dauphiné. Note (‘) de MM. W. KRurxax et M. Gicwoux.
L: Les terrasses de l'Isère en amont de Valence. — Le raccord entre les
terrasses de Valence et celles des environs de Saint-Marcellin est un pro-
blème des plus difficiles qui, se. pose nettement lorsqu'on rapporte sur un
profil longitudinal de la vallée toutes les terrasses visibles sur le terrain.
Nous nous contenterons d'indiquer ici la solution à laquelle nous avons été
amenés, en nous réservant de la justifier dans un travail plus étendu et dans
une suite de monographies locales.
1° La £errasse de Romans se prolonge jusqu’à Saint-Paul-les-Romans ;
puis elle constitue la petite terrasse supportant le village de Saint-Lattier et
dominant l'Isère de 30" à 35%; de là, par la gare de Saint-Hilaire-Saint-
Nazaire, Saint-Just-de-Claix, Yzeron, elle passe sur la feuille Grenoble (où
elle a été désignée par la notation a'°) jusque près de Rovon; elle se
raccorde probablement aux basses formations glaciaires des environs
d’'Yzeron et de Cognin, signalées par M. Hitzel ; mais elle est plus ancienne
que la moraine de Rovon, qui la ravine. Ses cailloutis, recouverts de
glaciaire, se continuent en amont de Tullins (Mangua, Plan-Menu) et
derrière Saint-Jean-de-Moirans.
Mais au sud de Saint-Lattier, deux autres terrasses viennent s’y raccorder :
A. Une terrasse inférieure qui, au sud de Saint-Hilaire, à la Plaine, est
encore peu individualisée; vers l’amont, elle devient plus nette et se
prolonge par Saint-Sauveur et l’Albenc : c’est l’a? de la feuille Grenoble
et nous l’appellerons cerrasse de l’Albenc; nous la Considérons comme une
terrasse probablement interstadiaire. |
B. Une terrasse supérieure : c’est la terrasse de Chantesse, aboutissant
aux mnoraines de la Guitardière, près Tullins.
Ainsi la différenciation de ces trois terrasses (a!°, a'% et Chantesse),
suriout prononcée vers l'amont, serait due à des phénomènes glaciaires,
cause agissant vers l’amont, tandis qu’au contraire vers l'aval le niveau de
base serait resté fixe et marqué par la terrasse de Romans.
2° La terrasse du séminaire de Valence se poursuit sans interruption
jusqu'aux environs de Romans, où elle constitue la terrasse des Bayanins.
C’est elle que nous retrouvons dans la terrasse de Saint-Marcellin (a'f de la
feuille Grenoble), laquelle se prolonge jusqu’au village de Saint-Hilaire,
(1) Reçue dans la séance du 5 décembre 1910.
1330 ACADÉMIE DES SCIENCES. LL
vers l'aval, tandis que vers l’amont elle se poursuit par Tèche j jusqu ’au-
dessus de Vinay et vient se raccorder aux beaux vallums morainiques de
Cumane (Décumane de la Carte), signalés par MM. Depéret et Kilian,
décrits et revus par M. Penck.
3° La terrasse de Foullouse se retrouve aux Reynauds, au-dessus de
Saint-Lattier, à 120" au-dessus de l'Isère; puis elle s'étend de Saint-
Hilaire à Chatte (terrasse du Pinée, 284"); un lambeau en est conservé au
château de Saint-Marcellin : c’est l’a!” de la feuille Grenoble, qui s'élève
rapidement au-dessus de Saint-Marcellin et de Vinay pour venir se rac-
corder à des moraines très élevées (cote 564"), très altérées et sans relief
topographique, qu’on peut observer au-dessus de l’Albenc, un peu au nord
de Bergeraudière et qui dominent de beaucoup les moraines plus récentes
de Cumane. [Une branche latérale de ce même complexe et des moraines
anciennes ont été signalées par l’un de nous au-dessus de Renage et de
Beaucroissant à à plus de 500" d'altitude; une moraine existe également au
sommet de Parménu (734%). ] | |
Mais, dans l’ensemble, il importe de remarquer que la continuation très
nette de plusieurs des plus basses des terrasses ci-dessus sous des dépôts
morainiques en amont de Vinay, dans les environs de Tullins et près de
Renage, constatée des 1894 par MM. Depéret et Kilian, puis par M. Kilian
en 1901, rend absolument nécessaire d'admettre que ces terrasses sont ex
partie interstadiaires et que leur partie haute ou superficielle seulement
correspond vers l'aval aux avancées glaciaires auxquelles les relient des
cônes de transition. Il est à remarquer également que l'identification des
terrasses par la méthode que nous venons d'employer montre nettement
que le seuil (alluvions interglaciaires préwürmiennes de Rives-Église) de
Rives a été franchi à plusieurs reprises par le glacier würmien, et que pen- l
dant les phases interstadiaires le front share s’est retiré de ce seuil en |
amont, d’une part vers le Nord (glacier de Saint-Étienne-de- -Crossey- |
Conblévie) et de l’autre dans le bassin de Moirans-Grenoble (glacier de
l'Isère). Cette conclusion est rendue nécessaire par les creusements qui | |
séparent ces différentes terrasses (würmiennes) et par le fait que /a plupart
d'entre elles se continuent (*) en amont des moraines frontales correspon-
dantes, sous une couverture glaciaire plus récente (récurrence postwür-
mienne de Rovon).
Il sera intéressant d'étudier avec plus de précision à ce point de vue les terrasses |
| . ve * : J
A ——————————_—_———— |] |
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(1) Bull. Serv. Carte géol., t. XI, n° 85, 1901-1902, p. 162.
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1331
des environs de Moirans et de Voiron, distinguées pour la première fois par l’un de
nous en 1897, puis étudiées par M. Hitzel, et enfin explorées récemment avec grand
soin, au point de vue morphologique, par M. Raoul Blanchard, La plus basse seule de
ces terrasses paraît postérieure à la récurrence postwürmienne. ;
Quant aux Terrasses du Royans, soigneusement étudiées par l’un de nous et explorées
également en partie par M. Hitzel et par M. Mermier, elles correspondent parfaite-
ment, par leur altitude, aux diverses terrasses de l'Isère que nous venons d'étudier, ên
tenant compte, pour certaines d’entre elles, de la distance qui les sépare du thalweg
principal. Elles sont constituées par les alluvions locales de la Bourne et de la Lyonne,
et, naturellement, ne correspondent en amont à aucune moraine : leur formation est
exclusivement due aux oscillations du niveau de base local que constituait pour elles
l'Isère quaternaire aux époques glaciaires et interglaciaires successives.
IL. Conclusions. — En résumé et si l’on fait abstraction, comme nous
l'avons indiqué au début d’une Note précédente, des plus hauts niveaux
de cailloutis (Pliocène et Deckenschotter, Calabrien et Sicilien), nous
sommes amenés à formuler les conclusions générales suivantes :
1° Les traces de la plus ancienne extension glaciaire nettement con-
servée dans la région se retrouvent à Faramans dans la Bièvre, au-dessus
de l’Albenc, et à Parménie dans l'Isère : les terrasses qui se détachent de
ces moraines Æussiennes (terrasses de Tourdan-Agnin et de Marcolin pour
la Bièvre, et du Pinée-Foullouze pour l'Isère) doivent être considérées
comme des « hautes terrasses » ; elles sont recouvertes de Loess dans leur
partie la plus voisine du Massif Central; |
2° Toutes les terrasses inférieures à ces dernières doivent être considérées
comme des « basses terrasses » : elles sont plus nombreuses dans l'Isère que
dans la Bièvre, car dans cette dernière région on ne retrouve que celles
correspondant aux époques où le glacier s'est avancé assez pour franchir le
seuil de Rives : les terrasses interstadiaires (‘) développées dans Ja vallée de
. l'Isère, aux environs de Tullins-Vinay, y manquent (?);
{1} Des Cônes de déjections de divers âges correspondent à plusieurs de ces
terrasses ; c’est ainsi qu’à l’est de Valence existent des cônes correspondant aux plus
anciennes ; à l’est d'Hostun et près de Chatuzanges, M. Hitzel a décrit des cônes de
déjections de l’âge de la terrasse de Foullouse; le cône de Saint-Pierre-de-Chérenne,
étudié par l’un de nous, est contemporain de la terrasse de Saint-Marcellin ; celui de
Cras correspond à la terrasse de l'Albenc; comme, plus en amont, à Chapareïllan, lun
de nous (W. K.) a décrit un cône de déjections postwürmien et antérieur à une plus
récente récurrence glaciaire. Il en est de mème des dépôts de £ufs qu'on peut éspérer
dater au moyen‘des térrasses auxquelles ils sont subordonnés [la Beaume d'Hostun,
la Sône, Rives, Saint-Quentin (d’après P. Lory), etc.)].
(2) Près de Valence, une terrasse plus basse encore (ville de Valence) correspond
C. R., 1910, »° Semestre. (T. 151, N° 26.) - 176
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1332 ACADÉMIE DES SCIENCES. :
. 3° Le Rhône quaternaire a servi constamment de niveau de base pour ces
diverses terrasses ; les variations de ce niveau de base sont donc probable-
ment dues à une cause plus générale agissant de l'aval.
La formation des terrasses de notre région parait ainsi être due à deux
causes : l’une provenant des oscillations glaciaires à l’amont, l’autre des
variations du niveau de base à l’aval. Et, si en général les maxima glaciaires
paraissent coïncider exactement avec des maxima d'altitude du niveau de
base, on ne saurait s’en étonner (!}, car toutes les surfaces topographiques
qui auraient pu prendre naissance pendant des périodes d’abaissement du
niveau de base sont évidemment sujettes à une destruction plus rapide au
moment de leur formation, et à un ennoyage par suite de l’alluvionnement
consécutif. Nous ne retrouvons donc plus, comme surfaces topographiques
nettement conservées, que celles ayant pris naissance pendant les périodes
où le niveau de base atteignait son altitude maximum (cela est vrai
d’ailleurs, non seulement pour les phénomènes fluvio-glaciaires, inais
pour toutes les autres modifications du modelé terrestre).
CORRESPONDANCE.
M. le SecréraiRe PerPéruEL annonce le décès de M. Armand Sabatier,
Correspondant de l’Académie pour la Section d'Anatomie et Zoologie.
M. le Ministre DE L’ENSTRUCTION PUBLIQUE invite l’Académie à élire un de
ses Membres qui devra remplacer, dans la deuxième Section de la Com-
mission technique de la Caisse des Recherches scientifiques, M. Maurice
Levy, décédé. |
M. M. Buzzoun prie l’Académie de vouloir bien le compter au nombre
des candidats à Ja place vacante, dans la Section de Physique, par le décès
de M. D. Gernez.
Sn
sans doute à la récurrence postwürmienne (stade de Rovon). Enfin à Saint-Gervais
et en amont, une terrasse postglaciaire peu élevée (a!/{) est postérieure au stade de
Rovon ; nous l’avions à tort confondue avec la précédente,
(!) L’un de nous, M. W. Kilian, a indiqué ( La Géographie, t. XIV, 1906, p. 273)
celte possibilité et montré qu'elle pouvait expliquer les faits d’observtion décrits par
M. Penck et attribués par ce savant aux seuls phénomènes glaciaires.
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1333
MM. Noëz Bernarp, Arno Perrocrro, E. Prrroxcrro adressent des
remerciments pourles distinctions que l’Académie a accordées à leurs
travaux,
M. le Secrérane PErpéruEL signale, parmi les pièces imprimées de la
Correspondance :
LS
1° Esqusse de la Géographie botanique de la Belgique, par Jeax Massarr.
2° Recueil d’OŒuvres de Léo Errera : Physiologie générale. Philosophie.
3° INSTITUT INTERNATIONAL D'AGRIGULTURE : Bulletin du Bureau des ren-
seignements agricoles et des maladies des plantes.
: Instructions météorologiques, par ALFRED ANGor. Cinquième édition.
° SERVICE GÉOGRAPHIQUE DE L'ARMÉE : Rapport sur les travaux exécutés
en ne
6° Pieridografia del sur de Mexico, par José N. Rovrrosa.
7° Étude géologique des Pyrénées de ver par Marius Dazzonr.
(Présenté par M. A. Lacroix.)
8° Éléments de morphologie des Noehtes par L. Viazreron. (Présenté
par M. Henneguy pour le concours du prix Serres de 1911.)
9° Les instructions anthropologiques de G. Cuvier pour le voyage du « Géo-
graphe » et du « Naturaliste » aux terres australes, par GrorGes Hervé.
(Présenté par M. Dastre.)
ASTRONOMIE PHYSIQUE. — Observations du Soleil faites à l'Observa-
totre de Lyon pendant le troisième trimestre de 1910. Note de
M. J. GuILLAUNE.
Le nombre des jours d'observation de ce trimestre est de 64, et il en
résulte Les principaux faits suivants :
Taches. — Le nombre des groupes de taches a continué de décroître légèrement
(22 au lieu de 25), tandis que l’aire totale tachée a augmenté d’un dixième par rap-
port à celle du précédent trimestre (1164 millionièmes au lieu de 1063).
Dans leur répartition entre les deux hémisphères, on compte le même nombre de
groupes au sud de Pre (17), et trois en moins au nord (5 au lieu de 8).
D'autre part, le Soleil s’est montré dépourvu de taches dans 13 des jours d’obser-
vation (21, 22, 23, 25, 26 juillet; 20, 21, 23, 24, 25, 26 août; 16 et 18 septembre),
d'où il résulte un nombre proportionnel de jours sans taches semblable à celui du
deuxième trimestre de cette année, soit 0,20.
Régions d'activité. — Les groupes de facules ont diminué d'environ un dixième,
1334 | ACADÉMIE DES SCIENCES. Me 2e )
tant en nombre qu’en étendue : on a, en effet, 58 groupes au lieu de 64. et 54,4 mil
lièmes au lieu de 59,1. | 16 | or Hong
En ce qui concerne leur répartition, de part et d'a autre de l'équateur, on a eux
groupes en plus au sud Go au lieu de 37) et huit en moins au nord (19 au lieu de 27).
TaBreau 1. — Taches.
Dates Nombre Pass. Lies moyennes Surfaces bates Nombre Pass. rer pps le Surfaces «
extrêmes d’obser- au mêr, ——— = Moyennes extrêmes d'obser- au mer. _ moyennes
d'observ. vations. central. S. N. réduites. d'ubserv. vations, central. .: el N. réduites.
Juillet 1910. — 0,21. Aoùt (suite).
1- 5 5 CS ES 18 30 L'o2710 + 5 5
1-19 10 6,3 + 8 248 13114 3 2193052819 | 25
Eos RTS È DE PRPET A PEPRTT PA
PS D 'TO + 9 4
LAON à FUMNIBS GT 2H LE Septembre. — 0,12.
27-28 D fou +17 8
27- 1 4 31,5 —10 18 30-10 8 5,8 —17 126
24 |. — 708 +1,33 7-12 5 Hyo jrs =yst 40
4 pe 21-22 2 NT Et ie * 3
Août. — 0,26. 21-27 Q®-1922,6 0 ri 42
22 69348 +1 2
: : Reed 9 dia vba ons ina X 223
27- 6 8 2,0 —S8 55 AY -. m 9
Sri 4 1 85 pris 11 re ke F Pa pr | Ée
CET I PE A EE TE 242 7 ÉNB DL En “chanf
16-19 MEMIONOEMETÉ 13 Lirii À os —11,7 +1
Tasceau Il. — Distribution des taches en latitude.
Sud. Nord. Surfaces
; A Totaux totales
1910. 30°. 40°, 30°. 20°. 10°. 0°. Somme. Somme. 0°. 10°. 20°, 30°. 40°. 90°, mensuels. - réduites.
June D robe Ch » I Fo 4 3 2 CE de » 7 345
AOÛT: ee af DR: à FRET 6 I ARTE" » 7 360
Sepréntbre CC EU SES 7 J Le SN 10 » 8 459
Totaux, 22 D Lo ALeTO 7 GE | 5 4 1 » _» » 22 1164
Tasceau IL. — Distribution des facules en latitude.
Sud, . Nord, Surfaces
A ——— mm - Totaux totales
1910. 90°. 40°. 30°. 20°, 10°. 0°. Somme, Somme. 0°. 107. © 20°, ” 20°, 10° 90! mensuels. réduites,
Juletee st VAR CO 14 10 DAS D. UN ue 24 19,3
Août. Fees Ce, 10. N'L BCE 14 4 DAS LUS ré 18 IE
Septembre... néon BHièa 11 5 QDIg EI so» 16 18,0
EX el GE ul ANT UT 39 19 rev as D à “TS 58 54,4
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1335
GÉOMÉTRIE INFINITÉSIMALE. — Sur les transformations des sur faces
applicables sur les surfaces du second degré. Note de M. Maurice SERVANT.
Considérons deux surfaces S et S, qui se correspondent par sphères tan-
gentes. Si r désigne le rayon de la sphère, on aura
LDC Lie TIC Te
Y+Hrc = yi+rc!,
3 + rc" = 3, + rc.
En différentiant et en faisant la somme des carrés, il vient de suite
E +7r'e +orD =E, +7r°e, +oarD,,
F+rf+orD'=EF;+7r°f, +orD:, S de?— e du? + 2 f du dv + gdv?.
G+rg+2rD'=G;+r?9;+o2rD!,
Ces équations sont équivalentes aux précédentes, à un dèplacement près.
Si les deux surfaces sont isothermiques et rapportées à leurs lignes de
courbure, les trois équations précédentes se réduisent à deux et l'élimination
der re une relation qui est précisément l'équation (3) de ma Com-
munication du 12 décembre. Il suffit de poser
lt De: r). D'—o(u— À), Hdi,
On a donc ainsi démontré que la transformation de M. Guichard donne
immédiatement la transformation par sphères tangentes des surfaces 1s0-
thermiques spéciales reliées aux déformées des quadriques. C’est la trans-
formation qu'a étudiée M. Bianchi en 1905 et qu'il a appelée transformation
de M. Darboux. Inversement il est facile de voir que l’on peut déduire d’un
couple de surfaces de M. Bianchi deux réseaux de M. Guichard sur une
certaine quadrique.
Considérons maintenant les deux surfaces isothermiques S et S, de
M. Bianchi et cherchons les réseaux M' et M;, applicables sur une même
quadrique et qui leur correspondent; on les obtiendra de la façon suivante :
Considérons les surfaces isothermiques S’ et S, correspondant à S et S
par la transformation de Bour; si l’on joint les centres de courbure corres-
poñdate des surfaces S et S’, on obtiendra le point M.
De même on obtiendra le point M en joignant les centres de courbure
correspondants des surfaces S, et 5’. Le droites qui joignent les centres de
3 courbure sont les tangentes aux réseaux cycliques. Il est facile de voir que
ces tangentes se coupent deux à deux. Pour cela il suffit de démontrer que
1336 = ACADÉMIE DES SCIENCES. | 7
les droites qui joignent les centres de courbure Po sa des surfaces Se
etS,,etS’etS sont parallèles. | TS
Soient R et R, les rayons de courbure TEA de s et s,, retr,
les rayons de courbure correspondants de S’et S,, on aura
T+p cm +p Ci
= = (o, p', rayons des sphères tangentes);
Z+peo=æ+p'e
on en tire de suite, en tenant compte des relations connues,
0x de Le Lou = de | :
du © ki Due du One hi
09 sdé dci d%.
CRE + (a RS + 5
: 9€ Core 2 dci dp"
Gt 65 Ne bg Mn
ce qui démontre le parallélisme des droites qui joignent les centres de cour-
bure dont les paramètres directeurs sont
T + Re— (x,+ Ricci),
+ rc—(2,+ rit).
On voit donc que les deux réseaux M et M’ sont tels que leurs tangentes
se coupent. Cette propriété appartient aux réseaux cycliques donnés par
M. Guichard en 1909,
La démonstration précédente s’applique sans modifications à tous systèmes
de surfaces S,S,,S’,S' tels queSetS’,S,,5 se correspondant par plans tan-
-gents parallèles et S, S, et S’,S; par sphères tangentes avec conservation
des lignes de PPANRE il existe une infinité de tels systèmes qui sont mis en
évidence d’une façon Entre par les formules données par M. Darboux
(Théorie des surfaces, ('iLE
ANALYSE MATHÉMATIQUE. — Sur les noyaux symétriques gauches
Note de M. T. Laresco, présentée par M. Émile Picard.
Lesnoyaux symétriques gauches, c’est-à-dire tels que
N(æ,y)=—N(y, x),
mets.
SÉANGE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1957
jouent, dans la théorie des équations différentielles linéaires d'ordre impair,
le même rôle que les noyäux symétriques dans la théorie des équations
différentielles linéaires d'ordre pair.
Relativement à ces noyaux, on peut établir les propriétés suivantes :
1° Les valeurs caractéristiques sont des imaginaires pures, car si l’on avait
pour une valeur caractéristique À, 7 — ,, une fonction fondamentale rela-
tive devrait être orthogonale à son imaginaire conjuguée.
2° Un noyau symétrique gauche a au moins deux valeurs caractéristiques,
comme cela résulte immédiatement de l'application du criterium pour la
non-existence des valeurs caractéristiques. Donc un noyau sans constante
caractéristique ne peut pas être symétrique gauche.
5° Les pôles du noyau résolvant sont simples, car à chaque solution fon-
damentale o(æ) correspond la solution fondamentale o(x) de l'équation
associée, et l’on a
fete do.
4° Si g(x) est une Jonction fondamentale, o(x) est la fonction fonda-
mentale associée. Il en résulte que les deux systèmes biorthogonaux du
noyau coïncident.
5o Tout noyau symétrique gauche ayant un nombre fini de valeurs
caractéristiques est nécessairement de la forme
n(æ)q(x) , pis)p(z) | | En(r)qn(æ) | qr(æ)gu(æ)
es —
1 Ân Às
ZI
car en extrayant d’un noyau symétrique gauche les parties caractéristiques
conjuguées, il reste un noyau aussi symétrique gauche.
6° Toute fonction f(x) de la forme
Je) = [ N(æ, s) hs) ds
est développable dans une série absolument et uniformément convergente
de fonctions fondamentales; la fonction 2 (x) et le noyau sont des fonctions
à carré intégrables.
7° Un noyau fermé a uneinfinité de valeurs rique.
Fe deux dernières propositions se démontrent aisément par une mé-
thode analogue à celle qu’on emploie pour le GARE symétrique; on utilise
pour cela l’inégalité de Bessel généralisée.
Citons comme exemple de noyau pRetrique gauche, le noyausinz(æ — y)
avec les valeurs caractéristiques + _ et lés fonctions fondamentales 67%,
1338 SCA DES SCIENCES.
LI
ANALYSE MATHÉMATIQUE. — Les formules de Frenet dans l’espace fonctionnel.
Note de M. G. Rowarewski, prpaeuf bp M. Émile Picard.
Les fonctions (*) dans l'intervalle (o, 1) foxment un ensemble aie
j'appelle ici l’espace fonctionnel (?) R,. Chaque fonction f(x) est pour
nous un point dans cet espace. Le vecteur joignant le point 9(x) au
point (æ) + f(x) est appelé le vecteur f (æ). |
L'intégrale
Gus IMOPOEETTE
est le produit intérieur des deux vecteurs f(x) et g(æ). Ils sont orthogo-
naux, si l’on a (f,g) = 0.
Un vecteur f(x), dont la norme ( f, f) est égale à r est nommé un axe
dans l'espace 11 “
Cela posé, considérons une courbe dans notre espace fonctionnel. Elle
est représentée par une fonction F(x, £) impliquant, outre la variable +, un
paramètre £. À chaque valeur de { répond un point de la courbe.
Pour une telle courbe il ÿ a un système accompagnant d’axes orthogo-
tout à fait analogue au trièdre accompagnant une courbe dans
l’espace ordinaire.
Pour ce système accompagnant, nous déduirons ici des formules qui ne
sont autre chose que « les formules de Frenet » dans l’espace fonctionnel R,..
Le vecteur qui va du point F(+,#) au point Er t+ h) s'exprime par la
série
!
F(æ, t) + Tite, éists Fi (2, 0) ue
où F, (æ, t) désigne la dérivée
dPF(x,t)
Fneiee OU
Nous nous limiterons au cas où les vecteurs
(2) . : F;(æ, t), F(æ,0), >
RER ———
(*) Pour plus de simplicité, on supposera toutes les fonctions, dans cette Note.
réelles et continues.
(*) On pourrait de même considérer un espace de fonctions de PUS VARRE®
Alors, dans la formule (1), on aurait une intégrale multiple.
(3) Nous dpposons valable le développement de Taylor.
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1339
attachés à un point (4) de la courbe, sont linéairement indépendants, de
sorte que les déterminants de Gram
CŒiFs) (Ris)
De-be der TS (F,F,) = F,F, dx
open EF) o
sont tous différents de zéro (p = 1, 2, ...).
Alors pour obtenir le système accompagnant d’axes orthogonaux, dont
nous avons parlé, on doit appliquer aux vecteurs (2) le procédé d’orthogo-
nalisation de M. Erhard Schmidt, c’est-à-dire qu'il faut déterminer les
coefficients a de telle sorte que
D, — a,,F;,
D, an Fi+ au2Fo,
D, au Fi+ ay PF + a33F3,
forment un système d’axes orthogonaux. On trouvera les expressions (‘)
a} diobs Ph a(RiFp)r +0 Fh
Aux M: Dove. s.
A Meur, Ph
Ego ie. CESP 2 TUutr
D
P
dont les dérivées par rapport à £ s'expriment de la manière suivante :
db, Dig.
dt 12 x
d® Doeb, VD, D
A D D ot ‘>
comme on le constate par un calcul fort simple.
Ce ne sont pas encore les formules de Frenet. Pour y arriver il faut
introduire l'élément d’arc de la courbe F(x, t).
ds? n’est autre chose que la norme du vecteur
F(æ, éeY=F(zr, t)=Fi(s, t)dt
qui va du point F(x, &) jusqu’au point F(x, t + dt). On a donc
Gr = (F;F;) he — D, at?
(:) Voir mon Livre sur les déterminants, p. 337.
C. R., 1910, 2° Semestre. (T. 151, N° 26.) gel
ACADÉMIE DES SCIENCES.
ds = VD dt. PTE ENT
Maintenant nous sommes en état d'écrire les formules de Frenet dans
l’espace fonctionnel : “4146
Nous avons posé
D, Dr I | Fe
VD x (pæ 5...)
PisPariPss =. - SONLAES rayons de courbure de la courbe F(x, t). ;
HYDRODYNAMIQUE. — Sur les équations du mouvement d’un fluide visqueux.
Note de M. L. Zorerri, présentée par M. P. Appell.
Dans une Note récente (Bulletin de la Société mathématique, 1910, p. 258)
j'ai ramené l'intégration des équations du mouvement d’un fluide, en le
supposant doué de viscosité, à la forme suivante : On détermine quatre
solutions I, £, n, € de l'équation
104
puis trois fonctions U, V, W telles que
AU , ov
0x Mr =
les vitesses w, », æ sont alors
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1341
o vérifiant l'équation de Laplace. Le problème peut encore être simplifié de
la façon suivante :
I. Soit june solution de l'équation (1). Posons
Lo fhenriof
Ti "dy Dee
nf
pe ne
of of
on voit aisément que ces trois fonctions vérifient la même équation (1). De
plus, on a
fin dfs pus 2e
dx dy * 0
Posons encore
AF=— f
ei
OF OF
Ü de dos FE
dF _dF
nr on
VE VOx © 97°
on voit de même qu'on a
PAU 222 PU AVAL f, D'AWE= fr, LITE
NS —
Nous aurons donc une solution du problème en prenant
1=o, fi fe fat.
En résumé, on a à intégrer les deux équations
(4) Laye Fe
l'on a pour U, V, W les expressions (3) et pour u, », w les expressions(2).
IT. Remarquons encore que, d’après les expressions (3), on a
F) OUR) DC EEE DRE
L = qu de + (ED + 9 97 + 20 !
1342 | ACADÉMIE DES SCIENCES.
Posons à 4 | toits tanfirr ç
0F oF Pre cor | |
LEFT CRE RE 3
Pour que A soit nul, il faut et il suffit qu’on ait
Ÿ AY $
(5) A6+3f+22 PRÉRT ne à
On en déduit que u, », w prennent les formes plus simples
00
een: Rs
DT.
br EL
2800 pie
dé ns À
f et 0 vérifiant les équations (4) et (5).
PHYSIQUE APPLIQUÉE. — Application du gyroscope et de l'air comprimé
à la prise des vues cinématographiques. Note de M. G. DE Proszynsxi,
présentée par M. Lippmann.
La stabilité est une condition essentielle du bon fonctionnement des
appareils photographiques, cinématographiques, des jumelles, lunettes, etc.
Quand on prend des vues photographiques instantanées à la main, la
pose doit être très courte, sans quoi l'impression de l’objet photographié
se déplace sur le cliché, surtout si les mains de l'opérateur sont quelque peu
fatiguées et occasionnent par cela mème le tremblement de l'appareil.
L'image qu’on obtient dans de pareils cas manque de netteté : elle est
floue.
Dans les jumelles, les lunettes, etc., la même cause empêche souvent de
voir distinctement les objets visés. Cet inconvénient est surtout sensible
dans les jumelles prismatiques dont les lentilles sont très éloignées l’une de
l’autre, alors que leur longueur, et par suite leur. moment d'inertie, sont
très réduits.
Ce qui vient d’être dit s'applique surtout aux appareils de prise de vues
cinématographiques. Les cinématographes actuels ont un grand défaut : ils
doivent être posés sur un trépied bien solide, circonstance qui limite la
LA
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1343
faculté de les utiliser dans de nombreux cas des plus intéressants. Il est
impossible, par” exemple, de prendre des vues passagères à limproviste,
ainsi que de suivre les mouvements dont la trajectoire est irrégulière et
souvent pleine d'i imprévu ; ainsi l'emploi du cinématographe pour les vues
non artificielles est très limité, et cependant ce sont des vues qui seules
peuvent intéresser la Science.
On a cherché à.obvier à cet inconvénient par l'emploi des mécanismes
permettant de tourner l’appareil sur le trépied. Ce procédé ne peut pas
donner la facilité et la précision de viser nécessaires dans la plupart des
cas, la facilité avec laquelle on se sert, par exemple, d’une jumelle en la
dirigeant sur un objet en mouvement ou d'un fusil en visant des oiseaux
en plein vol. Aussi faut-il le temps pour fixer l'appareil sur le pied.
En analysant les tremblements des appareils cités plus haut, on
distingue quatre mouvements différents :
° Les déplacements parallèles à eux-mêmes dans n'importe quel sens;
2° Les oscillations autour de l’axe optique de l'appareil ;
3° et 4° Des oscillations ayant leurs axes perpendiculaires à l’axe
optique.
Les premiers et seconds mouvements peuvent être considérés comme
nuls.
Ceci résulte de la proportionnalité suivante :
XP D;
. où X est le déplacement de l'impression, T le déplacement de l'appareil dans le sens
le plus préjudiciable, c’est-à-dire perpendiculaire à son axe optique; d, le foyer de
l'objectif et D la distance de l'objectif à l’image.
Étant donné que le dérnier terme, en cas de secousses très petites, n’est pas Consi-
dérable, et que d est toujours très petit par rapport à D, X ne peut être qu’une valeur
pratiquement nulle.
Pour obtenir une impression nette, il suffit d’écarter ou de réduire les
oscillations des deux dernières classes, ce qu'on obtient en appliquant un
gyroscope dont l’axe est parallèle à l'axe optique de Pappareil.
Il suffit de calculer les éléments du corps gyroscope et sa vitesse, en
prenant en considération, d’une part, la force approximative que peut
produire le tremblement de la main et la pesanteur de l'appareil, d'autre
part, le maximum admissible du déplacement de l'impression sur le cliché
(ou sur la rétine ) dans un temps déterminé.
C'est en me basant sur les principes sus-exposés que j'ai appliqué le
g yroscope à l’appareil de prise de vues cinématographiques.
|
À
:
à
j
1344 ACADÉMIE DES SCIENCES.
Il est cependant nécessaire de noter que le gyroscope n'amortit que les
secousses courtes et rapides, sans beaucoup empêcher les nouvements plus
lents, tels, par exemple, que ceux qu’on imprime à l’appareil en tournant la
manivelle, ce qui se produit généralement dans les appareils cinématogra-
phiques connus jusqu’à ce jour, dans le cas où le pied n’est pas assez
solide. Pour écarter cet inconvénient, il fallait construire un appareil
automatique comprenant un moteur à la fois léger et puissant et occupant
très peu de place, car il était déjà difficile de placer seuls le mécanisme
et la bande cinématographique dans l’espace réduit de l'appareil sans que
ces éléments soient trop serrés et difficiles à manier. C’est là le problème
que j'ai résolu en appliquant à mon appareil un moteur pneumatique
spécial qui réunit seul les conditions voulues, à l’exclusion de tous les autres
moyens par moi connus : les moteurs électriques, par exemple, où les
ressorts demanderaient des installations trop pesanteset trop encombrantes,
étant donné que pour donner des résultats pratiques, ces moteurs devraient
pouvoir dérouler 100-150" de la bande sensible (soit 5000-7500 vues) sans
s'arrêter et que chaque vue exige une dépense d'énergie relativement
considérable.
L'appareil que j’ai construit réalise pratiquement des problèmes sus-
mentionnés. Le réservoir d’air qu’il contient peut se recharger aisément à
l’aide d’une petite pompe à main.
PHYSIQUE. — Sur l'effet magnéto-opiique de sens positif présenté par les
bandes de phosphorescence du rubis et de l’émeraude et sur les relations
entre l'émission et l'absorption dans un champ magnétique. Note de
M. Jean Becquerez, présentée par M. H. Poincaré.
Au cours de mes recherches sur les propriétés optiques du rubis et de
l’émeraude et sur les relations entre les spectres d'absorption et de phos-
phorescence, j'ai été conduit à observer les modifications subies par les
bandes de ces cristaux dans un champ magnétique. L'étude de ces modifi-
cations a déjà été faite par MM. H. du Bois et Elias (!}, qui ont découvert
que les bandes de phosphorescence du rubis présentent l'effet Zeeman.
() Ann. d. Phys., 1. XXVIL, 1908, p. 233. Le Mémoire important des auteurs
conient la description d’un grand nombre de spectres. Ce Travail fait suite à mes
recherches et les phénomènes magnéto-optiques ont été étudiés suivant la voie que
'ésrée k
j'ai indiquée, en employant les cristaux et sels de térres rares et en faisant usage des
basses températures.
molle ne 6 02
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1345
Je me propose, dans la présente Note, d'ajouter quelques observations
et de discuter quelques questions fondamentales de magnéto-optique, sur
lesquelles mes expériences n’ont pas confirmé certaines des conclusions de
MM. du Bois et Elias.
Nous considérerons seulement le cas où le faisceau lumineux, le champ
magnétique et l’axe optique sont parallèles.
1° On sait que dans le rubis tout le groupe de bandes situé entre 69o4t et
705%+ est renversable, c'est-à-dire se retrouve dans le spectre d'absorption.
La décomposition magnétique rend encore plus étroite la relation qui existe
entre les bandes d'émission et d'absorption : chaque bande de phospho-
rescence subit tdentiquement la même modification magnétique que la bande
d'absorption qui occupe la même place, et l’état de polarisation circulaire
des composantes est le même. Sur ce dernier point, je me trouve en désac-
cord avec MM. du Bois ét Elias : d'après ces physiciens, pour les raies
691,8 et 605,2 du rubis, la polarisation circulaire serait totale dans le
cas de l’absorption, mais très incomplète dans le cas de la phosphorescence.
Une semblable différence aurait des conséquences théoriques d’une impor-
tance considérable, mais elle n’est pas réelle : {a polarisation circulaire est
totale pour la phosphorescence aussi bien que pour l'absorption.
2° Dans tous les cas où des mesures précises ont pu être faites, 1l a été
établi que le changement de période produit par un champ magnétique est
indépendant de la température. Suivant MM. du Bois et Elias, la bande
693,2 du rubis ferait exception et présenterait à basse température un
effet plus grand qu’à la température ordinaire.
D’après mes expériences, cette conclusion ne paraît aucunement fondée :
en effet la bande 693,2 se décompose en un triplet dissymétrique; une
composante médiane a occupe la même position dans les deux spectres qui
correspondent à des vibrations circulaires inverses, et deux autres compo-
santes b et c sont polarisées circulairement en des sens opposés. À une très
basse température ( — 190°), on sépare bien b et ce, et l’on mesure aisément
l'écart bc. Mais à la température ordinaire les composantes sont plus larges,
si bien que même dans un champ très intense b et c restent accolées à a.
Dès lors on ne peut plus évaluer l'écart bc; on peut seulement mesurer
l'écart plus faible ab — ac, ou alors estimer (sans précision d’ailleurs) le
déplacement des bords : mais ce déplacement est plus petit que le change-
ment de longueur d’onde du milieu, parce que les composantes sont moins
intenses que la bande primitive. |
J'ignore si l'effet Zeeman est toujours indépendant de la température,
1346 ACADÉMIE DES SCIENCES.
mais aujourd'hui on ne peut citer aucune sxcÉpON à cette régle d'invarta”
bilité.
3° [es bandes du rubis et de l'émeraude fournissent d'intéréssants
exemples de décompositions dissymétriques. Dans un champ de
25000 gauss, la bande 693“,2 du rubis se transforme, à — 190°, en un
triplet très dissymétrique. La bande médiane a n’occupe pas la: place de
la bande primitive; elle est déplacée de oW,02 vers les grandes longueurs
d'onde. Cette composante médiane a est mieux séparée de la composante b
du côté des longueurs d'onde décroissantes que de la troisième re és
sante c. Cette dernière est plus forte et plus floue que b.
Les bandes d'absorption (pas de phosphorescence) 474,6 et 476,3
du rubis ont une dissymétrie d’intensités très nette : la composante rejetée
vers les petites longueurs d’onde est la plus intense. On sait que ce genre
de dissymétrie est presque général aux basses températures et augmente
quand la température s’abaisse.
Avec l’émeraüde, on observe deux bandes renversables : l’une (679,4)
présente dans un champ de 25006 gauss un écart de o“*,08 entre les deux
composantes polarisées circulairement (sens positif), et manifeste une dis-
symétrie d’intensités, la composante du côté violet étant la plus intense.
L'autre bande (682,5) paraît constituée par un paquet de raies mal
séparées. Cet ensemble non résolu est sensible au champ (sens positif).
‘4° Il est important de noter que l'influence d’un champ magnétique n’a
été observée que sur des raies de phosphorescence renversables. À vrai dite,
cet effet n'est guère nouveau puisqu'il ne diffère pas du phénomène déjà
connu que présentent les bandes d'absorption. Un fait nouveau et impor-
tant serait l'observation de l'effet Zeeman pour des bandes de phosphores-
cence non qenversables, mais jusqu'à présent aucune de celles qui ont été
étudiées n’a manifesté le mbindre changement : telles sont, par exemple, les
raies des sels d’uranyle (‘). |
5° On remarquera enfin que toutes les bandes de NÉE sen-
sibles du rubis et de l’émeraude donnent un effet de sens positif, c’est-à-dire
de sens inverse du sens prévu pour des vibrations d'électrons négatifs.
: Le nombre des bandes observées n’est évidemment pas suffisant pour
Rte à une règle générale; mais cependant le fait mérite d’être noté.
Je ne reviendrai pas ici sur les interprétations, si discutées, de l’effet positif;
(*) Henri et Jean BecQUEREL et H. KAMERLINGH tas Sat de Ch. et de Phys.
t. XX, juin 1910. |
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doit
mn ne CÉ S dé
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1347
je dirai seulement qu’il est permis de supposer que l'émission de lumière
par phosphorescence est due, soit à des parties relativement grosses des
atomes métalliques (bandes insensibles), soit à des parties plus petites pos-
sédant une charge positive (effet positif) mises en mouvement par le retour
des électrons négatifs que la lumière excitatrice avait expulsés de leurs
positions d'équilibre. Je citerai à ce sujet l’opinion exprimée par M. Lenard
dans un important Mémoire (*) : | |
« Es müssen diejenigen Elektronen deren Schwingungen die Emission
des Phosphorescenzlichtes ergeben, nicht identisch sein mit den lichtelek-
trischen Elektronen derselben Metallatome.... Es kônnten die Emissions -
elektronen des Phosphorescenzlichtes mit grôberen Teilen (Dynamiden-
gruppen) des betreffenden Metallatoms verbunden sein, und mit diesen
als Ganzes schwingen. Es kônnten auch positive Elektronem sein. »
-PHYSIQUE. — Photométrie et utilisation des sources colorées. Note
de M. J. Taoverr, présentée par M. J. Violle.
Une mesure photométrique n’est réellement définie que si elle est faite
en éclairement unichrome. La comparaison des sources de couleurs diffé-
rentes exige donc en principe l’usage du spectrophotomètre. Mais on conçoit
que pour exprimer une valeur numérique de l'intensité totale à partir des
intensités monochromatiques, il est convenable, dans la sommation, d’af-
fecter chaque couleur d’un coefficient particulier; ce sera le coefficient
d'utilisation. loin
Parmi les divers phénomènes auxquels on peut s'adresser pour fixer une
valeur relative d'utilisation des différentes radiations, la vision distincte des
formes m'a paru le plus caractéristique pour l’application des sources lumi-
neuses à l'éclairage, et j'ai entrepris sur cette base la détermination d’une
loi d'utilisation des radiations de la lampe Carcel.
On emploie pour cela un spectroscope à réseau dans lequel l'oculaire est rein placé
par une fente conjuguée de la fente collimatrice; dans le champ qui apparaît uni-
chrome on place à distance de vision distincte une lame transparente portant des
caractères ou des dessins variés. Par quelque moyen approprié on gradue l’éclairement
de la fente collimatrice; par exemple, en la recouvrant d’un verre dépoli et réglant
l'éloignement de la lampe. Pour chaque éelairement fixé on détermine les longueurs
(1) P. Lenarv, Heidelberger Akad. d. Wissens, (11 décembre 1909).
C R., 1910, 2° Semestre. (T. 150, N° 26.) 178
1348 ACADÉMIE DES SCIENCES.
d'onde qui correspondent à la limite de vision distincte des caractères ou des dessins
placés dans le champ. On déduit ensuite des observations une courbe de l'utilisation
mesurée par l'inverse de l’éclairement correspondant à la limite de vision pour chaque
radiation; pour rendre les courbes comparables on les établit en prenant toujours
comme unité la valeur de l’utilisation maxima (ou éclairement minimum).
On peut croire que des observations de cette sorte sont difficiles et ne
doivent conduire qu’à des résultats très incertains. Cependant les détermi-
nations répétées dessinent des courbes dont l’allure paraît assez caracté-
risée pour en déduire une convention facilement applicable à la mesure des
intensités lumineuses.
Les observations faites avec la lampe Carcel peuvent se représenter par
une courbe d'utilisation unique dans les limites d’éclairement pratique, par
exemple jusqu’à un éclairement de la fente oculaire évalué sans dispersion
à 5o bougies à 1", l’utilisation correspondante restant alors inférieure
à 0,05 de la valeur maxima. Quelle que soit la forme des caractères ou des
dessins, quelle que soit leur grosseur, c’est-à-dire la grandeur de l’acuité
visuelle employée, on trouve dans ces limites d’éclairement des courbes qui
paraissent identiques.
La courbe unique d’utilisation de la lampe Carcel peut se réduire, avec
une approximation qui me paraît suffisante pour des appréciations aussi
subjectives, à deux droites symétriques par rapport à la longueur
d'onde 58o"*#, de sensibilité maxima; le coefficient angulaire de ces deux
- du A . , “ e be
droites + + peut être pris égal à 5, si l’on exprime les À en my. On n’a
ainsi il est vrai qu'une représentation moyenne et simplifiée; la courbe
exacte parait être en forme de cloche étalée vers les radiations extrêmes
pour les utilisations très faibles, de l’ordre du centième ou au-dessous.
Des observations analogues avec la lumière directe du Soleil et celle d’un
manchon Auer m'ont donné des courbes qui ont la même forme que celle
relative à la lampe Carcel; mais le maximum d'utilisation, axe de symétrie,
se trouve vers 565% dans le spectre solaire et vers 570"# dans le spectre du
manchon Auer,
La courbe qui traduit mes observations dans le spectre solaire est d’ail-
leurs très voisine, par sa forme et son emplacement dans l’échelle des
radiations, de celle qui représente les luminosités relatives des radiations
d’après Abney (Mascarr, Optique, t. LL, p. 199).
La qualité qui a servi à définir l’utilisation dans les expériences que je
viens de rapporter, et celle qui intervient dans les mesures de luminosité
relatives, d'Abney par exemple, sont essentiellement différentes de ce qu’on
ant as nues ons CR
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1349
peut appeler la sensibilité à la couleur. Voici à ce sujet quelques observa-
üons caractéristiques.
Dans un spectrographe à réseau on produit le spectre sur verre dépali avec interpo-
sition d’une échelle de teintes grises graduant l’éclairement suivant des proportions
connues; le spectre apparaît en forme d’échelons dont la longueur décroît avec l'éclai-
rement; en notant les longueurs d’onde limite de chaque échelon d’éclairement connu,
on peut établir une courbe de sensibilité à la couleur.
Ce phénomène n’a pas l'allure aussi nettement symétrique que la vision des formes
comme fait essentiel, malgré que les sources essayées, Soleil, manchon Auer, Carcel,
_ se différencient dans les éclairements moyens ou intenses par une variation de Ja pro-
portion relative du rouge et du bleu, la sensibilité maxima reste pour toutes ces sources
localisée vers la même région verte du spectre entre 53o"t et 5504,
La vision des couleurs caractérise donc les radiations tout autrement que
la vision des formes.
La simplicité particulière de la loi qui relie les longueurs d’onde à la
vision des formes, sa similitude avec celle qui traduit les bonnes mesures
de luminosités relatives des couleurs, suffisent à en justifier emploi pour
caractériser chaque radiation dans le calcul d’une intensité photométrique
totale.
PHYSICO-CHIMIE. — Principaux types de photolyse des composés organiques
par les rayons uliraviolets. Note de MM. Daniez Berrnezor et Henry
Gaupecuon, présentée par M. E. Jungfleisch.
Nous avons montré précédemment (Comptes rendus, t. 151, p. 478) que
la photolyse ou décomposition par la lumière apparaît, lorsqu’on a recours
aux rayons ultraviolets, comme un phénomène aussi général que la décom-
position par la chaleur, et fournit à la Chimie un procédé d'investigation
nouveau et précieux, les principales fonctions organiques présentant des
modes caractéristiques de décomposition gazeuse. Nous avons vérifié les
résultats précédents sur un grand nombre de corps de la série grasse.
Azcoozs. — La photolyse du groupement fonctionnel alcool! primatre
CH?OH est marquée par la prédominance du gaz hydrogène, associé à
loxyde de carbone et par l'absence d’ankydride carbonique. En plus, dans
les premiers termes des alcools gras, de type RCH*OH, on rencontre à
l'état gazeux les carbures R? provenant du doublement des radicaux R de
deux molécules voisines.
Pen Cr NE T0 ri
1350 ACADÉMIE DES SCIENCES.
Ces traits se retrouvent dans la photolyse des alcools supérieurs à chaine
linéaire liquides ou solides, propylique C*H”.OH, butylique C'H°.OH,
heptylique C'H'#.OH, éthalique C'H°*.OH, etc. Ainsi, pour les alcools
propylique, butylique et heptylique la proportion hydrogen est à peu
près la même et forme environ 70 pour 100 du gaz total; l’oxyde de
carbone, 10 à 20 pour 100; les carbures forméniques, le reste. Dans le cas
des alcools élevés, on ne retrouve plus dans le mélange gazeux les
carbures R?, qui sont liquides ou solubles dans l’alcool en excès.
Les alcools primaires à chaîne ramuüfiée (du type R.R' : CH.CH®.OH ou
de types analogues) ne donnent pas lieu, par le même processus simple, à des
carbures en R? ou RR'; leurs chaînons latéraux se rompent plus aisément
que les longues chaînes droites. Aussi ces composés engendrent-ils une
proportion plus forte de méthane et d’éthane : elle dépasse 35 pour 100
dans le cas de l'alcool isobutylique. La proportion relative d’hydrogène
et d’oxyde de carbone se trouve diminuée en conséquence.
= La même remarque s’applique aux alcools secondaires ou tertiaires, dont
la chaîne est toujours ramifiée. Ainsi, dans le cas du triméthylcarbinol et
du diméthyléthylcarbinol, on trouve un peu plus de 5o pour 100 de méthane
et de 4o pour 100 de méthane et d’éthane; quant à la proportion d’hy-
drogène, elle diminue de 70 à 45 et 4o pour 100, quand on passe du groupe-
ment alcool primaire CH?OH aux groupements moins riches en hydro-
gène : alcool secondaire CHOH et alcool tertiaire COH; la dose d’oxyde
de carbone reste de 10 à 20 pour 100. Pour tous ces alcools il y a
absence d’anhydride carbonique.
L’activité de la décomposition photolytique. se ralentit à mesure qu’on
avance dans une même série de corps à structure linéaire : les termésélevés
comme l’éthal donnent de 10 à 20 fois moins de gaz que les premiers
termes (éthylique, propylique, butylique). Cette remarque a un caractère
général et s'applique également aux aldéhydes et aux acides. |
Les chaines ramifiées se scindant plus aisément que les chaînes droites
pour donner les premiers termes des carbures saturés gazeux, il en résulte
que les alcools secondaires ou tertiaires dégagent plus de gaz que les alcools
primaires linéaires de même poids moléculaire. |
Parmi les alcools éthyléniques, nous avons étudié l'alcool allylique
CHF : CH. CH? OH. Le résultat est analogue : absence de CO?; gaz formé
de ? d'hydrogène et ! d'oxyde de carbone. Pas de carbure gazeux, sans
doute à cause de la propriété des carbures non saturés de se polymériser
par les rayons ultraviolets, à l’état liquide ou solide.
|
|
|
|
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1351-
AzDÉHYDES. — La photolyse du groupement aldéhyde primaire COH
est caractérisée par la prédominance du gaz oxyde de carbone ; il est accom-
pagné d’ hydrogène; on trouve aussi quelques centièmes d? St Hsdgle car-
bonique : ce qui répond au fait qu’au point de vue de l'oxydation, le stade
aldéhyde est intermédiaire entre le stade alcool et le stade acide.
Dans les mélanges gazeux dégagés par les premiers termes de la série
grasse RCOH, nous avons caractérisé les carbures R? provenant du dou-
blement des radicaux R ; avec les termes élevés de la série linéaire normale,
on ne retrouve plus de carbures R?, ces corps n'étant plus à l’état
gazeux. La proportion d'oxyde de carbone par rapport à l'hydrogène
augmente quand on avance dans la série : ainsi, avec l’aldéhyde œnanthy-
lique CH'° COH, le gaz dégage 93 pour 100 d’oxyde de carbone.
L’aldéhyde acrylique (acroléine), corps à fonction éthylénique
CH°? : CH.COH qui se polymérise spontanément en quelques jours sous
forme d’un solide jaune brun, commence à manifester cette condensation
au bout de quelques minutes, sous l’action des rayons ultraviolets; il
dégage un gaz formé de 80*°1C0 + 51CO? + 51H? + ro"! d’un carbure
éthylénique absorbable par le brome.
Le citral C° H'° COH, aldéh yde plus élevé à fonction ter dégage
g0o*1CO + roY°1H?.
La photolyse des aldéhydes secondaires (cétones) donne de l’oxyde de
carbone, comme celle des aldéhydes primaires, mais s’en distingue par
l'absence d'hydrogène. Le type de décomposition de l’acétone ordinaire,
qui se dédouble très rapidement en oxyde de carbone et éthane
CH:.CO.CH: — CO + C'Hô,
paraît se retrouver dans les cétones linéaires plus élevées, telles que la
méthylnonylcétone C!‘ H°? O (liquide) et le palmitone C°'H°?0O (solide),
mais les carbures formés étant liquides ou solides, le gaz dégagé, dont la
quantité est d’ailleurs très faible, est composé uniquement d'oxyde de
carbone. t
Par contre, la méthylhepténone CH'*O, cétone à chaîne ramifiée, donne
un gaz qui, à côté de ? d'oxyde dé carbone, renferme ; de méthane.
De même le Une C'eH #0; "cCetone à Fou complexe dont les
chaïnons latéraux portent des radicaux CH, donne un gaz formé de
d'oxyde de carbone et + de méthane.
Acnes. — La photolyse du groupement fonctionnel acide CO*H est
Dee -
1352 ACADÉMIE DES SCIENCES.
caractérisée par la prédominance de l'anhydride carbonique; 1l est accompa-
gné d'hydrogène et d'oxyde de carbone. Dans les premiers termes de la
série grasse normale R.CO*H, nous avons signalé des carbures en R?,
ainsi que du méthane. Ces traits se retrouvent dans les acides linéaires supé-
rieurs butyrique C* H*O*, heptylique C*H'*O*, caprylique C* H*0*,
caprique C'°H?%0O*, palmitique C'*H**O? et stéarique C** H**O*.
Comme précédemment, lorsqu'on avance dans la série, le dégagement
gazeux décroît, tandis que les carbures gazeux diminuent, puis disparais-
sent totalement. Ainsi la photolyse de l'acide stéarique dégage 51'"*CO*
avec 31"2CO et 18"H?; on ne trouve plus ici de carbure gazeux, ce qui :
montre bien que, contrairement à ce qui se passe dans l'électrolyse, les
longues chaînes droites ne tendent pas à se couper par la photolyse pour
donner des carbures plus simples; nous avons d’ailleurs vérifié directement
que les éthers de pétrole (pentane, hexane, etc.) sont stables et ne dégagent
pas de gaz sous l’action des rayons ultraviolets.
CHIMIE PHYSIQUE. — Sur les équilibres entre le bicarbonate de potassium
et le carbonate de magnésium trihydraté. Note de M. Nawry, transmise
par M. H. Le Chatelier. *
On a signalé quelques réactions chimiques réversibles qui seraient en
contradiction avec ce qu’on appelle, après M. Duhem, « la thermodyna-
mique classique ». On a cité, entre autres, la combinaison de CO*KH
avec le CO*Mg.3H°0 qui donne un carbonate double
COMg.COKH.4H20,
et la réaction inverse, à savoir la décomposition du carbonate double, qui
donne du CO*KH et du CO*Mg.3H?0. La limite des deux réactions se
détermine facilement par la quantité de CO*KH en solution à la fin de l’ex-
périence, c’est-à-dire par la composition (ou concentration) de la phase
liquide.
Engel a étudié ces deux réactions inverses (Ann. de Ch. et de Phys.,
6° série, t. VII, 1886) et a trouvé que les limites de combinaison et de
décomposition étaient distinctes; en d’autres termes, si l’on représente par
une courbe la variation de la composition de la phase finale de la phase
liquide en fonction de la température (la pression restant constante), il y
aurait deux branches de courbe dont chacune correspondrait à la concen-
PTT
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1353
tration d'équilibre à laquelle on arrive par l’une ou l’autre des deux réac-
lions inverses. |
J’ai repris l’étude de ces réactions inverses et mes recherches étaient déjà
commencées quand Buchner à publié un Mémoire (Zeëschrift für Electro-
chemie, 7 février 1908, p. 63) dans lequel il affirme que ces deux réactions.
inverses ont la même limite aux températures de 20° et de 30°. Mes résul-
tats concordent avec ceux de Buchner pour ces températures, et j'ai vérifié,
en outre, que les limites sont aussi confondues dans l'intervalle compris
entre +20° et o°, et cependant l’accroissement des résistances passives avec
l’abaissement de la température est plutôt propre à entraver la marche des
réactions et à empêcher l’établissement d’une limite commune d'équilibre.
Mes affirmations sont basées sur de nombreuses expériences dont certaines
ont été prolongées jusqu’à six mois. Cette longue durée a permis de constater
que ces réactions inverses convergent toujours vers une limite commune
pour une même température. On ne peut poursuivre cette étude au-dessous
de o°, car l’examen cryoscopique de ces solutions a montré qu’elles se soli-
difient entre o° et — 1°.
Je suis donc en droit de conclure de mes expériences que, du moins sous
la pression ordinaire, les deux réactions inverses étudiées par Engel abou-
tissent; pour une même température, non pas à deux états distincts
d'équilibre, comme l’avait annoncé ce savant, mais à un seul et même état
final d'équilibre. Je me réserve de rechercher si cette confusion des limites
se produit encore aux pressions différentes de la pression atmosphérique.
Mais déjà disparaît dans le domaine que j’at exploré, un fait qui avait paru
à certains en contradiction avec la règle des phases. Sur ce point je me
sépare complètement de Buchner qui dit, en effet, dans son Mémoire, que
l'existence de deux limites distinctes d'équilibre, signalée à tort par Engel,
eût été contraire à la règle des phases, car le système considéré est
‘bivariant. En pareil cas, la règle des phases nous apprend que la fixation de
la température et de la pression suffit à déterminer la composition de
chaque phase et, par conséquent, la composition de la phase liquide
parvenue à l’état final d'équilibre. Cela est vrai, mais il faut remarquer que
détermination ne veut pas dire détermination unique, comme paraît le:
croire Buchner avec d’autres auteurs. Il pourrait y avoir deux et plusieurs
déterminations, même une infinité, et cela serait en pleine conformité avec
la règle des phases. De même l’existence de deux limites distinctes, ee deux
compositions finales, n’eût pas suffit, si elle avait été confirmée par 1 expé-
rience, à autoriser sans autre examen cette conclusion que l’on était en
1354 ._ ACADÉMIE DES SCIENCES.
présence d’une dérogation à la règle des phases. Il eût fallu, pour légitimer
cette conclusion, une analyse plus minutieuse des faits observés, analyse
sur laquelle il n’y a pas lieu d’insister dans cette Note.
CHIMIE ANALYTIQUE. — Nouvelle réaction de la cupréine.
Note de M. GrorGEes DEnrGès.
La cupréine est aux alcaloïdes du groupe quino-cinchonique ce que la
morphine est au groupe morpholique, c’est-à-dire qu’elle en est le représen-
tant phénolé. Partant de là j'ai essayé de la traiter par le système: eau
oxygénée, ammoniaque et sel cuivrique, qui m’a servi à obtenir une nouvelle
et très caractéristique réaction de la morphine.
J'ai constaté que, conformément à mes prévisions et grâce certainement
à la présence de sa fonction phénolique (‘), la cupréine fournissait, par l’ad-
dition des réactifs sus-indiqués, une fort belle réaction colorée.
Pour la réaliser dans toute sa netteté, on met, dans un tube à essais, 10°
d’une solution de sulfate de cupréine à o, 2 pour 100 (?) ; on ajoute 1°* d’am-
moniaque, 1°% d’eau oxygénée [à 1° environ (*})], puis on agite et l’on
ajoute 0°",1 d’une solution de sulfate de cuivre à 3 ou 4 pour 100 de
sel cristallisé. Après une nouvelle agitation, il se développe bien vite une
belle teinte verte qui fonce peu à pen en louchissant et tenant en suspension
des corpuscules vert bleu, lesquels, au bout d’un certain temps, se déposent
d’ailleurs au fond du tube. Le mélange devient limpide en prenant une
superbe coloration vert émeraude si on l’additionne d’un égal volume
d’alcool ou si on l’acidule suffisamment avec de l'acide acétique ou chlorhy-
drique. L’addition d’un grand excès de ce dernier acide, comme du reste
d’acide sulfurique, fait passer la teinte au rouge jaunâtre.
On peut encore centrifuger le dépôt (*) et le dissoudre dans de l'alcool
a ——_—_——————_———
(") Les.autres corps du groupe cinchonique dans lesquels la fonction phénolique est
bloquée (quinine) ou inexistante (cinchonine) ne donnent pas, en effet, de réaction
avec le système H?0*, NH3 et SO‘ H?.
(?) On fait dissoudre, par exemple, of, 10 de sulfate de cupréine dans 5ot® d’eau, à
la faveur d'une ou de deux gouttes d'acide sulfurique, ce qui est très rapide, même à
froid, par simple agitation.
() Il est utile de ne pas dépasser sensiblement ce titre pour avoir le maximum de
sensibilité.
(*) Le produit vert, insoluble dans l’eau, semble encore de nature alcaloïdique : je
Ci hr 5 2,
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1355
ou dans un acide dilué pour avoir la solution verte caractéristique.
Dans l’une ou l’autre des façons de procéder, le liquide vert, clarifié,
présente une, bande d'absorption voisine de l’infra-rouge.
La réaction qui vient d’être décrite est très their elle est encore per-
cepüble à une dilution cent fois moindre que celle qui a été prise pour
exemple plus haut, c’est-à-dire avec une solution renfermant, par litre, 2°8
à 5 seulement de sulfate de cupréine ('), mais, à cette hidités elle n’est
appréciable que par comparaison avec un mélange de 10°" d’eau et d’eau
oxygénée, d'ammoniaque et de sulfate de cuivre pris aux mêmes doses que
dans l'essai ; en outre, elle ne se manifeste plus alors par un précipité,
mais Lion par une teinte verte faible qu tend à passer, peu à peu, vers
le jaune.
Elle est applicable aussi à la cupréine ou à ses sels sous forme solide
(parcelles en nature, résidus d’évaporation) en les humectant avec une
goutte du mélange suivant :
e ss . cm
Sulfate de cuivre à 3 ou 4 pour 100.........
AOL DTAQR Fine ons saone De ete dura à AL 5
Eau distillée
puis, après mélange, avec une gouttelette d’eau oxygénée, à un demi-volume
au plus. On peut, enfin, l'utiliser pour étudier la localisation de la cupréine
dans les plantes qui en renferment.
CHIMIE MINÉRALE. — Sur l’or brun. Note de M. Haxnior,
présentée par M. Armand Gautier.
Lorsqu'on Ass par l'acide il un alliage d’or et d'argent
renfermant environ + d’or, tel que ceux qu ’on prépare pour les essais d’or,
l'argent se dissout, el il reste un or spongieux, de couleur brunâtre et qui
possède des propriétés très particulières. Pour ne rien présumer sur sa
nature, nous le désignerons, vu sa couleur, sous le nom d’or brun.
Cet or ne peut être obtenu parfaitement pur; même quand on prolonge
propose de l'appeler, provisoirement, vert de cupréine. Il passe au rouge par l’addi-
tion d'un acide fort, concentré. Je compte en poursuivre l'étude.
(1) Avec les faibles concentrations, il sera nécessaire, pour 10% de solution de
cupréine, dé réduire la dose d’eau oxygénée à un demi-centimètre cube et celle du sel
de cuivre à une goutte.
C. R., 1910, 2° Semestre. (T. 151, N° 26.) 179
» FT nf
13506 ACADÉMIE DES SCIENCES.
fort, longtemps l’action de l'acide, il renferme encore une petite quantité
d'argent, et des traces d’autres métaux, notamment. du cuivre et du Bomb
delebiée au spectroscope. ai TEL
L'or brun, soigneusement lavé à l’eau jusqu’à ce que TRE soit eure
retient encore-une quantité notable d’acide azotique qu’il perd entre 175°et
200°. Si l'on continue à le chauffer, il change de couleur en subissant un
retrait considérable ; vers 900°, il dégage des gaz, et fond vers 1040° en
reprenant les propriétés de l'or ordinaire.
Dispositif exæpér' imental. — Pour évaluer cette rétraction, nous avons préparé des
lames d’alliages d’or et d’argent à différentes teneurs; nous y avons lracé des traits
parallèles dont nous avons mesuré exactement l’écartement, puis nous avons chauflé
les lames dans de l’acide nitrique à 22°, puis dans de l'acide à 32°, suivant la technique
ordinaire des essais d'or, mais en prolongeant l’action de l’acide jusqu’à ce qu ‘il ne
dissolve plus d’argent et que les lames ne subissent plus de changement de longueur
par une nouvelle ‘ébullition : on les lave alors avec soin, on les IT à 100° et on les”
mesure. | |
J'appelle retrait, le quotient de leur diminution de longueur par leur longueur
primitive; en appelant / et Z, les longueurs des lames avant et après l’action de l’acide,
le retrait sera donc exprimé par
| ie
TSX 100:
l
Ces lames sont alors chauffées à des températures croissantes et mesurées de temps à
autre. .
Elles étaient placées entre deux lames de quartz qui les empêchent de se déformer,
puis mises dans une caisse en terre réfractaire garnie d'amiante, Celle-ci à son tour
est placée, dans un moufle à gaz, muni d'un régulateur, et dont on élève progres-
sivement la température, Enfin, un pyromètre Le Chatelier, dont la soudure est en
contact avec la lame d’or, permet de suivre la marche de la température.
Sous l'influence de la chaleur, la lame subit un nouveau retrait considérable, puis-
qu’il peut a atteindre 44 pour 100 de la longueur, en même temps que la lame cesse
d'être friable et reprend la couleur jaune.
Nous étudierons séparément le retrait sous l'influence des acides et celui dû à
l’action de la chaleur.
Retrait pendant l'attaque par l'acide, — Le retrait pendant l’action de l'acide
nilrique peut atteindre 24 pour 100. Il est toujours le même pour des lames de compo-
siion identique, mais varie avec la nature de l'alliage employé. Celle-ci ne peus
osciller qu'entre des limites assez restreintes : les lames qui renferment plus de 3,5
d'argent pour 1 d'or se désagrègent et tombent en poudre par l’action de V'asidé
tandis que celles qui renferment moins de 2 parties d’argent pour 1 d’or sont très
incomplètement altaquées par l’acide et renferment alors une petite quantité d'argent
qui vient fausser les résullats comme nous le verrons plus loin.
Nous avons préparé deux séries de lames comprises entre ces limites de comMpO=
sition; voici les retraits qu’elles ont présentés. Nous metto
. d'argent que l’analyse a décelées dans ces lames :
SÉANGE DU 27 DÉCEMBRE 1910.
24 Retrait Teneur de l’or brun
5 Teneur de l’alliage dans l'acide. en argent.
& en argent pour 1 d’or. nn — A ——
E. DU PS ner des 24 53,7 ‘0,00007 0,00006
e. Fi ER DNA 20,7 19,2 0 ,0001 0,0001
4 mere Zn s 13,2 15,6 0,00037 0 ,00036
4 PÉTER CE EL CLEA 9,09 m2 0,000 0,0006
L = :
# RO Fe PO e NA 156 0,0107 O,OII
1 LOTS FM TL 0,9 0,4 0,020 0,0109
E Ainsi le retrait dans l’acide varie avec la composition de l’alliage initial ;
+ il est d’autant plus grand que celui-ci renferme plus d'argent. Les lames
qui nous ont fourni ces chiffres avaient été soigneusement recuites à deux
reprises : entre les deux laminages et avant leur passage à l’acide.
Si l’on néglige cette précaution, les résultats ci-dessus sont fortement
modifiés. Les nombres suivants se rapportent à des lames de mêmé com-
-position, traitées de la même facon, mais dont la première a subi deux
recuits, la deuxième n'ayant subi que le récuit final, tandis que la troi-
+ sième n’a été aucunement recuite :
Nombre Teneur de l'or
: Teneur de Retraits. en argent.
Ë en argent. recuits. D , a — —-
à } Re re D) 20,7 19,2 0,0001 0,0001
- £ SFA TE I FO 92 7 LS 0,00028 0,00037
‘4 FRANS (0) 5,8 5, :,0,003) 0,004
n: … Cette expérience intéressante montre l’importance considérable que le
recuit présente, non seulement dans le phénomène de la rétraction, mais
aussi dans la composition de la lame après attaque par l'acide; on voit qu’un
recuit négligé ou insuffisant peut fausser complètement les essais d’or.
CHIMIE ORGANIQUE. — Acrion de quelques éthers:sels sur le dérivé
monosodé du cyanure de benzyle. Note de M. F. Bonroux, pré-
sentée par M. Troost. | |
K- Dans une précédente Communication (Comptes rendus, 1. 151, p. 234)
E j'ai montré qu’en solution éthérée, sur le dérivé monosodé de cyanure de
. benzyle obtenu à l’aide de l’amidure de sodium, les éthers-sels des acides
ns en regard les quantités
1858 ‘ACADÉMIE DES SCIENCES.
gras monobasiques réagissent, en ps naissance aux composés de
formule À “b
CSH5 — CH — CN
UE
co
R
j
J'ai constaté pour les éthers-sels des acides aromatiques monobasiques et
des acides gras bibasiques une réaction analogue.
Le benzoate d’éthyle m'a fourni avec un rendement de 75 pour 100 > la
phényleyanacétophénone
Cs H°5— Le RATE CN
Hs # ;
“cristallisant, dans l’acide acétique étendu de la moitié de son volume d’eau,
en larges lamelles incolores fusibles sans décomposition à 93°-94°.
Walther et Schickler, qui antérieurement (*) ont obtenu ce composé,
avec un mauvais rendement, par une autre méthode, le nee D comme
fondant entre 87° et 90°.
Le carbonate d’éthyle m’a donné avec un rendement de 55 pour roo le
phényleyanacétate d’éthyle
A, REX COOC’Hi
C H5
L2
liquide incolore, distillant entre 163° et 165° sous 19%", d,, — 1,08.
: Par contre l’oxalate d’éthyle ne m'a fourni qu'avec un très faible rende-
ment le phénylcyanopyruvate d’éthyle d'Erlenmeyer (?)
CN — CH — CO — COOC’H:
CH
cristallisant dans l’acide acétique stendu en lamelles blanches fusibles
à 129°-130°.
Ce composé ne constitue qu’un produit accessoire de la réaction de
l’oxalate d’éthyle sur le cyanure de benzyle monosodé.
(1) ben pr. Ch. .; 2° série, t. LW, p. 53r.
(9,D. Ch. G., tt: XXII, p: rf83:
À
Pdf sb Gen HS SEE PRIE Pre 7 4 - é . €
LA
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1359
Les trois corps ci-dessus signalés sont solubles dans les lessives alcalines,
et les sels qui prennent ainsi naissance se décomposent, lentement à la
température ordinaire, rapidement à chaud, en régénérant le cyanure de
benzyle. La solution hydroalcoolique de ces dérivés cyanés est acide au
tournesol, et cette acidité est suffisante pour qu’on puisse les y doser, en
prèsence de phénolphtaléine, à l’aide d’une solution titrée de potasse ou de
soude.
CHIMIE ORGANIQUE. — Condensation du bromure d’acroléine avec
l'acide malonique. Note de M. Lespeau, présentée par M. A. Haller.
Le bromure d’acroléine en solution acétique réagit sur l’acide malonique ;
mais tandis que je pensais obtenir ainsi un acide éthylénique, jes suis arrivé
à l'acide saturé de formule |
CH?Br — CH Br — CHBr — CH?— CO?H,
résultant par conséquent de la fixation d’une molécule d'acide bromhydrique
sur le composé attendu.
Le bromure d’acroléine préparé par action directe à froid du brome sur l’acroléine
avait été lavé avec de l’eau additionnée de carbonate de sodium, puis distillé sous
pressior réduite. Néanmoins, pas plus que les chimistes qui ont déjà entrepris cette
purification, je n’ai pu obtenir un bromure bouillant à une température constante et
ne renfermant pas d'acide bromhydrique dissous.
Un mélange de ce bromure, d'acide acétique et d’acide malonique, étant porté! au
bain-marie à 70°, devient le siège d'un dégagement gazeux par suite d’un départ simul-
tané d’anhydride carbonique et d’acide bromhydrique. La quantité d'hydracide recueil-
lie ainsi est bien supérieure à celle qui se trouvait dissoute dans le bromure d’acroléine
employé.
Après une dizaine PER de chauffe, on agite le magma obtenu avec de l’eau et de
l'éther; l’évaporation du solvant organique fournit l'acide tribromovalérique cristallisé.
‘
L'acide tribromo-3.4.5-valérique fond à 128°-130°, 1l est assez soluble
dans l’éther; pour le purifier on le dissout dans le pétrole bouillant (à 80°);
par refroidissement il se dépose en grande partie (analyses Ciz7,60 :
H 2,14 ; Br 90,25; cryoscopie acétique 343).
Cet acide dissous dans l’eau alcoolisée se titre bien à la potasse en pré-
sence de phtaléine (poids moléculaire déduit de ce titrage 339,8), mais le
virage quoique très net ne persiste pas plusieurs minutes. On peut conti-
DE : ACADÉMIE DES SCIENCES:
nuer à ajouter goutte à goutte: plusieurs molécules de potasse, on a chaque
fois un virage aussi fugitif. Cela tient à ce que l'acide tribromé se décom-
pose très facilement sous l’action de la potasse en donnant de l'acide: brom+
hydrique. L’évaporation à froid des solutions fournit en eflet du bromuré
de potassium ainsi que des produits organiques mal définis. |
L’éthérification de l'acide par l'alcool en présence d'acide pr
drique s'effectue normalement, le tribromovalérate d'éthyle obtenu bout
à 160°-161° sous 12" à 13" (analyse : Br 65,20; cryoscopie 374).
Passage aux composés penténiques. — Ayant observé (Bull. Soc. ch., 1. VIT,
3e série, p. 260) que la tribromhydrine de la glycérine traitée: par le zinc
et l'alcool fournissait du propylène, j'aipensé que l'acide tribromo:3.4.5-valé-
rique, soumis à l’action des mêmes agents, fournirait l’acide fy-penténique
CH°— CH = CH — CH'— CO'H.
Ayant tenté l'éxpérience. sur l’acide tribromé et sur son éther ibplié
j'ai obtenu dans les deux cas le même corps, un éther éthylique répondant
bien à la formule d’un penténate d’éthyle, bouillant à 145°-146° sous 760""
(analyse : C 65,27; H 9,50; cryoscopie acétique 130). Cet éther décolore
le permanganate de potassium dissous.
Il y a lieu toutefois de faire des réserves relativement à la position af. la
double liaison; il est probable vu l’origine des corps qu’elle est en By; mais
par saponification j'ai obtenu des composés qui sont probablement iden-
tiques à certains dérivés de l’acide étudié par Spenzer et Mackenzie (Liébig’s
Ann., &. CCLXXXIIT, p. 69 et 87), lequel serait l'acide 4B-penténique
d’après eux, en particulier un sel de calcium qui séché à l’étuve à r15° ren-
ferme bien la quantité de calcium voulu (analyse : Ca 16,70), mais cristal:
lise avec une quantité d’eau très variable avec les conditions de température
et d'humidité. |
. De ce sel de calcium on libère par l’acide chlorhydrique un acide penté-
nique dont le dibromure purifié par dissolution dans le pétrole bouillant
à 80°, suivie de refroidissement à o°, fond à 55°-56° (analyse : Br 61,50;
cryoscopie 259); or l'acide eattieriqué d’après Mackenzie, fond
justément à cette température.
IL est d’ailleurs fort PRIE que la double liaison ait migré lors de la
saponification par la chaux, c’est un fait habituel chez les acides By-éthylé:
niques de se transformer en acides 48 non saturés sous l’action des bases
fortes. Toutefois on ne peut être très Re la question des acides
buténoïques n’est éclaircie que depuis peu, il s'y est trouvé de grosses diffi-
Vu
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ATPA TER PUTER
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À
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1361
cultés à résoudre; il est à présumer que les acides penténiques en offriront
du même ordre, mais pe nombreuses encore, aussi faudra-t-il encore -un
certain temps avant qu'on puisse considérer comme bien établies les for-
mules qu’on leur attribue.
CHIMIE ORGANIQUE. — Sur des sels complexes de certains aminoacides. Note
de MM. L. Tenoueasrr et E. SerBix, présentée par M. A. Haller._
. On sait que certains aminoacides tels que la glycine, l’alanine, la leu-
cine, etc., engendrent avec des métaux lourds (Cu”, Ni’, Zn, Pt’, Co”) des
sels caractéristiques très stables. | |
D’après les recherches intéressantes de M, Ley ('}, ces sels, qui ne
donnent pas de réactions normales des ions métalliques correspondants,
présentent le cas spécial des sels complexes internes.
L'un de nous a insisté sur ce point (?) que ce sont surtout les acides aminés
en position « qui sont doués de cette propriété de former des sels complexes
stables; que cette propriété est beaucoup moins accentuée chez les acides 6
et qu’on ne la rétrouve point chez les acides Y, ô, etc.
C’est là une conséquence d’une règle ptet générale encore d'après
laquelle la formation d’un sel complexe ap est, celeris paribus, favorisée
par la formation simultanée d'un groupement pentacyclique.
: Nous nous proposons d’exposer dans cette Note les résultats de nos expé-
rieñces entreprises dans le but de vérifier ces relations dans le eas de sels
chromiques d'acides aminés. Ces sels, inconnus jusqu’à présent, se laissent
préparer assez facilement en faisant réagir à la température d’ébullition les
acides aminés en « (pris en excès) avec le phorure purpureo-chromique
[Cri NH°CI|CE en présence de l’eau.
On obtient ainsi des solutions limpides, Te en rouge foncé, qu’on
filtre et dont on prolonge ensuite l’ébullition jusqu’à ce que le bent
de la majeure partie de l’ammoniaque ait eu lieu. Par refroidissement du
liquide faiblement ammoniacal on obtient une cristallisation plus ou moins
abondante du dérivé chromique, dont la composition correspond à la
a —" — —— ————— “en
(1) Zeüschr. für Electrochemie, 1904, p. 994. - — Voir aussi Bruni et Fornara,
R, Accad. d. Lincet, t. XII, 5°, p. 26.
(2) L. Tenoucazrr, Recherches sur les composés complexes. Moscou, 1906.
+ mie
ES
Le
2
ACADÉMIE DES SCIENCES.
COX ue:
Gr ( ee OH R)
Dans cette réaction le chlore et l’ammoniaque sont déplacés par les trois
groupements de l’aminoacide en question :
OCOX
2
[Gr 5 NH°CI]CE + 8 jee NH:/
‘H0OC/
CHR) LL 3NHICI + 2 NE.
CHR = Gr ("
C’est là une réaction analogue à celle qui a servi à l’un de nous (!) pour
préparer les dioximinocobaltiaques en partant du chlorure purpuréocobal-
tique et de la diméthylglyoxime (CH* — C: NOH — C:NOH. CH — D*H°)
ECo 5 NH°GI?] CI + à DH? = [Co 2 NH*D*H?] CI -+ » NH°CI + NP.
Le dérivé chromique de la glycine. — Cr(CH?NH?C0*}' se dépose en
petits cristaux prismatiques colorés en rouge vif, très pen solubles dans
l’eau et dans les dissolvants organiques usuels.
La substance est très stable et ne se décompose qu’au-dessus de 300°.
Elle n’est pas altérée par l'ammoniaque à à la température ambiante; de
même les alcalis fixes et les acides minéraux dilués ne la Aécomparenl qu’ à:
la température d’ébullition. |
Cette stabilité remarquable, ainsi que la couleur. anomale, prouvent que
Je dérivé glycinique ne contient pas le chrome à l’état d'ions Cr, et rend le
fait probable qu’il présente un sel tr ie interne dont la constitution
serait représentée par la formule
É NH? CH:\3
" | ñ
( No co ) |
CH? NH. NH: CH:
|
CO iles gs COPE co
NH
L'rÿ 1
CH?—CO
mm
(*) L. Tonoucaerr, loc. cit. — Voir aussi Zeitschr. Jür anorgan. Gfepries t. XLVI,
1905, p.. 144.
LL
NE
‘
DS
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1363
é é CH: 3
Le dérivé de l’alani à ve Cr (: — i gui
L e l’alanine x inactive Cr ia . — Petites aiguilles
- d’une belle couleur rose.
Mêmes réactions que le composé précédent.
AUS CH?CO NH: \ : RS Dre
Le dérivé de l’asparagine ch LNH: Cr. — Aiguilles microscopiques
| NCOO
de couleur rose violacé.
Ce composé est le moins soluble de tous. Du reste il présente le même
caractère que les précédents. | |
Les autres termes homologues de la série d’acides aminés en « position,
tels que l’acide à-aminoisobutyrique, l’acide &-aminoisovalérique, la leu-
cine, etc., engendrent des dérivées chromiques tout à fait analogues. Tou-
tefois il est plus difficile de les obtenir à l’état de pureté. Par contre, nous
avons pu constater l'impossibilité d'obtenir des sels chromiques stables en
partant d’acides suivants : $-alanine, 8-aminobutyrique, y-aminobutyrique
et 6-aminovalérique. La règle générale ci-dessus mentionnée se trouve donc
confirmée dans le cas de dérivés chromiques d’acides aminés. |
En terminant nous tenons à remarquer que les mêmes composés chromi-
ques dont il vient d’être parlé, prennent naissance si l’on chauffe à l’ébulli-
tion les aminoacides (de la série) & avec du chlorure chromique vert
CrC6H?0 additionné d'ammoniaque.
_ Ce procédé étant peu avantageux pour préparer les sels en question à
l’état de pureté, permet cependant d'obtenir en partant de la glycine un
représentant d’une autre série intéressante. Ce composé cristallise en
aiguilles microscopiques insolubles, de couleur violacée et dont la compo-
sition correspond à un sel basique Cr(NH?CH° COO }. OH.
Ïl doit être réservé aux recherches ultérieures d'établir si ce composé ne
se laisse pas représenter par la formule double
OH k
[exH:CH*— C0 0) 0 6 )Cr(NH* CH CO) Ê
formule qui Le rapprocherait d’une classe importante de sels basiques com-
plexes, dont la constitution vient d’être élucidée dans un travail remar-
quable, par M. A. Werner (").
(*) Lieb. Ann., t. CCCLXXV, 1, 1910. Pour l'exposé général de la théorie de
M. A. Werner, voir Les récents progrès de la Chimie, t.T, 1908.
C. R., 1910, 2° Semestre. (T. 151, N° 26.) 180
1364 ACADÉMIE DES SCIENCES.
CHIMIE ORGANIQUE. — Mode de préparation des acylguanidines aromatiques. ;
Note de M. P. HRRRE penis pas M A. fpeies PURE
: »outâ
Les dérivés acylés noie de la cyanamide sont très ne LS à fournir,
par condensation avec les chlorhydrates des monamines aromatiques, les
_acylcyanamides monosubstituées correspondantes, que ne donne pas
l’acylation directe des guanidines et qui nes ohHénpent que par une voie
fort détournée ("). à da ES U
Une ébullition du mélange des réactifs en SalUtion alcoolique, soutenue
quelques heures, réalise à peu près AAOHARNERERE la réaction d’ad-
dition : ;
: LETIES
AN es er die NH°— Ri= R CO—NH— -C— NH — a HO
| Hotnte
NH
Ainsi, la benzoyleyanamide et le chlorhydrate d’aniline en solution dans
- l'alcool à 93° ont donné après 3 heures d’ébullition le chlorhydrate de
benzoylphénylguanidine: il suffit d’évaporer la liqueur pour en faire déposer
les cristaux à peu près purs de ce sel. La base en est séparée par satu-
ration avec là potasse de leur solution aqueuse chaude, car ‘ils sont relati-
vement peu solubles dans l’eau froide.
Cette benzoylphénylguanidine C5 H5 — CO — NH RL LEE H5 fond à 91°-92°
NH
comme elle a été déjà décrite (!). Le monochlorhydrate formé par dan Idies Er
l'acide chlorhydrique dilué chaud est en aiguilles brillantes, blanches, facilement
solubles dans l'alcool, fusibles vers 159°. En solution aqueuse étendue acidulée à peine
par l’acide éhlérhyañqué: le nitrite de soude le transforme à froid en benzoylphényl-
urée gel précipite. La base, chauffée avec de la soude caustique à 5 pour 100 bouil-
lante, s'y dissout en perdant son groupement benzoyle ; dans la liqueur, on reconnaît
la phénylguanidine C® PR Bet fe NIP, après neutralisation à l'acide chlorhydrique,
$ A NE
par le picrate de Prelinger (?). On peut retirer du reste cette base de la solution.
La métatolylbenzoylguanidine CH3— C5 H5 — NH — Girh NH — CO — C'H5 à les
NH
mêmes propriétés. Ce sont des aiguilles aplaties très brillances ou des paillettes fusibles
WHEELER et JOHNSON, American chemical Vokrivet, t. XXVI, pe 419.
PrelinGer, Monatshefte für Chimie, +. XI, p. 39.
2
e=
=
e
.
L
k
à
à
;
.
ZT PA RO PTIN
J le k
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1365
lentement à partir dere, très solubles dans l'alcool, l’éther, l’acétone, le chluroforme,
le benzène; un peu moins dans la ligroïne, peu dns l’eau ; cu. caleune bien dans
un mére de benzène et ligroïne, Le chlorhydrate est en prismes courts, incolores
fondant à r70°, solubles dans l'alcool, mais peu dans l’eau froide.
La ee nn CSH5 — CH — CH — CO — NH — ie NH — CH
NH
nécessite pour sa formation une ébullition plus prolongée. Cristallisée dans l'alcool en
belles aiguilles prismatiques un peu solubles dans l'alcool, pas dans l’eau; elle fond
à 14o°,
Son chlorhydrate, en fines aiguilles incolores, fond sans netteté ; ilest moins soluble
que les précédents.
La pseudocumidylbenzoylguanidine (CHS) — CSH?— NH — C — NH— CO — CH,
Il
NH
en aiguilles prismatiques ramassées, cristallisées dans le benzène par refroidissement,
fond à 140°-14r°.
Les mêmes acyleyanamides présentent un mode d’action légèrement
différent, sur le chlorhydrate d’orthophénylénediamine; le résultat en est
une acylphénylèneguanidine ou acylamidobenzimidazol d’après le schéma :
ss NH
1 ,/ NE? x > x6* ENT A
6H# Le PE NN —
CH KNEH”° HCI + CN — NH — CO Re CH GE N CO —R-NH'CI,
NH
Alors que les arylcyanamides se prêtent mal à une pareille condensation
et ne donnent guère qu’une urée dans les mêmes conditions, avec les acyl-
cyanamides fromAlques: l'opération réussit comme précédemment, en
n’exigeant qu’ un temps d’ébullition un peu plus prolongé.
Ainsi, dahs les deux exemples suivants, elle est terminée en 7 ou 8 heures.
On isole l’acylguanidine libre simplement en chassant on et précipitant par
l'eau.
Un peu d’acylurée est éliminée par un léger lavage alcalin du précipité brut.
La benzoylorthophénylèneguanidine CS mea = N—CO—CH5, fusible
à 2370 (1) ne donne pas de sels avec l'acide chlorhydrique dilué. Pour la potasse, elle
re NH 5
se dédouble en acide benzoïque et orthophénylèneguanidine CHU Ce NH
qu’on retrouve aisément dans la liqueur.
(7 WakELER et Jouxson, American chemical Journal, L XXVE, p, 417. — PierroN,
Bulletin de la Soc, chim.,t. XXXI, p. 841: :
}
. 1866 ACADÉMIE DES SCIENCES: Dre
NH |
La stinanytortioghéngréiégé dati NN Nes -CO— -CH= = CH A]
cristallise en aiguilles incolores, soit dans l'alcool bouillant, soit mieux dans la pyri-
dine ; elle fond à 262° et est insoluble dans l’eau, très peu soluble dans Pacétone,
l’éther, et faiblement dans l'alcool froid. Les alcalis la scindent en acide cinnamique
et orthophénylèneguanidine, comme la précédente.
4 “ + .. * - . L
CHIMIE ORGANIQUE. — Sur les acides glucodéconiques. Note
de M. L.-H. Pme, présentée par M. L. Maquenne. ,
<
Dans une précédente Communication (‘), nous avons donné la prépa-
ration des acides glucodéconiques, ainsi que les propriétés de l’un d’eux :
l'acide (x) déconique. Les propriétés du second, l'acide (B) déconique,
présentent, ainsi qu'on va le voir, les mêmes particularités que celles
indiquées déjà pour son isomère (x).
Acide (B) déconique. — Lorsqu'on cherche à isoler cet acide en évaporant
sa dissolution, on obtient un mélange de deux corps : l’hydrate de lactone
C'H'#O'°H°0 et l’anhydride d’acide C?°H#0*"'; mais ceux-ci, à l'inverse
de ce qui se passe pour l’acide (x) déconique, sont faciles à distinguer en
raison de leur forme cristalline très différente. On sépare aisément ces deux
substances en épuisant leur mélange par l’alcool à 8o° bouillant : l’anhydride
reste insoluble, tandis que la lactone se dissout et cristallise par refroidis-
sement. |
La lactone (?) cristallise hydratée en très belles aiguilles hémiédriques ayant souvent
la forme de segments de cercle, fondant vers 135°; à l'état anhydre elle fond à 193°.
Sa solubilité dans l’eau est environ 12,4 pour 100 à 15° et 60 pour 100 à 100°. Son
pouvoir rotatoire est [ œp | —— 41°,2. Après 15 minutes d’ébullition à poids constant,
il devient — 35°,0, par suite d’une hydrolyse partielle.
L'anhydride (*), quand il se dépose dans l’eau, présente habituellement au micro- -
scope l’aspéct de boules spongieuses ; celles-ci, AE des solutions pures et concentrées,
forment des amas géliformes d’un blanc bleuâtre, rappelant ceux d’un empois d'amidon
vieux de quelques jours. Ces granules ne polarisent pas la lumière, mais si on les fait
bouillir avec de l'alcool fort, ils cristallisent bientôt en très fines aiguilles, Ce corps ne:
change pas de poids à l’étuve (1102). Il fond à 216°-218°, Sa solubilité dans l’eau
froide est de 1 pour 100 environ. Son pouvoir rotatoire, déterminé sur une solution à
1,2 pour 100, est voisin de — 10° ; après 15 minutes d’ébullition, il s'élève à — 20°,4.
22
(") Comptes rendus, t. 151, p. 986.
(*) La lactone anhydre a donné : C — 40,20; H—6,05. Théorie : C—= 40,26;
Hé , 04.
(*) Son analyse a donné : C = 38,89; H—6, 3, Théorie : C 39,08; H= 6,19.
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SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1367
Bien que l'anhydride ne se forme qu'en faible quantité quand ou évapore
une solution d’acide, c'est néanmoins lui qui apparaît tout d’abord dans les
sirops et son aspect spécial permet de caractériser facilement l'acide (8)
déconique.
La lactone et l’anhydride en solution aqueuse et chaude.se transforment
lentement l’un dans l’autre.
Pour lacide (4) déconique, nous avons réussi à montrer qu’en partant de
l’un ou l’autre corps, et après une chauffe suffisante, un équilibre s'établit
lorsque le mélange qui prend naissance à acquis une composition déter-
minée, variable avec la concentration ; nous avons ainsi tracé la courbe
donnant la quantité d’anhydride formé, en fonction de la concentration.
Pour l'acide (6) déconique, une pareille détermination devient impos-
sible, à cause de la plus grande solubilité de l’anhydride et surtout de la
tendance qu'ont les solutions à rester en sursaturation, ce qui gêne et fausse
Panalyse de tels mélanges. Cependant, d’une façon générale, nous avons
reconnu que les conditions de transformation sont les mêmes : en solution
étendue, c’est la lactone qui prédomine; en solution concentrée, c’est
l’'anhydride. Une solution très étendue (!) de l’un ou l’autre, longtemps
chauffée, donne par évaporation rapide uniquement la lactone..
Ces résultats viennent confirmer les faits observés déjà avec l’acide (x).
déconique et laissent prévoir toute leur généralité.
Sels. — Le déconate (B) de sodium est gommeux. Ceux de baryum, cadmium et
de strychnine sont cristallisés, mais relativement plus solubles dans l’eau que ceux qui
leur correspondent dans la série (æ).
Le phénylhydrazide (5) déconique cristallise en fines aiguilles groupées en asté-
risques, fondant à 246°. Sa solubilité dans l’eau bouillante est environ 7 pour 100 et
est dix fois plus grande que celle de l’hydrazide (x).
Transformation de la lactone (x) en (8): — En chauffant à 140° la lac-
tone («) pure en solution aqueuse à 20 pour 100 avec de la pyridme, on
obtient après traitement par Ba(OH}? et SO'H et concentration, un sirop
où l’on distingue très nettement, à côté des aiguilles de («) non transfor-
mées, les granules spongieux de (B). La séparation des lactones (x) et (B)
peut de se faire, soit par cristallisations fractionnées dans l’eau et l'alcool
étendu, soit plus simplement par différence de solubilité de leurs phénylhy-
drazides.
(1) Dans notre dernière Note, page 987, ligne 11, au lieu de 5. pour 100, dire
1 pour 100.
1368 ACADÉMIE DES SCIENCES: /
CHIMIE ORGANIQUE. — Hydrogéhations en présence de palladiiui?
Application au phénanthrène. Note de M. Paxnnr BRETEAU,
présentée par M. É. J ungfleisch. ui}
}
Un:
Il est surprenant que ë palladium, dont les propriétés absorbantes, pour
l'hydrogène sont cependant connues depuis fortlongtemps, n’aitétéemployé,
comme agent auxiliaire d'hydrogénation, que pour quelques composés
comme l'oxyde azotique, le nitrobenzène, la benzine, l’acide oléique, l’acide
cinnamique, le benzonitrile (‘).
J'ai hydrogéné le phénanthrène, en employant le palladium sous des
états physiques différents : mousse, noir de palladium et palladium pré-
cipité.
1° Mousse de palladium LS
Dans un tube de verre mince de g"" de diamètre, on introduit 155 de mousse de
palladium résultant de la calcination, à basse température, du chlorure de palladam-
monium. La mousse retenue entre deux tampons d'amiante occupe ainsi une longueur
d'environ 15, Un dispositif approprié permet de chauffer à la température de 160°
environ, au moyen de TAPER d’essence de PPT MR la partie du tube contenant
:- la mousse.
En avant du D ladiante on place une petite nacelle préalablement remplie de
phénanthrène fondu. Le tube étant parcouru par un courant lent d'hydrogène et la
mousse de palladium étant chauffée, on fait fondre le phénanthrène de manière que
le courant gazeux entraîne, peu à peu, sur le palladium, les vapears de carbure à
hydrogéner. Le produit d’hydrogénation est recueilli à l'autre extrémité du tube.
Dans ces conditions, j'ai obtenu un mélange de tétrahydrure et d’octo-
hydrure de phénanthrène; à raison de la faible longueur sur laquelle
est répare la substance active, il faut environ 12 heures pour hydro-
géner 208 de phénanthrène.
2. Noir de palladium : Ù
Une solution de 108 de phénanthrène dans 200% de cyelehexane et 55 de noir de
palladium — provenant de la réduction du chlorure palladeux, érès pur, par le formol,
Suivant la méthode indiquée par Law pour le noir de platine — sont introduits dans un
récipient qu’on met en communication permanente avec un générateur d'hydrogène
(') Kouse, Journ. f.prak, Ch., 2° série, t. IV, 1871, p. 418. — Lunce et Akunorr, Zeit.
anorg. Ch.,1. XXIV, 1900, p. 191. Paaz, Berichte, t. XXXVWHI, 1903, p. 1406-1409.
— Foki, Journ. se phys. ch. r., 1. XXXIX, 1907, p. 607, |
ETARTTeN.
1
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1309
et qu'on ‘agite mécaniquement. L’absorption du gaz terminée, le palladium est
séparé par filtration et la solution distillée, Le résidu constitue le produit d’hydro-
génation, |
Avec le phénanthrène, j'ai obtenu uniquement le tétrahydrure. C’est le
premier exemple d'hydrogénation d’un carbure aussi condensé, au moyen
du noir de palladium.
3. Palladium précipité. — Après avoir vainement tenté d’hydrogéner le
phénanthrène en suivant les indications données par M, Zélinsky (‘) pour
la réduction des iodures et bromures des alcools cycliques en carbures
correspondants, j'ai réalisé cette hydrogénation dans les conditions sui-
vanties :
Dans une solution de 108 de phénanthrène dans l’alcool à 95° ou dans l’éther éthy-
lique, onintroduit 1008 de zinc, puis, peu à peu, une solution concentrée, dans l’acide
chlorhydrique, de chlorure palladeux, érès pur, correspondant à 108 de palladium.
Le palladium étant précipité, on laisse tomber goutte à goutte, au moyen d’une
ampoule à brome, de l’acide chlorhydrique concentré, ou mieux, on fait arriver, bulle
à bulle, au sein de la solution, un courant de gaz chlorhydrique. Le mélange est agité
fréquemment pendant l'attaque du métal. La dissolution du zinc obtenue, on sépare
le palladium par filtration; le liquide est précipité par l’eau et épuisé par l’éther
éthylique, La solution éthérée, séparée et séchée, est distillée. Le résidu constitue le
produit d’hydrogénation.
Avec le phénanthrène, j'ai obtenu le tétrahydrure.
Au zinc et à l'acide chlorhydrique, il est possible de substituer un autre
agent de production d'hydrogène, par exemple l'aluminium et l’eau.
C’est le premier exemple d’hydrogénation au moyen de palladium
précipité. h A
Ces diverses techniques d’hydrogénation en présence de palladium me
paraissent susceptibles d’adaptations multiples à divers composés orga-
niques; je me propose de le vérifier.
CHIMIE BIOLOGIQUE. — Méthode pour la détermination de l'unité ou de la
pluralité des diastases dans un liquide. Note de MM. Acuarme et Brussox,
présentée par M. Edmond Perrier.
Il est parfois extrêmement difficile, lorsqu'on se trouve en présence d’une
liqueur diastasique agissant sur plusieurs substances, de décider si l'effet
produit est dû à l’action d’une seule ou de plusieurs diastases. Cette dis-
(1) Journ. Soc. phys. ch. r., t. XXX, 1898, p. 340.
Lire L
>
a -
‘
.
En
1370 | _ ACADÉMIE DES SCIENCES.
tinction présente pourtant une importance très: ee en ce qui concerne .
tant l’individualité de chaque enzyme que les chédeles générales d’action des Fe #1
diastases. On sait en effet que Lhypottes stéréochimique de Fischer ER - 77
basée sur l’action d’une même diastase s'exerçant sur un groupe de com-
posés chimiques ayant entre eux une certaine analogie dans leur conskifnlion
stéréochimique. ;
Jusqu’à présent c’est surtout par tâtonnements que 1 les mées auteurs sont
parvenus, souvent incomplètement, à différencier les cas où l’action mul-
tiple du liquide actif est due à la pluralité des diastases présentes de ceux où
une diastase unique agit sur plusieurs substances. Les différences dans
l’'optimum de la température ou de la réaction du milieu, dans la distribution
ou la proportion des principes actifs, ne sauraient satisfaire complètement
l'esprit en raison de la grande complexité des phénomènes diastasiques et
de la multiplicité des facteurs en jeu, l’action réelle pouvant être masquée
par les modifications du milieu. | s
Nous pensons donc que la méthode très simple et très rationnelle que
nous indiquons est susceptible de rendre de réels services.
1° Quelle que soit l'hypothèse, chimique ou physico-chimique dont on.
parte, on peut supposer que, lorsqu'une seule diastase agit sur deux corps
différents, elle partage son action entre ces deux corps, à moins qu elle ne se
trouve en très grand excès. ;
Si donc on fait agir une même quantité de liquide diastasique sur les deux
corps d’abord, puis isolément, puis mélangés, on doit trouver, dans ce
dernier cas, au moins pendant les premières heures de la réaction, une action
moindre que la somme des deux actions isolées.
C'est ce qu'ont donné les expériences dont nous détachons les deux
suivantes : ‘ | - €
C. .
Émulsine
… À, _ B. (2 p. 100) :x00m*,
Emulsine Emulsine Amygdaline
(2 p. 100) : rocmÿ, (2 p. 100) : rotm?, (5 p. 100) : 45cm,
Nombre d’heures Amygdaline Arbutine Arbutine Différence
de séjour à 35°. (2,5 p.100):gotm, (2,5p.100):gotm*, (5 p. 100) : 45em*, C—(A+B).
mg glycose me glycose mg glycose
9; 9,6.
5,692 33,7
9,9 | 93,7
11 67
14 77,8
50,3 #50; 8
87 220
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE / 1910. 1391
: C. |
Ca 25 Eee ve POUN Émulsine. + Piper DE
AR LAS SE PR LE dé € P. 100): rom, 4
‘Émulsine Émulsiné :Amygdaline 23 €
mi: Je rs (2 P: 100) : roc. (2 p.100): rocm*, (5 p.roo):45em?,
Nombre d'heures Amygdaline Salicine Salicine Différence
de séjour à 35°. : {2,5 p. ro) : L'or (2,5 p:100)12100m": 0 1(5 p.100) : 45m, / 1 GC (A +B).
ARR URs sus ne Part non | era Juan ln) ve
PAPER DEN PO Far 20,7 DD == 930,0
AS NEO en TE ORNE TITO RE 41,9
parie. ro56e40 hs 1048 DE 104,8 - 22458
ntfs 110 ,8: anis arte 11D —07;9
CR 170 ..i «330 L 241. —59
: Nous devons remarquer que les diastases agissant s sur plusieurs corps Sont
relativement rares, beaucoup plus rarés qu’il n’est indiqué dans les Traités
classiques. Si en effet l’'émulsine nous a donné dés résultats constants,
nous avons échoué lorsque nous avons voulu faire agir par exemple la sucrase
de la levure sur le saccharose et l’amygdaline. Contrairement aux expé-
riences de Fischer et conformément aux observations de suriusit et.
Hérissey, nous avons constaté que la macération de la levure n "exerçait
aucune action sur l’amygdaline. | |
2° Dans le cas où le liquide à essayer contient deux diastases FRERE
on comprend qu'au contraire les deux actions s'ajoutent, et, en opérant
- dans des conditions de réaction identique, on doit obtenir dans le mélange
des deux substances la somme des actions exercées sur chaque Corps isolé,
chaque diastase se comportant dans le mélange comme si elle était seule.
L'expérience suivante, choisie entre un grand nombre de semblables,
. montre que ces prévisions se vérifient parfaitement :
1€.
Saccharose
A+. B. (5 p. 100) : 4ocm?,
Saccharose Amygdaline Amygdaline
à" (2,5 p.100):8ocm%. (9,5 p.100):8o€m*. (5 p.100) : 4ocm*,
as in Invertine Émulsine Émulsine
(2 p. 100): ro€m”, (2 p. 100) : 1otm?, (2 p.100): rom,
Nombre d'heures :Émulsine bouillie = Invertine bouillie Invertine Différence
de séjour à 35°. (2 p. 100) : rocm*, (2 p.100) : rotm*, (2 p. 100) : rocm, CEA ER).
3 1 6 : mg glycose mg glycose mg glycose
OR 24.702 18 À : (o)
42,6 3273 63: 0740 — 1,8
5°.19° ANR 33,9 : 102,3 + 8,6
88,7 48,5 129,7 — 4,5
99: 1 55,6 pHONA — 4,7
181
NINEVS 7e
18984 ACADÉMIE DES | SCIENCES.
= Fe : FR
RE on En
En somme, lorsqu'on se trouve en présence d’un liquide diastasique
agissant sur plusieurs substances, on doit instituer l’expérience suivante: À 4
* Dansdes conditions identiques de température, de concentration, d’ acidité >
ou de neutralité, on fait agir, sur des solutions de chaque substance et sur un ER
mélange des deux, une assez petite quantité de liqueur active pour qu ion. = |
puisse oileiene suivre l’action d'heure en heure. Si l’action sur le mélange
des deux substances représente environ la somme des actions sur les deux à
substances prises isolément, on peut en conclure à l'existence de deux dias- - 2 5
tases différentes ; si au contraire cette action ne dépasse pas en intensité celle
te on constate sur un seul des corps Sn RE on peut en déduire qu al 20
s’agit d’une seule diastase. ‘#4
Si, au lieu d'examiner la quantité substance modifiée dans un temps Si
Rp on recherche le temps nécessaire à l’hydrolyse complète, on voitque,
dans le cas de deux Eee ce temps est sensiblement égal dans les trois
solutions, au lieu qu’en cas de la présence d’une seule diastase, il est sen- SN
RTE beaucoup plus long dans la liqueur où se trouve le A Rene des
_deux substances transformables. En un mot, dans le cas d'unité de diastase, à
les actions sur les deux substances semblent. successives, alors qu’elles sont : 648)
simultanées dans le cas de PLACES des enzymes. d
à
ER
Der.
fi
MINÉRALOGIE. — Sur la distinction chimique entre l’orthose et le microcline. +
Note de M. W. _Vensapsex et Me E. Révourskx, présentée par
M. A. Lacroix.
M. le professeur Barbier a déduit, de ses essais chimiques sur l’orthose
et le microcline de différents gisements, la règle suivante : L’orthose
diffère chimiquement du acrophne: le premier renferme des traces de |
Jithium et de rubidium, qu’on ne retrouve pas dans le second (*). Cette . S
règle a été trouvée DOVE aux faits par des études PRTOS de
MM. Gonnard et Barbier (2P .
Cependant, M. H. Ramage a depuis longtemps constaté l'existence deLi E À
et de Rb dans le microcline du granite de Dalkey, comté de Dublin (*). A
a —————— ———————
(1) P. Bansier, Bull. de la Soc. france. de Minér., 1. XXXI! 1908, p. 166, Voir aussi NUL:
Comptes rendus, 1907. |
(7) F. Gonnanr, Bull. de la Soc. franç. de Minér., 1. XXXI, 1908, p. 303. 4
F. GonnarD et P. Bansien, Zb1d., t. XX XII, 1910, p. 82. 3:
(3) W.-N. Harriey, PAhilos. Tr ansactions, L. CLXXXV, 1895, p. 168.
e SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. LS 13 à)
Presque en même temps que M. Barbier, l’un de nous a, conformément
aux observations de M. Ramage, trouvé dù Rb (et Cs) die les micro-
clines bleu vert (amazonites Lbdes) des pegmatites des montagnes
d Ilmenj, près de Miasskij-Zavod (').
L'opposition de ces observations avec la règle de M. Barbier nous a
conduits à refaire encore une fois nos essais. Ces nouvelles observations
confirment nos résultats antérieurs.
Nous avons étudié le microcline des gisements suivants :
’ Spectre.
1. Montagnes d’Ilmen], près de Miasskij-
Zavod (Russie) ..... SR 4 RER FR Na RD (215, y Li
2. Bu, près d'Arendal (Norvège)... ..., Ba, K, Na, Rb (?)
3. Pike’s Peak (Colorado) ...,...,.... : K, Na, Rb, Li, Cs (œ et G)
k. Hunttila (Finlande)...,.......,.... K, Na, Ba, Rb, Li
5. Lojo (Finlande)... ....... DR NOTE K, Na, Ca, Li, (Rb?)
: Tous les essais ont été faits sur des fragments de cristaux purs. Les
microclines des montagnes d’Ilmenj et de Pike’s Peak sont des amazonites.
Les différents échantillons de microcline des montagnes d’Ilmenj donnent
tous des raies spectrales de Rb et Li, les cristaux bien formés plus
distinctement que ceux des pegmatites riches en quartz.
Dans nos essais, nous avons étudié le spectre des minéraux sans aucune
décomposition chimique préalable de nos échantillons. Nous avons recouru
au chalumeau gaz-oxygène, qui donne des spectres très forts et distincts de
plusieurs alumosilicates. Cepéhäant le Cs, qui a été trouvé antérieurement
(dans les 'chloroplatinates) dans le microcline des montagnes d'Ilmen], ne
peut pes être décelé par la fusion simple des dE au chalumeau
oxygène-gaz. Les microclines de Buô et de Hunttila ne donnent que des
traces de Rb par fusion simple des échantillons, mais en étudiant le spectre
des chloroplatinates insolubles, formés après la décomposition de ces feld-
Fes on peut observer très distinctement des raies à et 6 (violettes) du Rb.
De ces essais il suit que les microclines, aussi bien que les orthoses,
peuvent contenir des traces de Li et de Rb (*). On ne trouve aucune dis-
tinction entre leurs spectres d'émission.
(1) W. VERNADSKY, PEN de l'Académie des Sciences de Saint-Pétersbourg
DUR 164, 822.
(2) Li donne une réaction très faible. .
: ) Sur le spectre des orthoses, voir W, VER\aDSKY, loc+ cit. — Les orthoses de Mour-
sinka et de Chaïtanka, en Oural, contiennent en outre du thallium.
PR I ST SAN
M
ph. | ACADÉMIE DES SCIENCES,
_ Tous ces microclines ont été éludiés optiquement : ils den
maéles caractéristiques suivant les lois de l’albite et du: microcline. Sur me
faces (001) on peut observer en lumière polarisée la structure sa
caractéristique (mont d’ men), Pike’s Peak, Hunttila, Bug)... TU:
BOTANIQUE. — Frhin ne dooumants sur eh Voandzeia Porssoni 4 en
(Kerstingiella geocarpa Harms). Note de M. AUGUSTE CnevauiER, pré-,
_sentée par M. Edmond Perrier. it
: Nous avons nie il ya quelques mois (‘) une nouvelle Légumineuse
de la tribu des Phaséolées que nous avions rencontrée dans le Moyen
Dahomey où elle est cultivée en grand par les indigènes pour ses graines
alimentaires. M. le D' Harms de Berlin nous a fait connaître qu'il avait
publié environ 18 mois plus tôt (alors que nous étions déjà en Afrique
occidentale, loin de toute source bibliographique) la description d’une
plante provenant du Togo qui lui semblait identique à notre nouveau
Voandzeta. I] l'avait nommé Kerstingiella geocarpa Harms (?) et en faisait le
type du genre nouveau Kerstingtella qui se différencie du genre Voandzeia,
parce que les fruits enterrés sont portés par un carpophore provenant du
développement du stipe de l'ovaire, tandis que dans les Voandzeia c’est le pé-
doncule floral proprement dit qui s’allonge pour enterrer le fruit. M. Harms
a eu l'obligeance de nous communiquer un échantillon cotype de son
espèce qui s'identifie en effet avec le J’oandseia Poisson. La plante du
_Dahomey ne présente que des caractères différentiels sans importance A
en vertu des règles de priorité, c’est le nom-spécifique de M. Harms qui Got
Être adopté. | -
Cette espèce se rencontre exclusivement à l’état cultivé, et nous l'avons
observée sur une aire assez étendue.
Dans le Haut Dahomey elle existe à Gabolé et y est connue sous le nom de Vadou.
Elle semble manquer à Djougou et dans les monts Atacora, mais elle nous a été
signalée à l'Ouest, chez les Eamas et Kabas du Togo, et à l'Est dans le Borgou. Les
caravaniers Hiais assurent qu'elle existe aussi dans une grande partie de Ai Nigéria
anglaise. e
(*) Sur une nouvelle Légumineuse à fruits souter Trains .cullivée dans le Moyen
Dahomey (Comptes rendus, 4 juillet 1910). |
(?) H: Hanus, Ueber Geokarpie bei einer afrikanischen Leguminose (Berichte
deutsch. Bot. Geselisehi, U XXVI, 1908, p. 225 et PE 111). '
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1375
Elle ést cultivée çà et là à travers la boucle du Niger, mais toujours en petité quan:
üté; nous l'avons observée au Mossi où elle porte les noms suivants ; Dieg guem tent
guéré (Mossi), Kouarourou (Haoussa), Dougoufolo (Bambara). Elle existerait aussi
dans le Minianka et dans le Cercle de Bougouni. Sur les bords du Niger même, à
Ségou, on trouve encore quelques petites plantations de cette plante qui ) est connue
sous le nom de Dougou folo.
- L'espèce serait encore assez commune dans le Cercle de Koutiala. Les noirs de
Bammako auxquels nous ayons montré les grains nous ont assuré.qu’elle étaïtautrefois
cultivée dans le pays sous le nom de Bindi. Elle n’existerait plus que dans quelques
villages de la rive droite du Niger moyen et y serait très rare. Enfin dans tous les pays
situés à l’ouest du Moyen Niger, elle manque complètement et elle n’a nulle part été
rencontrée à l'état spontané, de sorte que son origine demeure 1 inconnue,
.M. A. Hébert, chef de travaux à l’École centle, à qui nous avions confié
des semences, a fait une analyse chimique de graines de la variété à petites
graines: Fuches recueillies au Mossi. Ces graines avaient déjà élé forte-
ment attaquées par les Bruches. rh
Nous donnons ci-après les résultats de cette analyse en les plaçant en
regard de l'analyse des graines du Voandzeia subterranea publiée Le
_ Balland (! dis RC :.
x k Kerstingiella , -. :: Voandzeia
geocarpa Harms Subterrane
LE Voandseia °c Dup. Th.
Poissoni À. Ghevi) … Variété provenant
Variété blanche . de l'Afrique
provenant du Mossi occidentale
(analyse (analyse
de M. A. Hébert). de M. Balland).
ÉREHMQETÉ Acte. Autre SEEN 10 40 s .9, 80
n DRNAPESNE 56 Re HN ur Tel TIRE 4,30 On DO
Matières grasses.........,. 1,008: 6,00
Sucres réducteurs.....:..:. traces » |
Sucres non réducteurs...... 0,40 »
dd: TC ON MR PRO A ct 48,90 58,30
Cellulose. ..... DRE D Trou TE EE 3,00
22%, Malieres, a2 01600. «7. Mo 21,40 18,60
| 100,00 10000
ch: analyse chimique SET Are confirmer la haute valeur alimentaire ‘des
graines du Kerstingiella geocarpa: Leur teneur en matières azotées égale
celle des variétés les plus riches de Y’oandzcia subterranea Re
(:) Comptes rendus, 1° sem. 1901, p. 1060,
LA
»
376 | ACADÉMIE DES SCIENCES.
par P. Ammann ('} et elles sont d'une saveur plus agréable, rappelant le tes > (a
haricots les plus fins, mais elles donnent un très faible rendement et elles Fu
sont fréquemment attaquées par les Bruches.
+
BOTANIQUE. — Sur la culture nouvelle d'un Champignon comestible,
de Pleurote Corne-d'abondance. Nôte de M. L. Marrucuor, Pres euee
par M. Gaston Bonnier.
On sait que les Pleurotes sont des Champignons basidiomycètes charnus,
- exclusivement lignicoles : d’ ordinaire, ils se développent sur des troncs
d'arbres, vivants ou abattus. D'autre part, toutes les espèces de ce genre
sont comestibles : du moins, on n° en connaît aucune qui soit vénéneuse ou
même suspecte. Un double intérêt, théoriqne et pratique, s'attache donc
aux tentatives de culture de ces espèces.
Des echepehle antérieures É ) m'ont déjà donné des résultats positifs avec une des
espèces les plus communes du genre, le Pleurotus ostreatus. J'ai montré qu'il est
possible d'obtenir le développement complet de cette espèce à partir de la spore,
dans les conditions des cultures artificielles du laboratoire. é à
De récentes expériences m'ont permis d'arriver à des résultats analogues, mais plus
complets encore, avec le Pleurote (orne-d'abondance ( Pleurotus cornucopioides).
Au cours de l'été de 1909, M. Bourrelier, propriétaire à Verrières (Seine-et-Oise), me
signalait l’état précaire de plusieurs beaux Ormes de son parc, en même temps que
l'existence, sur le tronc de ces arbres, d'assez nombreux chapeaux d’un Champignon
que je reconnus être le Pleurote Corne-d’abondance. Les Ormes semblaient fortement
attaqués par le Champignon; par suite de leur état maladif, dû, semble-t-il, uni-
quement au parasitisme du Pleurote, il fallut les abattre : on reconnut alors que.le
bois était profondément envahi par le mycélium du Champignon.
D'une part, je recueillis des spores en vue d’une culture de laboratoire ; d'autre
part, je fis découper plusieurs rondelles de bois dans la partie attaquée des troncs
d’Ormes.
I. Les spores, semées sur milieux artificiels. donnèrent un mycélium blanc qui se
développe vigoureusement à 27° ; les filaments, larges de 34 à 54, sont régulièrement
cloisonnés et PRE les boubles d’anastomoses si fréquentes dans le mycélium des
Basidiomycètes. Je n'ai observé aucune forme conidienne dans la culture artificielle
du Pleurote Corne-d’abondance; mais au bout de 4 mois, la forme fructifère parfaite
du Champignon est RpRar UE) Il apparaît “ abord, enfoui sous le ne ne un pelit
= A : : Ë |
(') Agriculture pays chauds, L. 1, 1907, p: 40.
(°) L, Maraucnor, Æecherches biologiques sur les Champignons. Pleurotus
ostrealus (Revue générale de Botanique, 1. IX, p. 81).
-SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1377
tubercule qui ed As RARE
Lubercule qui va grossissant et se différencie bientôt en carpophore. Gelui-ci, étant donnée
-
.
\
PTT OR TENE 0
A RSR
A
.
ge + à
= . + - Pleurotus cornucopioides obtenu en culture pure.
ae _ l'exiguité des tubes de culture (voir la figure), ne peut prendre qu’un faible dévelop-
1398 ACADÉMIE DES SCIENCES: : Eu
pement ; mais sa structure est normale et, sur les lamelles du chapeau, se “dévéloppént |
des basides et des spores semblables à celles de l'individu original.
(II. En même temps que les précédentes expériences de culture à partir de la
spore, j'ai tenté des essais de produerion directe de fructifications sur le bois de |
l'arbre abattu. î - |
A cet effet, reprenant une tradition qui est Hotte ancienne (puisque, selon. Cordier,
elle remonte eu Dioscoride), mais qui fut renouée au siècle dernier par Desvaux,
lequel l’appliqua au Pholiota ægertta, j ’enterrai trois des rondelles de tronc d'Orme
dans le jardin de l'École Normale supérieure, en un endroit abrité et frais, sous une
couche de terreau de quelques centimètres d’ <paieur. Le sol fut maintenu humide à
l’aide de quelques arrosages. ;
Dès le printemps de 1910, la végétation ‘du nid se, Pie et au mois de
juin apparurent les premiers chapeaux. L’une des rondelles donna naissance à trois
séries successives de champignons, qui. furent récoltés le 15 juillet, le 28 août et fin
septembre. La seconde rondelle fournit trois récoltes également : 15 juin, 4 juillet,
fin août. Enfin la troisième rondelle ne dense que deux Pr en juillet et en
octobre.
Dans tous ces cas, les champignons apparurent par touffes sur la face supérieure et
-le bord latéral des ondeliés de bois ; chaque touffe, comme dans la végétation natu-
relle de cette espèce, comprend de nombreux DPpeaux nés sur les ramifications d’un
même pied. j
On ne peut avoir qu’une idée assez imparfaite du rendement d'ave telle cofiuré,
Dans l'expérience que je viens de rapporter, le poids de la récolte ne dépasse
guère 700%; mais d’après ce qu’on sait par les-expériences faites sur d’autres espèces
lignicoles, il est probable que la récolte se continuera l'année prochaine, et sans doute
plus longtemps encore.
En résumé, en premier lieu, on peut cultiver, sur les milieux artificiels
de laboratoire, le Pleurote Corne-d’abondance, espèce charnue et comes-
üble; on peut, dans certaines conditions, en obtenir le développement
complet, depuis la spore jusqu’à la spore: en particulier, sur un morceau
de bois d'Orme, préalablement stérilisé, on peut voir se développer des
fructifications normales, En second lieu, on peut obtenir une production
régulière de Pleurotes Corne- d'abondance en enterrant simplement des
rondelles de bois provenant d’un tronc d’ arbre attaqué par ce Champignon.
l
CHIMIE VÉGÉTALE. — Sur la conservation des matières salines pendant
le cours de la aie d'une plante annuelle. Note de M. G. ANDRÉ,
présentée par M. Armand Gautier.
ILest admis, le plus généralement, que: pendant le développement d’une
plante doll dont l’activité végétale ne dure que quelques mois, les
matières salines qui montent dans cette “plante ne la quittent plus: auntre-
D PT OR RO Ne OO + Te
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1379
‘ment dit, il n’y aurait pas d’excrétions desels parles racines. La possibilité
de cette excrélion, parfois acceptée à la suite d'expériences trop péu pro-
bantes, a été soulevée de nouveau dans ces derniers temps. Certains auteurs
ont montré, par une série d'essais bien conduits (!), que, à partir de
l’époque de la floraison notamment, le végétal se débarrassait d’une partie
des substances salines qu’il avait emmagasinées jusque-là; ce départ por-
tant, en quantités variables, sur tous les matériaux à la fois, acide phos-
phorique, chaux, potasse, soude. Il s'agirait donc d'un phénomène
d’osmose, inverse de celui qui se produit normalement lorsque la plante
emprunte au sol les éléments salins dont elle a besoin. Ce phénomène
d’osmose-versle sol coïnciderait avec une diminution dela vitalité du végétal.
Pratiquement, celui-ci est imperméable dans sa partie aérienne vis-à-vis
de l’eau de pluie pendant la période de sa croissance ; mais, lorsque certains
organes se dessèchent après floraison, l’eau de la pluie (et ceci est surtout
observable sur les feuilles) peut dissoudre par contact direct une partie dés
sels renfermés dans ces organes; en sorte que la perte de substances miné-
rales en fin de végétation serait imputable, non à une excrétion véritable,
mais à un simple lavage. Telle est l'opinion que soutenait Dehérain pour
expliquer les pertes salines éprouvées par les céréales, en particulier,
lorsque la récolte a séché sur pied. | | |
_ Il convient toutefois d’envisager la possibilité d’une excrétion véritable
parles racines de certaines substances fixes et même de l’azote à l’état de
nitrates. Mais cette excrétion doit-elle être regardée comme un phénomène
habituel? Beaucoup de végétaux conservent, même après maturation com-
plète de leurs fruits, {a totalité des sels solides qu'ils ont pris au sol. C’est
ce que j'ai vérifié sur la fève, le lupin blanc et l’œillette.
Ces plantes se sont développées en pleine terre dans les conditions nor-
” males d’une bonne culture. Je présenterai seulement ici les résultats que
j'ai obtenus avec l’œillette, dont la végétation a été suivie jusqu’à la fin de
la fructification, alors que les feuilles étaient presque totalement flétries.
Toutes.les parties de la plante ont été analysées à cinq périodes et l’on y
a dosé l'azote, l’acide phosphorique, la chaux, la magnésie, la potasse. Je
* (4) Nous citerons entre autres : WiLranTu, RÔMER und Wimuer, Ueber die Nakrstofje
der Pflansen in verschiedenen Zeiten ihres Wachstums (Land. Vers. Stationen,
t. LXIH,-1906, p. 1). — Serwvcer und Srürzer, Journ. f. Landwirthschaft, t. LVT,
1908, p.273: — SeLéans, /nstitut botanique de: Genève; 1907 et 1908.
C. R., 1910, 2° Semestre. (T. 151, N° 26.) ti - 182
; = 4
1380 7 ACADÉMIE DES: SONO nd,
n'ai pas cru utile, pour lé moment, d'étudier la répartition dé la 2. nc EE,
sf. He
-celle de la soude dont le rôle physiologique est obscur, ET
= Afin de ne pas allonger la discussion, je ne présenterai que les résultats
fournis par la plante totale, me réservant de revenir sur ei teneur _. À
TT ATe)
th
LS meet ce ot LEO à HALO PÉRTON ET AR EE
I: Voici le Tableau de L'expérience sur l'œillette, TADPOLIAR A à 100 0 pieds:
guio4 us opel
| dans :, 1,1 delamatière
Poids de la matière 100 parties | |
© 100 pieds de végétaux contiennent = dematière Cendres
racines comprises : fraîche. sèche. |: fraiche. totales. + les cendres.
ere vd 5 4111 anti POULET" LLALUET AALURIU LEE
13 juin 1910...:......:. 0199,8 137859, 92,72: , 86,6830 291,8670
28 juin (formation des bou-. 1! ke IGN des 28 26):
tons floraux). 15752,4 1682,80 89,32. 282,4154 :.1478,469t
x 13 juillet (floraison com- x Lo drroù sÉcidient 2
31492,0 3681592 88,31 544,1226 .3137,7974
29196,0 6220,48 78,65 800, 5520 _5419,9280
q
\
21800,0 7053,35 67,65 887,6834 | 6165,6666
Il résulte de l'examen dés chiffres ci-dessus que la plante a augmenté le
poids de sa matière sèche et celui de sa matière fixe totale jusqu'à la fin de
sa végétation. Il n’y a donc pas eu perte de matière saline. Depuis l’époque
où la maturité des fruits peut être considérée comme presque complète
(9 août), jusqu’au moment de la dessiccation partielle des feuilles, la inatière
sèche à augmenté de 8326, 07 et la matière saline de 858,1314. 1111
Ilarrive De que le poids de la matière séchée diminue en fin de végée
tation sans qu’on observe pour cela une perte correspondante de matières
fixes. En effet, à ce moment, alors qu’il ÿ a déshydratation partielle de
tous lesorganes et notamment des feuilles, la perte de substance que certains
organes éprouvent par respiration l’emporte sur le gain de substance dont
la plante entière peut encore hénétaies du fait de la fonction d’assimilation
chlorophyllienne.
Si l’on fait la différence entre les augmentations successives se poids. à
lamatière sèche (moins les. cendres) et les .aceroissements successifs de la
matière fixe et si l’on prend les CHPEURE des An ainsi obtenus, on à
les résultats suivants: | NETE
SÉANGE DU 27 DÉCEMBRE 1910. : 1381
Augmentation du)poids
EE TT,
de la matière sèche, dela Rapport
| moins les cendres! matière fixe. À
A. HUB: B°
TU PT £g A g
13 juin-28 juin... 1... 1186,6021 190 ,7324 6,0
28 juin-13 juillet, :..... 1659 ,3283 261,7072 6,3
13 juillet-9 août ..,..: ..:2282,13806 256 ,4294 8,8
8,
-
x août-23 août. ,...,., 745,7886 87,1314
On voit que le ROUE de la matière organique augmente plus vite que
celui de la matière minérale jusqu’à l’époque de la fructification: c’est là
un phénomène général. Entre le 13 juillet et la fin de l'expérience, les
accraissements de la matière organique et ceux de la mätière fixe ont été
parallèles. Mais, entre le9.et le 23 août, ce me sont:pas les mêmes matières
fixes qui ont participé à | l’augmentation qu'entre les dates des 13 juillet
et 9 août. tr EURE
Il. Examinons maintenant les variations successives des éléments des
cendres en particulier et celles de l'azote. Voici, aux différentes périodes
signalées dans le premier Tableau, comment se sont comportés ces divers
éléments (rapportés toujours à 100 pieds) :
Azote total. PO‘HS. Ca0/ Tee Me 0: K’0.
Ébendenos aurienr 19,6305 70858 * 101835 39838 26,6603
Tigra. 22.000890. t045% Gare saisemé ây,7ob3 12,120 88,7253
IH isusdeshenautes sn 1178,8804 68,:685 1où,28or 16,1864 144,9587
IV (fructification)........ 118,2680 go,3885 212,8398 28,0371 143,8268
NP cu pi i0 JOUOr D SOUS, 297, O2 27,391 160,2106
Jusqu’à la période de fructification (IV), tous les éléments subissent une
augmentation régulière. Entre le 9 et le 25 août, l'augmentation des cendres
totales est de 11 pour 100 environ. Seules la chaux et la potasse participent
à cette augmentation; la magnésie reste stationnaire ainsi que l’acide phos-
phorique, car on ne.peut regarder l'écart très faible des deux chiffres du 9
et du 23 août comme constituant une perte réelle. Cet arrêt dans l'absorp-
_ tion de l’acide phosphorique s’observe assez souvent : lorsque lamaturation
des graines commence, cet acide émigre des feuilles vers les fruits, mais la
plante n’en prend plus au sol.
L'augmentation notable de la chaux et celle de la potasse 0 montre que,
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1382 | xoiriiee DES SCIENCES: 4 Li
bien qu'il fût parvenu au terme de sa végétation, le végétal a encore
emprunté au sol certaines substances fixes.
En résumé, sans vouloir contester la possibilité du retour vers le sol de
certains éléments sakns ayant fait Pr de tel ou tel organe à une époque
déterminée de la vie de la pere j'ai voulu montrer, dans l’exemple qui
fait l’objet de cette Note, qu'aucune matière saline n’a abandonné le végétal
parvenu au terme deson existence et chez lequel les feuilles (qui ne renfer-
maient plus que 45,5 pour 100 d’éau au 23 août) s'étaient partiellement
flétries et ne fonctionnaient plus que d’une manière très imparfaite, sinon
douteuse, comme organes d’assimilation et d'élaboration.
PHYSIOLOGIE VÉGÉTALE. — Accoutumance du mais au bore: Note
de M. Henri AcuLuo, présentée par M. E. Roux.
L'accoutumance des organismes au milieu chimique sur lequel ils se
développent est un SAR Edbe d'ordre général. Certains microbes
s’habituent assez facilement, mines plusieurs passages, à vivre sur un milieu
qui serait antiseptique pour la même espèce non adaptée. Les expériences
d’'Effront sur la culture des levures en présence de flucrures sont caractéris-
tiques (*).
Dans le travail que j'ai publié au début de cette année sur l’utilité du
bore pour les végétaux supérieurs (?) j'avais déterminé les quantités
optimales et les. Lane toxiques de cet élément pour un certain nombre de
plantes; il m’a paru intéressant, comme suite à cette étude, de rechercher!
si des végétaux cultivés dans des terrains contenant une dose de bore trop
élevée et cependant pas encore mortelle ne pouvaient transmettre à leurs :
graines une certaine accoutumance vis-à-vis de cet élément. Ge
J'avais fait en 1909 des cultures de maïs en pleine terre, d'une part dans un lot
témoin (À) non additionré de bore, d’autre part dans un lot (B) qui avait reçu 28 de
bore sous forme d'acide borique au mètre carré. Les plants cultivés dans ce dernier
lot avaient fortement souffert de cette dose trop forte, surtout au début de leur
croissance : ils gardèrent pendant toute la culture une teinte jaunâtre ; néanmoins j'ai
pu les mener ainsi que les témoins à maturité. Les graines de B étaient moins belles
que celles de À : 100 graines À pèsent 256,5; 100 graines B pèsent 208,5.
2 009 OEM
(1) Monit. scient., 1894.
(*) H. AGuLnon, Comptes rendus, 1. 150, 1910, p. 288 et Recherches sur la pré-
sence et le rôle du bore chez les végétaux ( Thèse Doct. Sc. nat., Paris, 1910).
4
.
4
4
SÉANCE DU'27 DÉCEMBRE 1910. 1383
Ces graines ont'été ensemencées cette année dans un terrain déjà additionné -de
bore l’an dernier, et qu’un labour profond a rendu bien homogène. Ce terrain est
divisé en trois portions de 3% chacune, Dans la première (1), on n’ajoute pas, de
nouvelle quantité de bore; la seconde (II) est arrosée de 38 d'acide borique par
mètre carré (08,5 de NT dose optima d’après les expériences de l’an dernier: la
troisième (III) de 128 d’acide borique (25 de bore) au mètre carré, dose déjà toxique.
Chaque portion est divisée en deux parties égales: dans l’une’on sème des graines A,
dans l’autre des graines B.
Ensemencés le 28 avril, les plants sont récoltés à maturité le 30 septembre 1910.
Dans le lot III où la dose est toxique, il était nettement visible que les plants prove-
nant des graines B étaient plus beaux que les plants A. La récolte sèche totale de III A
est d’ailleurs de 4706, alors que celle de III B est de 8308; d’autre part, les plants
I et II B sont plus forts que I et II A, bien que provenant de graines de plus faible
poids. Le Tableau suivant donne les poids moyens obtenus pour un plant de chaque
lot :
Poids moyen d’un plant
om © ee
frais. À sec.
A — EE
Terrain ayant recu du bore Tige et Tigeet
Pan dernier. feuilles. Épis. Total. feuilles. Épis. Total.
g 5 ACTE & 8. g
[ | Pas de nouvelle { A..... 297 136 433 87 65 152
ED ae | addition de Bo. | B..... 348 138 386 ‘104: : 66 170
Il Addition de.08,5 ( A..... 205 116 321 64 79 143
Live Bo au m?, PAR EtS 220 194 7 A1 88. 86 174
III | Addition de 38 | A..... 92 HOrU :462 23 36 59
het Bo au m°,. Le NP: t: 91 34 75
Il apparaît donc que les graines fournies par des plantes ayant crû en
présence d’une quantité de bore élevée présentent une accoutumance vis-à-
vis de cet élément; les plants auxquels elles donnent naissance semblent
‘non seulement taie un meilleur emploi des petites doses de bore qui leur
sontoffertes, mais encore supportent les doses toxiques plus facilement que
les plantstémoins, issus de graines non accoutumées.
PHYSIOLOGIE VÉGÉTALE. — Maturation provoquee des graines. Action
antigerminative de l’aldéhyde éthylique. Note de M. P. Mazé, présentée
par M. E. Roux.
Les graines de maïs, de pois, cueillies sur l’épi ou dans la gousse au
moment où elles renferment 5o à 60 pour 100 d’eau, ne germent pas
lorsqu'on les place, à l'abri des microbes, LE des conditions favorables à
l'é volution de la plantule.
; a
V1 wi (1 “BD }:
naissance à Be An uses ‘#4
A titre d'exemple à l'appui de cette étés à jec citerai rs suivant: on Le |
emprunte, à un épi demais, A lots de graines; le n° 1 estmis à germer immé; Re
diatement; les autres, après une dessiccation plus ou moins avangée à l'air.
Le Tableau I donne la marche de la wompiuion: eib ses uoirroguaripédo
\y
OPCTIIT «
: TABLEAU ls inalqy |
HE - {Nombre Humiditéionslian tin H | B ef ni ol. sk 2400
: Numéros, de graines. pour 100 ; Nombre & graines germées . SN ide
Fees, ÉUPEdabs LIRE. MM SOL URLES Es = au bout de «
lots. © chaquelot. graines. 3, 4, v.6, DD 9010 LL TR 18 14, 15 jours
pt: ec A 53,1 M Sge Me CURE ER NE
19 lt 16 19 hé
1 3734, 15 à
20— 39,58 QAR 100102 E7 18 20
Une simple perte d’eau permet donc à des graines non mûres d'acquérir
leur pouvoir germinatif; mais cette perte d’eau entraîne nécessairement
quelques transformations auxquelles il faut attribuer les résultats exposés.
On peut supposer qu’elles consistent, soit :
1° En une oxydation de substances capables de maintenir l'embryon à
l’état de vie latente, d'anticorps pour employer un terme significatif très
usité en physiologie animale: . : |
2° En phénomènes de condensation te qui ét Ja OR
sition du sue cellulaire ;
3% En une évaporation de corps volatils dont la présence empêche Fénus
. lution de l'embryon.
De ces trois hypothèses la dernière seule se vérifie par l'expérience.
La dessiccation dansle vide ou dans une atmosphère de gaz carbonique -
produit le même résultat que la dessiccation À Pair libre, ce As exelut
l'intervention directe de l’oxygène.
Le gonflement préalable des graines müres, dans le suc extrait de
semences vertes, brut ou filtré sur bougie, chauffées ou non chauffées, pro-
_ voque un retard sensible de la germination sans qu'on puisse noter une
différence appréciable dans les divers cas, ce qui permet d’écarter en
même temps la première et la deuxième hypothèse.
Les graines vertes renferment, gshaues, heures après la cueillette, des
quantités dosables d’aldéhyde.
20 graines de maïs, soumises à la distillation immédiatement après! la cueillette,
‘
à
Ha
«= D Let ONE Re VE NT l'US
SÉANCE DU 97 DÉCEMBRE 1910. 1385
dontient 08, 045 d'alléhydé : consérvéés 24 heures sous cloche humide, 26 graines du
mêmé épi donnent 06, 1 d’aldéhyde, cé je correspond à 554 d’aldéhyde dans l’eau
du suc cellulaire, les 20 graines pesant 126 à l’état humide et rénfermant 42,8 pour 100
d’eau.
Séchées à l’air ét Soumises à la distillation avéc un pêèu d’eau, les graines dé maïs nè
renferment pas d’aldéhyde.
É Ce résultat confirme la troisième hypothèse.
2 Il convient d’en donner une démonstration plus complète.
On fabtit facilement que des graines normales placées dans des solutions d’aldéhyde
AU 5000 AU 73856 AU 55900 perdent leur pouvoir germinatif plus vite que dans l’eau
distillée. L’aldéhyde agit donc comme antiseptique; mais dans l’eau distillée les graines
en forment aussi des quantités très sensibles et là destruction du pouvoir germinatif est
Ne due encore à l’aldéhyde. On peut redonner à la graine sa faculté germinative en la
4 faisant envahir par uñe moisissure aspergillus, mucor, botrytis ou sclerotinia, etc,;
la moisissure détruit l’aldéhyde et semble ainsi opéret la résurrection de l’embryon (!)};
mais on n'obtient pas le même résultat si l’on chasse cet aldéhyde par la dessicéation
de la graine; l'embryon reste inerte, contrairement à ce qui se passe avec des graines
non mûres. L’aldéhyde qui se forme dans cés dernières n’est pas assez abondant pour.
tuer l'embryon ; mais il maintient la vie latente en empêchant les sécrétions diasta:
siques. |
‘ L'invasion des graines non müûres par les moisissures doit donc äussi
| provoquer leur maturation sans dessiccation préalable, J'ai réalisé cette
expérience au cours de deux automnes consécutifs sur des épis de mais
” cueillis avant la maturité.
*
On les contatnine d’abord par dés spores dé moisissures, èn inoculatit ces dernières
au moyen d’une lancetté, en un point déterminé; on les placé sous cloche humide à la ;
température du laboratoire; un:épi témoin est conservé dans les mêmes conditions à
l'abri des moisissures.
Au bout d'une quinzaine de jours le res devient apparent autour du point
d'inoculation; les graines germent bientôt dans toute la partie envahie et, à mesure
qué le Hycéliurh couvre l’épi, lés plantules évoluent avée lui, pendant que sur l'épi
témoin aucune graine né germé.
% Si l’on distillé uniépi moisi et gérmé, on constate qu'il ne rénférme pas d’aldéhyde;
dans l’épi témoin la concentration du suc cellulaire enaldéhyde èst d’eñviron 544%:
La maturation des graines s’est accomplie encore sous l’influence de la même cause :
la disparition de l’aldéhyde.
J'ai déjà montré que les grains de pois produisent des quantités impor-
tantes d’aldéhyde; il en est de même des sucs de plantules, ainsi Sie le
rte _ rs du Tableanf I.
()P. Mie, des dass Pasteur, 1900.
dé A
s'u EL SUCL Lans,
L »
n., lei ]
Au, a:
"+
t
1386 ACADÉMIE DES SCIENCES., :
On place dans une atmosphère confinée d’un litre environ, sous une dépression de
. » » 1 3 dis
roowm de mercure, les joints et les bouchons étant noyés sous le mercure, 30% de
Be suc additionné de 15 pour 100 d’alcool éthylique: cette concentration en alcool et la
l formation rapide d’aldéhyde empêchent tout développement microbien dans le suc
£ brut. Le suc filtré et le suc brut chauffé à 100° sont naturellement privés de tout
BE | . germe bactérien. : débile lis
ss Réalisée à la température du laboratoire, l'expérience a donné les résultats suivants
après une durée de 5 mois : À
Tagceau Il. |
Volume à Aldéhyde
gazeux final | HA 1 formé
| en Composition centésimale . par litre
État centimètres <<" mme — O D CS dos milli-
des sucs. cubes. - AZ. CO:. O. disparu. formé. grammes.
cm em 3
Sut'brüut ti. _ 620,48 84,38 1,66 13,96 51,93 10,30 80 e
Suc brut chauffé. 971,68 83,731 10,92" 110,35 66,17 6,81 33,33
Suc filtré..... ... 814,30 Br fp,15 61m of 37,03 9,36 71,42
Le calcul a été fait en supposant que l’azote gazeux n’a pas varié pendant
lexpérience. L
On voit que le suc des plantules est le siège d’une absorption d'oxygène
dont une partie est employée à oxyder l'alcool. La production d’aldéhyde
que j'ai déjà rattachée aux phénomènes de digestion et d’assimilation des
substances hydrocarbonées apparaît donc ainsi, une fois de plus, comme
| une fonction physiologique normale. Ce qui lui donne un intérêt tout
particulier dans ses rapports avec la vie de la cellule de l'embryon végétal,
c’est le rôle de régulateur qu’il joue dans la maturation des graines. Des
influences de cette nature sont, je le répète, attribuées d'ordinaire à des
substances complexes, mal définies, des albuminoïdes généralement; les
faits que je viens d’exposer prouvent que la cellule vivante arrive à ses fins
par des moyens simples; je ne veux pas dire par là que l’aldéhyde éthylique
doit être mis en cause dans tous les cas; il est probable que c’est surtout la
fonction chimique qui est en jeu; et cette fonction chimique appartient,
on le sait, à une foule de corps. 1 LE
PHYSIOLOGIE VÉGÉTALE. — L'action de la lumière sur la chlorophylle.
Note de M. P.-A. Daxcrar», présentée par M. Mangin.
On sait qu’une solution de chlorophylle s’altère rapidement sous l’action
de la lumière : mais le rôle des différentes radiations dans la production du
phénomène n’a pas été établi, d’une façon très nette, semble-t-il, car les
PARTONS
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1387
auteurs les plus récents se bornent à signaler l’action plus active de la moitié
la moins réfrangible du spectre.
Nous avons essayé de donner une plus grande précision à cette détermi-
nation.
Notre méthode est fort simple : une solution de chlorophylle dans l'alcool est incor-
porée à du collodion, puis étendue en couche mince sur une simple plaque de verre ;
celle-ci est exposée ensuite à l’action d’un spectre très pur, tel que ceux qui nous ont
déjà servi dans des expériences précédentes.
Sous l’action de certains rayons, la chlorophylle se décolore, alors qu’elle reste inal-
térée partout ailleurs.
La plaque fournit ainsi un spectrogramme qui, au bout de plusieurs
heures, indique, avec une précision absolue, quelles sont les radiations
actives et quelle est la différence d’action de ces radiations vis-à-vis de la
chlorophylle.
La décoloration s’est effectuée, tout d’abord et complètement, dans la
partie qui correspond à la bande principale d'absorption de la chlorophylle
et elle s'étend ensuite progressivement dans la région voisine qui comprend
les trois autres bandes d’absorption : la seconde moitié du spectre n’a montré
jusqu'ici aucune action appréciable; bien que la plaque soit restée une
‘huitaine de Jours soumise à l’action du spectre.
On peut utiliser ce spectrogramme, afin d'en saisir tous les détails, de
plusieurs façons différentes : ou bien en s’en servant directement pour tirer
des épreuves sur papier photographique, ou bien en Peneponnant à l’aide
de ce spectrogramme une plaque plus sensible ; celle-ci peut, à son tour, être
utilisée pour obtenir des épreuves dans lesquelles les parties décolorées se
montreront en blanc sur fond noir.
Nous ne ferons pas ressortir ici les différences qui existent entre notre
méthode et l'expérience célèbre de E. Becquerel : celle-ci, avec les travaux
de Vogel, se rattache plus directement à la question des sensibilisateurs
optiques.
Nous pouvons dire cependant que le but que nous poursuivions à pu être
dépassé : si l'établissement d’un spectrogramme, dans les conditions que
nous indiquons, permet de fixer photographiquement l’importance et les
longueurs d’onde des radiations qui décolorent la chlorophylle, ce même
spectrogramme constitue un moyen facile, en l’absence de plaques panchro-
matiques ou autres, de photographier les bandes d'absorption de la chlo-
rophylle situées dans la région orangée et rouge.
C. R., 1910, 2° Semestre. (T. 151, N° 26.) 183
2
: ACADÉMIE DES SCIENCES. ue
Notre méthode est d’ailleurs générale et elle pourra être appliquée
à l'étude de toutes les substances colorantes sensibles à l’action de la
( =
EURE | if sac RAT Y'A
Ur. AGRONOMIE. — Sur l'existence d’un riz vivace au Sénégal.
ra Note de M. P. Ammanx, transmise par M. A. Müptz. RE.
Des explorateurs, parmi lesquels des naturalistes, ont signalé, sous le #4
nom de riz sauvages, des riz spontanés qu ils ont rencontrés au cours de 5
leurs voyages en Afrique : Schweinfurth en a trouvé dans le Bahr-el-Gazal;
Cameroun entre le lac Tanganika et la Côte occidentale; le Père Sébire
à sur les bords du Niger; Casimir Maistre dans des marais du Haut-Chari;
| | plus récemment, Aug. Chevalier a signalé un riz sauvage rencontré dans «3
le Haut-Congo, et retrouvé depuis, ailleurs, par Luc; nous avons rencontré
nous-même, près de Niafounké (Niger), un riz sauvage (Tierow-Mô, ou riz |
des oiseaux) bien connu des indigènes/pour se ressemer de lui-même.
Mais le riz qui fait l’objet de cette EURE NE se différencie nette-
ment des riz précédents. |
En juim 1909, pendant un séjour au Sénégal, nous avons trouvé dans la
$ région de Richard-Toll un riz spontané, poussant sans recevoir aucun soin
À dé la part des indigènes, et rentrant bien de ce fait dans la catégorie des riz
1 sauvages. Mais ce riz présente une particularité, celle de posséder des tiges
souterraines : ces rhizomes lui permettent de se reproduire sans l’interven-
tion de graines, en lui fournissant la possibilité de végéter à la facon du
chiendent. C’est ce caractère tout particulier de plante vivace, caractère
: qui semble bien n'avoir jamais été signalé par les auteurs cités plus haut, ni
; par d’autres, qui fait l'intérêt physiologique et économique de ce riz.
Du reste, il est bien certain que ce caractère de plante vivace n'appar-
| tient pas indistinctement à tous Les riz sauvages: : le riz de Niafounké (Tierow-
* MG) mis en culture au Jardin colonial n’a pas fourni de rhizomes alors que,
dans les mêmes conditions, le riz de Richard-Toll en donnait. |
Ce riz vivace, ou ris à rhizomes, couvre dans la région de Richard-Toll:
des espaces assez importants : il est bien connu des indigènes qui le récol-
tent chaque année, et l’emploient pour leur nourriture. Se.
_ Mais les indigènes ne donnent à ce riz aucun soin de culture. Les rhizomes restent
dans le sol, supportent-sans périr toute la saison sèche qui, on le sait, dure 8 mois et,
lorsque surviennent les premières pluies, entrent en végétation; on voit poindre
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1389
immédiatement les jeunes pousses : on croirait voir un champ de blé qui lève, Les
terrains occupés par ce, riz sont inondés par le Sénégal ou ses affluents : au fur et à
mesure que le niveau de l’eau monte, la plante grandit de façon à conserver toujours
à peu près la même longueur de tige au-dessus du niveau de l’eau. Ce phénomène
reproduit, en petit, ce qui se passe pour le riz flottant de l'Indo-Chine ou le bourgou
du Soudan, En même temps que les tiges aériennes poussent, les rhizomes souterrains
-_ cheminentet vont reformer, quelquefois à plusieurs décimètres de distance, une nou-
velle tige aérienne,
L'indigène n’a donc d'autre souci que d'attendre le moment de la récolte, en préser-
vant toutefois le riz contre les troupeaux qui en sont très friands lorsque les tiges
sont encore vertes. Le grain est récolté immédiatement après le retrait des eaux, sou-
vent même il y a encore des mares stagnantes sur le terrain. Pour faire la récolte,
l'indigène se sert d’une petite calebasse qu’il introduit sous les épis : il donne un coup
sec de bas en haut et recueille ainsi les grains; l'habitude des noirs est telle que
presque tous les grains se trouvent ramassés, il n’en tombe que fort peu qui peuvent
alors germer aux premières pluies. La récolte faite, les indigènes laissent les trou-
peaux manger les jeunes pousses qui repartent toujours du pied tant que subsiste un
peu d'humidité.
Ce riz est extrêmement vigoureux et pousse avec une grande rapidité : il se mar-
cotte et se bouture avec la plus grande facilité.
L'épi, assez bien fourni, porte des épillets très fortement barbus. Le grain, allongé,
mais un peu grêle, très rouge, présente sur chaque face un sillon très marqué, ce qui
doit rendre plus difficile son polissage et augmenter les chances de brisures. Le grain
très sec, assez dur, se gonfle dans l’eau en abandonnant une grande partie de sa ma-
tière colorante. Il est très estimé des indigènes qui le recherchent pour la fabrication
du couscous; il est très pauvre en matières azotées (5,80 pour 100) et riche en amidon
(70,50 pour 100).
La paille n’est employée par les indigènes qu’à couvrir leurs cases; les animaux
mangent facilement les tiges sèches abandonnées sur le sol.
Ce riz vivace ne fait actuellement l'objet d'aucune TRE les indigènes
se contentent de récolter son grain sans même songer à augmenter l'étendue
des terrains vERNpes par la plante. Et cependant ce grain à pour les indi-
gènes de la région une valeur très réelle puisqu'ils l'échangent à Saint-
Louis contre le riz d'importation à raison d’une calebasse de riz vivace
contre trois calebasses de riz importé,
Mais la plus grande qualité de ce riz est de pouvoir donner une récolte,
sans exiger aucun travail, puisque la plante subsiste dans le sol, d’une
année à l’autre, grâce à ses tiges souterraines, et repousse d’elle-même aux
premières pluies. Dans les régions où la main-d'œuvre est rare ou pares-
seuse, il est donc tout indiqué d'augmenter par des cultures l’étendue des
terrains où se trouve ce riz; les indigènes pourraient avoir ainsi, sans qu’il
en résultât pour eux la moindre peiné, des réserves alimentaires impor-
Lune fais ma Dar AT SAN ce CORTE SEE RSS LS db ie
1390 ACADÉMIE DES SCIENCES.
tantes, qui leur permettraient de surmonter des périodes plus ou moins
longues de disette, provenant de conditions climatériques défavorables
aux cultures locales. Et l'importance de cette considération n ’échappera à
personne si l’on songe que le riz forme, sur le globe, la base de la nourri-
ture de près d’un RTE d'individus, et que cette céréale, qui est semée
directement en place en Europe et aux États-Unis, est par contre repiquée
à la main dans tous les pays d’Extrême Orient, ce qui constitue un travail
énorme.
Le riz vivace pousse dans la région de er À Toll des des terres très
légères assez riches en azote et potasse, mais pauvres en acide phospho-
rique et en chaux. Cette terre contient en outre 0,84 pour 1000 de chlo-
_rure de sodium, ce qui permet de supposer que ce riz se comporterait bien
en terres salées. Il serait donc posssible de l’utiliser pour les vastes terri-
toires tels que ceux qu’on rencontre le long du Sénégal dans l’extrémité
inférieure de son cours, où la présence du sel est un obstacle à toute cul-
ture. Ce riz serait aussi très intéressant pour les pays à tèrres salées, qu’on
dessale en vue de la culture ultérieure du coton (Égypte); ou d'anties
plantes (Camargue).
On pourrait donc sans aucun inconvénient étendre considérablement
l'aire de culture de ce riz. Il est déjà utilisé pour la nourriture des indi-
gènes; 1l serait très facilement admis, une fois poli, dans la consommation
européenne. Sous la forme de paddy (ou riz non décortiqué) il peut être
employé dans l'alimentation des chevaux. Simplement décortiqué, il forme
une matière première amylacée intéressante pour l’industrie. Récolté en
vert il donne un fourrage excellent, ressource précieuse pour les pays tro-
picaux à longue saison sèche.
Les méthodes culturales dont nous disposons aujourd'hui, la selon:
la création d’hybrides permettraient sans aucun doute, tout en conservant
le caractère vivace de la plante, d'obtenir des grains meilleurs comme
forme, taille, ou même richesse en azote. Et l’on obtiendrait alors des
variétés qu’on pourrait cultiver plusieurs années de suite sur le même ter-
rain, sans avoir besoin de replanter chaque année (un peu à la façon des
prairies temporaires d'Europe). Dans les pays où l'irrigation est possible
et de pratique courante, il semble qu’il y aurait facilement possibilité
d'obtenir deux récoltes par an.
Des recherches plus approfondies permettront sans doute de signaler, dans
les différentes régions africaines, des riz possédant le caractère vivace dé
celui que nous avons remarqué à Richard-Toll.
Lg ré 25 A dE RTS HE LS ESS ltut d Bees.
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1391
CHIMIE PHYSIOLOGIQUE. — Sur la nature lipoïdienne d’une substance active
sécrétée par le corps jaune des Mammüféres.. Note de MM. P. Bou
et P. Ance.
Les recherches que nous poursuivons depuis plusieurs années sur les
sécrétions internes des glandes génitales nous ont amenés à vouloir repro-
duire, au moyen d’injections, les phénomènes conditionnés par ces glandes.
Pour éviter les causes d'échec, nous avons voulu déterminer les conditions
d'extraction et de conservation des substances actives qu elles élaborent.
_ Ce sont les premiers résultats de ces recherches, en ce qui concerne le corps
jaune, que nous allons indiquer dans cette Note:
Lorsqu'on étudie au point de vue microchimique les produits de sécré-
. tion de la cellule lutéinique, on s'aperçoit qu’ils sont essentiellement con-
situés par des granulations lipoïdiennes. Celles-ci sont de diverse nature,
comme le montre l’emploi des réactifs utilisés pour la mise en évidence des
corps gras. L'étude morphologique de cette cellule tend donc à faire penser
que l'élaboration de substances lipoïdiennes constitue une de leurs fonctions
essentielles. Aussi nous sommes-nous demandé quelle pouvait être l'im-
portance physiologique de ces substances lipoïdiennes.
Nous avons tout d’abord vérifié les résultats obtenus par différents
auteurs (Lambert, Livon fils, Villemin) sur l’action physiologique des
extraits de corps jaunes.
Nous avons choisi pour cela des corps jaunes de Truie (1) et les avons érès finement
broyés au sable; nous les avons ensuite fait macérer dans cinquante fois leur poids de
solution physiologique pendant 24 heures à la glacière, avons centrifugé le liquide et
l'avons injecté dans la veine marginale de l'oreille du Lapin. Nous avons ainsi pu véri-
fier que cet extrait est très actif chez les Lapins, qui succombent en présentant les
phénomènes décrits par Lambert et Villemin (éternuements, nystagmus, exophtalmie,
crises convulsives, mort par arrêt respiratoire) et qu’injecté à faible dose il provoque
une forte chute de la pression sanguine.
Nous avons ensuite cherché à savoir si la substance active était sécrétée
par le corps jaune et ne se trouvait pas uniformément répartie dans tout
l'ovaire.
CD faut avoir soin de choisir des corps jaunes absolument frais, pendant les
périodes de développement et d'état. Leur activité va toujours en diminuant pendant
la phase d’involution.
1302 ACADÉMIE DES SCIENCES. !- |
Pour cela, nous avons traité comme précédemment, poids égal de corps jaune d’une
part et d’ovaire sans corps jaune d'autre part. Nous avons fait chacun de ces Et 1
en broyant les organes dans cinquante fois leur poids d’eau salée physiologique. L'in-
jection de ! centimètre cube de l'extrait de corps jaune tue en une minute un Lapin |
de 15008 et 1°° de l'extrait d’ovaire ne produit comme action qu’uné légère accélé-
ration respiratoire. ;
t AIN s. :
Cette expérience montre donc qu’il existe dans l'ovaire une substance
très active et que celte substance se trouve dans le corps jaune, ,, nl
L’extrait de corps jaune centrifuge est trouble. Filtrons clair cet extrait. Nous le
divisons en deux parties : ‘une partie liquide qui est sous le filtre et une autre, cons-
tituée de particules figurées, qui reste sur le filtre, Le liquide injecté dans le sang du
Lapin n’a aucune activité; la masse de particules figurées, remise en émulsion dans de
l’eau salée physiologique et injectée dans le sang du Lapin, reproduit les mêmes phé-
nomènes que l'injection du liquide trouble. Il se montre doué d’un pouvoir toxique
considérable : la dose mortelle pour 1*# de Lapin est moins de 1 demi-milligramme
de substance sèche.
La substance active du corps jaune est donc insoluble dans le sérum phy-
siologique, ainsi qu’un de nos élèves, M. Villemin, l’a déjà signalé.
Pour obtenir de plus amples renseignements sur la nature chimique de
cette substance insoluble dans le sérum physiologique, nous avons cherché
à l’extraire en plaçant des corps jaunes très finement broyés à la glacière
pendant 2, 3, 4 et 5 jours dans des solvants divers : chlorure dé sodium à
10 pour 100, carbonate de soude à 1 et à 5 pour 100, eau aiguisée par des
acides minéraux ou organiques, alcool à divers degrés de concentration,
neutre ou acidulé. Les tentatives faites dans cette direction ont été extré-
mement nombreuses et dans aucun cas nous n'avons pu obtenir la disso-
lution, même en très faible partie, de la substance active. L’insolubilité
absolue de cette substance dans les divers solvants employés montre qu’elle
ne possède pas les caractères de solubilité des ferments, des protéides et
des bases organiques. L'hypothèse d’une substance active de nature lipoi-
dienne est donc renforcée par ces constatations.
Si l’on dessèche au froid et dans le vide des corps jaunes broyés et si l’on
puise la substance ainsi desséchée par différents solvants des matières
grasses, on s'aperçoit qu'elle est soluble dans l’éther, l'alcool absolu,
l’acétone, le chloroforme, le benzol, le sulfure de carbone, l’éther de
pétrole, etc. Le résidu laissé après évaporation de ces solvants, purilié par
des passages dans les divers solvants des corps gras, possède, sur le Lapin,
essentiellement la même action que l'extrait total de corps jaune. La
—
Ti ds 8 ic o PANRE EE NT TE UT « MN PAPER
SÉANCE sat DÉCEMBRE 1910. 1393
substance active de ce dernier organe présente donc les caractères de solu-
À bilité des matières lipoidiennes. Ses propriétés sont aussi d’acçord avec la
. notion fournie par ces caractères de solubilité. Elle est thermostabile. .
EX A l’état sec, elle résiste à une température prolongée de 70° à 80° ; elle perd
ses propriétés physiologiques quand on la chauffe en milieu humide ; elle à
ve les perd instantanément en présence des alcalis libres, même très dilués,
4 ___ et:lentement en présence des acides dilués. Elle les perd aussi lentement
7 quand on la conserve à la température ordinaire à l’état humide. Les
E- solvants des corps gras ne sont susceptibles de l’extraire des organes que
l lorsque ceux-ci ont été préalablement desséchés. Ils ont en outre sur elle
une action nocive et diminuent son activité. Cette diminution est d’ailleurs
variable “avec les solvants employés : très considérable avec certains
(alcool méthylique par exemple), elle l’est beaucoup moins avec d’autres
(benzol par exemple).
En somme, toutes les propriétés de la substance active que nous'avons
étudiée militent en faveur de sa nature lipoïdienne. Notre étude montre en
outre que les phénomènes généraux provoqués par l'injection d’extrait total
sont dus à la présence dans cet extrait d’une substance lipoïdienne qui s’y
trouve en suspension.
»
ANATOMIE COMPARÉE. — Relation du poids encéphalique à la surface réti-:
: nienne dans quelques ordres de Mammifères. Note de M. Louis Lapicaoue,
EZ = présentée par M. Edmond Perrier. -
J'ai montré antérieurement (‘) que le poids de l’encéphale est fonction
de la grandeur de l'œil. La suite de mes recherches m'a fourni de nouveaux
faits très significatifs en ce sens.
| 1° Carnivores. — Le poids relatif de l’encéphale (exprimé par le coeff-
ER cient céphalique de Dubois, rapport du poids. de l’encéphale à la puissance
… 0,56 du poids du corps) est, presque exactement, deux fois plus grand chez
F = les Canides que chez les Mass : le coefficient oculaire (rapport du dia-
“ mètre de l'œil à la puissance - : du poids du corps) varie d’une fanulle à
l’autre à peu près dans la même proportion é ).
(: } Cénaues rendus, 20 juillet 1908.
1e ) La Loutre. fait exception; elle a un coefficient SAHARA égal à celui des Canidés
1% avec un coefficient oculaire un peu RE grand seulement que celui des Mustélidés; des
+ faits Analogues dans d’autres ordres m'ont déjà amené à penser que les Mare
4 | aquatiques doivent être considérés à part.
1 394 D" | acanéure DES SCIENCES.
+ “4
La Genette ( Viverrides) présente à la fois un coefficien
AneFRCIENE oculaire très voisin de ceux des Félidés. |
Criroprères. — La comparaison des deux sous-ordres, ones distinct fs. s
à bien des points de vue, montre un exemple remarquable dela relation q qui
nous occupe. Les Insectivores ( Chauves-Souris) ont à la fois un très petit .
cerveau et un très petit œil; chez les ere mea 5 deux
organes sont, bon comme l’autre, Dinqià
brie | ke
Voici mes chiffres ::
De 3 Canidés.
| Poids + + © dd | Coefficient |
des corps de l’encéphale. oculaire. céph.x<100. oculaire.
mm
TPE» 38
10. bas HAE 44
Chien (moyen).. 17,000 Rp or. A TS 3822
“Loup.......:.. pd: 4 ne NAN CES
Éé (TE Mustélidés.
Hermine... AT
Patoishess hrs 12,14
Blaireau .., [2 04 34
Viverridés.
RL] L
Génetle......... ‘18 ; 19,50
| Félidés.
29
133
l
:Chiroptères insectivores.
Pipistrelle . TL 9h 0,12 1,0
Noctule É 19 _ 0,30 1,9
Chiroptères frugivores.
Roussette (1)... 219 0,6 Hallrtaf 32 9
RowGeurs. — Dans cet ordre, très hétérogène, les grandeurs céphaliques
?
d’une part, oculaires de l’autre, sont très variées, même entre espèces d’un
même ges la relation d’une des grandeurs à à Pautte apparaît sans calcul.
(*) Pteropus medius.
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1305
Voici les chiffres de 12 espèces, chaque chiffre résumant plusieurs observa-
tions individuelles :
Poids . Poids de Diamètre
du corps. l’encéph.. oculaire.
À. Souris, .Mus musculus L:...:::,4. 144.1 14,7 110,39 2,9
B. Mulot, Mus sylvaticus L.............. 4. is 21,6 0,59 3,5
CG. Campagnol, Microtus agrestis Lynh sons 30 0,43 3,0
D. Lerot, Eliomys quercinus L..:......:..:. 44 1,25 5,5
E. Gerboise, Dipus hirtipes Licht............. dy 1,85 7,8
F.Ratinoir, Mus rattus Liu sua, Las ni 148 1,82 647
G: Ecureuil, Sciurus vulgaris L......:..12. 287 5,81 10
H. Rat brun, Mus norvegicus Erxl............ 370 2,30 5}5
1 Cobpaye, Carta porcellus Lime IE, 675 4,54 10
J. Lapin, Oryctolagus cuniculus (ferus)..... 1440 10,4 179
K. Marmotte, Arctomys marmotta L..... ..:. 1 3000 12 16
..L. Mara, Dolichotis patagonica Shaw......... 6760 HS 24 1027
108. | 100 &. Tkilog. 10k.
encéphaliques
=
di)
Le
surfaces
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ms.
2.
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des poids
|
F | re
< RE pe
| pan | Ets
19cm ; É ' À
is ARE OED EN CIEXE FGR2 TT K L
, 0 e pue ne oËr 0 4
Sur des axes de coordonnées logarithmiques (afin d'éviter lPétalement excessif à um
C. R, 1910, 2° Semestre. (T. 151, N° 26.) 104
u 4 A L: . X 4 ar L * A à e à “ En +1
ER : ; ! E
Fe 1396 10 ACADÉMIE DES SCIENCES. NTOU
L De L * s h ÿ A : dv +. es En»
| bout du tableau comme: le resserrement inextricable à-lautre) portons horizontale-
x ment les poids corporels, puis, verticalement, pour chaque espèce; ainsi définie en
L . .
es abscisse : "4 A pas Je
&: 1° Le poids encéphalique; 2° la surface rétinienne (carré du diamètre oculaire mul-
3 _tiplié par 7, puis arbitrairement par 100 pour faciliter les comparaisons); 3° la sur-
4 face du corps (puissance ? du poids multiplié par constante de Meehprise iciégale à 12).
Les surfaces cutanées donnent ainsi une droite; les points qui représentent pour chaque
espèce la surface rétinienne d’une part, le poids encéphalique de l’autre; ne peuvent
être interpolés par uné courbe analytique; mais joïgnons-les par des droites, simple-
ment-pour les repérer à l'œil : il apparaît nettement que le poids encéphalique!suit les
fluctuations de la surface rétinienne bien plus que la variation systématique de la sur-
‘face cutanée. | u#0
En calculant sur les proportions réelles, on trouve que l'unité de surface
rétinienne possède une correspondance pondérale dans les centres encépha-
liques qui est plus de 300 fois celle de l’unité de surface cutanée prise comme
mesure de tout le reste du corps.
:
…
BIOLOGIE. — Sur le mode d’action des Asterolecanium, parasites externes
- des tiges. Note de M. C. Houam», présentée par M. Ed. Prillieux.
Un grand nombre de parasites animaux apportent une perturbation im-
portante dans le développement des végétaux, soit en détruisant leurs tissus,
£ soit.en y provoquant une sorte de-réaction qui se traduit par l'apparition
des tumeurs bien connues sous le nom de galles ou de zoocécidies.? I] est
donc tout particulièrement intéressant de rechercher quel est le mode
d'action d’un parasite sur les mêmes organes appartenant à des plantes
différentes et de voir comment ces organes réagissent à l’action parasitaire.
D’autre part, si l’on constate des différences dans leur façon de réagir}il y
a lieu de se demander si une disposition anatomique spéciale ne permettait
pas d’en donner l’explication. , | S
J'ai cherché à résoudre cet intéressant problème de biologie. J’ai pris, à
défaut du même parasite, des cécidozoaires externes d'espèces extrêmement
voisines, des Coccides appartenant au genre Asterolecanium | A. variolosum
(Ratz.) Newst., 4. algeriense (Newst.) Cock., A. Thesit (Douglas) Cock.],
et j'ai étudié les galles qu’ils engendrent respectivement sur les rameaux de
Quercus Robur L., de Templetonia retusa R. Brown et de Pitiosporum Tobira
Aiton. | |
Dans ces trois cas, l’action des cécidozoaires sur les tiges a pour résultat
SÉANGE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1397
la production d’un renflement caulinaire latéral, muni d’un plan desymétrie,
et creusé’ d'une fossette occupée par lanimal; cette fossette est entourée
ste par un fort bourrelet de tissus NET,
° Le renflement gallaire se forme, d’une part, aux dépens de l'écorce de
la a qui multiplie ses cellules, et, a autre part, surtout au détriment de
l'anneau vasculaire, à
Celui-ci résiste de façon différente à l’action parasitaire selon la nature
dela plante et fournit, par sa structure, Ja clé des particularités relevées
dans chacune des lee
À. Si l’anneau vasculaire de la tige sur laquelle se fixe:le parasile est
compact et formé d'éléments fortement différenciés au moment où l’action
du-Coccide se fait sentir, il offré une très grande résistance à l’action céci-
dogène; ses rayons :médullaires ne subissent: pas d'hypertrophie et ne
permettent pas à l’action parasitaire d’écarter les faisceaux les uns des
autres pour gagner la moelle. Il répond à l’action cécidogène par le fonc-
tionnement de son assise- génératrice et par la production d’abondants
tissus, composés surtout de bois secondaire. Ce bois cependant, sous l’in-
fluence réitérée des lancettes du parasite, ne différencie pas ses éléments en
fibres et'en vaisseaux; il se montre composé de cellules lignifiées, à parois
pêu épaisses, rappelant celles que Prillieux a signalées en 1875 dans les
tumeurs des Pommiers engendrées par le Puceron lanigère (').
Tel est le cas qui se présente lorsque l’Asferolecanium variolosum agit sur les
_ jeumes tiges des chènes eny produisant les Pere bourrelets si caractéristiques, dépuis
longtemps connus.
Un phénomène de même nature à lieu dans la tige du Témpletonia retusa, sous
l'influence: de l’Asterolecanium algeriensé: ‘cette tige se gonfle, mais sa zone vascu-
laire, assez compacte, ne laisse auçun de ses rayons médullaires s’hypertrophier; seuls,
les deux volumineux faisceaux libéro-ligneux, situés de chaque côté du Coccide, aux
angles de la tige, grossissent considérablement SL prennent une part active à la forma-
tion du bourrelet gallaire. |
Rappelons que dans certains cas, par exemple dans le renflément fusiforme qué
produit un: Coccide encore indétèrminé sur la tige de Potentilla hinta L., var. pedata
Willd.; et dont nous avons étudié la-structure autrefois (?), la résistance de l’anneau
vasculaire de la tige est de beaucoup augmentée, par, Ja présence, à sa périphérie, d’un
fort anneau de fibres PÉPETERARES:
(1) E. Prauœux, Tumeurs produites sur les. bois des Pommiers par le Puceron
lanigère (Paris, Comptes rendus, t. 80, 1875, P. 806-899).
(2YC: Houarn, Recherches anatomiques sur les galles de tiges : Pleurocécidies
( Thèse doctorat, Paris, in-8, 1903, p. 194-197, fig. 14-21).
PDT M
de DD TS
1308 ACADÉMIE DES SCIENCES.
B. Si, au contraire, l’anneau vasculaire est peu résistant — eb'c’est se
cas de la tige de Pittosporum Tobira attaqué par l’Asterolecant um Thesii, —
l’action cécidogène émanée du Coccide gagne rapidement les rayons
médullaires qui s’hypertrophient et qui écartent les faisceaux PRET
les uns des autres. | SJAL TEE
L’assise génératrice de chacun de ces faisceaux fonctionne voté avec
activité dans la direction du parasite au milieu des tissus hyperplasiés qui
lentourent-et tend à envelopper d'éléments de formation nouvelle les amas
libériens primitifs. Aussi les faisceaux situés à proximité du parasite
s’isolent-ils complètement les uns des autres: ils acquièrent une forme
‘allongée et s’arrondissent à leurs extrémités. L’isolement complet de ces
faisceaux permet à la plus grande partie de la moelle de subir a
l’action RÉ SARSE et de as les se de ses cellules.
Des dispositions Ce “pr D mais plus accusées encore, se prod cit
dans la tige de l’Hedera Helix L. renflée par un Coccide appartenant au même genre,
Tl’Asterolecanium Massalongoianium Targ.-Tozz., comme je l’ai montré autrefois (1).
Dans cette tige renflée du lierre, l’anneau vasculaire normal se montre composé de
petits faisceaux arrondis assez indépendants, ne présentant pas la cohésion que l'on
rencontre dans ceux de la tige de Pittosporum. Tobira. Aussi, sous l'influence du
Coccide, fixé en un point de la surface de la tige, l'isolement des faisceaux s’accen-
tue-t-il plus encore que dans le cas du Pittosporum ; ces faisceaux sont transformés
en amas cylindriques dont la section est sensiblement circulaire. L'isolement et
l'éloignement des faisceaux permet, comme dans les exemples cités plus haut, une
lignification intense de la plus grande partie de la moelle.
2° Quant à la fossette qu'on trouve à la surface des renflements gallaires,
entourée par un bourrelet circulaire et occupée au centre par un Coccide,
elle eët due, dans les trois cas étudiés ici, à un arrêt de développement des
tissus situés’au contact immédiat du parasite. Ainsi, pour le Chêne, l’épi-
derme de la tige parasitée ne s’hypertrophie pas et il lignifie rapidement ses
cellules; le périderme, situé immédiatement au-dessous, ne produit que
des cellules munies de deux ou trois cloisons transversales, bien plus courtes
que les cellules normales qui ont, elles, dé six à dix cloisons. Dans la tige
parasitée du Prttosporum, le périderme ne se développe point; la lignifica-
tion s'étend avec rapidité au travers de l'écorce et arrête tout développement
des tissus.
3° Enfin, le bourrelet circulaire qui entoure le Coccide tire son origine
TA PR RE PE ET Vo SR A PAL SN on tm de PA 4
(*) C. Houarr, loc. cit., 1904; p. 146-153, fig. 1-13.
NA
RTE + VTT. _... LR «
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1399
des formations béridermiques anormales provenant du fonctionnement actif
de l’assise génératrice externe des tiges du Chêne ou du Pittosporum.
En résumé, l'étude des galles du Chêne, du Pittosporum et du Templetonia,
engendrées par des parasites externes appartenant au même genre Asterole-
cantum, conduit à cette conclusion : l’action du parasite sur ces tiges est
ftition de la nature de celles-ci; elle se fait sentir avec une intensité d’au-
tant plus grande et avec d'aitint plus d’effet que la structure de l’anneau
vasculaire se prête mieux à la dissociation et à l'isolement de ses faisceaux.
HISTOLOGIE. — Sur la structure des élytres d'Halosydna gelatinosa,
spécialement sur des éléments épidermiques en corbeilles et des éléments
conjoncifs en longues fibres hélicines et en cellules. étoilées à fins
prolongements entortillés. Note de M. Aveusre Micnez, présentée
“par M. Henneguy.
L'étude que j'ai faite au Croisic des élytres de l’Annélide polynoïdien,
Prin gelatinosa, jusqu'ici incomplètement et inexactement décrites,
m'a permis de mettre en évidence des formes très pérpoutiéres d'éléments
épidermiques et conjonctifs. | |
C'est d’ailleurs cette différenciation RE poussée plus loin que
dans les types voisins, qui, par la mollesse et l’élasticité d’un revêtement
largement utriculaire et d’un riche mais lâche lacis de filaments, détermine
L aspect caractéristique de cette espèce.
Sur presque toute la surface de l’élytre, l’épiderme esten formé de réseau :
de grandes cellules claires en occupent isolément les larges mailles, ‘et la
trame plus ou moins étroite, pigmentée et nucléée, qu’on avait prise-pour
la limite de’ces cellules, est en réalité formée d'éléments de simple revête-:
ment ‘en disposition série et étoilée. Par contre, dans la région centrale de
la face inférieure au pourtour de l’insertion, il n’y a plus de cellules claires,
- et les autres éléments épidermiques, pigméntés, ici grands et plats, se
touchent le long de contours polygonaux, comme les éléments voisins,
d’aïlleurs bien plus petits, sur l'élytrophore lui-même. En s’éloignant de ce
pédoncule, la transition s'établit ainsi : les grandes cellules claires appa-
raissent en rangées qui, s’élargissant, se rejoignent bientôt et répartissent
enfin uniformément ces ne claires dans les mailles du réseau dû au
refoulement des cellules épidermiques dans les espaces intermédiaires. D’ail-
leurs les cellules -épidermiques proprement dites continuent d'abord à
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1400 |: ACADÉMIE) DES. SCIENCES.
recouvrir les cellules claires.et, en.se touchant encore par.les côtés. de, leurs
polygones, à occuper, toute, la surface; mais. ces, bords recouvrants. sont,
tellement minces et vacuolaires que lesicorps. cellulaires avec les noyauxiet
les granules pigmentaires sont déjà condensés en réseau ; enfin ilsemble bien
qu’un peu plus-loin les, cellules claires parviennent directement à la cuticule,
alors que les éléments épidermiques se sont rétrécis et écartés, ne,se tou-
chant.plus que par leurs extrémités, en un motse sont réduitsexclusivement
au réseau. | ji aff austen 93644 évier
Regardées comme de simples éléments épidermiques, les grandes cellules
claires ont été méconnues dans leur complexité et leur spécialisation. Ce
sont des sortes d’outres hémisphériques.ou plus ou moins coniques, avec
noyau à leur extrémité profonde, remarquablement réticulées, soutenues
qu’elles sont par,une délicate corbeille, de, fibrilles, qui, d’un nœud, yoisin
du noyau.et. souvent annulaire, remontent, jusqu’à la cuticule à travers, la
masse interne et surtout le long des parois; elles rappellent quelque peu les
cellules de l’assise mécanique des anthères chez les végétaux. Le liquide
intérieur n'étant pas spécialement colorable, ces éléments n’ont probable-
ment qu’un rôle mécanique: de turgescence. : ;, : :.-,; a a nbrrohant
-Dans la région centrale; où les cellules épidermiques proprement dites,
existent seules, on voit à la face profonde de cés éléments, ici très plats,
des fibrilles rayonnant du pourtour de l'insertion de l'élytre, probable-
ment fibrilles de soutien formées en coopération par ces éléments épider-
miques. Lorsque apparaissent les rangées de. cellules, en corbeilles, ces
fibrilles passent entre ces rangées dans. les travées épidermiques intermé-!
diaires; et énfin dans le réseau qui en dérive, pour bientôt.s’y raréfier-et
disparaître. - dt pers je > 2ofrtflsà rire 3
Les spinules qui se trouvent à la face supérieure sur la partie antérieure,
c’est-à-dire recouverte par l’élytre précédent (et non sur la partie décou-!
verte; comme:on le décrit), sont situées aux angles du réseau, et à leur base
l'épiderme! développe leur matrice en un amas de petites cellules, : |
Le tissu conjonctif est encouche assez épaisse au centre pour dispa-
raitre vers les bords. Dans une gelée, qui'ne se: colore, pas spécialement; on;
trouve deux sortes d'éléments; dont le prerñiér seubavait été, et.très vague:
ment, signalé 2: 00, a: : dort: Israbédel .
TE
22116491 té ,* 1 PONT DiAnr à TT + ou: ; na’ i "2
1° Des fibres très longues et arrivant à une épaisseur notable, sur le trajet desquelles
on découvre un petit corps cellulaire avec noyau; lèur édractére le plus frappant est
leur forme finement et capriciéusentent éontourhiée énlondulations et même en Hébiées ét
en botcles, formé normale, car on peut l'apércevoir sur le vivant ;cetenroulement varie
Ne »
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. TAÔI
probablement suivant la tension, et dans des élytres en mauvais état on voit de ces
fibresramassées jusqu’à formerun court boudin fusiforme d'apparenceannelée.Cessortes
de vrilles s'étendent au loin et s’entre-croisent, souvent en deux couches; l’une radiée,
l’autre concentrique; 2° des cellules étoilées, en ce sens que leur corps cellulaire
arrondi porte sur son pourtour plusieurs fils fins extrêmement entortillés. Ces derniers
éléments, dont les corps, grâce à leur réfringence, se distinguent même sans coloration,
existent surtout dans la partie centrale et épaisse de la masse conjonctive, mais étés
inextricables :tortillons vont même voisiner avec les cellules en corbeilles de cette
région. Ces deux sortes d'éléments pourraient faire penser à un tissu élastique, mais
les fibres et les fils ne sont pas ramifiés, et ils ne présentent pas.les réactions. colorées
de l'élastine.
Les nerfs, qui rayonnent à partir d’un ganglion situé sur le bord postéro-
externe de l'insertion, et se ramifient dans le plan de l'élytre, présentent à
la fin des anastomoses plus riches en corps cellulaires; enfin les ramuscules
se terminent contre l’épiderme, surtout près des bords, par des amas
allongés de cellules.
En résumé, chez Halosydna gelatinosa, le réseau épidermique superficiel
est nucléé et formé de cellules, les grandes cellules sont des outres réticu-
lées en corbeilles ; près de l'insertion l’épiderme est polygonal et c’est à lui
qu'appartiennent les f£brilles rayonnantes ; les filaments flexueux sont
nucléés et constituent des f£bres helicines qui, avec des cellules étoilées à pro-
longements entortillés, représentent un tissu conjonctif; l’arborisation ner-
_veuse se résout en un plexus avec ramuscules cellulaires. Ainsi une technique
perfectionnée révèle dans les élytres de cet Annélide une structure encore
plus compliquée et plus élégante.
BACTÉRIOLOGIE. — Procédé de recherche du Bacterium coli en culiures
anaëérobies dans les eaux et dans les huîtres. Note de MM. Fagre DomErGuE
et R. Lecexpre, présentée par M. Henneguy.
LA recherche du Bacterium coli dans les milieux suspects s'effectue aujour-
d'huï de façon assez sûre par, une véritable dichotomie expérimentale qui,
utilisant l’action successive de divers agents, laisse par élimination progres-
sive subsister, à peu près seuls, les caractères de l'organisme dont on veut
déceler la présence. Chacun de ces agents (température élevée, acide
phénique où iodure de potassium, sucres, rouge neutré, etc.), préconisé
tour à tour comme spécifique du 8. coli, a donc, il faut le reconnaître, une
valeur purement relative et d'autant plus LR es que celle des autres
ae «ed
:
d à LA EE
Va,
1402 Pre DES SCIENCES...
agents employés concurremment vient la corroborer. Il en viole que, pour
acquérir une certitude aussi grande que possible de la présencen du B: coli ;
dans un milieu déterminé, l'opérateur doit procédér à à une série de cultures
dont l'ensemble exige Hé jours. Or conduits, par nos recherches
antérieures (!) sur l'assainissement des parcs à huîtres, à considérer comme
seul rationnel l'examen direct, dans chaque cas envisagé, d’une dizaine de
ces mollusques, nous nous sommes efforcés, pour ‘éviter un nombre trop
considérable de manipulations, d'obtenir en une seule opération toutes lés
réactions essentielles à notre diagnostic et nous croyons y être arrivés en
procédant de la façon suivante :
© On prépare un bouillon très nutritif de chair ét d’intestin de bœuf, peptoné à
2 pour 100 et glycosé à 1 pour 100. Ce bouillon est réparti, par doses de 30°", dans
des tubes de 20°" de long et de 2°" de diamètre, bouchés assez lâchement à l’ouate et
stérilisés à 110° pendant 15 minutes. Après refroidissement on additionne les tubes de
15 gouttes d’une solution de rouge neutre à 0,50 pour 100, phéniquée à 5 pour 100, en
agitant avec une fine baguette de verre PARTS, Au moment de l'emploi, on ajoute
soit la quantité voulue de l’eau à analyser, soit le liquide retiré d’une huître et com-
prenant l’eau de sa coquille et le suc résultant de la dilacération de son intestin.
Chaque tube ensemencé est ensuite introduit dans un autre plus long, en verre un
peu épais, rappelant la forme d'un tube de Roux mais à bords évasés et rodés, dans le
réservoir inférieur duquel .on a placé quelques centimètres cubes d’eau, 4 ou 5 pastilles
de soude caustique et 28 d'acide pyrogallique enveloppés dans une cartouche de
papier gommé pour éviter une dissolution trop rapide. Le tube extérieur, légère-
ment enduit sur son pourtour d’une dissolution épaisse de cire à cacheter dans
T'alcool, ést fermé par un disque en verre rodé, puis porté à l’étuve à 4. En quelques
minutes O et CO? sont totalement absorbés, le résidu gazeux constitué par de l’azote
se trouve en dépression et, après un laps de temps qui oscille entre 24 et 48 heures
selon la richesse en Z. Fe la présence de celui-ci est indiquée par le virage total
du milieu en jaune canari, sa fluorescence verte et la production de bulles de gaz à sa
NEER
Dans ce procédé, extrêmement sensible, se trouvent groupés les facteurs
d'élimination ordinairement utilisés : température de 42°, culture en milieu
phéniqué, culture en milieu lactosé, culture en rouge neutre. Mais nous y
avons introduit, en outre, un cinquième facteur: l’anaérobiose qui, à
l'avantage d’é RARE d'emblée tous les microbes aérobies stricts, joint celui
de donner à la réaction du rouge neutre une sûreté et une précision qui lui
faisaient défaut jusqu’à présent. Dès nos premiers essais, en effet, nous
avions reconnu avec Vincent, Sicre et d’autres auteurs que, sien bouillon
error nt ER Ge di ST
(*) Comptes rendus, 1. 151, 1910, p. 734, 829 et 959.
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 403
glycosé, additionné de cette matière colorante, la production du gaz était
constante en présence du 8. col, il n’en, était pas de même de la fluores-
cence et surtout du virage en jaune rh par certains auteurs comme
caractéristiques de ce microbe. Cette contradiction provient simplement de
ce que l’action de l’air suffit non seulement à contrarier la réaction du
rouge neulre, mais encore (ainsi que l’a signalé Rothberger) à ramener
au rouge les cultures virées en jaune par le B. coli. Dans nos cultures
anaérobies, au contraire, la réaction suit très fidèlement le développement
des bactéries, mais s'arrête et ne tarde pas à régresser pour peu qu’une
fêlure du tube extérieur ou sa fermeture imparfaite y laissent, pénétrer la
moindre trace d’air atmosphérique.
MÉDECINE. — Épilepsie et constipation. Note (!) de M. E. Dour,
présentée par M. d’Arsonval.
M. le professeur Bouchard a émis l'opinion qu’il existe une relation par-
fois très étroite entre les phénomènes épileptiformes et le mauvais fonction-
nement de l'intestin. J’ai observé un certain nombre de faits où cette con-
ception, à en juger du moins par les résultats thérapeutiques, s’est trouvée
être parfaitement exacte. Voici ces faits :
Observation I. — Enfant de sans: a, depuis un an, des crises d'épilepsie très nettes à
peu près tous les jours. Les Soins qui ont successivement été consultés n’ont dé-
couvert aucune trace de syphilis soit chez l'enfant soit chez les parents. Les médica-
uons bromurées, énergiques Pr qui ont été instituées, se sont montrées ineffi-
caces. En outre depuis 6 mois cet enfant est soumis à un régime très sévère dirigé
contre un état d’entérocolite mucomembraneuse très accusé, sans que cependant les
crises aient été modifiées soit dans leur fréquence soit dans leur intensité.
Je le soumets en mars 1903 au traitement abdominal par la voltaïsation percutanée
intense dont j'ai montré dès 1900 la grande efficacité dans le traitement de l’entéro-
colite mucomémbraneuse. Les séances furent quotidiennes au début, avec des courants
de 5o à 60 milliampères pendant 10 minutes. Dès la troisième séance non seulement
les selles redevinrent normales, r#nais les crises d’épilepsie s’espacèrent et devinrent
moins fortes; elles cessèrent complètement au bout de trois semaines de traitement.
Elles ne sont plus revenues depuis. Voilà 7 ans que la guérison se maintient,
- Obsérvation 11. — Jeune homme de 19 ans : à, depuis l’âge de 15‘ans, des crises d’épi-
lepsie qui reviennent tous-les 15 ou 18 jours. Ces crises sont fort intenses, durent au
(*) Présentée dans la séance‘du 12 décembre 1910.
C. R., 1910, 2° Semestre. (T. 151, N° 26.) 199
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moins 12 minutes et sont suivies d’un état d’ hébétude qui dure, 2 jours environ. FHeà
temps, le malade est pris d’absences qui se renouvellent de 2 à 5 fois par jour. Quoique
le malade nie avoir jamais eu la syphilisÿ il a été pendant 2 ans soumis par son médecin
traitant à un traitement rationnel par des injections à l'huile grise, sans aucun résultat
d’ailleurs. Les bromures qui lui ont été également ordonnés et dont il prend tous les
jours d'assez fortes doses, semblent agir en diminuant la fréquence et l'intensité des
crises, mais ont été jusqu'ici incapables de les faire disparaître.
En 1905, lorsqu'il vint me consulter, il m’apprend que depuis fort longtemps il a
de la constipation habituelle dont il ne s'est d’ailleurs jamais inquiété, car à Paide de
laxatifs variés il arrive facilement à s’exonérer assez régulièrement tous les jours.
C’est pourtant contre cet état défectueux du fonctionnement de l'intestin que je dirige
le traitement par la voltaïsation percutanée abdominale avee des courants de 70 à
100 milliampères appliqués chaque jour, 5 minutes dans chaque sens.
Les selles redevinrent spontanées et naturelles à la douzième séance. Les crises ont
disparu depuis le début du traitement électrique.
Observation LIL. —; Jeune homme de,21 ans : a des crises depuis l’âge de 12 ans. Ces
crises reviennent toutes les 5 à 6 semaines ; elles sont d’une intensité moyenne, durent
de 5 à 8 minutes et sont suivies, pendant quelques heures, de lourdeur de tête.
Quelques rares absences; le malade mouille son lit assez fréquemment. Il a suivi un
long traitement ECOUTER et fait un usage quotidien de bromure. Sans cette dérarère
précaution, les crises deviendraient plus fréquentes et plus fortes.
Lorsque j fs le vis en janvier 1909, mon attention se porta aussitôt sur Pétat de Fins
testin que je trouvai normal; le malade ê en effet, tous les matins une, selle qui semble
ne rien laisser à désirer. Cependant il m'apprend que teujours il est un peu constipé
au moment des crises. Cette constipation apparaît généralement 2 jours avant la
crise; elle est. si régulière, qu’elle permet au malade de prévoir la crise et même d'en
fixer le jour. Ce phénomène, qui avait été jusque-là considéré comme un au'a à longue
Portée, m’a cependant engagé à instituer le traitement abdominal par voltaïsation per-
cutanée intense dirigé comme dans, l'observation précédente.
Dès le début du traitement les crises se sont espacées à tel point que, le malade n'a
eu que deux crises en 1909. Il est der ente en ERA pn à Lille où il fait très ES
lièrement son service.
Bien entendu, le traitement par les bromures a été set sup-
primé chez ces trois malades dès le commencement du traitement électrique.
Comme moyen adjuvant je me suis contenté de prescrire un régime alimen-
taire riche en légumes. et sd Faate et de proscrire cosplétorsen
Palcool.
Je croïs donc que, comme le conséille M. le professeur Botithard: il faut
veiller avec le plus grand soin au fonctionnement de l'intestin chez les. é épi-
leptiques et que le médecin trouvera, dans la voltaïsation percutanée abdo-
minale, un moyen très efficace pour le régulariser et parfois pour supprimer
ou du moins atténuer les crises épileptiformes qui en dépendent.
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1405
OCÉANOGRAPHIE. — Sur quelques résultats de l'étude des marées
‘anñtarèliques observées au cours de l'expédition française au pôle Sud.
Note dé M. GoprnoY, présentée par M. H. Poincaré.
En soumettant au caleul les observations continues enregistrées péñidant
220 journées à Port-Girconcision (ile Petermann), par 65° 10’ dé latitude’.
Sud et 66° 34° de longitude Ouest, nous en avons tout d’abord tiré la valeur
des constantes harmoniques des ondés à coutte période suivañites :
MS PAR RENE es Ori ee OU AE
Valeur de H. MEN 20m TRS hem 3em rte 3ocm 10{® gen 3cm
Valèur de K... .. LOS MU 2040 000 10e So oo. "00 OU
Les autrés ondés, d'ayant pas 1° d'amplitude, ont ëté abandonnées.
Ces chiffrés montrent la prépondéranée éonsidérablé des ondés diurnés,
ce qui est normal à cette latitude. Là marée diurné ÿ Yaut ën ihoyenné uñe
fois ét demie la marée seni-diurne. Elle peut dépasser 1", 5o et nullé Bart
ailléuts il n’en a éncore été signalé d’aussi forte. : |
111 ést intéréssant dé rémarquer dans le groupe semi-diurné là grande
amplitude de S, par rapport à M.. Cés deux ondes étant à peu près équi-
Yalentes itterférent aux quadratures, supprimant tous les 15 jours environ.
la marée semi-diurne. La différence des phases Ks, — Kn, = 105° &t, pa
suite, l’âgé dé la marée semi-diurne, qui ést de 4 jours et 8 héürés, sont
_coïisidérables. Cela est tout à fait à l'opposé de la théoïie de Whévwéll, qui
voulait qe dans l'anneau antarctique cétte valeur fût nulle. |
Parmi lés ondes à longue période, la durée dés obsérVatiotis ne nous à
permis d'isoler qué les ondes lunaires' dé céllés-ci l'onde Mf seulé dé-
passé 1%. Ses constantes sont H = 5°%,5; K = 2380.
Mais èn examitant la courbe des niveaux moyens quotidiens on constaté
la préséniéé d'uüné importante pértutbâtion à longue période. A l'aide d'un
procédé simple de caléul nous avons rétssi 4 l’isoler ét avons obtenu ainsi
uné onde régulière très importante. Cétté onde est Id résultante de deux
ondes compôsantes dé 0%, 55 d’ataplitude dont l'üné, de période séméstriellé,
doit être sa dévenue considérable ét dont l’autré, dé période à peu près
triméstrielle, ést nouvelle. On ne peut guère attribuér éetté onde inconnuë
qu'à ütie cdusé météorologique, mais laquelle ? Lés moyennes baromé-
iriqués faîtes pour différentes périodés au point mêtñe dé nos observations
ne môtitrent Aüctin tiouvénént barométriqué à lôngué période. Il faudrait
1400 ACADÉMIE DES SCIENCES.
d’ailleurs que ce mouvement fût considérable pour prôduié une telle onde.
D'autre part, dans cette région les vents ne soufflent puené que d’une seule
direction. Il n’y a comme différence entre les saisons qu’une proportion un
peu plus grande de calme en été. Il est donc difficile de déterminer lori-
gine de cette importante onde nouvelle.
Quelle qu’en soit la provenance, le procédé que nous avons employé
pour l’isoler nous en donne quotidiennement l’ordonnée pendantla période
des observations, Si maintenant nous retranchons de la valeur de chaque
niveau moyen quotidien : 1° l’ordonnée de cette onde résultante à longue
période; 2° l’ordonnée de l’onde Mf calculée pour chaque jour; 5° une cor-
rection destinée à compenser l'erreur introduite dans le calcul de ces niveaux
moyens du fait que certaines ondes à courte période et principalement
M,, N,, O,, À, ont une vitesse angulaire différente de 15°, nous obtenons
pour chaque jour une nouvelle valeur du niveau moyen qui ne doit plus
différer de celle du niveau moyen général que par l'effet sur le niveau de
la mer des variations de la pression atmosphérique.
En portant sur un graphique les valeurs quotidiennes des niveaux moyens
d’une part, et d’autre part les valeurs inverses des moyennes barométriques
pour les mêmes jours, on obtient deux tracés sensiblement parallèles :qui
montrent avec évidence que dans la région où nous opérions l'influence des
variations de la pression atrafphique se fait sentir immédiatement sur le
niveau de la mer.
En nous servant des 225 journées d'observation pour calculer cette in-
fluence nous trouvons qu’à un mouvement de 1"" du mercure correspond
immédiatement un mouvement en sens inverse du niveau de la mer de
1°%,49, ce qui représente à peu près exactement le rapport des densités.
Une pareille constatation n’avait pas encore été faite et il nous semble
d'autant plus intéressant de la signaler que la Commission chargée en 1896,
par l'Association britannique pour l’Avancement des Sciences, d’étudier
l'effet de la pression barométrique sur les marées, conclut au contraire en
disant qu’en ce qui concerne cette pression son influence affecte les marées
dans un rayon si étendu que les indications locales du baromètre en un point
donné ne sauraient y être un indice de l'effet produit sur la marée.
Le calcul de périodes plus courtes d'observations à Port-Foster (ile Décep-
tion), par 62°58’ de latitude Sud et 62° 54 de longitude Ouest, -et à l'ile
Jenny par 67°43° de latitude Sud et 70°46' de longitude Ouest, nous ayant
fourni les constantes harmoniques des ondes principales en ces points nous
pouvons,-en y joignant la connaissance des marées de la baie Scotia aux :
\ \
D I RU PE
RC - Pie
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1407
Orcades du Sud et du cap Horn, essayer d'étudier le transport de la marée
dans cette intéressante région comprise entre l'Amérique du Sud et le con-
tinent antarctique. Le calcul des heures cotidales pour la marée diurne nous
donne : 528% pour le cap Horn, 327" pour Scotia Bay, 4" 26% pour Port-
Foster, 540% pour Port-Circoncision et 7"20" pour l'ile Jenny. Ces résul-
tats sont tout à fait anormaux. Ils montrent que contrairement à toute pré-
vision l’onde diurne se propage de l'Est à l'Ouest; en outre son amplitude
augmente vers l’Ouest, ce qui ne semble pas compatible avec l'hypothèse
qu'on pourrait admettre d’une onde stationnaire provenant d’un centre
d'émanation situé dans l'Atlantique Sud ou même la mer de Weddell agis-
sant l'un ou l’autre comme un bassin en résonance avec la marée diurne.
- La propagation de la marée semi-diurne est tout aussi anormale, Mais les
ME S ; x «
variations du rapport W. qui passe de 0,15 au cap Horn à 0,85 à Port-
Circoncision et 1 à l’île Jenny ne nous permettent plus de calculer les heures
cotidales comme pour la marée diurne. Cependant en reconstituant la marée
semi-diurne aux points choisis on constate que son maximum se produit
à peu près à la même heure sur toute la côte antarctique, mais 1 heure
auparavant aux Orcades et au cap Horn.
Les ondes M, et S, ont respectivement pour heures cotidales :
8h ro® à la baie Orange, 8! 42m à la baie Scotia pour M,
9! ro% à la baie Orange, 935" à la baie Scotia pour 5
9:58 à Port-Foster, 948" à Port-Circoncision pour M,
11236 à Port-Foster, 13h 18m à Port-Circoncision pour S;
Toutes ces constatations ne satisfont ni à la conception ancienne de
Whewell ni même à celle plus récente de Rollin A. Harris et nous prouvent
que cette région intéressante subit un régime de marée très complexe et
très troublé, bien que sa situation semble devoir la rapprocher au maximum
des conditions de la théorie.
HISTOIRE DES SCIENCES. — Sur les instructions données par l'Institut national
(x'° et 2° classe) au capitaine Baudin pour son voyage de découvertes aux
terres australes (1800-1804). Note de M. Grorces Hervé, présentée
. par M. A. Dastre.
Les Archives de l’Institut n'ayant conservé pour ainsi dire aucune trace
des travaux de la Commission nommée en ventôse, an VIII, et chargée : 1° de
en question.
1408 7 ACADÉMIE DES SCIENCES. |
dresser le plan du voyagé de découvértes que devait exécuter le capitaine
Baüdin: 2° de surveiller les préparatifs de ce voyagé; 3° de fournir, à la
mission scientifique einbarquée sur le Géographe ét le Naturatste, es notes
particulières sur lés objets de stiences qu’ellé aurait à poursuivre; l'Ata-
démie des Sciences, dont les délégués prirent à ces travaux une part impor-
tante, ne regardera pas sans doute comme inutiles quelques indications Sur
les sources qui permettent dé comblér, dans üné certaine mesure, la lacuñe
Rappelons toût d'abord que la Commission de l’Institut Nationäl compre-
nait cinq représentants de la premiére classe (Sciences) : Cuvier, Jussieu,
Lacépède, Laplace ét Lelièvre, ét quatré membres de la deuxième classe
(Sciences morales et politiques) : Bougainville, Camus, Flétrieu ét Langlès.
La Commission rédigea un Plan général de voyage où, après examen
réfléchi, elle arrêtait son choix sur la Nouvelle-Hollande. Ce plan, daté
du 4 floréal, an VIII, se trouve manuscrit (peut-être en original) aux
Archives de la Marine (sèrie moderne BB‘, Campagnes, 995 : Archives
nationales). | Fa.
Mais la Commission élabora, en outre, des instructions scientifiques
spéciales, relatives à divers ordres d’études, et confiées respectivement à
tel on tel de ses membres. En adressant à Baudin, au Havre, le Mémoire
destiné à lui servir d'instruction particulière, le ministre dé la Marine
Forfait lui écrivait, le 5 vendémiaire, an IX :
« Il forme le complément des documents que vous avez déjà reçus sur les différentes
parties qui doivent fixer votre attention pendant le cours du voyage que vous allez
entreprendre. » (/bid., BB*, 995). À quoi Baudin répond, le 12 vendémiaire: « J'ai
reçu joint à vos lettres toutes les instructions et notes concernant notre expédition,.et
je m'occupe sans relâche des préparatifs de notre départ, qui aura lieu aussitôt que le
temps lé permettra... »
De ces instructions et notes reçues par Baudin, nous avons dit ailleurs
comment des recherches couronnées par un hasard heureux nous avaient
permis de retrouver les Jnstructions anthropologiques dues à Cuvier (voir
Revue de l'Ecole d’Anthropologie de Paris, n° 9, 1910, p. 289-306).
A Claret, comte de Fleurieu, ministre de la Mariné en 1096, membre de
la deuxième classe (Section de Géographie), étaitéchu, en sa qualité d’'hyÿdro-
graphe, «le projet d'instruction particulière, pour servit de diréctioti au
citoyen Baudin », dont il a été fait mention ci-dessus. Dans cette instruction,
Fleurieu sé bornait d’ailleurs à traéer, au Commandant en chef de l’expédi-
tion, son Jtinéraire, ajotitant « qué, pour le surplus, on pouvait le renvoyer
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1409
aux instructions imprimées qui avaient été données à La Pérouse »
(Arch. de la Mar., BB", 995, Lettre de Fleurieu à Forfait ; Paris, 29 fruc-
tidor, an VII). |
. Enfin, bien curieuse est une certaine Instruction diététique qui, pour n'être
pas a émanée de la Commission directrice, se rattache pourtant
de la façon la plus étroite à ses travaux. « Le 27 ARR A — peut-on voir
dans les Mémoires de l’Institut National des Sciences et Arts (Sc. mor. et
polit.), t. IV, p. 57-58 — fut lue à la Classe une lettre du ministre de la
Marine (‘}, par laquelle il témoignait désirer que l’Institut voulût hien
rédiger des instructions pour le capitaine Baudin, relativement au régime
diététique, et fournir à ce navigateur des indications particulières sur Les
objets qui devraient fixer plus spécialement son attention et celle. des
sayants qui l’accompagneraient dans son voyage.
» En conséquence de cette invitation du ministre, le citoyen Bernardin
de ant Pierre s’est empressé de soumettre à la Classe un Mémoireintitulé :
Expériences nautiques et observations diététiques et morales proposées pour
l'utilité de la navigation et la santé des marins. » |
La deuxième classe avait, en réalité, pour répondre à l'invitation du
ministre, désigné des commissaires et adjoint à Bougainville, Camus,
Fleurieu et Langlès, ses représentants à la Commission de l’Institut, les
citoyens Dutheil, Des Essarts, Lassus, Portal et Saint-Pierre. On peut à
bon droit s'étonner qu'entre tous ces’ commissaires, parmi lesquels il en
était de très hautement qualifiés, les uns comme médecins, les autres comme
navigateurs, ce soit le moins désigné, semble-t-il, pour une pareille tâche,
Bernardin de Saint-Pierre, qui ait pris la ART Son Mémoire, dont on
trouvera une assez longue analyse dans le recueil des Mémoires rt la Classe
des Sciences morales et politiques (1. IV, p. 58-61), et qui existe manuscrit
aux Archives de la Marine (?}, contient, outre la proposition de quelques
expériences des plus simples, visant l'étude des courants marins, des vues
diététiques quelque peu sommaires, dont Jules Simon a parlé avec finesse,
comme il avait coutume, dans son Livre : Une Académie sous le Directoire
(p. 233).
(1) En date du 26 thermidor, an WII. |
(2) BB, 995. Expériences nautiques et observations à proposer au. capitaine
Baudin, dans son voyage autour du monde, présentées par le citoyen Bernardin
de. Saint-Pierre, et; adoptées pan un. arrêté de la Classe. des Sciences morales:et
PORIQUE: ie
EL PS
ne ge;
=.
DE | Cr
Lg pr CI
# NA
r410 | ACADÈMIE DES SCIENCES.
. Quoi qu'il en soit, le 12 fructidor, la deuxième classe adoptait «l
proposées par le citoyen de Saint-Pierre » et arrêtait « que son Mémo
ferait partie des instructions que la Commission devait adresser au ministre
de la Marine pour. le voyage du capitaine Baudin». PS FSU
_ « Éllea pris le même arrêté, ajoutait la Notice des Travaux de la Classe R
(ibid. t. IV, p.61), sur des Observations astronomiques 7 géographiques pour
servir au voyage du capitaine Baudin, qui ont été lues par le citoyen Buache.
Nous regrettons de ne pouvoir donner aucune Notice de ée Mémoire;
l’auteur, en le remettant à la FREE a négligé d'en conserver a
minute. » ÿ |
Le Mémoire Buache ne figure pas parmi les documents de l'expédition
Baudin, aux Archives de la Marine. Celles-ci renferment, par contre,
quelques extraits de lettres et de procés-terBaux de la Commission de
SUR | |
ANT tr vx
,»
M. Pscoir LowezL 7 moe, un Mémoire intitulé : : On she action of
planets prose néighboring particles. |
(Commissaires : MM. H. Poincaré B. : Baïlauè)
A 4 heures:trois sr l’Académie se forme en Comité secret.
‘La séance est levée à 6 heures. ,
CES | Ur: ASE Ph. v. T.
BULLETIN RIRLIOGRA PIQUE...
- OUVRAGES REÇUS DANS LA SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910.
Service géographique de l'Armée, Rapport sur les travaux exécutés en 1909.
Paris, 1ÿ10;'r fase. in 8e. RTS le er Berthaut SOU CRE MÉMEMEDE
général de l'Armée. ÿ"S |
Minéralogie de la France et de ses Chlinieh: Description physique et chimique
des minéraux, étude des conditions géolo giques de leurs gisements, par A: Lxcroix,
L' LI
RO
SÉANCE DU 27 DÉCEMBRE 1910. 1411
Membre de l'Institut; t. IV, 2 partie, Paris, Ch. Béranger, js 1 vol, in-8°-(Hom-
mage de l’auteur.) .
Étude géologique des Pyrénées de l’Aragon,. par Marivs Darronr. Marseille,
Barlatier, 1910; 1 vol. in-4°. (Présenté par M. PAT bIx 4
Éléments de morphologie des Vertébrés, anatomie et embryologie comparées,
paléontologie et classification, par L. Viazzerow, avec 30/ ligures, dont 28 en cou-
leurs, et 21 tableaux dans le texte. Paris, Octave Doin et fils, 1911; 1 vol. in-8°, (Pré-
senté par M. Henneguy, pour le Concours du prix Serres de 1911.)
Instructions météorologiques par Arrrep ANGor, Directeur du Bureau central
météorologique; 5° édition, revue et corrigée.: Nr. Gauthier-Villars, 19113; 1 vol,
in-8°. (Hommage de l'auteur.) |
Recueil d'OŒuvres de Léo ErRera : Physiologie générale, philosophie; avec
41 figures dans le texte. Bruxelles, H. Lamertin, 1910; 1 vol. in-8°, (Hommage de
Mme Léo Errera.) : |
Esquisse de la géographie bormique de la Belgique, par JEeax Massanr; avec
un. Annexe contenant: 216 phototypiés simples, 246 phototypies Sete
9 cartes et 2 diagrammes. (Extr. du Recueil de l'Institut botanique Léo Errera,
Tome supplémentaire VIL/#.) Bruxelles, Henri Lamertin, 1910; 2 vol. in-4°. Hominass
de l’auteur.) [Un petit stéréoscope est joint au Volume annexe.]
‘Pteridografia del sur de México, 6 sea clasificacién y descripeién de los helechos
de ésta region, precedida de un bosquejo de la Flora general, por el Ingeniero
José-N. Rovirosa, Professor de Historia natural. Mexico, Ignacio Escalante, 1909;
r vol. in-4°. (Offert par Don Joaquin D: Casasüs.)
Institut international d'Agriculture : Bulletin du Bureau des Renseignements
agricoles et des maladies des plantes; novembre 1910. — Bulletin des Institutions
économiques et sociales; 1° année, n° 2, octobre-novembre REX Rome, 2 vol.
in-8°, : A
Complément de la seconde édition de Toute la Chimie minérale par l'électricité,
par Juces Séverix. Paris, H. Dunod et E. Pinat, 1910; 1 fase. in-8°, (Hommage de
HT ) À
Marégraphe plongeur. Appareil enregistrant les marées sur les côtes et au
large, par L. Favé, Ingénieur hydrographe en chef de la Marine. (Extr. des Annales
hydrographiques, 1908, 1909, 1916.) Paris, Imprimerie nationale, 1910; 1 fee in-8°.
[Accompagné de trois autres opuscules sur le même sujet.] (Hommage de l’auteur.)
Note sur la phylogenèse de l’Insecte. — Sur la morphologie des membranes
basales de l’Insecte. — Sur la parthénogenèse arrhénotoque de la Fourmi ouvrière.
— Sur un Nématode qui se développe dans la tête de la « Formica fusca », par
Cnarues Janer. Rennes, Francis Simon, et Beauvais, Imprimerie départementale de
l'Oise, 1909; 4 fasc. in-8°.
Recherches sur l'influence de la polyspermie expérimentale dans le développe-
ment de l'œuf de «Rana fusca»; par À. BRacser. (Archives de Zoologie expéri-
mentale et générale; 1 + XEVI, n° t, novembre 1910.) Paris, Albert Sehulz; 1 fasc.
à mmage de l’auteur.) -
ne paradoxus, by Ve M. A LUEN: with nine plates. (Mem. of the Mus.
186
C. R., 1910, 2° Semestre. (T. 151, N° 26.)
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of. Comp. -Zoëlogy at Harvard. College: ti XL. n° . )
1 fasc. in-4°. x ,
Academia Real das Sciencias : + Actas das Sessdes da prime
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et les équations s’éérivent : b à [IR F5 4
FIN DU TOME CENT-CINQUANTE ET UNIÈME.
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COMPTES RENDUS
DES SÉANCES DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES.
TABLES ALPHABÉTIQUES.
JUILLET — DÉCEMBRE 1910.
TABLE DES MATIÈRES DU TOME 131.
A
Pages. Pages.
ACADÉMIE. — Le Comité d'initiative de - legs fait à son profit par M. An-
la. souscription Giard adresse à toine-Henri Becquerel..,......,... 967
l’Académie un médaillon reprodui- — M. le Président annonce à l’Académie
sant les traits de l’illustrenaturaliste. a7 qu’en raison des fêtes de l’Assomp-
— M. Laveran est désigné par l’Acadé- tion la séance du lundi 15 est re-
mie pour prendre la parole en qua- D nisb au mar TO AOÛT: eee 413
lité de Lecteur à la Séance publique — M. le Président annonce à l'Académie k
annuelle de l’Institut, le 25 octobre que les séances des lundis 26 dé-
DONC El Le ie rte à Rememus eu 288 -<embre 1910 et 2 janvier 1911,
— M. G. Lippmann est élu Vice-Prési- jours fériés, sont envoyées aux
dent pour l’année 1910-1911...... 1103 mardi 27 décembre et mardi 3 jan-
— Allocution de M. Emile Picard dans NAT PO nn de on ne 1099
la séance publique annuelle du 19 Voir Administration des Monnaies,
HÉBEIDTO OO EE he ‘1167 Candidatures, Caisse des recherches
— M. le Ministre de l’Instruction pu- scientifiques, Commissions, Congrès,
blique adresse ampliation du Décret Décès, Ecole polytechnique, Elections,
approuvant l'élection de M. Léon Exploration, Muséum d'Histoire na-
Teisserenc de Bort, dans la Section turelle.
des Académiciens libres, à la place ÂAcrEr. — Sur la « maladie de l’écrouis-
de M. Eugène Rouché,......…... 911 sage » dans l'acier; par M. Georges
— M. le Secrétaire perpétuel annonce à CRAN DUREE ie ee ie laLe re à 1000
l’Académie que le Tome CXLIX des — Variations de la résistance à l’écra-
Comptes rendus (1909, second se- sement des aciers en fonction de la
mestre) est en distribution au Secré- température. Relation entre les pro-
RAT es se ep Aie NADINE RAA, priétés statiques et dynamiques des
— M. le Ministre de l’Instruction pu- aciera; par. M.F, Robin. .......... 710
4 blique adresse ampliation du Décret Voir Ecrasement.
autorisant l’Académie à accepter le | Acines. — Sur les acides glucodéco-
C. R., 1910, 2° Semestre. (T. 151.) 187
1414 TABLE DES- MATIÈRES.
Pages.
niques, par M. L.-H. Philippe..... 986|
— Sur les acides glucodéconiques; par
M LH, Php. ta er ape . 1366
— Condensation du bromure d’acro-
léine avec l’acide malonique; par
M Lesplenue meer ou 1359
Voir Carbures d'hydrogène, Chimie
analytique, Photochimie, Sels com-
plexes.
AcoUsTIQUE. — Sur les harmoniques des
instruments à tube en cuivre; par
MM. Gabriel Sizes et G. Massol... 303
— Comment vibre un diapason. Vibra-
tions tournantes; par MM. Gabriel
Sizes et'G. Massol. 4 0407
Voir Chronophone.
ACOUSTIQUE PHYSIOLOGIQUE. — Les
bruits subjectifs auriculaires; par
M. Marage..... M LONE rot ds 010
Voir Voix.
ADMINISTRATION DES MOoNNAIES. —
Liste des candidats présentée à
M. le Ministre de l’Instruction pu-
blique pour une place d’essayeur à
l'Administration des Monnaies
19 M. Raoult, 20 M. Ravit, 3° M.
Pie ec atiéres ETS AD apres OU
ADSORPTION. — Hndases de l’affinité
chimique dans certains phénomènes
dits d’adsorption; par M. Léo
Vigo. cr En an CNE 673
. AÉRODYNAMIQUE. — Sur les pressions
moyennes supportées par un corps
maintenu dans un courant d’air
dont la vitesse est irrégulière; par
D mc penis: 144
— Sur l'influence d'un échauffement
local sur la valeur des pressions
supportées par un corps placé dans
un courant d’air régulier; par M. À.
LOTOURE Ge es pee cerise 671
— Sur l'inversion du phénomène de
Magnus; par M. À. Lafay.. 007
— Étude photographique du courant
d'air produit par le mouvement
d’une hélice; par M. À. Tanaka-
HUIT RON PORTO NE ES 211
— Sur la résistance des plans rectan-
gulaires frappés obliquement par
le vent; par M. G. Eiffel....,.... . 1070
Voir Aviation.
AGRONOMIE. — Voir Cultures, Monique
agricole, Physiologie végétale.
AxcooLs.— Préparation catalytique des
Pages,
oxydes mixtes des alcools et des
phénols; par MM. Paul Sabalier et
A MailRe ent nantes 7 a es 359
Voir Chimie analytique, Chimie biolo-
gique,Fermentations, Mélanges,Ondes -
hertziennes, Photochimie, Vin.
Azpénypes. — Voir Chimie biologique,
Chimie végétale, Graine, Photo-
chimie, Vin.
ALGÈBRE. — Sur l'application de la mé-
thode d’approximation de Newton
à la résolution approchée des équa-
tions à plusieurs inconnues; par
MAENBRUL ERP c eco 1109
ALGuEs. — Sur les gaines et les muci-
lages des Algues d’eau douce; par
MOTS VU TERRES Re ee EL 334
— Sur déux organismes inférieurs ren-
contrés au Laboratoire de Roscoff;
par M. P.-A. Dangeard........... 765
— Sur une algue marine du Laboratoire
de Concarneau; par M. P.-A. Dan-
LEUTE Ses ce date Case Der 991
Voir Lichens.
ALIMENTS. — Voir Champignons, Chimie
analytique, Crustacés, Flore tropicale,
Fraudes, Greffe, Mécanique agricole,
Mollusques, Parasites, Pathologie
animale, Poissons, Ultraviolet, Vigne.
ALLIAGES. — La trempe des bronzes;
par ML. GTenel RCE et 870
— Recherche sur les gaz occlus dans les
alliages de cuivre; par MM. G. Guil-
lemin et B. Delachanal............ 881
ALTITUDE. — Expériences faites au
mont Blanc en 1909, sur les varia-
tions de la glycémie et de la glyco-.
lyse hématique à la très haute alti-
tude; par M. Raoul Bayeux... .. 4 0449
— Observations de calorimétrie animale
faites au mont Blanc; par MM. H.
Guillemard et C. Regnier........ ne COR
AMiDpoN. — Sur la purification de l’ami-.
don; par M. G. Malfitano et
Mlle A.-N. Most ASE" 817
Voir Chimie biologique.
Amies. — Nitration comparative re
quelques amines aromatiques mono-
et diacylées; par MM. Frédéric Re-
verdin et Armand de Luc.........,". 985
— Modes de préparation des acylguani- va
dines aromatiques, par M. P. Pierron: -1364
Voir Chimie analytique, Cryoscopie,
Sels complexes.
=
TP TR Re D DT vu
TABLE DES
ANALYSE MATHÉMATIQUE. —— (Continu
et discontinu ; par M. Arnaud Denjoy.
— Sur une généralisation des théo-
rèmes de Liouville et de M. Picard;
par M. Serge Bernstein... ,.,.,...,
Voir Ensembles, Equation aux diffé-
rences finies, Equations différentielles,
Equation de Fredholm, Fonctions,
Groupes, Séries.
ANATOMIE.
— Les vaisseaux de la fourche du nerf
médian {contribution à l'étude de la
‘ dextérité manuelle de l'Homme);
par M. R. Robinson
— Association des éléments élastiques
et contractiles dans les muscles
lisses et striés; par MM. J. Atha-
RASE Dr ZAR... re sem
Voir Muscle, Circulation, Histologie,
Insectes, Mollusques.
ANATOMIE COMPARÉE. — Relation du
poids encéphalique à la surface
rétinienne dans quelques ordres de
Mammifères; par M. Louis Lapicque.
Voir Anthropologie.
ANNÉLIDES. — Maturité très précoce
d’une larve de Spionide; par M. C.
Pisttenia deu LISTEN
ANTHROPOLOGIE, — Asymétries nor-
males des organes binaires chez
l'Homme; par M. Paul Godin....
Voir Anatomie, Paléontologie, T'érato-
logie.
Anrc.— Sur la théorie de la luminescence
de l’arc au mercure dans le vide; par
MM. À. Perot et J. Bosler........,
— Sur l'arc électrique dans une atmo-
sphère à faible pression; par MM. H.
Buisson et Ch. Fabry............,
— Sur la rotation de l’arc à mercure
.….…..
BACTÉRIOLOGIE.
— Sur l’immunité dans le paludisme
des Oiseaux. Conservation 1n pütro
des sporozoïtes de Plasmodium
MATIÈRES.
Pages.
dans un champ magnétique. Obser-
vations du phénomène de Doppler;
DA NL AA DUTQUT ee: ram: à
Voir Photochimie, Photolyse, Ultra-
violet.
— Sur un procédé pour faire réagir deux
corps dans l'arc électrique; par
DES EPA SO UIMQN Le be ae à
— Sur un procédé pour faire réagir deux
corps dans l'arc électrique; par
M Paul Sabatuer. 20...
ARCHÉOLOGIE. — Détermination de la
nature d’une mèche de lampe pu-
nique; par M. Eugène Cobin......
ARSONVALISATION (Dp’}. — Réalisation
de la transthermie sans altération
des tissus normaux par le bain
thermo-électrique; par M. Doyen. …
— Remarques à propos d’une Commu-
nication de M. Doyen intitulée : Réa-
lisation de la transthermie sans alté-
tation des tissus normaux par le bain
thermo-électrique; par M. d’Arson-
Pal Re Ee RU 200
AnTircerté. — Voir Navigation.
138
636
ss.
535
551
1393
ASTRONOMIE.
Voir Chronométrie, Comètes, Eclipses,
Eioiles, Jupiter, Lune, Observatoires,
Occultations, Planètes, Soleil.
104
AURORE BORÉALE. — Sur la situation de
la zone de fréquence maximum des
aurores boréales d’après la théorie
corpusculaire; par M. Carl Siôrmer.
Voir Electromagnétisme.
AvIATION. — Quelques théorèmes sur les
sustentateurs; par M. Witold Jar-
kowski.…..
— Essai sur le « vol à vortex »; par M. G.
DAPorritee Rien
Voir Aérodynamique.
‘62r
216
sn sue se
2923
relictum. Immunité relative obtenue
par inoculation de ces sporozoïtes;
par MM. Etienne Sergent et Edmond
Sergent......
— Recherche du Bactérium coli dans
CCC CCC CCC]
1418
Pages.
60
736
208
1027
407
PLAN "+
I 416 TABLE DES MATIÈRES.
l’eau de mer au moyen des mé-
thodes employées pour l’eau douce;
par MM. P. Fabre-Domergue et
R:Liégendreerese Me Te
— Procédé de recherche du Bacterium
coli en cultures anaérobies dans les
eaux et dans les huîtres; par MM.
Fabre-Domergue et R. Eegendre....
Voir Chimie biologique, Fermenta-
tions, Médecine, Microbiologie, Mol-
lusques, Sang, Tuberculose, Ultra-
violet.
Brocrapnie.— Notice sur M. P. Appel;
par M. Ernest Lebon......,......
BIOLOGIE.
— Une force nouvelle :le mitokinétisme;
par M. Marcus Harlog............
Voir Altitude, Cœlentérés, Crustacés,
Cytologie, Energétique, Hérédité,
Hybrides, Insectes, Mutation, Para-
Caisse DES RECHERCHES SCIENTIFIQUES.
— M. le Ministre de l’Instruction
publique invite l’Académie à élire
un de ses Membres pour remplacer,
à la Commission technique de la
Caisse des Recherches scientifiques,
M. Maurice Levy, décédé..........
CALCUL DES PROBABILITÉS, — La repré-
sentation proportionnelle et la mé-
thode des moindres carrés; par
M. À. Sainte-Lagüe..........,....
CALCUL DES VARIATIONS. — Sur les Buse
tions du calcul des variations; par
MfSernerDerne lente A cire ui
CanpiparTures. — Liste de candidats à
la place vacante, dans la Section de
Mécanique, par le décès de M. Mau-
rice Lévy : 19 M. Léon Lecornu;
2° M. Gabriel Kænigs; 39 MM. Ra-
tou Jean Releases eee 0
— M. M. Brillouin prie l'ADAdénSe de
le compter parmi les candidats à la
place vacante, dans la Section de
Physique, par le décès de M. D.
GenneG. sv à 45 du note 5 tte SA AEUTE
Pages.
sit Physiologie” végétale, . Ulitra-
violet.
959
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. —114, 195,
263, 351, 411, 488, 508, 522, 537,
558, 577, 604, 661, 696, 787, 842, 909
1401 965, 1097, 1165, 1410.
‘| Bureau pes Lonerrupes.— M. f1..Poin-
caré fait hommage de l’« Annuaire
des Longitudes pour 1911»........
BuREAU INTERNATIONAL DES Poips ET
Mesures, — M. Darboux présente
le Tome XIV des « Travaux et
Mémoires du Bureau international
847 des Poids et Mesures »....,..,....
BOTANIQUE,
Voir Algues, Champignons, Chimie
160 végétale, Cultures, Flore tropicale,
Greffe, Hérédité, Hybrides, Insectes,
Levures, Lichens, Parasites, Patho-
logie végétale, Physiologie végétale.
C
— M. Monieil priel’ Académie de le comp-
ter au nombre des candidats au
siège d’Académicien libre, vacant
par le décès de M. E. Rouché.....
— M. D. André prie l'Académie de le
compter parmi les candidats au siège
1332 d’Académicien libre, vacant par le
décès de M. E. Rouché..... dt
— M. M.d’ Ocagne prie l’Académie de dé
compter parmi les candidats au siège
397 d'Académicien libre, vacant par
le décès de M. E. Rouché..........
— M. Paul Janet prie l'Académie de le
195 compter parmi les candidats au siège
d'Académicien libre, vacant par le
décès de M. E. Rouché........... :
— M. Léon Teisserenc de Bort prie l’Aca-
démie de le compter parmi les candi-
dats au siège d’Académicien libre,
1014 vacant par le décès de M. E, Rouché.
— Liste de candidats à la place d’Aca-
démicien libre, vacante par suite du
décès de M. E. Rouché : 1° M. Teisse-
renc de Bort; 2° MM. D. André, A.
1332 de Gramont, P. Janet, Landouzy,
Pages.
847
‘580
583
636
663
ait ile su autant dm dents di Rés Re à noté Ge
TABLE DES MATIÈRES.
M M LS I OO CR
— MM. André Blondel, Carvallo prient
l’Académie de les compter au nom-
bre des candidats à la place d’Aca-
démicien libre, vacante par le décès
de M Jules Fannerg Ne
— MM. À. Chantemesse, Stanislas Meu-
nier, M. d'Ocagne prient l’Acadé-
mie de vouloir bien les compter au :
nombre des candidats à la place d’A-
cadémicien libre, vacante par le dé-
cès de M. Jules Tannery..........
— MM. Désiré André et E.-A. Martel
prient l’Académie de les comprendre
parmi les candidats à la place d’Aca-
démicien libre, vacante par le décès
TOR PA NE PU n en ere some ee nl
CAPILLARITÉ. — Sur un capillarimètre
permettant la mesure de la tension
superficielle des liquides visqueux:;
DAME MR CRAUAIETE 2er ER
Voir Filtre.
CARBURES D’HYDROGÈNE. — Sur quel-
ques composés cycliques éthyléniques
à fonction éther-oxyde et sur leurs
dérivés bromés; par M. Busignies..
. — Sur le tétranitrométhane; par M. E.
LG spé notons
— Composés propioliques. Cyanacéty-
lène°C3 HN; par MM. Charles Moureu
et J=-Ch. Bongrand.= Ave. se ce
Action de l’acide azotique sur les aloï-
nes; production d’aloémodine tétra-
nitrée et d’acide trinitro-2.4.6-méta-
oxybenzoïque; par M. E.Léger.....
Hydrogénations en présence de palla-
dium. Application au phénanthrène,
par M°Pierre Breteau..." 01
Voir Catalyse, Ophtalmologie, Organo-
métalliques, Physiologie végétale,
Thermochimie.
CarTaryse. — Réactions catalytiques
par voie humide fondées sur l’em-
ploi du sulfate d’alumine; par M. J.-
B:sSenderens Mhoberaseet: step: £
— Préparation catalytique des oxydes
phénoliques et des oxydes diphény-
liques; par MM. Paul Sabatier et
A MAROC ARE RE EL.
Voir Alcools.
CéTacé. — Sur l'organe à spermaceti
du Kogia breviceps Blainv.; par
M. Edouard Danois...............
CérTonEs. — Cétones acétyléniques; par
Pages.
842
912
969
1104
868
515
813
946
1128
1368
392
492
— Synthèse de cétones dans la série
tétrahydroaromatique; par MM. G.
Darzsens et HYRost.:..-cvre.0.
— Sur l’hexahydroacétophénone et sur
l’hexahydrobenzoylacétone ; par
M. Marcel Godchot........,...,.
Voir Chimie analytique, Chimie bio-
logique, Photochimie. |
CHAMPIGNONS. — Sur une nouvelle moi-
sissure du tannage à l'huile, le
Monascusolei; par M.André Piédallu.
— Influence du fer sur la formation des
spores de l’Aspergillus niger; par
MAC INOSSier À ce AREA RTE. "
— Sur la culture nouvelle d’un Cham-
pignon comestible, le Pleurote-
Corne-d’Abondance; par M. L.
IMÉURUCROUSRS CRT Re Ne
Voir Immunisation, Médecine, Lichens, :
Pathologie végétale.
CHIMIE ANALYTIQUE.
— Nouvelles réactions de la morphine;
par M. Georges Denigès..........,
Nouvelle réaction de la cupréine; par
M. Georges Denigès.....:.........
Sur deux alcools actifs et une troi-
sième cétone contenus dans l’essence
de coco; par MM. Haller et À. Las-
Méthode d’analyse des corps gras par
‘ séparation des acides gras concrets
d'avec les acides liquides; par M.
DOUTER TENTE RAR.
Nouvelle méthode de dosage de la
glycérine dans les vins; par M. C.
latin Din DES HIDE à
Sur le-dosage des méthylamines mé-
langées dansune grande masse d’am-
moniaque; par M. J. Bertheaume. .
Voir Alliages, Fraudes, Houille, IHydro-
logie, Minéralogie.
CHIMIE BIOLOGIQUE.
— Sur l'oxydation de l’oxyhémoglo-
bine pure par l’eau oxygénée pure;
Dar M. LS TELEr PIN EI
690|— Sur la dégradation biologique des
hydrates de carbone; par M. À.
1417
Pages.
75
HIDE
397
107
1376
1062
1354
697
956
80
146
1418
3 Pages.
F'ernbACh enr. sets sossessess 1004 |
Voir Champignons, Diastases, Fermen-
talions.
. CHIMIE INORGANIQUE.
— À. Voir Liquéfaction des gaz.
— Ag. Voir Photographie, Poids àto-
miques.
— Al. Surl’azoture d'aluminium. sa pré-
paration et sa fusion; par M. Da/fy
Voir Catalyse.
— As. Voir Toxiques, Trypanosomes,
Vigne.
— Au. Sur l’or brun; par M. IT, Hanriot.
— Br. Voir St. à
— C. Voir Fe, Houille.
— Ca. Voir Etincelle.
— Ce. Voir Chimie physique.
— C1 Voir Th.
— Cu. Voir Alliages.
— Fe. Action du fer et de ses oxydes, au
rouge, sur l’oxyde de carbone; appli-
cation à quelques données géolo-
giques; par MM. Armand Gautier et
PGlausmannis. ste hate ce crane
— Action des mélanges d'oxyde de
carbone et d'hydrogène, ou d’acide
carbonique et d'hydrogène, sur les
oxydes de fer; par MM. À. Gautier
et P Cousin see
— Sur la réduction de l’oxyde de fer
par le carbone solide; par MM. G.
Charpy et S. Bonnerot............
Voir Acier, Chimie végétale.
— H. Voir Fe, Electrochimie, lons.
— I. Sur l’absorption de l’iode par les
corps solides; par M. Marcel Gui-
chars SP ee HE Tone
— Ir, Voir Organométalliques.
— K. Voir Equilibres chimiques.
— Ja. Voir Chimie physique.
— Mg. Voir Equilibres chimiques.
— Mn. Sur le manganate de sodium et
ses hydrates; par M. V. Auger. ...
— N. Voir Al, Th, Chimie physiolo-
gique, Chimie physique, Mélanges.
: — Na. Voir Mn.
— 0. Voir Chimie biologique, Oxydases,
Photochimie, Poids atomiques.
— P. Sur la nature du produit désigné
sous le nom de phosphore noir; par
TABLE DES
318
1355
16
355
644
236
69
MATIÈRES.
y MED. Gernesr 42 rs Te
— Erratarelatifs à cette Communication.
— Sur les relations entre le phos-
- phore blanc, le phosphore rouge et
le phosphore pyromorphique; par
M.'Piérre Johbois =, RS eat
Voir Electrochimie, Solutions.
— Pb. Voir Vigne.
— S$. Voir Th, Chimie physique, Conduc-.
tibilité, Organométalliques.
— Sb. Voir Pile, Trypanosomes.
— Se. Voir Pile.
— Sr. Sur la préparation du strontium
cristallisé; par MM. À. Guntz et
GallulAS RM ie SEE
— Si. Sur les composés bromés et
hydrobromés du silicium; par
MM. À. Besson et L. Fournier. ....
— Te. Sur les composés organiques du
tellure tétravalent; par M. Charles
Ledérér se: RP NME EE
— Th. Sur la décomposition du sulfate
de thorium par l’eau; par M. Barre.
— Th. Sur le sulfate de thorium; par
— Th. Surles combinaisons du chlorure
de thorium avec l’ammoniac; par
M: Ed: Chaupenet a RER à
Voir Catalyse, Radioactivité, Résis-
tance, Sels complexes.
CHIMIE ORGANIQUE.
Voir Acides, Alcools, Amidon, Amines,
Carbures d'hydrogène, Catalyse,
Cétones, Chimie analytique, Chimie
biologique, Chimie inorganique (Te),
Chimie physiologique, Chimie végé-
tale, Ethers, Explosifs, Fermenta-
tions, Glucosides, Odeurs, Photo-
chimie, Photolyse, Photographie,
Physiologie végétale, Pouvoir rota-
toire, Sels compleses, Sucres, Ter-
pènes, Ultraviolet.
CHIMIE PHYSIOLOGIQUE.
— Sur le phénomène de la glycosurie
phlorizique envisagée comme signe
d'insuffisance fonctionnelle du foie
et accessoirement sur l'influence de
382
813
1055
Grt
70
231
387
É , l'injection sous-cutanée de glyco-
D gène comme source de glycosurie
passagère; par MM. J. Teissier et
De la quantité de sécrétion contenue
dans un liquide gastrique donné;
pari dent ns RES IGU
Sur la non-existence de lécithines
libres ou combinées dans le jaune
d'œuf; par M. N.-A. Barbieri......
Répartition de l’azote dans les excreta
intestinaux; par M. Henri Labbé..
Variations de quantité et de compo-
sition du suc pancréatique au cours
de sécrétions provoquées par la sé-
crétine; par M. S. Lalou...........
Sur la présence de dépôts de chole-
stérine dans les tuniques artérielles
scléro-athéromateuses; par M. Le-
Contribution à l'étude de l’action
physiologique des bases organiques;
par MM. À. Brissemoret et A. Joanin.
Sur la nature lipoïdienne d’une sub-
stance active sécrétée par le corps
jaune des Mammifères; par MM. P.
Bouin et P. Ancel..
Voir Altitude, Chimie RIRE Foie,
Physiologie.
CHIMIE PHYSIQUE.
— Action de la pression et de la tem-
pérature sur le cyanogène; par
MM. E. Briner et À. Wroczynski....
— Sur les sulfates doubles formés par les
sulfates de lanthane et de cérium
avec les sulfates alcalins; par M.
ONE ces pis ne :
Voir SE Chimie organique,
‘(Au, Fe, I, P, Th), Coloranis,
Cryoscopie, Élecirochimie, Equilibres
chimiques, Etincelle, Gélatine, Ions,
Mélanges, Odeurs, Photochimie, Phy-
siologie végélale, Pouvoir rotaloire,
Résistance, Solutions, Thermochimie.
CHIMIE VÉGÉTALE.
— Nouvelles observations sur la cal-
Re. Jose; par M. L. Mangin..........
Me” — Sur les relations de la callose avec la
fongose; par M. C. Tanret........
- TABLE DES. MATIÈRES.
Pages.
— Sur la composition des œillets à
tiges souples et à tiges rigides; par
MM. L. Fondard et F. Gauthié..
Sur la conservation des matières sa-
lines pendant le cours de la végéta-
tion d’une plante annuelle; par
DÉMOS ARITAMRE 8, er He
Préparation de l’arbutine vraie;
par M: A7: Hérissey.srnr.rt SN
Sur la combustion de l’aldéhyde
-éthylique par les végétaux infé-
risursi par MA"Perrie use
Sur la toxicité de quelques sels à
l’égard des feuilles vertes; par
MM. L. Maquenne et H. Demoussy.
Influence du fer sur la formation des
spores; par-M. B. Sauton..........
Voir Algues, Chimie analytique, Glu-
cosides, Odeurs, Sucres, Tabac.
UE
165
405
822
824
1079
Cuirurere, — Voir Circulation.
CHroNoMÉTRIE, — Comparaison de deux
pendules astronomiques à l’aide de
signaux électriques transmis par
un câble sous-marin à très longue
portée; par M. R. Bourgeois.......
1151
1391
— Comparaisons téléphoniques etradio-
télégraphiques des chronomètres
par la méthode des coïncidences
entre Paris et Brest; par MM.
Claude, F'errié et Driencourt........
Voir Ondes hertziennes, T'élégraphie
sans fil.
Caronopnone. — M. J. Carpentier pré-
sente à l’Académie le Chronophone
GE EU TOTARC OT AO POUT TONE
CiNéÉmaToGRAPHE, — Application du
gyroscope et de l'air comprimé à
la prise des vues cinématogra-
phiques; par M. G, de Proszynsky .
Voir Chronophone, Radiographie.
CircurarTion, — Contribution à l'étude
de la circulation veineuse dans les
membres inférieurs; par M. RÀ.
Robinson...... RS rs
CœLenTÉRés. — Sur les récifs coralliens
de la baie de Tadjourah (golfe
d’'Aden) et leurs Madréporaires;
pat M.CR. Grapién.. "2
279 |— Sur la durée de la vie chez les Madré-
potaires; par M. Ch. Gravier......
4471— Sur la lutte pour l'existence chez les
314
871
1419
Pages.
583
1324
1342
831
650
772
1420 TABLE DES MATIÈRES.
Pages. j ï
Madréporaires des récifs coralliens; l'Observatoire de Marseille (équato-
par M. Ch. Gravier....... ES 955 rial d’Eichens de 0",26 d'ouverture);
CocLoranrTs. — Sur l’adsorption de cer- par M. Coggia... er sus ses se
taines matières colorantes; par — Observations de la nouvelle comète
M. Léo Vignon..... svp 7 de Cerulli faites à l'Observatoire de
Comères. — Observations de la comète Marseille, au chercheur de comètes;
Metcalf, faites à l’équatorial coudé par M. Borrelly............... ben
de l'Observatoire de Lyon; par M. J. — Observations de la comète Faye-
Guillaume =. ARC Re 464 Cerulli, faites à l'Observatoire de
— Observations de la comète d 1910 Marseille, au chercheur de comètes;
(Metcalf, 9 août 1g1o), faites à par: M. Borrelly.f sixas does tisane
l'Observatoire de Marseille (équa- — Observations de la comète 1910 e
torial d’Eichens de 0,26 d’ouver- (Faye-Cerulli) à l'Observatoire de
ture); par MCoggta, 1... -.242e 465 Marseille (équatorial d’Eichens de
— Observations de la comète 1910 d 0,26 d'ouverture); par M. Esmiol.
Metcalf, faites à l'Observatoire de Comère DE Hazrey. — Sur les phéno-
Marseille, au chercheur de comètes; mènes présentés par la comète de
par M. Borrelly.................. 465 Halley après son passage devant le
— Observations de la comète Metcalf, Soleil; par M. D. Eginitis........
faites à l'Observatoire de Paris, à — Observations spectroscopiques de la
l’équatorial de la Tour de l'Ouest comète de Halley; par M. Fr. Ini-
(0,305 d'ouverture) ; par M.J. Cha- AU TT SR SNL 1h cb hornlelises
lu. Ps ET TO Re 466 | — Observations de la comète de Halley
— Observations de la comète Metcalf et d’occultations d'étoiles, faites à
faites à l'Obsérvatoire de Nice avec l'Observatoire de Toulouse, à l’équa-
l’équatorial coudé de 0,40 d’ouver- torial Brunner-Henry; par M. L.
ture; par M. Schaumasse.......,.. 496 Montangerand.:.. SL
— Observations de la comète de d’Ar- — Observations de la comète de Halley
rest à l'Observatoire d'Alger; par à l'Observatoire du Pic du Midi; par
M. Gonnessiat. .... RARE MATE 511 MM. G. Millochau et H. Godard...
—- Remarque au sujet d’une communica- — Sur le passage de la Terre dans la
cation de M. Gonnessiat intitulée : queue de la comète de Halley ; par
« Observations de la comète de d’Ar- M. Ernest Esclangon.............
rest à l'Observatoire d'Alger »; par — Sur les apparences présentées par la
MAP PAU QUE ane be 511 queue de la comète de Halley lors
— Observations de la comète Cerulli du passage du 19 mai dernier; par
(1910 e) faites à l'Observatoire de MM. FH. Deslandres et J. Bosler....
Besançon avec l’équatorial coudé; — Photographies de la comète de Hal-
pan PORTA ENT 851 ley; par M. Jean Mascart..:......
— Observation de la comète Cerulli — Sur les phénomènes one pré-
(du 9 novembre) faite à l’'Observa- sentés par la comète de Halley ; par
toire de Marseille (équatorial d’Ei- ML ERRRHEREE. AS
chens de 0,26 d’ ARR ; par — Etude d'une touffe ou bouffée de di
MACON Se re so : de PROS E comète de Halley; par M. José Co-
— Observations de la te Cerulli, MASISOULRS ER AMAR
faites à l'Observatoire de Lyon; — Sur la comète de Halley; par M. Bas-
par M. J. Guillaume. ....... MAT O1 BDE Ra ne sion cer
— Idendité de la comète Cerulli avec — Observations de la: comète & Halley
la comète Faye; par M. G. Fayet.. 969 faites par M. Javelle à l’'Observa-
— Observation de la comète Cerulli- toire de Nice (équatorial Gautier
Faye, faite à l'équatorial de la Toür de 0,76 d'ouverture); par M. Ja-
de l'Est; par M. C. Popovici...... 971 CR nv a dE nee « AO
— Observations de la comète de Faye Commissions. — MM. Darboux, Violle;
(e 1910 Cerulli, ÿ novembre), faites à
Bouchard, Maquenne; Cailletet, Car-
Pages.
1030
1030
1106
1107
41
44
47
199
_188
265
290
291
369
789
850
common tint éme toast ts tt
LÉ
P
TABLE DES MATIÈRES.
Pages.
pentier sont élus membres d’une
Commission qui devra présenter une
liste de candidats au siège d’Acadé-
micien libre, vacant par le décès de
MhEaRouthésete : sata 3 ati
— MM. Darboux, Grandidier, Baillaud,
Ph. van Tieghem, Perrier, Laveran
sont élus membres de la Commis-
sion chargée de présenter une liste
de candidats au poste d’Associé
- étranger vacant par le décès de
M. Robert Koch
— MM. Darboux, Poincaré, Dante: Ç
Ph. van Tieghem, Roux, Delage
sont élus membres de la Commission
chargée de présenter une liste de
candidats à la place d’Associé étran-
ger, vacante par le décès de M. Schia-
Dane Ass nude eine tele
COMMISSION ADMINISTRATIVE.
. Bornet et Emile Picard sont élus
membres de la Commission admi-
nistrativé POUTIDL Me cola le
COMMISSION DE CONTROLE DE LA CIRCU-
LATION MONÉTAIRE.— M. le Ministre
de Finstruction publique invite
l’Académie à lui désigner un de ses
membres qui devra faire partie de
la Commission de contrôle de la cir-
ss.
CoNDUCTIBILITÉ ÉLECTRIQUE. — Puri-
fication électrique et conductibilité
électrique de l’anhydride sulfureux
liquéfié; par M. J. Carvallo......
Voir Résistance.
ConcrÈs. — Le prince Era Bona-
parte est désigné par l’Académie
pour se rendre comme délégué, au
deuxième (Congrès du Froid, à
Vienne, en octobre 1910
Voir Fraudes.
ConsrrucrTion. — Imperméabilisation
des matériaux ou porosité; par M. À.
Knapen...
— Le pont de la Cassagne (système
Giselard); par M. Arnodin ....
CRISTALLOGRAPHIE.
— Les liquides anisotropes de Lehmann,
par MM. G. Friedelet F. Grandjean.
— Les liquides anisotropes de Leh-
C. R., 1910, 2° Semestre. (T. 151.)
707
35
793
1104
794
847
716
583
683
855
327
mann; par MM, G. Friedel et F.
Grandjean
Les liquides à coniques focales; par
MM. G. Friedel et F. Grandjean..…..
Cristaux liquides en lumière conver-
gente; par M. Ch. Mauguin.......
Sur les liquides anisotropes; par M. F.
Friedel et F. Grandjean........….
Liquides biréfringents à structure
hélicoïdale; par M. Ch. Mauguin..
Sur les cristaux mous et sur la
mesure de leurs indices de réfrac-
tion; par M. Paul Gaubert..... FO
Influence des matières étrangères
dissoutes dans l’eau mère sur le
facies des cristaux d'acide méconique
et sur leur pseudopolychroïsme; par
MAPauliGarbena rene
CRUSTACÉS. Les Pycnogonides à
cinq paires de pattes recueillis par
la Mission antarctique Jean Char-
cot à bord du Pourquoi-Pas?; par
MuE.-La, Bouvier. Mosnensse.
Sur un Phyllopode anostracé nou-
veau recueilli par l’Expédition an-
tarctique du Pourquoi-Pas? sous
la direction de M. Jean Charcot; par
M. Eugène Daday de Dées.........
Sur l’évolution et les affinités des
Philichthydæ; par M. À. Quidor ...
d'Afrique, leur exploitation indus-
* trielle; par M. À. Gruvel..........
Sur les affinités réelles des genres
Urocaris (Simpson) et Palæmonella
(Dana), et considérations sur l’évo-
lution des Crevettes de la famille
des Pontoniidés; par M. E. Sollaud.
Voir Parasites.
Cryoscopre. — Cryoscopie des naph-
tylamines et composés d’addition;
par M. Abel Buguet. «is uen
Currures. — Sur les expériences effec-
tuées par l'Administration des do-
maines de l’État égyptien, eñ vue
de déterminer l'influence de la
nappe souterraine du Delta sur la
culture du coton; par M. Audebeau
Bey
Voir Champignons,
….....
Flore tro piôale,
Greffe, Mécanique agricole, Physio-
logie végétale, Tabac, Vin.
188
1421
Pages.
442
762
886
9338
II4I
532
1134
26
688
834
Les langoustes de la côte occidentale .
999
1158
312
335
1422
Cvcezes mixtes. — Recherches sur
. l’isomaltol; par M. À. Backe.,,...
Voir Catalyse, Organométalliques.
CyrococrEe. — Nouvelle interprétation
de la réduction dans le Zoogonus
mirus Lss; par M. Armand Dehorne.
— Sur la coexistence de la division et
Décès. — M. Emile Picard donne lecture
du discours qu'il a prononcé aux
obsèques de M. Maurice Levy. .....
— M. le Président annonce la mort de
M. Gernez, Membre de la Section
dePhysique then PIRE Ie
— M. le Président annonce la mort de
M. Eugène Rouché, Membre de la
Section des Académiciens libres. ...
— M. le Président annonce la mort de
M. Tannery, Membre libre de l’Aca-
déniieé 400 84 HARRIS '
— M. le Président annonce la mort de
M. Schiaparelli, Associé étranger. .
— M. Wolf donne lecture d’une Notice
nécrologique sur Giovanni-Virginio
Schiaparelli, Directeur de l’Obser-
vatoire de Milan, Membre de l’Aca-
démie au titre d’Associé étranger. .
— M. le Président annonce à l'Académie
le décès de M. Treub, Correspondant
de la Section de Botanique, et lit
une Note biographique communi-
quée par M. Guignard.......,....
— M. le Président annonce le décès de
M. Ernst von Leyden, Correspon-
- dant de la Section de Médecine et
Chirurgie, et lit une Note biogra-
phique communiquée par M. Bou-
— M. le Secrétaire perpétuel annonce le
décès de M. Angelo Mosso, Corres-
pondant pour la Section de Méde-
— M. le Secrétaire perpétuel annonce le
décès de M. Armand Sabatier, Cor-
respondant pour la Section d’Ana-
tomie et Zoologie. ........,,,.:,,
DÉCHARGEs. — .Sur la variation de
l'aspect de la décharge avec la varia-
tion de la distance explosive; par
M:E. Aiaduüzriss, seen as
— Sur l’existenco de deux potentiels
Pages.
78
459
7h
491
845
117
118
627
628
968
1332
140
TABLE DES MATIÈRES.
d’une subdivision des chromosomes
à l’état quiescent; par M. Armand
Dehôrne 20 ERREUR
— Cytologie d'Endomyces albicans (P.-
Vuillemin) (formes filamenteuses) ;
par M. Henri Pénau............. :
Voir Levures. |
explosifs; réponse à une Note
récente de M. Amaduzzi ; par MM. P.
Villard et H. Abraham... ..........
— Sur les potentiels explosifs; par
MM. P, Villard et H Abraham...
— Sur l’action d’un champ magnétique
sur la décharge électrique; par
M.-Eugène Bloch: :::::::3::3:39
— Sur-le potentiel de décharge dans
le champ magnétique; par M. Gouy.
—. Errata relatifs à cette Communication.
— Sur les tubes luminescents au néon;
par M. Georges Claude....:.......
Voir Are, d'Arsonvalisation, Etincelle,
Tons, Télégraphie sans fil.
DEXNSITÉ DES G4z. — Application du
principe d’Archimède à la détermi-
nation exacte des densités gazeuses;
par MM. À. Jaquerod et M. Tour-
POLAR z. ss Ts ste a MR ain ere ere
Voir Equation caractéristique.
Drasrases. — Sur l’individualité de la
cellase et de l’émulsine; par MM.
Gabriel Bertrand et A. Compton... :
— Influence de la température sur l’acti-
vité de la cellase; par MM. Gabriel
Bertrand et Arthur Compton. ......
— Sur l'existence d'une méthylglucase
spécifique dans la levure de bière;
par-M:' Bresson it i TEEN A SR
— ‘Méthode pour la détermination de
l’unité ou de la pluralité des dias-
tases dans un liquide; par MM.
Achalme:et Bresson. .:..::::2009!
— De l'influence que la réaction exerce
sur certaines propriétés des macéra-
tions de malt; par MM. À. Fern-
bachet M, Schœn. . 4 us. 02.
Voir Oxydases, Sucres.
DiÉLECTRIQUES. — Sur l'apparition de
certaines anomalies diélectriques
par changement d'état du milieu
isolant; par M. Louis Malclès.,,,,,
Pages.
774
177
269
808
1020
1166
1122
666
e
402
1076
485
1369
894
63
site den
TABLE DES MATIÈRES.
— Comparaison de différents procédés
de mesure de la constante diélec-
trique; par M. Paul Floquet. ...
DrrrrAcrion. — Le bleu du ciel et la
constante d’Avogadro; par MM. Ed-
mond Bauer et Marcel Moulin. .
CRC
DYNAMIQUE DES FLUIDES, — Sur les
ÉCLAIRAGE, — Voir Décharges.
Éczrpses. — Occultations. observées
pendant l’éclipse totale de Lune
du 16 novembre 1910, à l'Observa-
toire de Lyon; par MM. M. Luizet,
J. Guillaume et J. Merlin. ........
Observation de l'éclipse totale de
Lune du 16 novembre 1910, faite à
l'Observatoire de Toulouse; par
M. L. Montangerand...,....,:...
L’éclipse totale de la Lune du 16 no-
vembre 1910, observée à l’Observa-
toire de Besançon, par MM. Chofar-
det et Goudey; par M. Lebeuf....
Observation de l’éclipse totale de
Lune du 16 novembre 1910, faite à
l'Observatoire de Marseille; par
MsBourgtheinss as See os de
Sur l’éclipse totale de Lune des 16-17
novembre 1910, à Hem; par M. Ro-
bert Jonckheere.. PP RRTICE
Éclipse totale de Lune du 16 no-
vembre 1910, observée à Aoste
(Italie); par MM. Amann et Cl.
Rorel fine amine mosqu.
Écore Poryrecanique.— M. le Ministre
de la Guerre invite l'Académie à
. désigner deux de ses Membres pour
faire partie du Conseil de perfection-
nement de l'École Polytechnique. .
— MM. H. Poincaré et H. Léauté sont
CITÉS ÉD ID AT IE PPLOT
ÉcrasemenT. — Loi de la résistance à
l’'écrasement de corps eylindriques
en fonction de leurs dimensions;
par M. F. Robin........,.,,4...,
Voir Acier.
Eau. — Voir Ultraviolet.
Érecrions.—M. Lecornu est élu Membre
de la Section de Mécanique, en rem-
placement de M. Maurice Lévy,
décédél. Malin ren dobt
— M. L. Teisserénc- de Bort est élu
CRC
CRE
Pages. |! °
mouvements $tationinairés d’un li-
quide doué de frottement;
par
545 Made ouate tl 128 ar
— Erratarelatifs à cette Communication,
Voir Aérodynamique, Hydrodyna-
864 mique.
Membre de la Section des Acadé-
miciens libres en rémplacement de
M. Æ. Rouché.... 31
— M. Ray Lankester est élu Ta
étranger en remplacement de
M. Robert Koch. . arr
— M. H, Lorentz est élu Associé étranger
en remplacement de M, Schiaparelli.
— Lord Avébury est élu Correspondant
pour la Section d’Anatomie et Zoo-
logie en remplacement de M. Ray
Lankester, élu Associé étranger...
CCC EC
913
sms
914
847
186
968
968
— M. Francotle est élu Correspondant :
dans la Section d’Anatomie.. et
Zoologie à la = à éme de M. Van
Beneden....
ses
ÉLasrrcrré, — Sur le problème biharmo-
nique .et le problème fondamental
dans la théorie de l’élasticité; par
M. À. Korn...
Voir Acier, Acoustique, Écrasement.
1104
ÉLECTRICITÉ.
— Contacts électriques efficaces sans
pression; par M. G. Lippmann.....
— La mesure absolue des courants de
grande intensité; par M. Marcel
Chopin tenait dE niet Mani:
ÉLECTRICITÉ PHYSIOLOGIQUE. — Voir
d’Arsonvalisation.
Voir Chronophone, Conduclibilité,
Décharges, Diélectriques, Magné-
isme, Moteurs, Ondes hertziennes,
Osmose, Pile, Télégraphie.
ÉLECTRICITÉ ATMOSPHÉRIQUE. — Obser-
vations d'électricité atmosphérique
faites à l’île. Petermann pendant le
séjour de l'expédition Charcot; par
MeRouche ses sl ne mere se
663
911
639
1027
CRC AC
912
299
1015
1037
225
1424
Voir Aurore boréale, Physique du
globe.
TABLE DES MATIÈRES.
Pages.
ÉLecrrocuimiE. — Réduction du chlo--
rure de phosphoryle par l’hydro-
gène sous l'influence de l’effluve
électrique; par MM. À. Besson et
L. Fournier ere Meme een
— Décomposition de la vapeur d’eau
par l’aigrette; par M. Miroslaw
Kernbaun. sente Monroe:
Voir Arc.
ÉLecrromMaGNÉTISME. — Théorèmes sur
les équations générales du mouve-
ment d'un corpuscule dans un
champ magnétique et un champ
électrique superposés; par M. Carl
SIGFRET ETES ANA = FN O TOR,
— Formes canoniques des équations
générales du mouvement d’un cor-
puscule dans un champ magnétique
et un champ électrique superposés;
par M. Carl Siôrmer....,....,....
— Erratarelatifs à cette Communication.
Voir Aurore boréale.
ÉLecrromèrre.— Sur la mesure des dé-
placements très petits au moyen
de l’électromètre; par M. Jean Villey.
Voir Manomètre.
ErecrroopriQuEe. — Sur les biréfrin-
876
319
542
590
662
716
gences électrique et magnétique;
Paie Langeninaiene rs es
Émission. — Sur l'émission des gaz; par
M. E. Pringsheim..... en
Voir Are, Comètes, Décharges, Etoiles,
Phosphorescence, Spectre.
ÉNERGÉTIQUE BIOLOGIQUE. — Une sin-
gularité dans le fonctionnement de
la machine humaine; par M. Jules
Amar...
— Mise en marche de la machine hu-
maine; par M. Jules Amar.......,
— Sur la loi de la dépense postérieure au
travail; par M. Jules Amar.......,
— Influence exercée par la douleur sur
la forme des tracés ergographiques
de la fatigue; par M. À. Imbert...
ENsEMgBLes. — Sur la théorie des en-
semblés; par M. Étienne Mazur-
REPARER ANR ë DT
Voir Analyse mathématique, Lignes
ÉQuarron CARACTÉRISTIQUE. — Le dia-
mètre rectiligne de l'oxygène; par
2 479
302
680
892
952
767
296
VTT 9 FPT e RS
MM. E. Mathias et H. Kamerlingh
Onriés RENE Se AT Te 5
— Le diamètre Tige de sean
par MM. E. Mathias et H. Kamer-
linghiOnnes 3e AN ENS SPERNe :
ÉQUATION AUX DIFFÉRENCES FINIES. —
Sur la représentation asymptotique
des solutions d’une équation aux
différences finies pour les grandes
valeurs de la variable; par M. Gal-
ÉQUATIONS DIFFÉRENTIELLES. — Sur le
problème logique de l'intégration
des équations différentielles; par
M. Jules Drach28e 3 SSP ;
— Sur une équation différentielle du
troisième ordre qui a ses points cri-
tiques fixes; par M. Jean Chazy....
— Sur une classe d'équations différen-
tielles dont les intégrales générales
ont leurs points critiques fixes; par
M. René Garnier. .
— Sur le théorème de Poiieon ot: sur les
invariants différentiels de Lie; par
M. Th. de Donder...... PROC ET CE
— Sur quelques équations définissant
des fonctions de ligne; par M. Paul
Lépyssent CT PEN LT LS Rem
— Sur l’intégrabilité des équations dé-
finissant les fonctions de ligne; par
M:Baul. Léa JO 5. LL UE =
— Sur l'intégration, par la méthode de
M. Darboux, d’une èquation aux
dérivées partielles du second ordre
quelconque; par M. P.-E. Gau.…..
Voir Analyse mathématique.
ÉQuarTION DE FRrEDnoLM. — Sur les
noyaux résolvants; par M. T. La-
lesco santé, ie 2 eee turas
— Sur les pôles des noyaux résolvants;
par MB alesco ! MAT UE
— Sur les noyaux symétriques ro
par M: T:Lalesco. ess. 6 ‘
— Sur une équation fonctionnelle sin-
gulière du type de l'équation de
Fredholm; par M. Emile Picard. .
QUILIBRES CHIMIQUES, — Sur les équi-
libres entre le bicarbonate de potas-
sium et le carbonate de magnésium
trihydraté; par M. Nanty.. :
ErraTa.— 116, 196, 264, 359, âgo Ssb;
538, 578, 626, 662, 844, 910, 966,
1166, 1412.
Éruers. — Action de quditusé éthers-
Pages.
213
474
1114
192
203
205
ai
579
21e
1031
928
1033
1336
606
1352
TABLE DÉS MATIÈRES.
sels d’acides monobasiques gras sur
le dérivé monosodé du cyanure de
benzyle; par M. F. Bodroux .......
— Action de quelques éthers-sels sur le
dérivé monosodé du cyanure de
benzyle; par M. F. Bodroux.......
— Sur les éthers nitreux de la cellulose;
par MM. Paul Nicolardot et Georges
Chertyérs:s, MES TAN So pe
— Nouvelle méthode de préparation des
éthers glycidiques; par M. G. Dar-
RTS ES AR OR AU et 20
Voir Alcools.
Éruers-oxyDpes. — Voir Carbures d’hy-
drogène, Catalyse, Or ganométalliques.
ÉrincELLE.— Sur les durées relatives des
raies du calcium dans l’étincelle de
self-imduction; par M. G.-A. ITem-
SUIECRERE ENT. Ver set te PRMGNTEU
FERMENTATIONS. — De l’action des ni-
trates dans la fermentation alcoo-
lique; par MM. À. Fernbach et À.
Lanzenberg. ....... PES RARRE. PT
— Influence des nitrates sur ni ferments
alcooliques; par M. E. Kayser...
— Action du ferment bulgare sur les
substances Le et amidées;
par M. J.Effront,..:.,, 008,
— Observations à à pidpé akéhe Note
relative à l’action du ferment bul-
gare sur les matières protéiques;
par M. Gabriel Bertrand... ........ :
Voir Chimie biologique, Diastases, Vin.
Fire. — Étude sur la porosité des
bougies filtrantes ; par M. Francisque
Grénetiisr Ps ATIAE PRE MTS à
— Remarques au sujet d’une Note de
M. F. Grenet intitulée: « Étude sur
la porosité des bougies filtrantes »;
Par MAR Gautier NS M
Voir Hydrologie.
FLore TropicaAzE. — Sur une nouvellé
Légumineuse à fruits souterrains
cultivée dans le Moyen-Dahomeÿ
(Voandzeia-Poissoni); par M. Aug.
Chevalier de JUIN Pre d. ft.
— Nouveaux documents sur le Voand-
zeia-Poissoni À. Clere (Kerstingiella
geocarpa Harms); par M. Aug. Che-
POTÉTAARENNE.
ne
1007
Pages.
Voir Décharge, Magnétooptique, Spectre,
Télégraphie sans fil.
234 | Éroires. — Sur un moyen de déterminer
par la photométrie hétérochrome les
parallaxes d’une certaine classe
d'étoiles. Première application à
deux étoiles; par M. Charles Nord-
TRANS M D Er LE A A AE D
719 | ExPLoRATION. — M. le Secrétaire pére
pétuel présente les « Rapports pré-
liminaires sur les travaux exécutés
883 dans l’Antarctique par la Mission
commandée par M. le D' Charcot,
de-1908 4 191008 MAN Poe:
Voir Crustacés, Histoire des Sciences,
Marées.
ExPLosirs. — Sur les explosifs de sûreté
employés dansles mines; par M. Taf-
220 Jan nc ASS
F
— Sur l'existence d’un riz vivacé au
Sénégal; par M. P. Ammann......
Forte. — Formation d’antithrombine
55) dans le foie préalablement congelé
à une température très basse; par
816 MRDOYON INR EUR NRENRRERTRE
Voir Chimie physiologique. :
Foncrrons.— Sur un problème d’Abel;
DARAMM PEUT ADITETIES NE AT Frs
— Erratarelatifs à cette Communication.
— M: J. Tannery fait hommage à l’Aca-
‘. démie de la seconde édition de son
1161 « Introduction à la Théorie des
fonctions d’une variable » ..... ICE
— Sur le développement d’une fonetion
arbitraire en séries de fonctions
941 fondamentales; par M. W. Stekloff.
— Une application nouvelle de ma mé-
thode de développement des fonc-
tions fondamentales; par M. W.
Stekloff.
— Sur la condition de fermeture des
systèmes de fonctions orthogonales ;
par M. We. Stekloff. .,.,.,.4...,3.
— Les formules de Frenet dans l’espace
fonctionnel; par M. G. Kowalewski .
84| Fonps BonapartTe.— Rapports sur des
travaux exécutés à l’aide de sub-
1016
doses sos se .
ventions accordées sur le Fonds
Bonaparte : M. Blaringhem.......
1374 MVL at has RS HTC
1425
Pages.
794
873
1388
1074
294
490
663
800
1426 TABLE DES MATIÈRES.
— Rapport de la Commission pour 1910.
Fraupes.— Le deuxième Congrès inter-
national de la répression des fraudes.
Présentation du Compte rendu de
ses travaux; par M. d’Arsonval....
Froin. — Mélanges réfrigérants; par
M. dd Duclaur ss fous en
— M. d’Arsonval fait hommage à l’Aca-
démie de la « Monographie sur
l’état actuel de l’industrie du froid
Gaz Rares. — Voir Décharges, Liqué-
faction des gaz.
GÉLATINE. — Sur l’action des rayons
ultraviolets sur la gélatine; par
Moss ans. Pre :
GÉODÉSIE. — Sur l'exactitude MERE |
des diverses évaluations de l’alti-
tude du lac Tchad; par M. Ch.
Lallemand es ot a iaiesieete ete
— Sur la Mission géodésique de l’Équa-
teux; par, M..Bassok. tt 2.
— Sur le mouvement diurne du sommet
de la Tour Eiffel; par M. R. Bour-
De nars 50 aie doré dat ren GA dE bre
— Sur les triangulations géodésiques
complémentaires des hautes régions
des Alpes françaises (huitième cam-
pagne); par M. P. Helbronner.…. ....
féocnirerx, — M. Grandidier présente
| à l’Académie, au nom de M, le Géné-
ral Jules de Schokalsky, la deuxième
édition de la Carte de Russie d’Eu-
rope à 35003700 comprise dans
l'AtlasiderAs Mareks fn te sais os
GéocrAPHIE PHYSsIQUE.— Le cours infé-
rieur de la Mlouya (Maroc oriental) ;
par M. Louis Gentil........ étre
Voir Géologie.
GÉOLOGIE.
— Sur la métallogénie des blendes et
de minéraux qui en dérivent; par
MM. L. De Launay et G. Urbain...
— Sur une mesure du laminage des
sédiments (calcaires et schistes) par
celui de leurs cristaux clastiques de
tourmaline; par M. F. Grandjean..
— Sur la formation du limon des pla-
teaux; par M. Henri Douvillé...….,,
Pages.
1277 en Français sde
Voir Congrès, Equation caractéristique,
Foie, Liquéfaction des gaz, Phos-
phorescence.
900 | FroTTEMENT. — Modifications apportées
par l’air dans le frottement de glisse-
715 ment entre corps solides; par M. F.
Charron…
Voir Dynamique des fluides.
CRE RE)
G
— Les lignes de fracture de la croûte
terrestre; par M. À. Pécsi.......,
— La bordure occidentale du bassin de
Montbrison, la surrection oligocène
219 et la cuirasse du Forez; par M. Ph.
Glangeaud....... Littéat Med ù
— Les niveaux de cailloutis et les
terrasses des environs de Saint-
10] Rambert-d'Albon (Drôme) et de
Beaurepaire (Isère); par MM. W.
353 Kilian et M. Gignoux............
— Errata relatifs àcette Communication.
— Les terrasses fluvioglaciaires de la
466 Bièvre et de la Basse-Ilsère; par
MM. W. Kilian et M. Gignoux....
— Essai de coordination des niveaux de
cailloutis et des terrasses du Bas-
664 Dauphiné; par MM. W. Kilian et
MJGignoutier, 20e. RE Ne
— Sur un double pli dans la paroi sud
du soubassement de la pointe de
Platé, près Chedde ( Haute-Savoie );
par M. Edmond Hitzel, ...........
417|— Composition des divers termes de
l’Aquitanien dans le Bazadais; Paz
M. J. Repelin.. aide
1094 |— Les terrains Sr Se 2: du sud =
Vosges; par MM. Ch. Vélain et Albert
Miche Lévy salés sf
— Les grands phénomènes de recouvre-
ment dans les Alpes maritimes ita-
liennes et la « fenêtre » de Castel-
vecchio; par M. Jean Boussac......
— Sur la succession des cycles d’érosion
110 dans la région gallo-belge; par M. À.
Briquelisli chasses tn oéh-suntuiure
— Sur la genèse des formes es relief
dans la région gallo-belge; par M. À.
907 Briquet .
— Sur Uéxinance d’une pénéplaine fos-
630 sile d'âge récent dans la région gallo-
Pages.
967
1047
693
904
1023
:1322
1100
1329
106
171
1080
1163
172
348
Bb ds os cé M Dé ndlé te à
Pr
P.
TABLE DES MATIÈRES.
belge et sur l’origine du réseau hy-
— Stratigraphie et tectonique de l’ilot
primaire de La Guardia entre le
Sègre et la Noguera Pallaresa; par
MrOmMensels Nimes Mu: à
— Sur l’existence de trois horizons de
phosphate tricalcique en Algérie et
en Tunisie; par M. Joseph Roussel. .
— Sur le mode de formation du phos-
phate tricalcique d'Algérie et de
Tunisie; par M: Joseph Roussel...
Aperçu géologique sur le massif des
Kebdana (Maroc oriental); par
M. Louis. Gentil.......... Loose :
Résultats stratigraphiques généraux
de la Mission géologique du Yun-
nan; par MM. J. Deprat et H, Man-
Sur la répartition géographique des
différents étages reconnus au Yun-
nan (Mission géologique 1909-1910);
panMens Deprats. 4... setiiee
Sur la tectonique du Yun-nan; par
MAT DEN ere caborete
La succession stratigraphique aux
environs de Luang-Prabang (Haut-
Laos) ; par M. H. Mansuy........,
Voir Géographie physique, Géophy-
sique, Glaciers, Houille, Hydrologie,
Lune, Paléontologie, Spéléologie.
Géométrie. — Sur la « Géométrie des
feuillets » de MM. R. de Saussure et
R. Bricard; par M. E. Siudy......
— Au sujet d’une réclamation de prio-
rité de M. E. Study; par M. R. Bri-
— Au sujet. d’une réclamation de prio-
rité de M. E. Study; par M. R. de
PSAUESUTERe Reed el eee DE
Voir Mécanique rationnelle.
GÉOMÉTRIE INFINITÉSIMALE, — Sur les
correspondances à normales concou-
rantes; par M. G. Darmois........
— Sur les familles de Lamé composées
de surfaces possédant des points sin-
Hérépité. — Recherches sur l’hérédité
mendélienne; par M, Philippe de
Pages.
658.
‘836
556
600
781
0
776
902
839
137
293
434
437
guliers; par M. À. Demoulin.....
— Sur certains couples de systèmes tri-
ple-orthogonaux; par M. À. De-
MOULE Nr ect fR. un
— Remarque sur une Communication
de M. Demoulin intitulée : « Sur les
familles de Lamé composées de sur-
faces possédant des points singu-
liers »; par M. Gaston Darboux....
— M. Gaston Darboux présente la deu-
xième édition de ses « Lecons sur les
systèmes orthogonaux et les coor-
données curvilignes »...,...,.....
Sur un théorème de M. Darboux;
par MGM en ES
— Sur les transformations des surfaces
applicables sur des surfaces du se-
cond degré; par M. Maurice Servant.
Sur les transformations des surfaces
applicables sur les surfaces du se-
cond degré; par M. Maurice Servant.
GéoPxysiQuE. — Sur des oscillations de
la mer observées à Bonifacio; par
Gracrers. — Sur la stratification des
névés et de la glace dans les régions
élevées des bassins d'alimentation
des glaciers; par M. Bernard et
— Les phénomènes glaciaires dans les
monts du Forez; par M. Ph. Glan-
LORS csv uno nanssee dE iOn io “0
GLucosipes.— Sur la présence d’un glu-
coside dans les feuilles de poirier et
‘ sur son extraction; par M. Em.
Bourquelot et Mile À. Fichtenholz…
Voir Ultraviolet.
Graines. — Maturation provoquée des
graines. Action antigerminative de
l’aldéhyde éthylique; par M. P.
AURAS SAT OS 0 SN CRE TO DE CON TOY
Grerre. — Un haricot vivace; par
MAlucien Daniel TETE CENT
Grourss.— Les développables isotr opes
et la méthode du trièdre mobile; par
NÉ Or TO Ro or
— Sur les groupes commutatifs et
pseudo-nuls des quantités hyper-
complexes; par M. Léon Autonne..,
Miimoninioa encens
Voir Hybrides. Mutations,
1427
Pages,
587
796
587
629
97x
1335
1107
I12
1083
1085
8t
1383
890
919
1113
1428 TABLE DES MATIÈRES.
Histoire DES scrENGEs. — Sur les ins-
tructions données. par l’Institut
national (17e et 2€ classe) au capi-
- taine Baudin pour son voyage de
découvertes aux terres australes
(1800-1804); par M. Georges Hervé.
Hisrorocre. — Sur les variations de
structure de la sclérotique chez les
Vertébrés; par M. Joannès Chatin. .
— Sur la bague scléroticale postérieure
des Oiseaux; par M. Joannès Chatin.
HouiLze. — Sur la présence d’une pe-
tite quantité d'oxyde de carbone
dans l'atmosphère des mines de
houille; par MM. P. Mahler et J.
Denët.vries ef AR seu es CURE
Voir Ophtalmologie.
Hysripes. — Hybrides binaires de pre-
mière génération dans le genre Cis-
lus et caractères mendéliens; par
CIM Mel Gard ME ete
— Surun hybride des Fucus platycarpus
et F. ceranoides; par M. Med.
Cr Fe ESS Ééar ME
Voir Hérédité.
HypropyNAMIQUE. — Mouvement dis-
continu de Helmholtz obstacles
courbes; par M. Marcel Brillouin...
IMMUNISATION, — Sur l'immunisation
contre le poison des Amanites à
phalline; par MM. Radais et Sartory.
Voir Bactériologie.
Insecres. — De la possibilité d'étudier
certains Diptères en milieu défini;
par MM. Amédée Delcourt et Emile
GUYÉNOT. ess soossssmnssesss
— Bembex chasseur de Gloësines au
Dahomey; par M. C. Roubaud.....
— Evolution de l'instinct chez les Ves-
pides; aperçus biologiques sur les
guèpes sociales d'Afrique du genre
Belonogaster Sauss; par M. E. Rou-
TT RNA Ne RE
— Evolution et histoire de Roubaudia
rufescens Villen., Tachinaire para-
site des guêpes sociales d'Afrique,
des genres Îcaria et Belonogaster ;
parM Roubaud....,.,,. 4 Mine
Le Organes sensitifs de la mandibule de
l'abeille (Apis mellifera L. %);
Pages.
— Sur la résistance des fluides limités
par une paroi fixe indéfinie; par
MPa REINE TEE et et 20 ;
— Sur les mouvements d’un fluide
autour d’un obstacle de forme
1407 donnée; par M. Henri Villat.......
— Sur les équations du mouvement
d’un fluide visqueux; par M. L.
185 Lori SNA En MIE. ma
Voir Aérodynamique, Dynamique des
509 fluides, Navigation.
Hyprococre. — M. Alfred Picard pré-
sente à l’Académie un Volume in-
titulé : « Commission des Inonda-
tions. Rapports et documents
645 divers} 2910140 Re
— Sur les conditions de filtrage efficace
des eaux souterraines dans certaines
formations calcaires; par MM. Er-
nest van den Broeck.et E.-A. Martel.
239 — Sur les abîmes des Pyrénées; par
MAE, A; Martel ao ue AIN
— Sur la composition chimique des gaz
888 spontanés de la source thermo-
minérale d’'Uriage ne ; par M. G.
Massol sis rss ls
Voir Cultures, A piles:
931 ! HYa1ÈènE. — Voir Ultraviolet.
par M. Charles Janet...
— Contributions à l'étude biologique
156 des Chermes; par M. Paul Marchal.
— Contribution à l'étude biologique
des Chermes; par M. Paul Marchal.
— Contribution à l'étude biologique
des Chermes; par M. Paul Marchal.
255|— Sur une anomalie remarquable de
Zonabris variabilis v. Sturmi (Coléo-
505 ptères Vésicants); par M. J. Cha-
4 À Ce 37 ME EP NES HN sc LA HE LD dar cn
— Des principes généraux qui doivent
présider à l’ètablissement des for-
mules insecticides; par MM. V.
553 Vermorel et E. Dantony..........
— Rapport des Insectes Lépidoptères
avec les fleurs des Zingibéracées et
en particulier avec celles des
Hedychium. Leur capture, son mé-
956 canisme, ses conséquences; par
M. J. Künckel d'Herculais........ ë
933
1034
1340
423
574
785
1124
IOOI
1144
1153
— Sur la structure des élytres d'Halo-
+
tal a Di tit A NME de:
TABLE
Pages.
sydna gelatinosa, spécialement sur
des éléments épidermiques en cor-
beilles et des éléments conjonctifs
en longues fibres hélicines et en
cellules étoilées à fins prolongements
entortillés; par M. Auguste Michel.
Voir Trypanosomes, Vigne.
Toxs. — Sur la présence exclusive dans
les gaz issus de certaines flammes
Jupiter. — Théorie analytique et Tables
du mouvement de Jupiter par Le
Levures. — Cytologie d'Endomyces al-
bicans P. Vuillemin (forme levure) ;
par M. Henry Pénau
Voir Cytologie, Microbiologie.
Licnens.— Sur la variation des gonidies
dans le genre Solorina Ach.; par
NEMRAU ESS PEN MEN ERNEST
Lines. — Sur la géométrie des lignes
‘cantoriennes; par M. Sigismond
Hénisrebsks. à. NP METRE LE,
— Sur la notion de ligne; par M. L.
OT CLEA AMEN. PU TMURER .
Voir Analyse mathématique.
MAGNÉTISME.
— La loi de la variation du coefficient
d’aimantation spécifique des élé-
ments par l’échauffement; par M.
Kotaro Honda...…...
— Les propriétés magnétiques du fer
aux fréquences élevées; par M. R.
ses.
TJOUQUS LT a A ENTER ’
Voir Specire.
MAGNÉTISME TERRESTRE. — État ma-
gnétique des diabases de l’Isfjord
au Spitzberg; par M. P. Mercanton.
Voir Aurore boréale, Physique du globe.
Macnéro-oprique. — L'influence du
champ magnétique sur la durée des
raies spectrales émises par les va-
peurs lumineuses dans l’étincelle
électrique; par M: G.-A. Hem-
C.R., 1910, 2° Semestre. (T. 151.)
DES MATIÈRES.
hydrogénées d'ions tout à fait ana-
logues (comme mobilité) à ceux
que produisent les rayons de Rônt-
gen; par M. Maurice de Broglie....….
— Réactions chimiques et ionisation;
PA MAGRAReboU le. M POP
— Sur la diffusion des ions gazeux;
par M. Edouard Salles... …...,....,
— Erratarelatifs à cetteCommunication.
1399
Verrier. Additions et rectifications;
par M. À. Gaillot,
L
LIiQUÉFACTION DES GAZ. =— Sur la pré-
paration de l’argon; par M. Georges
RATIO os RÉ T ES AE go
Voir Equation caractéristique, Point
critique.
Lumière. — Voir Pile.
Lune. — Sur ia genèse des cirques et le
tracé anguleux des crevasses lu-
naires; par M. P. Puiseux
198 |— Remarques sur les inégalités de la Cote
gitude de la Lune; par M. Schulhof.
Voir Eclipses.
252
es...
332
201
M
salech..
— Mesure absolue de la biréfringence
magnétique de la nitrobenzine; par
MM. À. Cotton et À. Mouton
— Sur l'effet magnéto-optique de sens
positif présenté par les bandes de
phosphorescence du rubis et de
l’'émeraude et sur les relations entre
l'émission et l’absorption dans un
champ magnétique; par M. Jean
IBECAUETEL PERS RNA Late je
soso soss sense ess sues
5I1
984 |
1092
MATHÉMATIQUES.
Voir Algèbre, Analyse mathématique,
Calculs des probabilités, Calcul des
variations, Géométrie, Géométrie infi-
nitésimale, Théorie des nombres.
189
1429
Pages.
67
311
DT
844
1325
752
133
190
750
862
1344.
1430
LD
Mammirères, — Sur la faune des Mam-
mifères d'Europe; par M. E.-L,
Trousssart. soie se ae
Voir Anatomie comparée, Chimie phy-
siologique.
MANoMÈTRE, — Sur un micromano-:
mètre électrométrique; par M, Jean
VAE TR MG es
Mantes. — Observations de marées
faites au large dans la Manche et
la mer du Nord; par MM. L. Favé
et L.s-Driencourtea etes
— Sur quelques résultats de l’étude des
marées antarctiques observées au
cours de l’expédition française au
pôle Sud; par M. Godfroy........
tunes ssrss
.....
MÉCANIQUE.
Voir Aviation, Frottement, Hydrodyna-
mique, Moteurs, Philosophie natu-
relle.
MÉcANIQUE cÉLESTE. — Voir Jupiter.
MÉCANIQUE RATIONNELLE, — Sur les
équations de la Mécanique et du
calcul des variations; par M. Serge
Bernstein, ..,
— Mouvement dun point ou 4 un sys-
tème matériel soumis à l’action de
forces dépendant du hasard; par
M. Louis Bachelier. .............
— M. Haton de la Goupilliére fait hom-
mage d’un exemplaire de son Mé-
CR
moire : « Étude géométrique et
dynamique des roulettes Sa
ou sphériques »,,....., tb
MÉcANIQUE AGRICOLE, — Essais ne FA
rendement en jus des pressoirs; par
Maine Nantes oder.
MÉDECINE.
— Reproduction expérimentale du ty-
phus exanthématique chez le Ma-
caque par inoculation directe du vi-
rus humain; par MM. Charles Ni-
colle et E. Conseil sis tese e à
— Données expérimentales nouvelles
sur le typhus exanthématique; par
MM. Charles Nicolle et E. Conseil. .
— Propriétés du sérum des malades
convalescents et des animaux guéris
TABLE DES MATIÈRES.
… Pages.
648
803
1405
48
852
634
993
de typhus exanthématique; par
MM, Charles Nicolle et E. Conseil. ,
— Sur quelques propriétés du virus
exanthématique; par MM, Charles
Nicolle, A. Conor et E. Conseil..,.
— Contribution à l'étude du sérodia-
gnostie mycosique; par M. Z.
Skrzynski,.,.
— Arthrites séreuses bacillaires expéri-
mentales; par MM. L. Landouzy,
H. Gougerot et H. Salin..........
— Epilepsie et constipation; par M. £.
Doumer ee
Voir Pathologie, Sur:
Mécances. — Courbes de fusibilité des
mélanges gazeux; combinaisons de
l’oxyde de méthyle et de l’alcool
méthylique avec le gaz ammoniac;
par MM. Georges Baume et F.-
Louis" Peérrats end 1ft :e
Mémoires PRÉSENTÉS. — M. E, Schwæ-
rer soumet au jugement de l’Aca-
démie un Mémoire intitulé : « Les
phénomènes thermiques de l’atmo-
Sphèra97:;4:- 27e. iris
Voir Thermodynamique.
— M. Ch. Platrier soumet au jugement
de l’Académie un Mémoire intitulé :
« Un problème de Mécanique ra-
tionnelle et son application à la
théorie des hélices propulsives »...
— M.ËE.-L. Bertin soumet au jugement de
l’Académie un Mémoire de M. Doyère
intitulé : « Étude sur la flexion
d’une lame ou d’un anneau minces
soumis à des forces quelconques :
Application au cas des couples d'un
ss...
navire no AMENER i
— Essai sur le « vol à vortex »: ; par M. G. -
D. Boerlage...... RETIRE 15.
Voir Avidian!
Méraux. — Sur le revenu des produits
écrouis; par M. Léon Guillet,...,
MÉTÉOROLOGIE.
— M.E. Schwærer soumet au jugement
de l’Académie un Mémoire intitulé :
« Les phénomènes thermiques de
l'atmosphère »..... PERSO LIEN SR
Voir Thermodynamique.
Pages.
598
685
520
. 683
1403
528
37
187
794
* 1027
1127
37
A4
"7"
TABLE DES MATIÈRES.
MM. . Pages. | MM. eu
— Observations de l’arc bitangent supé- M. Vandernotte.. in de ce :
rieur du halo de 46°; par M. Louis — Sur quelques minéraux formés par
DÉS OPEN SENS Per Mie EEE : 693 l’action de l’eau de mer sur des
— Erratarelatifs à cette Communication. g10 objets métalliques romains trouvés
1 2 x . 3 si
Mérrorocie. — Voir Bureau des Poids
et Mesures, Electromètre.
MICROBIOLOGIE.
— Sur le pouvoir microbicide des ma-
cérations de levure et des macé-
rations de céréales; par MM. À.
Fernbach et E, Vulquin.......4...
Voir Bactériologie.
Microscope. — Perfectionnement du
microscope binoculaire augmentant
l’éclairement des objets observés;
par M. Casimir Cépède.....
MINÉRALOGIE.
— Résumé du contenu de deux plis
cachetés relatifs à la reproduction
artificielle du rubis par un nouveau
procédé defusion; par M. A. Verneuil.
— Sur la nature des oxydes qui co-
lorent le saphir oriental; par M, À.
Verneuil...
— Sur la distinction chimique entre
l’orthose et le microcline; par M, W.
Vernadsky et Mhe E. Revoutsky..,
— M. A. Lacroix, fait hommage à l’Aca-
démie de la première Partie du
Tome IV et dernier de sa « Miné-
ralogie de la France et de ses co-
"lonieg tenait canarias s2 Me «5 0e 0
— M. À. Lacroix fait hommage à l’Aca-
démie de la deuxième Partie du
Tome IV de sa « Minéralogie de la
France et de ses Colonies ».,.,,,.,
roses
= Sur la brookite d’une syénite albis
tique des environs d’Ernée; par
Navicarion, — De l'arrêt des navires
à vapeur, soit par stoppage, soit par
renversement de marche dé la ma-
chine; par M. E.-L. Berlin, ,,..,:.
en mer au large dé Mahdià (Tunisie) :
par M. À: Lacroit,. 0...
— Sur deux gisements de zéolites dat
l'Antarctique; par M. E. Gourdon.
Voir Magnétismé terrestre, Pétro-
graphie.
MorcusquEs. — Sur le mouvement de
l’eau dans la cavité palléale et sur
la structure dé la branchie chez les
, Bulléens; par MM. Remy Perrier et
656 Henri, Fischer sn +: Mit A AL TA +
— Sur quelques points par dodliets de
. l'anatomie des Mollusques du genre
Acera; par MM. Remy Perrier et
Henrr Fischer nn ter
948 |— Sur la stabulation des huîtres en
eau filtrée; par M. Fabre-Domergue.
— Sur la nourriture de l’Iuître et le
mécanisme de la contamination. en
eau souillée; par M. Fabre-Do-
mersuenattt ln ri EN SÉE
Voir Bactéorologie. ;
Moreurs. — Sur les moteurs désaxés;
131 Par M, A Pet eh se tn rte
— Méthode graphique et rapide de me-
sure du glissement des moteurs
1063 d’induction; par M. G.-A. Andrault.
Musczes.—- Sur le mécanisme fonction-
nel des fibres musculaires lisses et
1372 striées, par M, J. Athanasiu.....,.
Voir Anatomie, Energétique.
Muséum D'HISTOIRE NATURELLE. —
Liste de candidats présentée à M. le
Ministre de l'Instruction publique
463 pour la chaire de Zoologie (Rep-
tiles et Poissons) du Muséum
d'Histoire naturelle : 1° M. Roule;
20 M Pellegrin retenus
1323 | Murarions. — Sur la théorie des mu-
- tations périodiques; par M. Leclerc
du Sablon.....
ses ess
N
— Lunette de pointage pour pièces ma-
rines de petit calibre; par MM. H.
Violette, E. Lacour et Ch. Florian. …. FF
559 | Nerrs. — Voir Anatomie.
102
AT
569
36
330
1119
ne Pl à
APR PA Der NOT OR
1432 TABLE DES MATIÈRES.
Ogservartoires. — M. Baillaud pré-
sente à l’Académie les Volumes
XXVI, XXVII et XXVIII des
« Mémoires de l'Observatoire de
— M. le Secrétaire perpétuel présente
à l’Académie le Tome IX des « Ob-
servations faites à l'observatoire
d’Abbadia, en 1910, par MM. Ver-
schaffel, Lahourcade, Beigbeder, Sor-
reguiela, Navarron, Exposito ».....
Occuzrarrons. — Sur l’occultation
de n Gémeaux par la planète Vénus;
par MM. E.-M. Antoniadi, F. Baldet
et QUES PME RNERRE.,
— Occultation de #7 Gémeaux par
Vénus, observée à l'observatoire de
Marseille; par M. Coggia.........
— Occultation de n Gémeaux (3,8) .
Vénus, le 26 juillet 1910, observée
à Lyon; par MM. J. Guillaume et
TJ: MF ER REMONTER .
OcéÉanocrapuie. — Voir Cœlentérés,
Marées, Minéralogie, Mollusques.
OpEurs. — Sur certaines causes des
odeurs géraniques; par MM. G.
Austerweil et G. Cochin.......... ;
Voir Ultraviolet.
Oiseaux. — Sur une certaine loi de
variation du foie et du pancréas
chez les oiseaux; par M. À. Magnan.
— Origine épithéliale et développement
. des plaques de Peyer des oiseaux;
par MM. Ed. Retlerer et Aug. Le-
Voir Bactériologie, Sang.
ONDES HERTZIENNES.— Sur l'absorption
électrique exercée par quelques
alcools; par M. P. Beaulard......
— Réception d’un signal horaire hert-
zien de la tour Eifel ; par M. Paul
TELOUT TRE ne an A PEUT
Voir Télégraphie.sans fil.
PALÉONTOLOGIE.
— Comment les espèces ont varié; par
© M. Henri Douvillé
— Quelques cas d’adaptation, Origine
0
Pages.
287
845
366
371
539
440
159
457
702
OPTALMOLoG1E. — De l’action oculaire
expérimentale des poussières de
routes goudronnées; par MM. H.
Truc.et CA Flergiisse PR TERENE
— Erratarelatifs à cette Communication.
— De l’action oculaire expérimentale
__et clinique des poussières et va-
peurs de bitume; par MM. H. Truc
et CF leg MR Pere
— Erratarelatifs à cette Communication.
OrTiquE. — Sources lumineuses discon-
tinues. Applications; par M. Dus-
SAUT sente eee EE
Voir Arc, Emission, Electrooptique,
Météorologie, Microscope, Naviga-
tion, Phosphorescence, 'Photométrie,
Photographie, Pouvoir rotatoire,
Spectre.
OPTIQUE PHYSIOLOGIQUE. — Des cou-
leurs de même intensité de colora-
tion et des vrais camaïeux; par
M. Rosenstiehl......... OM DD
— Sur l’image réelle de Purkinje; par
M. C. Maltézos....
Voir Microscope, Photométrie.
ORGANOMÉTALLIQUES. — Recherches
sur la fixation du trioxyméthylène
par les dérivés magnésiens des ho-
mologues du bromure de benzyle;
par MP. C@TésS NS
— Sur le dédoublement des éthers-
oxydes de phénols par les organo-
magnésiens mixtes; par M. V. Gri-
gnard RO D ME A y CL sh
= Action de la pyridine sur les irido-
disulfates; par M. Marcel Delépine.
Voir Sels tompletés:
Osmose. — Mécanisme électrostatique
de l’osmose; par M. Pierre Girard...
Voir Thermodynamique.
Oxypases, — Sur les caractères peroxy-
dasiques de l’oxyhémoglobine; par
MM. J. Wolff et E. de Stæcklin....
sms.
de l’homme; par M. Henri Dou-
PEUR UE ETAT re a
— Sur l’existence de calcaires phos-
phatés à Diatomées, au Sénégal;
par ML: Cayeur A 3. MR 80
858
96
500
99
483
742
108
TABLE DES MATIÈRES.
— De l’âge géologique du Pithécan-
thrope et de la période pluviale à
Java; par M, Julius Schuster......
— Sur les premiers Poissons fossiles ren-
contrés au Congo belge, dans Le sys-
tème du Lualaba; par M. Maurice
L'oricha A mg LE de Ch At. ae
PALÉONTOLOGIE VÉGÉTALE. —
tères généraux des stipes d’Astero-
-chlæna laxa Stenzel; par M. Paul
* Bertrand: : 1. Oui OC D EE
— Nouvelles observations sur la flore
fossile du Cantal; par M. Pierre
— Sur la présence d'empreintes végé-
tales dans le grès nubien des environs
d’Assouan; par MM. J: Couyat et
PSE eee remet ME à
Panrasires. — Sur les formes de multi-
plication endogène de Hæmogre-
garinæ Sebai; par MM. À. Laveran
et À. Pettit
— Sur une hémogrégarine nouvelle de
Damonia subtrijuga Schlegel; par
MM. À. Laveran et À. Pettit.......
Sur une épizootie des truites; par
MM. À. Laveran et À. Petit
Sur la reproduction sexuée d’un
Protiste parasite des Tintinnides;
par MM. O. Duboscq et B. Collin...
Sur l'existence de Dinoflagellés pa-
rasites cœlomiques. Les Syndinium
chez les Copépodes pélagiques; par
M. Edouard Chatton
Sur le mode d'action des Asterale-
conium, parasites externes des tiges;
sens ss
CC
par D CHouardi..ecrte-t nus
Voir Insectes, Médecine, Syphilis,
Trypanosomes. '
PATHOLOGIE.
Voir Bactériologie, Chimie physiolo-
gique, Médecine, Trypanosomes,; Tu-
berculose.
PATHOLOGIE ANIMALE. — Apparition de
la furonculose en France; par MM. R.
de Drouin de Bouville et L. Mer-
Cie ne
CCC CCC ECC CCC)
Tuberculose, Syphilis, Sérum.
ParnoLociEe VÉGÉTALE. — Sur une en-
Pages,
trave naturelle à la maladie des
chênes; par M. Paul Vuillemin....
779 | — Sur une maladie des perches de Chä-
840
1088
244
961
taignier; par MM. Griffon et Mau-
baise role etes
Pérrocrapure. — Sur l’issite, une nou-
velle roche filonienne dans la du-
nite; par MM. Louis Duparc et
Georges Pamphil
— Conséquences générales à tirer de
l’étude de la constitution pétro-
graphique de Tahiti; par M. A.
PE SAONE De LE DOUTE.
— Les roches sodiques du désert ara-
bique; par M. J. Couyat
Voir Minéralogie.
PurLosopHiE NATURELLE. — Sur l’appli-
cation probable, aux rayons ou cou-
rants cathodiques, du principe de
la constance de la masse; par M. J.
BObSSinesq ee ere ee
PuosPHoREscENcE. — La phosphores-
cence progressive à basse tempéra-
ture; par M. J. de Kowalski
— Sur le spectre de phosphorescence
progressive des composés organi-
ques à basse température; par
MM. J. de Kowalski et J. de Dzierz-
— Sur la phosphorescence polarisée et
sur la corrélation entre le poly-
chroïsme de phosphorescence et
le polychroïsme d’absorption; par
M. Jean Becquerel 5
— Sur le renversement des bandes de
phosphorescence; par M. Jean Bec-
querel
Voir Magnétooptique.
PuorocuimiE. — Sur le mécanisme des
réactions photochimiques et la for-
mation des principes végétaux;
décomposition des solutions sucrées ;
par MM. Daniel Berthelot et Henry
Gaudechon
— Décomposition photochimique des
alcools, des aldéhydes, des acides et
des cétones; par MM. Daniel Ber-
thelot et Henry Gaudechon........ :
sos...
ss...
nn ss
sn roses see see
rss sms sue use
337 | — Sur la nature de la décomposition de
l’eau oxygénée produite par la lu-
mière; par M. Tian........ Aa
Voir Photographie, Photolyse.
1433
Pages.
647
1149
1136
I21
1138
810
943
859
981
395
478
1040
ME EU OR + PR UP OU TOUR OT UE
La 1 L
1434 TABLE DES MATIÈRES.
Pages. Pages.
Puorocrapuis, — Action des quinones — Influence dû goudronnäge des routes
et de leurs dérivés sulfoniques sur sur la végétation avoisinante; par ;
les images photographiques aux M. Ed. Griffon:viusus ssl sus cs 0: 11070
sels d'argent; par MM. À; et L, — Accoutumance du maïs au bore; par
Lumière et Seyesvelz...........sss 616 M. Henri Agulhon ,.sssssisssusss 1382
Puorozyse. — Principaux types de Voir Graine, Racine, Ultraviolet. à
photolyse des composés organiques
par les rayons ultraviolets; par
MM. Daniel Berthelot et Henry PHYSIQUE.
Gaudechôniir vs. as site cost 01349
PuoromértriE. — Photométrie et utili Voir Acoustique, Capillarité, Elasticité,
sation des sources colorées; par M. J. Electricité, Equation caractéristique,
Thovehhus sue étre svt 1347 Densité des gaz, Froid, Frottement,
Voir Etoiles. Magnétisme, Optique, Philosophie
sise naturelle, Thermodynamique.
PuysiQUE MATHÉMATIQUE, — Sur le pro-
blème du câble avec transmetteur;
PHYSIOLOGIE. par M. H, Larose:., . 5.40. M 435
— Sur les phénomènes nucléaires de la — Sur l'extinction des discontinuités
sécrétion dans le lobe glandulaire par réflexion aux extrémités d'une
de l’hypophyse humaine; par MM. ligne télégraphique; par M. J.
Alezais et Peyron...............4 94 Lafoke Rte DNA Me Ne Ie Tee 747
— Des modes d’extraction de la sur Voir Elasticité, Hydrodpnamique.
tine. Un nouvel excitant de la sécré- PHYSIQUE PHYSIOLOGIQUE. — Voir
tion pancréatique; par M. E. Gley. 345 Altitude, d’Arsonvalisation, Acous-
— Contribution à l'étude des échanges tique physiologique, Electricité phy-
azotés; par M. Henri Labbé....... 399 siologique, Optique physiologique.
Voir Altitude, Chimie physiologique, ÉÉIROITE
Cytologie, Foie, Muscle, Odeurs,
Ophtalmologie, Sang, Toxiques. PHYSIQUE DU GLOBE.
Puysrorocre vÉGÉrALE. — De l’action
du froid et des anesthésiques sur les — Sur les courants telluriqués; par
feuilles de l’Angræcum fragrans M. À DORMI: ere eee 409
Thou. (Faham) et sur les gousses Voir Aurore boréale, Diffraction, Géo-
vertes de la vanille; par M. Edouard désie, Géographie physique, Géo-
Heckel; és desesare CS. 128 physique, Glaciers, Météorologie,
— Du mode d'action de ‘intensité Séismes.
lumineuse dans la formation des Pics. — Sur les piles à antimoine et
fleurs cléistogames; par M. Marin séléniures d’antimoine; par M. H.
Molliard, 5 6 case PS 990 PERTE RE PAR RER ER 641
— L'action de la lumière éür la chloro- PLANÈTES: — Sur une forme dés équa-
phylle; par M. P.-A. Dangeard... 1386 tions du mouvement d’une petite
— La lutte pour l’eaû entre le sol et la planète; par M. Lambert.......... 1028
grainé; par À. Müntz........:.., 790 | — Erratarelatifs àcetteCommunication. 1412
— Sur l'ascension de la sève; par M. Le- — Découverte d’une petite planète, pré-
clerc du Sablon: ss isses 10 154 sumée nouvelle; par M. Jose Comas
— Del’action des vapeurs sur les plantes SONT ee ES Ne nov ve Det TT +" 369
vertes; par M. Marcel Mirande.... 481 |— Observations de la nouvelle platète
— Les effets du goudronnage des routes Cerulli (KU) 1910, faites à l’Obser-
sur la végétation; par M. Marcel vatoire de Marseille (équätorial
MON IIUIENE TN PT SIN EE 949 d’'Eichens de 0,26 d’ouverture);
— De l'influence de diverses substances par M Coggidri ses, bi ent 10949
volatiles sur les végétaux supérieurs; Pris cAGnETÉS. — Ouverture de deux
par M. Henri Coupin....,,,,,... . 1066 plis cachetés relatifs à la reproduc:
TABLE DES MATIÈRES.
tion artificielle du rubis par un nou-
veau procédé de fusion; par M. D.
VORAUT ANES -emprsins tu Te 1e
— Ouverture d’un pli Lojhets dus
nant une Note intitulée : « Sur un
procédé de radiographie stéréosco-
piaus et cinématographique »; par
SCrGail eine oo ds :
_. ATOMIQUES. — Sur les poids ro
miques de précision de l’oxygène et
de l'argent; par M, G.-D. Hinrichs.
Voir Densité des gaz, Diffraction,
Radioactivité.
Pornr cririquE. — Constantes critiques
de l’acétylène et du cyanogène;
par MM, Ettore Cardoso et Georges
POUR. Harnais at ai
Racine. — Du rôle électif de la racine
dans l'absorption des sels; par
M. Jean de Rufz de Lavison.......
Rapioacriviré. — Sur les constituants
de la radioactivité induite de l’acti-
nium; par Mile J, Blanquies......
— La densité de l'émanation du
radium; par Sir William Ramsay
et M. Robert Whytlaw Gray.......
— Sur une méthode photographique
d'enregistrement des particules «;
par M. William Duane...........
— Sur le dégagement de chaleur dans
un mélange de radium et d’un sel
phosphorescent; par M. William
DIE Sscnartonrrthibncranonte
— Sur l’énergie des rayons du radium;
par M: William Duane. ..........
— Sur les projections radioactives; par
SANG. — Présence de l'alexine hémoly-
tique et bactéricide dans le plasma
des Oiseaux; par MM, C. Jouan et
A Salah, Gites s smile lea ed e
Voir Altitude.
Séismes.— Sur les affaissements du sol
causés par le tremblement de terre
de Messine; par M. Ch. Lallemand. .
— L'activité séismique dans le Yun-
Pages.
— Erratarelatifs à cette Communication.
Poissons. — Le goût de vase chez les
131 Poissons d’eau douce; par M. Louis
LÉ oo a CS. à
Voir Parasites, Pathologie animale.
Pouvoir ROTATOIRE. — Sur des combi-
| naisons racémiques et liquide; par
364 M. À. Ladenburg,.,....., iron
Prix. — Tableau des prix décernés dans
la séance publique annuelle du
513 19 décembre: 1910,,.,.:,,..44%e%
— Tableau des prix proposés...,.,...
ProrozoaAïRes. — Sur une Grégarine
nouvelle du genre Porospora; par
M. Paul de Beauchamp...... Farm
Voir Parasites, Trypanosomes.
141
_
R
M. Louis Wertenstein........... :
— Sur le radium métallique; par
675 Mne Curie et M. À. Debierne......
— Sur les rayons $ du radium à son mi-
nimum Sn par M. Léon
57 ÉD de eee ue Diuae
RAD DONS — Mere un procédé de ra-
diographie stéréoscopique et ciné-
126 matographique par M. G. Gaiffe...
Rapports. — Voir T'hermodynamique.
Rayons cATHoDIiQUuES. — Voir Aurore
228| boréale, Philosophie naturelle.
Rayons X.— Voir lons, Radiographie.
RÉSISTANCE. — Sur la résistance élec-
trique des métaux alcalins; par
379 D es da in ni D Rae PA
Voir Conductibilité.
471 | RÉSISTANCE DES MATÉRIAUX. — Voir
Acier, Construction, Ecrasement.
‘ nan méridional en 1909; par M. Jac-
ques Deprat:..,,,..... DT TE NA D
SELS COMPLEXES, — re des sels com-
452 plexes de certains amino-acides; par
MM. L. Tchougaejf et E. Serbin...,
SÉRIES. — Sur la convergence des séries
de Dirichlet; par M Harald Bohr..
418|— Sur un théorème de M, Landau; par
M. Michel Fehkete. ..sssicres. sos
1435
Pages.
352
900
283
1311
1317
997
364
305
IOII
1361
374
497
A A US
1436
— Ordre des points singuliers d’une
série de Taylor; par M. Eugène
FARINE PRET RER OR
SéruMs. — Essai d'immunisation des
animaux contre l’urohypotensine;
action antitoxique du sérum des
animaux immunisés; par MM. J.-
E. Abélous et E: Bardier..........
Voir Médecine, Toxiques, Tuberculose.
Sozetr. — Observations du Soleil faites
à l'Observatoire de Lyon pendant
le premier trimestre de 1910; par
MGR ENT EE Dee te
Observations du Soleil faites à l’Ob-
servatoire de Lyon pendant le
deuxième trimestre de 1910; par
M. J. Guillaume
Observations du Soleil faites à l’Ob-
CC
servatoire de Lyon pendant le
troisième trimestre de 1910; par
MGR GOUUR ORNE Ra TR
Étude de la variation de la longueur
d’onde de la lumière solaire au bord
du Soleil; par M. 4: Perot........
Sur la rotation de l’hydrogène dans
l'atmosphère solaire; par M. A..
Perot
Sur la mesure spectroscopique de la
rotation des astres possédant une
atmosphère, et en particulier du
Soleil; par M. À, Perot....::.....
— Sur les propriétés des filaments po-
laires du Soleil; par M. H. Des-
landres eee FA A CEE do
SoLUTIONS. — Sur la couleur que pren-
nent subitement les solutions inco-
lores de corps colorés, au moment
dela solidification de leur dissolvant
CCC
TaBac. — Sur la production de la nico-
tine par la culture du tabac; par
M. Th: Schlæsing fils....:.....:,.
— Nouvelles expériences sur l’excitation
par chocs dans la télégraphie sans
fil; par M. Br. Glatzel..... LATE
TANNAGE. — Voir Champignons.
TEINTURE. — Voir Colorants.
TÉLÉGRAPHIE, — Voir Chronométrie,
Physique mathématique.
TÉLÉGRAPHIE SANS FIL. — Appareil pour
TABLE DES MATIÈRES.
Pages.
922
- 3417 ||
288
495
1333
38
429
848
incolore; par M. D. Gernez....... L
|[— Errata relatifs à cette Communication.
Voir Chimie inorganique (Ph Th)...
SPecrres. — Sur la place des raies ul-
times dans les séries spectrales; par :
M. Afde'Gramont: Sa. 30300
— Sur les modifications que subissent
dans un champ magnétique les raies
spectrales émises par la vapeur Lu-
mineuse de l’étincelle électrique; par
M. G.-A. Hemsalech. 3... : mn
— Sur les durées relatives des raïes spec-
trales émises par la vapeur du ma-
gnésium dans l’étincelle électrique;
par M. G.-A. Hemsalech..........
Voir Comètes, Etincelle ,Etoiles, Magné-
tooptique, Phosphorescence, Soleil.
SPÉLÉOLOGIE. — Sur la désobstruction
artificielle des abîmes; par M. Mar-
tel. FRET RM RAA RU US Li
Voir Hydrologie.
STÉRILISATION. — Voir Ultraviolet.
Sucres. — Recherches sur la constitu-
tion du vicianose : hydrolyse diasta-
sique; par MM. Gabriel Bertrand et
G''Weismealleriee. SUB, ET
— Sur la constitution du vicianose et.
de la vicianine; par MM. Gabriel
Bertrand et G. Weisweiller........
— Sur un sucre nouveau, le verbascose,
retiré de la racine de Molène; par
MM. Em. Bourquelot et M. Bridel..
Voir Chimie biologique, Photochimie.
413 | Sypmizis. — Sur la présence de Spiro-
23
1049
chètes dans un cas de gastro-entérite
hémorragique chez le chien; par
MM Eicel ESS RE TSI TR PTE
la réception de l'heure à domicile et
à bord des navires par la télégraphie
sans fil; par MM. F. Ducretet et E.
Rogers 1 ut hote dé ee
— M. H. Poincaré fait connaître à l’Aca-
démie que l'Observatoire de Paris
et le poste central de la télégraphie
sans fil de la tour Eiffel ont com-
mencé le 21 novembre 1910 l'envoi
de l’heure à 11" du matin ......
Voir Chronométrie, Ondes hertziennes.
1090
260
53
OII
TABLE DES
: | Pages.
TÉRATOLOGIE. — Sur un monstre hu-
main acéphale; par MM. Magnan et
Perrilliatis. 4 (ti does écho. 722
TERPÈNES. — L'hydiogénetiôn des
thuiènes isomères et du sabinène,
- Le.thuiane; par. MM. L. Tchougaeff
et W. Fomin 0% as. et) 1058
THÉORIE DES NOMBRES. — Sur quelques
applications du calcul des Tableaux
à la théorie des ordres d’entiers algé-
briques; par M. À. Chatelet. ..... .. 925
THÉRAPEUTIQUE. — Voir T'rypanosomes.
TaermocnimiE, — Sur la chaleur de
combustion de quelques dérivés
hydronaphtaléniques; par M. Henri
LerouTa er ant CÉRSAM LE RÉ 384
THERMODYNAMIQUE. — Rapport sur un:
Mémoire de M. Schwærer, intitulé :
« Sur les phénomènes thermiques
de l'atmosphère »; par M. E.
BOUM Reste tie iris 02
— Erratarelatifs à cetteCommunication. 578
— Equilibre osmotique de deux phases
Hudes parM LE RGO eee ce. 0012
— Sur l'équilibre osmotique de deux
phases fluides; par M. L. Gay..... 754
— Sur l'interprétation mécanique du
principe de Carnot-Clausius. Cas
d’une transformation compensée;
par M. L. Décombe..... ae 4044
— Sur la mécanique des phénomènes
irréversibles; par M. R. Marcelin.. 1052
ToxiquEes.— Venin de cobra et curare
par M. Maurice Arthus.......... 91
— Augmentation de la sensibilité des
animaux à l’urohypotensine par
l'injection préalable ou le mélange
à cette. toxine de l'extrait du cer-
veau d’un animal tué par l’urohy-
potensine (anaphylaxie primitive
immédiate); par MM. J.-E. Abélous
OR D ATEN ee eine 88
— À propos de la toxicité de quelques
composés minéraux et organiques
MATIÈRES. 1437
Pages.
de l’arsenic et sur l’accoutumance à
ce poison; par M. L. Launoy.....: 897
Voir. Immunisation, Sérums.
TRYPANOSOMES. — Trypanoplasma vagi-
nalis, n, sp., parasite du vagin de la
Sangsue; par M. Ed. Hesse........ 504
— De l'efficacité d’un émétique d’ar-
senic.ct d’antimoine dans lé traite-
ment de ‘différentes : trypanoso-
miases; par M. À. Läaveran......., 580
— Influence des réactions physiolt-
giques des Glossines sur le dévelop-
pement salivaire et la virulence des
trypanosomes pathogènes; par M.
FE -Roubaud...s vi. RS Er 20)
— Précisions Hi aux LPÉRT
morphologiques du développement
des trypanosomes chez les Glossines ;
PAM FE Roubaud. een: TOO
TusErcurose. — Sur les réactions de
précipitation des sérums de tuber-
culeux et des sérums d’animaux
hyperimmunisés contre la tubercu-
lose en présence de tuberculines; par
MM. À. Calmette et L. Massol..... 285
— Sur la résorption des bacilles tuber-
culeux chez les Bovidés à la suite
de l'injection des mélanges de sé-
rums d'animaux hyperimmunisés et
de bacilles cultivés en série sur bile
de bœuf ; par MM. À. Calmette et
(Las He Er me As suce eu «ae 32
|— Hérédotuberculose matérielle, expé-
rimentale; par MM. Landouzy et
PRE OR Ce RM Te sante res 707
— La tuberculose mésentérique occulte
réalisée expérimentalement chez le
chien; par M. P. Chaussé......... 828
— L'inhalation de matière tuberculeuse
bovine produit chez le bœuf, à dose
infinitésimale, de la tuberculose
thoracique primitive; par M. P.
Chaussé ..... to .… 1009
Voir Ultraviolet.
Ü
UzrrAviorer. — Action des rayons
ultraviolets sur certains hydrates
de carbone; par MM. Henri Bierry,
- Victor Henri et Albert Ranc....... 316
, — L'action abiotique de l’ultraviolet et
l'hypothèse de l’origine cosmique
C. R., 1910, 2° Semestre. (T. 151.)
de la vie; par M. Paul Becquerel..….. 86
— Action abiotique des rayons ultra-
violets d’origine chimique; par
MM. E. Tassilly et R. Cambier.... 342
— Nouvelles recherches sur la stérilisa-
tion de grandes quantités d’eau par
190
1438 TABLE DES MATIÈRES. nn
Pages. |. EREUN Pages.
les rayons ultraviolets; par MM. Vic- bain, CI. Scal et À. Feige.. 7 0
_tor Henri, À. Helbronner et Max de — Action des rayons ultraviolets sur "
Recklinghausen. .... venant 4677 les plantes à coumarine, et quelques
— Action des rayons ultraviolets sur plantes dont l'odeur provient de L
les bacilles tuberculeux et sur la glucosides dédoublés; par M. Pou-
tuberculine; par Mme V,. Henri- nel à. M 164. nets a566
Cernovodeanu, MM. Victor Henri et Voir Cilakirié Photochimie. |
V. Baroni.......s..sss.s.s...s 924 | URINE. — Voir Chimie phyiolgique, ETS
— Stérilisation des grandes masses sr, Toxiques. ta
d’eau par l’ultraviolet; par MM. Ur-
SE V
Viscosiré. — Voir Hydrodynamique. | Moreau et E. Vinet.:...,.,9,41. 1147
Vers. — Rôle de la chitine dans le dé- Vins. — Nouvelles recherches sur les
veloppement des Nématodes para- vins amers et la fermentation acry-
sites; par MM. Jammes et Martin.. 250 lique de la glycérine; par M. E. Voi-
Vice. — Sur les traitements insecti- SOREF I PRIE RE gt PE SE M à À
cides en Viticulture; par MM. L. Voir Chimie analytique.
Morèau et E. Vinet............ .. 1068 | Vorx. — Sur la fatigue musculaire dans
— L'’arséniate de plomb en Viticulture le chant; par MM. Melchissédec et
et la consommation des raisins gas sc 10 NC GÈNE re M 21079
frais et des raisins secs; par MM. L.
ZOOLOGIE, Mer Insectes, Mammifères, Mollusques,
À ‘Muséum, Parasites, Paihologie ani-
Voir Anatomie, Annélides, Célacé, male, Poissons, Toxiques, Trypano- |
Cœlentérés, Crustacés, Histologie, somes, Vers. «
FLN PNTARrTN FN AS
"tr b CE CRE
TABLE DES AUTEURS.
MM.
ABELOUS (J.-E.) et BARDIER (E.).
— Augmentation de la sensibilité
des animaux à l’urohypotensine
par l'injection préalable ou le mé-
lange à cette toxine de l'extrait du
cerveau d’un animal tué par l’uro-
bypotensine (anaphylaxie primitive
immiédidée) sl anbenlane ts se à
— Essai d’immunisation des animaux
contre l’urohypotensine; action an-
titoxique du sérum des animaux
EN RE TE LUE TE
ABRAHAM (H.) et VILLARD (P). —
Sur l'existence de deux potentiels
explosifs; réponse à une Note ré-
cente de M. Amaduzzi........... ;
— Sur les potentiels explosifs... ......
ACHALME et BRESSON. — Méthode
pour la détermination de l'unité
ou de la pluralité des diastases dans
un quidetter fat atnboittie
AGULHON (Henri). — Accoutumance
- du maïs au bore. : a 3 0 0
ALEZAIS et PEYRON.- — Ko Fe phéno-
mènes nucléaires de la sécrétion
dans le lobe glandulaire de l’hypo-
physe humaine..:....,,..., AU
AMADUZZI (L.). — Sur la variation
de l’aspect de la décharge avec la
variation de la distance explosive.
AMANN et ROZET (Cr.). — Eclipse
totale de Lune du 16 novembre 1910
observée à Aoste (Italie)......... .
AMARD (Juzes.)— Une singularité dans
le fonctionnement de la machine
humainabnessursabsse IR die
— Mise en marche de e machine hu-
maine. te. mutants De di
— Sur. la bn 4 la dépense postérieure
auAtravail. crie drone
AMBARD (L.) et PAPIN (E.). — Le
prix Godard (Médecine et Ses
leur est décerné......
AMMANN (P. } — Sur ltendét d'un
ss.
Pages.
88
341
177
269
1369
1382
94
140
1235
À
MM.
riz vivace au Sénégal........., 7e
ANCEL (P.) et BOUIN (P.). — Sur la
nature lipoïdienne d’une substance
active sécrétée par le corps jaune
dés Mamrnnifères #90: 76h 15
ANDRAULT (G.-A.). — Méthode gra-
phique et rapide de mesure du glis-
sement des moteurs d’induction...
ANDRÉ (Désiré) prie l’Académie de
le compter parmi les candidats au
siège d'Académicien libre, vacant
par le décès de M. E. Rouché..... :
— Est présenté en seconde ligne pour
la place d'Académicien libre, vacante
par suite du décès de M. E. Rouché.
— Prie l’Académie de le comprendre
parmi les candidats à la place
d’Académicien libre, vacante par
le décès de M. J. Tannery........
ANDRÉ (E.).— Cétones acétyléniques.
ANDRÉ (G.).— Sur la conservation des
matières salines pendant le cours
de la végétation d’une plante an-
HUELLES EP PR NS ae ect
ANDOYER. — Le prix HÉFORRE Ponti
lunestidécerné. 5h coins
ANTHIAUME et SOTTAS. Un encou-
ragement leur est attribué dans le
concours du prix Binoux (Histoire
dés Sciences). nee: op
ANTONIADI (E.-M.), BALDET (E.)
et QUENISSET (F.). — Sur l’occul-
tation de n Gémeaux par la planète
NÉS ER A M Pébr sct once
ARNODIN. — Le pont de frs CRE
te (système. L Gisclardhiiis csentete aies es
ARSONVAL (D. — nues à
propos d’une Communication de
M. Doyen intitulée « Réalisation de
la transthermie sans altération des
tissus normaux par le bain thermo-
électrique JPA EE sp 7e
— Le deuxième Congrès international
de la répression des fraudes. Pré-
Pages.
1388
1391
941
565
1258
366
855
169
. * FFF
CR
1440
MM.
sentation du Compte rendu de ses
ÎrAVAUX . so 00e 0 ce 00 eee os ee
— Fait hommage à l'Académie es la
« Monographie sur l’état actuel de
l’industrie du froid en France ».....
— Rapport sur le concours du prix
Lonchampt
ARTHUS (Maurice). — Venin de cobra
et CUFATE........e sense se
— Le prix Philipeaux (Ehyniolgial lui
nn
est ‘décerné... 12000, SO PAT £
ATHANASIU {(J.). — Sur le mécanisme
fonctionnel des fibres musculaires
lissés'et.striées : 75.008 ANNE. *$
ATHANASIU :{J.)-et DRAGOIU (J.).
— Association des éléments élas-
tiques et contractiles dans les
muscles lisses et striés...........
AUDEBEAU BEY. — Sur les sage
riences effectuées par l’Administra-
tion des domaines de l'Etat égyptien,
en vue de déterminer l'influence dé
la nappe souterraine du Delta sur
la éulture’du coton m0. 71m
BACHELIER (Louis). — Mouvement
d’un point ou d’un système ma-
tériel soumis à l’action de forces
dépendant du hasard............
BACKE (A.). — mia sur l'iso-
MANOIR ENRr ec
BAILLAUD [{B.) est élu baie de la
Commission chargée de présenter
une liste de candidats au poste
-d’associé étranger vacant par le
le décès de M. Robert Koch........
— Présente à l'Académie les Volumes
XXVI, XXVII et XXVIII des
« Mémoires de l'Observatoire de
PAP PINS eut PP
— Remarque'au sujet de la Gomuts
nication de M. Gonnessiat relative
à la comète de d’Arrest..........
— Rapports sur les concours : du prix
Pierre Guzman (Astronomie). .....
== Du PAUL LEURS". RENE EM,
BAINIER (GEronrces). — Le prix Mon-
tagne (Botanique) lui est décerné.
BALDET (F), QUENISSET (F) et
ANTONTADI (E.-M.). — Sur l'occul-
tation de n Gémeaux par la planète
TABLE DES AUTEURS.
Pages.
MM. | Pages.
AUDIBERT. — Le prix fondé par
Mne la Marquise de Laplace lui est
décerné. mércecrreatest names
AUDIBERT et WEILL (Henri).
Une partie du prix Félix Rivot He
estsattribuée............
AUGER (V.). — Sur le om. de
sodium et ses hydrates..........
91 | AUSTERWEIL (G.) et COCHIN (G).
— Sur certaines causes des odeurs
géräniques : + 5000.20. 64lres
AUTONNE (Leon). — Sur les gsouple +
commutatifs et pseudo-nuls des
quantités hypércomplexes........
AVEBURY (Lorp) est élu correspon-
dant pour la section d’Anatomie
et Zoologie, en remplacement de
* M.: Ray Lankester,. élu associé
étranger. 0t, Fe 07 Am PARLE
AYNAEUD. Une dti tiogs lui est :
est accordée dans le concours du
prix Montyon (Médecine et Chi-
rurpie):s45 RE En iht) HR
700
k 1276 14
1276
69
+
dirt
ho
TITS
551
968
1230
BALENSI et RODER. — Une partie
du prix Félix Rivot leur est attri-
Dust MER ARRETE
BARBIERI (N.-A.). — Sur la non-
existence de lécithines libres ou
combinées dans le jaune d’œuf....
BARBILLION. Le prix Hébert
(Physique) lui est décerné.......
— Une médaille Berthelot lui est dé!
CORNE A, PRMRETSR. AE ON, EURE
BARDIER (E.) et ABELOUS (J.-E.). —
Augmentation de la sensibilité des
animaux à l’urohypotensine par
l'injection préalable ou le mélange
à cette toxine de l'extrait du cer-
veau d’un animal tué par l'urohy-
potensine (anaphylaxie primitive
immiédiate)"%11, 44.24 arte. 19, +
— Essai d’immunisation des animaux
contre l’urohypotensine ; action
antitoxique du sérum des animaux
immunisés ht, 8 AN Je LAN UE
BARONI (V.)}, HENRI-CERNOVO-
DEANU (Mme V.) et HENRI
(VICTOR). — Action des rayons
852
88
341
TABLE DES AUTEURS,
MM. Pages. | MM.
ultraviolets sur les bacilles tuber- de l’origine cosmique de la vie...:.
culeux et sur la tuberculine.. ..... 724 | BELLOT (A.): — Une partie du prix
BARRE. — Sur la décomposition du sul- Binoux (Géographie) lui est attri-
fate de thorium par l’eau......... 70 Dub Mrempidteen sbibrents
— Sur le sulfate de thorium.......... 231 | BERARD (Léon). — Une citation lui
— Sur les sulfates doubles formés par
les sulfates de. lanthane et de cé-
rium avec les sulfates alcalins..... |
BASSOT. — Sur la Mission géodésique
de: -PEquatéursenmhhnné lrengés
— Sur la comète de Halley.....:.....
BAUER (Epmoxp) et MOULIN (Marcel)
— Le bleu du ciel et la constante
d'Avoradronimemnaen tn :tststhéo.
BAUME (Grorces) et CARDOSO (Er-
TORE). — (Constantes critiques de
l’acétylène et du cyanogène......
— Errata relatifs à cette Communication.
BAUME (Georces) et PERROT (F.-
Louis). — Courbes de fusibilité des
mélanges gazeux; combinaisons de
l'oxyde de méthyle et de l'alcool
méthylique avec le gaz ammoniac.
BAYEUX . (Raour). — . Expériences
faites au mont Blanc en 1909, sur
les variations de la glycémie et de
la glycolyse hématique à la très
hattenaltitude.. tre Lattre
BEAUCHAMP (Paur). — Sur une Gré-
garine nouvelle du genre Porospora.
BEAULARD (P.). — Sur l’absorption
électrique exercée par quelques
alcGOIS MP EE nt e
BECQUEREL. (Anroine-HEenrr). —
M. le Ministre de l’Instruction pu-
blique adresse ampliation du Dé-
cret autorisant l’Académie à ac-
cepter le legs fait à son profit par
M. Antoine-[lenri Becquerel.....,. ;
BECQUEREL (JEAN). — Sur la phos-
. phorescence polarisée et sur la cor-
rélation entre le polychroïsme de
phosphorescence et le: polychroïsme
d'absorption 240.0. anis
— Sur-le renversement des bandes de
phosphorescence .............. ‘
— Sur l'effet magnéto-optique de sens
positif présenté par les bandes de
phosphorescence. du rubis et de
l’émeraude et sur les relations entre
l'émission et l’absorption dans un
champ magnétique........,,....
BECQUEREL (Pauz).— L'action abio-
tique de l’ultraviolet et l'hypothèse
871
353
789
864
I41
352
528
449
997
55
-967
859
981
1344
BERNARD et MOUGIN.
est. accordée dans le concours du
prix. Montyon (Médecine et Chi-
rurpilo), tétthirnsleabesennhres
BERGER (E.), — Sur le Féttamithetaée
thanele. Must LES
BERNARD (Noez). — Une DAS du
prix Saintour lui est attribuée.
— Su la
stratification des névés et de la
glace dans les régions élevées des
bassins d’alimentation des glaciers.
BERNSTEIN (SEerce). — Sur les équa-
tions de la Mécanique et du calcul
des variations. .... HE Re
— Sur les équations du calcul des va-
riations
— Sur une généralisation des théorèmes
de Liouville et de M. Picard......
BERTHEAUME (J.). — Sur le dosage
des méthylamines mélangées dans
une grande masse d'ammoniaque.,
BERTHELOT (Danrer) et GAUDE-
CHON (Henri)}. — Sur le méca-
nisme des réactions photochimiques
et la formation des principes -végé-
taux; décomposition des solutions
sucrées
— Décomposition photochimique des
alcools, des aldéhydes, des acides
ebAdOSRGÉÉORES EE 1 CET
— Principaux types de photolyse des
composés organiques par les rayons
ultrayaalets Pr 4Lectt. 4. RIT
BERTIN (E.). — De l'arrêt des navires
à vapeur, soit par stoppage, soit
par renversement de marche de la
MACHINE Era bent eh Eh T À
— Soumet au jugement de l’Académie
un Mémoire de M. Doyère intitulé :
« Etude sur la flexion d’une lame
ou d’un anneau minces soumis à des
forces quelconques : Application au
cas des couples d’un navire »......
— Fait hommage à l’Académie d’un
Ouvrage intitulé : « La Marine mo-
derne. Ancienne histoire et :ques-
tions neuves »
— Rapport sur le concours du prix
extraordinaire de la Marine ,..,.,
sn sms
nn ns nes
1083
48
399
14/42
MM.
BERTRAND (Gasriez). — Observa-
tions à propos d’une Note relative
à l’action du ferment bulgare sur
les matières protéiques.........,.
BERTRAND (Gagrier) et COMPTON
(A.).— Sur l’individualité de la cel-
lase et de l’émulsine.............
— Influence de la température sur
. l’activitétdeila"cellasess st 2t
BERTRAND (Gasriez) et WEIS-
WEIELER (G.).— Recherches sur
la constitution du vicianose : hy-
drolyse diastasique ....:,........
— Sur la constitution du vicianose et de
la ‘vicianine!t, AUS NT
BERTRAND (Paur). — Caraëtèses gé-
néraux des stipes d’Asterochlæna
+ lardStenzel te Ra ia N.180
BESSON (A.) et FOURNIER (L.). —
Réduction du chlorure de phos-
phoryle par l'hydrogène sous l’in-
fluence de l’effluve électrique. .....
— Sur les composés bromés et hydro-
broméstdutgiliciunt, #4 MN
BESSON (Louis). — Observations de
. l'arc bitangent supérieur du halo
de "O0 24 MR. LOI
— Errata relatifs à cette Communication.
BÉTANT a collaboré à un Ouvrage
auquel une partie du prix Bellion
(Médecine et Chirurgie) est attribuée.
BÉYS (C:). — Nouvelle méthode de
dosage de la glycérine dans les
VAN EU PRIOR, 20Lr. LH
BIERRY (H.). — Une partie du prix
Barbier (Médecine et Chirurgie)
luiPestlatitibuse Mme een
BIERRY (Henri), HENRI (Vrcror) et
RANC (Arsert). — Action des
rayons ultraviolets sur certains hy-
drates de carbone.........,.....
BIGOURDAN (G:) fait hommage d’une
brochure intitulée : « Les distances
des astres et particulièrement des
étoiles fixes. Catalogue des paral-
lax ep stOlres NME AMNNEN LORE
— Rapport sur le concours du prix
Valz (Astronomie): "144019.
BLANQUIES (M1Ie L.). — Sur les con-
stituants de la radioactivité induite
de, l'Actinrant ie REA as
BLARINGHEM adresse un Rapport sur
les Travaux exécutés à l’aide de la
subvention accordée sur le Fonds
Pages.
1161
402
1076
325
834
1088
876
1055
693
910
1238
80
1230
316
610
1188
57
TABLE DES AUTEURS.
MM,
Bonaparte
BLIN (E.). — Une mention lui est ac-
cordée dans le concours du prix
Montyon (Statistique). .....
BLOCH (Euaèxe). — Sur l’action d’un
champ magnétique sur la décharge
électrique
BLONDEL (Anpré) prie l'Académie de
le compter au nombre des candidats
à la place d'Académicien libre, va—
cante par le décès de M. Jules Tan-
ner!
BLUTEL (E.). — Sur l'application de
la méthode d’approximation de
Newton à la résolution approchée
des équations à plusieurs incon-
nues .
BODROUX (F.).— Action de quelques
éthers-sels d'acides monobasiques
gras sur le dérivé monosodé du cya-
nures deubenzyless . x een ete
— Action de quelques éthers-sels sur le
dérivé monosodé du cyanure de
benzylenma ess. di ahe et
BOERLAGE (G.-D.). — Essai sur le
e. Vol ä'pordemis cs ile anale
BOHR (Harazp). — Sur la convergence
des séries de Dirichlet..,,..,.....
BONAPARTE (Le Prince Roranp). —
est délégué par l’Académie au
deuxième Congrès du Froid à Vienne,
en (66tobro) 19105... AU
— Rapports sur les concours du prix
Tchihatchef (Géographie)... ......,
— Du prix Montyon (Statistique)....
BONGRAND (J.-C) et MOUREU
(Crarres). — Composés propio-
liques. Cyanacétylène C3 NH.....,
BONNEROT ({($.) et CHARPY (G.). —
Sur la réduction de l’oxyde de fer
par le carbone solide...,.....,..
BONNIER (Gasron). — Rapports sur
les concours : du prix de Coincy
(Botanique) 1 44 Jeux antique
— Du prix de la pere air (Bota-
pique}é ane Porvvtele te ou avan
BORDET (Jures). — Un prix Brant
(Médecine et Chirurgie) lui est dé-
cornée, RARES Parrot
BORNET est élu membre de la Commis-
sion administrative pour 1911...,
BORRELLY, — Observations de la
comète 1910 d Metcalf, faites à
l'Observatoire de Marseille, au cher-
.....
CO
CP
CR
| 912
1109
234
1357
1027
375
583
1190
1252
946
644
1218
1218
1233
1104
TABLE DES AUTEURS.
MM.
cheur de comètes...., PE
— Observations de la nouvelle comète
de Cerrulli faites à l'Observatoire
de Marseille au chercheur de co-
M ME D I en LE Mac 0
— Observations de la comète Faye-
Cerrulli, faites à l'Observatoire de
- Marseille, au chercheur de comètes.
BOSLER (J.) et DESLANDRES (H.).
— Sur les apparences présentées
par la queue de la comète de Halley
lors du passage du 19 mai dernier. .
BOSLER (J.) et PEROT (A.).— Sur la
théorie de la luminescence de l’arc
au mercure dans le vide...... ts
BOST (F.) adresse une Note intitulée :
« De l’influence du sexe sur la coa-
” gulation du sang chez le chien »...,
AT BOUCHARD est élu membre d’une
| - Commission qui devra présenter
une liste de candidats au siège
d’Académicien libre, vacant par le
décès de M. E. Rouché.......,,,
— Rapport sur le concours du prix Mon-
tyon (Médecine et Chirurgie) ..... :
— Notice nécrologique sur Ernest von
Leydéne-ares SN DR CRE :
— M. le Président exprime 4 tee
de l’Académie à l’occasion de l’incen-
die de l'Exposition universelle de
Bruxelles, de l’accident de chemin
de fer de Saujon et du succès de
nos aviateurs de l'Est. Il se fait l’in-
terprète des regrets de l’Académie
à la suite de la mort de M. L. Olivier,
directeur de la « Revue générale :
des Sciences bee sm--retrene
— M. le Président se A 1e interprète
des sentiments de l’Académie à l’oc-
* casion de la mort de Mme Pasteur
et de la traversée des Alpes en aéro-
plant one Renato
BOUGAULT (J.). — Une partie du
prix Jecker (Chimie) lui est attri-
buée si serions diet)
— Une médaille Berthelot lui est
décernée....25%.5., moe so
BOUIN (P.) et ANCEL (P.). — Sur la
nature lipoïdienne d’une substance
active sécrétée par le corps jaune
:_ des Mammifères.....
+7 BOULY pe LESDAIN (Maurice). —
Le prix de la Fons-Mélicocq (Bo-
tanique) lui est décerné.,.,,,,,..
vs...
0
Sunset sbrs
350
707
1227
628
465
579
1206
1258
1391
1219
MM.
PIN). —— Une partie du prix Binoux
(Géographie) lui est attribuée...
BOURGEOIS (R.). — Sur le mouve-
ment diurne du sommet de la tour
Eifiel...….. RE OL LR ei
— Comparaison de deux pendules astro-
nomiques à l’aide de signaux élec-
triques transmis par un câble
sous-marin à très longue portée....
BOURGET. — Observation de l’éclipse
totale de Lune du 16 novembre 1910,
faite à l'observatoire de Marseille. .
BOURQUELOT (Em.) et BRIDEL
(M.). — Sur un sucre nouveau, le
verbascose, retiré de la racine de
Molènerus. es lnraeue man |
BOURQUELOT (Em.) et FICHTEN-
HOLZ (Me A.). — Sur la pré-
sence d’un glucoside dans les feuilles
de poirier et sur son extraction. ...
BOUSSAC (Jean). — Les grands phé-
nomènes de recouvrement dans les
Alpes maritimes italiennes et la
« fenêtre » de Castelvecchio:.....,
BOUSSINESQ (J.).— Sur l’applicabilité
probable, aux rayons ou courants
cathodiques, du principe de la con-
stance"de,lakmasse.....,,.,.0 20
— Rapport sur le concours du prix
Fourneyron (Mécanique)..... ia
— M. le Président annonce à l’Acadé-
mie qu’en raison des fêtes de l’As-
somption la séance du lundi 15 est
remise au mardi 16 août..... 1.
BOUTY (E.). — Rapport sur un Mé-
moire de M. Schwærer, intitulé
« Sur les phénomènes thermiques
de l’atmosphère »...,, D LTÉE os
— Erratarelatifs à cette Communication.
— Rapport sur le concours du prix
Hébert (Physique).....,,,.,,....
BOUVIER (E.-L.).— Les Pycnogonides
à cinq paires de pattes recueillis par
la Mission antarctique Jean Charcot
à bord du Pourquoi-Pus?,,..,..,.
— Rapport sur le concours du prix
Thore (Anatomie et Zoologie). ....
BRESSON. — Sur l'existence d’une
méthylglucose spécifique dans la
levure de bière...
BRESSON et ACHALME. — Méthode
pour la détermination de l’unité ou
de la pluralité des diastases dans un
CR
1443
Pages,
BOURDIER pe BEAUREGARD (Cré- :
1193
917
760
81
1163
413
CR TC OT 7 = FE
1444
MM.
QUI E Re ee ee ee teinte
BRETEAU (PIERRE). — Hydrogen
tions’ en présence de palladium.
Applications au phénanthrène....
BRICARD (R.). — Au sujet d’une ré-
clamation de priorité de M. E. Study.
BRIDEL (M.) et BOURQUELOT (Em.).
— "Sur un sucre nouveau, le ver-
bascose, rétiré de la racine de Mo-
BRILLOUIN (Marcez). — Mouvement
discontinu de Helmholtz. Obstacles
courbes
— Prie l’Académie de le compter parmi
les candidats à la place vacante,
dans la section de Physique, par le
décès'de M: D. Gernez::::.::...7.
BRINER(E.) et WROCZYNSKI (A.).
— "Action de la pression et de la
température sûr le cyanogène...,..
BRIQUET (A.).— Sur la succession des
cycles d’érosion dans la région gallo-
— Sur la genèse des formes du relief
dans la région gallo-belge........
— Sur l'existence d’une pénéplaine
fossile d'âge récent dans le région
gallo-belge et”sur l’origine du ré-
seau hydragraphique actuel......
BRISSEMORET (A.) et JOANIN (A.).
® — Contribution à l’étude de l’ac-
CAILLETET est élu membre d’une
Commission qui devra présenter une
liste de candidats au siège d’Acadé-
micien libre; vacant par le décès de
MDP RDRRE NET RENE
CALMETTE (A.) et GUÉRIN (C.). —
Sur la résorption des bacilles tuber-
culeux chez les Bovidés à la suite de
l'injection des mélanges de sérums
d'animaux’ hyperimmunisés et de
bacilles cultivés en série sur bile de
CALMETTE (A.) et MASSOL (L.). —
Sur les réactions de précipitation
des sérums de tuberculeux et des
sérums d'animaux hyperimmunisés
contre la tuberculose en présence
de‘tubercülittes 0 men
CAMBIER (R. et TASSILLY (E.). —
TABLE DES AUTEURS.
Pages.
MM.
1369
DIqUeS..............s.....r
tion physiologique des bases orga- |
BROGLIE (Maurice DE). — Sur la pré- |
1368 sence exclusive dans les gaz issus
de : certaines ‘flammes: hydrogénées
d'ions tout à fait analogues (comme
mobilité) à ceux que produisent
les rayons Rüntgen..............
BRONIEWSKI (Wirocp). — Le prix
293
6o
NL Une médaille Berthelot lui est
décernés 7 ROLE RAM
BRUMPT (Emize). — Le prix Savigny
(Anatomie et Zoologie) lui est
UÉCEIRÉ 20 ee te ae tete darleie sn ;
931
BRUNEL. — Une partie du prix Ca- -
1332 hours (Chimie) lui est attribuée...
BRUNHES (B.). — Sur les courants
LOUTEIQUES PE AN ee en
314 |— Le prix Houllevigue lui est décerné.
BUGUET (Avec). — Cryoscopie des
naphtylamines et Eee d’ad-
CE PACA A M né ch cu
BUISSON (H.) et FABRY (Ch.). — Sur
l’arc électrique dans une atmo-
sphère à faible pression..........
BUSIGNIES. — Sur quelques composés
172
348
cycliques éthyléniques à fonction :
éther-oxyde et sur leurs dérivés
658
DrO MES" M MEN NME ERRE
(œ
Action abiotique des rayons ultra-
violets d’origine chimique........
CAMPBELL (Wirrram-WALLAcE). —
La médaille Janssen (Astronomie)
Jui est "décbrnbe : #, TN PE me
CARDOSO (Errore) et
(GEorGEes), — Constantes critiques
de l’acétylène et du cyanogène....
— Erratarelatifs à cette Communication.
CARLE, Une : mention très : hono-
707
rable lui est accordée dans le con
32 cours: du prix Godard (Médecine et
Chute). CT RARE!
CARNOT (Avorpnr)., — Rapport sur le
concours du Pie Montyon (Sta-
GSUQUE) PPPPIT IT: 1: ONE 21
CARPENTIER est élu membre dE
285 Commission qui devra présenter
Alhumbert (Chimie) lui est décerné.
1151
07
1215
1258
? 1224
1211
409
1276
012
223
* 515
BAUME :
342
1190
‘141
352
1235
1254
une liste. de candidats au siège :
TABLE DES AUTEURS.
MM.
- d’Académicien libre, vacant par le
décès de M, E. Rouché.....1.....!,
— Présente à l'Académie le Chrono-
phone de M. Gaumont............
CARRÉ (P.).— Recherches sur la fixa-
. tion du. trioxyméthylène par les
dérivés magnésiens des homologues
du. bromure. de benzyle.....,....
CARTAN (E.). — Les développables
isotropes et la méthode du trièdre
AAOBIENUGENR. . BUT 5 DR PONS
CARVALLO (J.). — Purification. élec-
trique et conductibilité électrique
de l’anhydride sulfureux liquéfié...
CARVALLO prie l'Académie de le comp-
ter au nombre des candidats à la
place d’académicien libre, vacante
par le décès de M. Jules Tannery..
CAYEUX (L.). — Sur lexistence de
calcaires phosphatés à Diatomées,
aunoene als ie mn :
CEPÈDE. (Casimir). — Perfectionne-
ment du microscope binoculaire
augmentant l’éclairement des objets
ODSCIMES MARTIN SR ET. TA
CHABERT (pe) et GALLOIS. — Un
prix Montyon (Statistique) lui est
GEST EE TS
CHANTEMESSE (A. prie l’Académie
de vouloir bien le compter au nom-
bre des candidats à la place d’Aca-
démicien libre vacante par le décès
de M. Jules Tannery.............
CHARON.(E.) et MAHLER (P.). —
Errata relatifs à une Communication
du.13 juin 1910 intitwée « Examen
de liquides dégagés par l’action de
l’air sur la houille, etc. »..........
CHARPY (GEorces). — Sur la « ma-
ladie de l’écrouissage » dans l’acier.
CHARPY (G.) et BONNEROL [S.). —
Sur la réduction de l’oxyde de fer
- par le carbone solide. .......:....
CHARRON (F.).— Modifications ap-
portées par l'air dans le frotte-
ment de glissement entre corps
‘solides . .
CHATANAY (J.). — She une FAN P
remarquable de Zonabris variabilis
v. Sturmi (Coléoptères Vésicants)..
CHATELET (A.).— Sur quelques appli-
cations du calcul des Tableaux à la
théorie des ordres d’entiers algé-
briques ne LATTES ON
C. R., 1910, 2° Semestre. (T. 151.)
Pages.
07
1324
149
979
717
108:
948
1252
969
I1O01I
925
MM.
| CHATELU ({J.). — Observations de la
comète Metcalf, faites à l’observa-
toire de Paris, à l’équatorial de la
tour de l'Ouest (0%,305 d’ouver-
EURE) renoue VONT ON
CHATIN (Jones). — She les varia-
tions de structure de la sclérotique
chez les Vertébrés! 443000:
— Sur la bague scléroticale postérieure
HOSTOREAUR A" ANOMALIE 8
— Rapport sur le concours du prix
Savigny (Anatomie et Zoologie)...
CHATTON (Enowuarp). — Sur l’exis-
tence de Dinoflagellés parasites
cœlomiques. Les Syndinium. chez
les Copépodes pélagiques.........
CHAUSSÉ (P.).— La tuberculose mé-
sentérique occulte réalisée expéri-
mentalement chez le chien........
— L’inhalation de matière tuberculeuse
bovine produit chez le bœuf, à dose
infinitésimale,
thoracique primitive, ............
CHAUVEAU. — Rapport sur le con-
cours du prix Montyon (Médecine
Mot Chirnrmie)2 2547 Ram
CHAUVEAUD (G.). — Le prix Bordin
(Sciences physiques) lui est décerné.
CHAUVENET (Ed.). — Sur les com-
. binaisons du chlorure de thorium
avec l’ammoniac................
CHAVIGNY. — Une partie du prix du
baron Larrey (Médecine et Chi-
rurgie) lui est attribuée......... :
CHAZY (JEAN). — Sur une équation
différentielle du troisième ordre
qui a ses points critiques fixes. ....
CHERTIER (Grorces) et NICOLAR-
DOT (Paur). — Sur les éthers ni-
treux de la cellulose............,.
CHESNEY (F.), ROUX (E.) et MO-
NIER (F.). — Une partie du prix
Saintour lui est attribuée........
CHEVALIER (Auc.). — Sur une nou-
velle Légumineuse à fruits souter-
rains cultivée dans le Moyen-Da-
homey (Voandzeia Poissoni)..... :
— Nouveaux documents sur le Voand-
zeia. Poissoni À. Clerc (Kerstingiella
geocarpa Harms).......,....... .
CHOFARDET (P.). — DSP RSS de
la comète Cerulli (1910 c) faites à
l'Observatoire de Besançon, avec
l’équatorial coudé.........,.....
191
de la tuberculose-
654
828
1009
1229
1222
387
1236
203
719
1165
84
1374
851
OR CARS 7 . tn,
d’une petite planète, présumée
1446 TABLE DES AUTEURS.
MM. Pages, | MM.
CHOPIN (Mancez).— La mesure ab- nouvelle ssssscsesscsssssssossss
solue des courants de grande inten- — Etude d’une touffe ou bouffée de la
sitél. db. hémitonudt. à. ss tra 1037 comète de Halley.....,...,..
CLAUDE (GrorGes). — Sur la prépa- COMPTON (A.) et BERTRAND (Ga-
ration. de l'argon., ..... 7.0.0 - 752 BRIEL). — Sur l'individualité de
—: Sur les tubes luminescents au néon.. 1122 la cellase et de l’émulsine.........
CLAUDE, FERRIÉ et DRIENCOURT. — Influence dela température sur l’acti-
— Comparaisôns téléphoniques et * vité de la cellase...,.,,..:.,.
radiotélégraphiques des chronomè- CONOR (A.), CONSEIL (E.) ét NI:
tres par la méthode des coïnci- COLLE (Cnartes).— Sur quelques
dences entre Paris et Brést.....,.. 935 propriétés du virus exanthéma-
CLAUSMANN (P) et GAUTIER (An- tiquohè-wostantende rot: TL EI
MAND). — Action du fer et de ses CONSEIL (E.) et NICOLLE (CnarLes).
oxydes, au rouge, sur l’oxyde de — Reproduction expérimentale du
carbone, application à quelques typhus exanthématique chez le
données géologiques.........,... 16 Macaque par inoculation directe du
— Action des mélanges d'oxyde de car- virus humain....,..., ins h 1
bone et d'hydrogène, ou d’acide — Données expérimentales nouvelles
carbonique et d'hydrogène, sur les sur le typhus exanthématique....
oxydeshdeutér2.5%3turen.atinis sat 355 |— Propriétés du sérum des malades
COCHIN (G.) et AUSTERWEIL (G.). convalescents et des animaux guéris
— Sur certaines causes des odeurs de typhus exanthématique........
BÉTANIQUES a. = +. VAT TOM 440 | CONSEIL (E.), NICOLLE (Cnarzes) et
COGGIA. — Occultation de n Gémeaux CONOR ({(A.). — Sur quelques pro-
par Vénus, observée à l'Observa- priétés du virus exanthématique..
toire de Marseille. .......,.,. ..... 371 | COSTE (Hipporyte). — Le prix de
— Observations de la comète d 1910 Coincy (Botanique) lui est dé-
(Metcalf, 9 août 1910), faites à l’Oh- COR AL ARTS tee I
servatoire de Marseille (équatorial COTTON (A.) et MOUTON (H.). —
d’Eichens de 0M,26 d'ouverture)... 465 Mesure absolue de la biréfringence
— Observations de la nouvelle planète magnétique de la nitrobenzine....
Cerulli (KU) 1910, faites à l’Obser- COUPIN (Henri). — De l'influence de
vatoire de Marseille (équatorial diverses substances volatiles sur
d’Eichens,de 0,26 d'ouverture)... 747 les végétaux supérieurs.....,.,..
— Observation de la comète Cerulli (du COUYAT (J.). — Les rochès sodiques
9 novembre) faite à l'Observatoire du:désert! arabiqueae 1441. aut 04.
de Marseille (équatorial d’Eichens COUYAT (J.) et FRITEL (P.-H.). —
de 0,26 d'ouverture) ...:...:1.,,, 852 Sur la présence d'empreintes végé-
— Observations de la comète de Faye tales dans le grès nubien des envi-
(e 1910 Cerulli, 9 novembre), faites rons. d’Assouan....4..:.....0.1.
à l'Observatoire de Marseille (équa- COWELL (P.-H.) et CROMMELIN (A.).
torial d'Eichens de 0",26 d’ouver- — Le prix Lalande (Astronomie)
ture)....,14henbe he l tnto 1030 leur est décerné .nhitlen sors al.
COLLIN (B.) et DUBOSCQ (0.).— Sur CROMMELIN (A.) et COWELL (P.-H.).
. la reproduction sexuée d'un Pro- — Le prix Lalande (Astronomie)
tiste parasite des Tintinnides...... 340 leur est décerné serre, 40. KP
COLLIN (Eucène). — Détermination CGURIE (Mme) et DEBIERNE (A.). —
de la nature d’une mèche’ de lampe Sur le radium métallique.........
puniques diouk; arab) din.» 246 | CUSCO (Mme), — Une partie du prix
COMAS SOLA (José). — Découverte Lannelongue lui est attribuée. ....
Pages,
369
‘369
402
1076
685
258
454
598
685
1218
be ob. trié. à» és un
TABLE DES AUTEURS,
MM.
DADAY DE DÉES (Eucène), — Sur
un Phyllopode anostracé nouveau
recueilli par l’Expédition antarc-
tique du Pourquoi-Pas? sous la
direction de M. Jean Charcot. .,..,
DANGEARD (P.-A.). — Sur deux or-
ganismes inférieurs rencontrés au
Laboratoire de Roscoff..........
— Sur une algue marine du Laboratoire
deuConcameau mfmarnaiabnne
— L'action de la lumière sur la chloro-
phyllews.#tr Foto nb -
DANIEL (Lucren). — Un Hañpot Vi-
DANOIS (euh at — Eu l'organe
à spermaceti du Xogia breviceps
Blainvishis td; Re ME ET
DANTONY (E.) et VERMOREL (V.).
— Des principes généraux qui doi-
vent présider à l'établissement des
formules insecticides. ...........
DARBOUX (Gasron). — Remarque sur
une Communication de M. Demoulin
intitulée : « Sur les familles de Lamé
composées de surfaces possédant des
points singuliers »
— Présente le Tome XIV des « Travaux
et Mémoires du Bureau interna-
tional des Poids et Mesures ».......
— Est élu membre de la Commission
chargée de présenter une liste de
candidats à la place d’Associé
étranger vacante par le décès de
M. Robert Koch...... Net fete
Présente la deuxième édition de ses
«Leçons sur les systèmes ortho-
gonaux et les coordonnées curvi-
lignes "Lu vor us
Est élu membre d’une Commission
qui devra présenter une liste de can-
didats à la place d’Académicien
libre, vacante par le décès de M. A
Rouché ..... fes. site 1182 ;
Est élu membre de la Commission
chargée de présenter une liste de
candidats à la place d’Associé
étranger, vacante par le décès de
M. Schiaparelli...,........... vale
Présente à l’Académie la quatrième
Notice (sur M. P. Appell) de la Col-
osseuses ses
D
Pages.
688
765
991
1386
890
690
1144
589
580
793
MM.
lection « Les Savants du jour »,
entreprise par M. Ernest Lebon....
Fait hommage à l’Académie de la
deuxième édition d’un « Traité de
Mathématiques générales »; par M.
E. Fabry, Ouvrage dont il a écrit
la :Rnéfagés, at de. dhaitte lt fast
Rapports sur les concours : du prix
Lanneloñgue.., Hu seu sreuths
Du prix Trémont..... TER LA TR
Du: prix. Gegnenass 9 M2 nt,
Du prix. Jérome Ponti...,...,...4
Du prix Houllevigue..............
M. le Secrétaire perpétuel présente les
« Rapports préliminaires sur les
Travaux exécutés dans l’Antarc-
tique par la Mission commandée par
M. le D? Charcot, de 1908 à 1910 »..
— M. le Secrétaire perpétuel annonce à
l’Académie que le Tome CXLIX
des Comptes rendus (1909, second
semestre) est en distribution au
SOCTÉ LATTES PME TNAR LT EMI
— M. le Secrétaire perpétuel propose de
nouvelles récompenses pour l’Avia-
— M. le Secrétaire un A présente à
l’Académie le Tome IX des « Obser-
vations faites à l'Observatoire d’Ab-
badia, en 1910, par MM. Verscha/ffel,
Lahourcade, Beigbeder, Sorreguiela,
Navarron, Exposilo »............ :
— M. le Secrétaire perpétuel annonce le
décès de M. Angelo Mosso, Corres-
pondant de l’Académie pour la Sec-
ton.de Médecine... 2411
— M. le Secrétaire perpétuel signale, parmi
les pièces imprimées de la Corres-
pondance, les Ouvrages suivants :
diverses publications du Ministère
de la Guerre, du Ministère de l’Agri-
culture, de MM. Numa Raflin, G
Eiffel, L. Blaringhem, 37. — Le se-
cond fascicule du Tome III du
« Traité de Physique », par M. O.-D.
Chwolson, traduit par M. E,. Da-
vaux, 187. —. Ecole Normale supé-
rieure, 5 juin 1910. Inauguration du
monument élevé à Pasteur.
The Newhaven mathematical Col-
—"
1447
Pages.
847
37
413
579
845
9638
1448
MM.
loquium », by Eliakim Hastings
Moore, Ernest Julius Wilezynski,
Max Mason: 366. — Divers Ou-
‘vrages de M. E. Giovanni Celoria,
de MM. E. van den Broeck, E.-A.
Martel, E. Rahir et M. Léon Ken-
dirdjy, 566. — Divers Ouvrages de
M. H.- G. van de Sande Bakhuyzen
et de M. R.-A. Sampson, 583. — Le
Tome I des Travaux du laboratoire
central d’Electricité et un Ouvrage
de M. E.-L. Trouessart, 664. — Di-
vers Ouvrages de MM. J.-H. Maiden
et Louis Fabry, 746. — Un Ouvrage
de M. Emm. de Margerie; une Col-
lection de brochures relatives au
« Congrès du Froid », tenu à Vienne,
848.— Divers Ouvrages de MM. F.-
G. Faraut, E. Fabry, Stanislas
Meunier et de la Compagnie fran-
. çaise des chemins de fer de l’Indo-
Chine et du Yun-nan, 969. — Di-
vers Ouvrages de MM. H. Andoyer,
W. Nernst, H. Lecomte et Martin
Ramstrüôm, 1104.
DARMOIS (G.). —- Sur les correspon-
dances à normales concourantes...
DARZENS (G.) et ROST (H.).— Syn-
thèse de cétones dans la série tétra-
hydroaromatique................
DARZENS (G.). — Nouvelle méthode
de - préparation des éthers glyci-
dique rome antenne
DASTRE. — Raiodti : sur les concours
du prix Barbier (Médecine et Chi-
EURO de aps te À ASIA je a à
turgielsent. ant chaud... dés ef nte
— Du prix Montyon (Physiologie expé-
ramentale).......s0at tif. ob
— Du prix Philipeaux (Physiologie)...
— Du pris donchdmptoormant. mat.
DAVID. — Méthode d'analyse des corps
gras par séparation des acides gras
concrets d’avec les acides liquides...
DEÉBIERNE (A.) et CURIE (Mme), —
Sur le radium métallique....,....
DECOMBE {L.).— Sur l'interprétation
mécanique du principe de Carnot-
Clausius, Cas d'une transformation
compense tra. vo ane «
DENIGES (Gronces), — Mobvelle. réac-
tion de la cupréine..... vs EEE
DEHORNE {Armanp): — Nouvelle in-
TABLE DES AUTEURS.
Pages.
431
1044
1354
0" Sa hi du FTREN OT IS
MM.
terprétation de la réduction dans le
Zoogonus nurus Lss .............
— Sur la coexistence de la division et
d’une subdivision des chromosomes
à l’état quiescent HS PR CESE AEUR 4
DÉJERINE (9) et THOMAS (kbat).
— Un prix Montyon (Médecine et
Chirurgie) leur est décerné........ |
DELACHANAL (B.) et GUILLEMIN
(G.). — Recherche sur les gaz
occlus contenus dans les alliages
du.ouivre... van. al. 4x UE CRE
DELAGE (Yves) est élu membre de la
Commission. chargée. de présenter
une liste de candidats à la place
d’Associé étranger, vacante par le
décès de M. Schiaparelli..........
— Fait hommage. à l'Académie de la
12€ année (1907) de l’ « Année bio-
logiques»: stat. 11.2 20e
DE LAUNAY.(L.) et. URBAIN.(G.): —
Sur la métallogénie des blendes et
des minéraux qui en dérivent.....
DELAUNEY adresse une Note inti-
tulée « Un principe nouveau pour
les tremblements de terre »........
DELCOURT (AMÉDÉE) et GUYENOT
(Eure). —
certains Diptères en milieu défini. .
DELÉPINE (Marcer). — Action de la
pyridine sur les iridodisulfates.
DEMOULIN (A.).— Sur les familles de
Lamé composées de surfaces possé-
dant des points singuliers........
— Sur certains couples de systèmes
triple-orthogonaux:. .......1.4...4
— Errata relatifs à une Communication
du 3 janvier 1910 intitulée : « Sur
la transformation de Ribaucour ».
— Errata relatifs à une Communication
du 17 janvier 1910 intitulée : « Sur
les systèmes.et congruences K »...
DEMOUSSY (E.) et MAQUENNE {(L.).
— Sur la toxicité de quelques sels
à l'égard des feuilles vertes. ..,....
DENET (J.) et MAHLER ({(P.).-— Sur
la présence d’une petite. quantité
d'oxyde de carbone dans l’atmo-
sphère des mines de houille....,..
DENJOY (Arwaup). — Continu et
discontinu®.#4 44 timer Ye
DENIGÈS (Gronces).—
DEPRAT (J.). — Sur la répartition
Noivelles réac-.
tions de la morphine............. À
Pages.
459
881
793
967
110
623
De la possibilité d'étudier
#
DRAGOIU (J.) et ATHANASIU (J.).
— Association des éléments élasti-
ER
TABLE DES AUTEURS.
MM. Pages, | MM.
géographique des différents étages ques et contractiles dans les muscles
reconnus au . Yun-nan (Mission Lssestots trés ml re time
géologique 1909-1910)........... 776 | DRIENCOURT ({(L.) et FAVÉ (L.). —
— Sur la tectonique du Yun-nan...... 902 Observations de marées faites au
— L'activité séismique dans le Yun- large dans la Manche et la mer du
nan méridional en 1909.......... IOII INCARNE RE UT ere
DEPRAT (J.) et MANSUY (H.) — DRIENCOURT, CLAUDE et FERRIÉ.
Résultats stratigraphiques géné- . — Comparaisons téléphoniques et
raux de la Mission géologique du radiotélégraphiques des chrono-
Re rends 572 mètres par la méthode des coïnci-
DESLANDRES (H.). — Sur les pro- dences entre Paris et Brest........
priétés des filaments polaires du : DROUIN DE BOUVILLE (pr) et
SOLE P Re ae c'est ele me de MT NE 413 MERCIER ({(L.). — Apparition de
— Est élu membre de la. Commission la furonculose en France.........,
chargée de présenter une liste de |DUANE (Wirrram). — Sur une mé-
candidats à la place d’Associé thode photographique d’enregis-
étranger, vacante par le décès de trement des particules æ..........
MaiSthiapareli ere semer dans 793 |— Sur le dégagement de chaleur dans
— Rapport sur le concours de la mé- un mélange de radium et d’un sel
‘ daïlle Janssen (Astronomie)...... 1189 PHOSPROTES CENTS. ANNEE,
DESLANDRES (H.) et BOSLER (J.). — Sur l'énergie des rayons du ra-
— Sur les apparences présentées di er sorts cree ce MINE
par la queue de la comète de Halley DUBOSCAQ (0.) et COLLIN (B.). — Sur
lors du passage du 19 mai der- la reproduction sexuée d’un Pa-
mere ARBRE 265 rasite des Tintinnides....::......
DEVOS a collaboré à un Ouvrage auquel DUCLAUX (J.). — Mélanges réfrigé-
une partie du prix Bellion (Méde- DAS NN Tati 0 Rs Rene. #
cine et Chirurgie) est attribuée.... 1238 | DUCRETET.(F.) et ROGER (E.). —
_ DIENES (Paur). — Sur un problème Appareil pour la réception de l'heure
d'Abel eme noel r-2S fo f à domicile et à bord des navires par
— Erratarelatifsäa cette Communication. 490 la télégraphie sans fil............
DONDER (Tx. pe). — Sur le théorème DUFOUR (A.). — Sur la rotation dé
de Poisson et sur les invariants l’arc à mercure dans un champ ma-
différentiels de Lie..:........,.. 371 . gnétique. Observations du phéno-
DOUMER (E.). — Epilepsie et consti- mène de Doppler:......1,..,.4.4
A0 Do eo ME A LAC n a A 1403 |— Le prix Hugues (Physique) lui est
DOUVILLÉ (Henri). — Sur la for- . Le CORTE ME PREMIERE
mation du limon des plateaux..... 630 — Une médaille Berthelot lui est dé-
— Comment-les espèces ont varié.:... 702 CENNC CNT RER. AN, ANDRE PT
— Quelques cas d'adaptation. Origine DUPARC (Louis) et PAMPHIL
GAGNON TRE. Te, OEM 742 (GEonGEs). — Sur l'issite,. une
DOYEN. — Réalisation de la trans- nouvelle roche filonienne dans la
thermie sans altération des tissus AUDE A ERA RL EEN :
normaux par Je bain thermo- DURR. — Une mention lui est RTE
électrique . ..:..... Ce Ex nur 167 dans le concours du prix Montyon
DOYON. — Formation d’antithrom- (Arts insalubres) "eee mme nt
bine -dans le foie préalablement DUSSAUD. — Sources lumineuses dis-
congelé à uné température très continues. Applications.....,.....
basse: 2:50. EN ALES PEU D 1074 | DAIERZBICKI (J. px) et KOWALSKI
DRACH (Tékies): — Sur le problème (J. pr). — Sur le spectre de phos-
logique de l'intégration des équa- phorescence progressive des com-
tions différentielles. ........,.... 192 posés organiques à basse tempéra-
ture: ?
14/49
Pages.
803
932
337
228:
379
471
340
TT5
53
1450 TABLE DES AUTEURS.
MM.
EFFRONT (J.). — Action du ferment
bulgare sur les substances protéi-
ques et amidées........,....see
EGINITIS. — Sur les phénomènes
présentés par la comète de Halley
après son passage devant le Soleil.
— Sur les phénomènes physiques pré-
sentés par la comète de Halley....
EIFFEL (G.). — Sur la résistance des
FABRE-DOMERGUE. — Sur la sta-
bulation des huîtres en eau filtrée. .
— Sur la nourriture de l’Huître et le
mécanisme de la contamination en
CA SOUL EE uns ee de des 2
FABRE-DOMERGUE (P.) et LE-
GENDRE (R.). — Recherche du
Bacterium coli dans l’eau de mer au
moyen des méthodes employées
DOUT eAUTAOUCe ere: rene ds
— Procédé de recherches du Bacterium
coli en cultures anaérobies dans les
eaux et dans les huîtres.,,,,.,...
FABRY (Cu) et BUISSON (H. ven
Sur l’arc électrique dans une atmo-
sphère à faible pression. ......,..
FABRY (Eucène). — Ordre des points
singuliers d’une série de Taylor...
FABRY (Cu.) et PEROT, — Une partie
du prix Wilde leur est attaibuée...
FAYE (L.) et DRIENCOURT ({(L.). —
Observations de marées faites au
large dans la Manche et la mer du
FAYET (G.). — Identité de la comète
Cerulli avec la comète Faye, ,.....
FEIGE (A.) URBAIN et SCAL (CL.). —
Stérilisation des grandes masses
d’eau par l’ultraviolet..,.,.,......
FEKETE (Micner).— Sur un théorème
de M. Landau..... PET PE à 71 CO
FERNBACH (A.).— Sur la décradatiin
biologique des hydrates de carbone.
FERNBACH (A.) et LANZENBERG
(A). — De l’action des nitrates
dans la fermentation ‘alcoolique. .
FERNBACH (A.) et SCHŒN (M.). —
Pages.
1007
E
MM. La ÉPE
plans rectangulaires frappés obli-
quement par le vent.............
ESCLANGON (Ernest).
passage de la Terre He la queue
de la comète de Halley.,.........
41 | ESMIOL. — Observations de la co-
291
829
959
1401
223
922
1263
803
969
770
497
1004
727
mète 1910 e (Faye-Cerulli) à l’Ob-
servatoire de Marseille (équatorial
d’Eichens de 0",26 d'ouverture)...
De l'influence que la réaction exerce
sur certaines propriétés des ma-
cérations de malt. :..4 » si oi-srue s oudte
FERNBACH (A.) et VULQUIN (E.). —
Sur le pouvoir microbicide des ma-
cérations de levure et des macéra-
tions de céréales.....,,.,,..,..,
FERRIÉ, DRIENCOURT et CLAUDE,
— Comparaisons téléphoniques et
radiotélégraphiques des chronomè-
tres par la méthode des coïnci-
dences entre Paris et Brest..,.....
FENZY.— Une mention lui est accordée
dans le concours du prix Montyon
(Artssinsalubres) 21.724408 7es
FERRET. — Sur des oscillations de la
mer observées à Bonifacio...,.,...
FICHTENHOLZ (Me A.) et BOUR-
QUELOT (Em.). — Sur la pré-
sence d’un glucoside dans les
feuilles de poirier et sur son extrac-
FISCHER (Henri) et PERRIER
(Remy). — Sur le mouvement de
l’eau dans la cavité palléale et sur
la structure de la branchie chez les
Bulléens,...... PAT Te Er
— Sur quelques points particuliers de
l’anatomie des Mollusques du genre
Atnéllsbr né déteGLinaN ies
FLEIG. — Une partie du prix Lier
champt lui est attribuée.....,.,.,
FLEIG (C.) et TRUC (H.). — De l'ac-
tion oculaire expérimentale des
poussières de routes goudronnées. .
— Erratarelatifs à cette Communication.
— De l’action oculaire expérimentale
1107
894
656
1085 :
1219
112
81
102
248
1264
593
662
TABLE DES AUTEURS.
MM.
et clinique des poussières et va-
peurshdéembitumentnntitté ideas ht
— Erratarelatifs à cette Communication,
FLOQUET (Pau). Comparaison
de différents procédés de mesure de
la constante diélectrique. ........
FLORIAN (Cx.), VIOLETTE (H.) et
LACOUR (E.).— Lunette de poin-
tage pour pièces marines de petit
Cahbre the are or
FOMIN (W.) et TCHOUGAEFF (L.).
— L'’hydrogénation des thuiènes
isomères et du sabinène. Le thuiane.
FONDARD (L.) et GAUTHIÉ (F.). —
Sur la composition des œillets à
tiges souples et à tiges rigides. ....
FOURNIER ({(L.) et BESSON (A.). —
Réduction du chlorure de phos-
phoryle par l'hydrogène sous l’in-
; fluence de l’effluve électrique. .....
— Sur les composés bromés et hydrobro-
mésRdu SUMMER MN IE
FRANCOTTE est élu Correspondant
dans la section d’Anatomie et Zoo-
logie à la place de M. Van Beneden.
GAIFFE (G.). — Sur un procédé de
radiographie stéréoscopique et ciné-
matopräphique se MMM
- GAILLOT (A.). — Théorie nn Er
et Tables du mouvement de Ju-
piter par Le Verrier. Additions et
TÉCHICAHLONS A PIC CON
GALBRUN. — Sur la représentation
asymptotique des solutions d’une
équation aux différences finies pour
les grandes valeurs de la variable. .
GALLIOT et GUNTZ (A.). — Sur la
préparation du strontium cristallisé.
GALLOIS et CHABERT (pe). — Un
‘ prix Montyon (Statistique) leur est
. décerné. nat
GARD. — Hybride binaires de pre-
mière génération dans le genre Cis-
lus et caractères mendéliens......
— Surun hybride des Fucus platycarpus
ot F. ceranoidest wma ess.
GARNIER (René). — Sur une classe
d'équations différentielles dont les
intégrales ont leurs points critiques
fixes 06 m0
CRC)
Pages.
769
966
545
1451
MM. Pages,
‘FREMONT (Cnarzes), — Le prix Tré-
mont lui est décerné......,..,.,..,
FREYCINET (p#). — Rapport sur le
concours du prix gs dis (Sta-
tistiqué}+i TEE A abk IE ES
FRIEDEL (G.) et GRANDJEAN (F.).
Les liquides anisotropes de
— Les liquides à coniques focales.....
— Sur les liquides anisotropes,......,
FRITEL (P.-H.) et COUYAT (J.). —
Sur la présence d'empreintes végé-
tales dans le grès nubien des
environs d'Assouan....,,...,,...
FROIS et SARTORY. — Une partie du
prix Bellion (Médecine et Chirurgie)
leur est attribuée ................
FROSSARD et MELCHISSEDEC. —
Sur la fatigue musculaire dans le
Chantiesret. te -retetterRNoER
FROUIN (Arserrt). — Une partie du
prix Longchampt lui est attribuée,
1238
1073
1264
G
1325
III/4
813
1252
239
888
209
GAU (P.-E.).— Sur l'intégration, par la
méthode de M. Darboux, d’une
équation aux dérivées partielles du
second ordre quelconque.........
GAUBERT (Pau). — Sur les cristaux
mous et sur la mesure de leurs in-
dices de réfraction
— Influence des matières étrangères
dissoutes dans l’eau mère sur le
facies des cristaux d’acide méco-
nique. et sur leur pseudopoly-
CHPOISHIDINRT RCI ee CAM ECS
GAUDECHON (Henri) et BERTHE-
LOT (Danter). — Sur le méca-
nisme des réactions photochimi-
ques et la formation des principes
végétaux; décomposition des solu-
HonsbeuCré sn in Mo Mi
— Décomposition photochimique des
alcools, des aldéhydes, des acides
etsdesvoétonestemnintandasnentis
I031I
532
ss.
1134
395
478
|— Principaux types de photolyse des
composés organiques par les rayons
üléra violet ns ME.
GAULTIER (Juzes). — Le prix Mon-
1349
1452 TABLE DES AUTEURS.
MM.
tyon (Mécanique) lui est décerné...
GAUMONT. — M. J. Carpentier pré-
sente à l'Académie le Chronophone
de-M. Gaumont... #4 . 4. 000
GAUTHIÉ (F.) et FONDARD (L.). —
Sur la composition des œillets à
tiges souples et à tiges rigides.....
GAUTIER (Armanp) fait hommage à
l’Académie, de la part de M. A.-J.
Ferreira da Silva, d’une conférence
ayant pour titre : « Marcelin Ber-
thelot : son œuvre scientifique, son
caractere. MAX SRI MAS TIR TC RE. 08
— Est réélu membre de la Commission de
contrôle de la circulation monétaire.
— Remarques au sujet d’une Note de
M. F. Grenet intitulée : « Étude sur
la porosité des bougies filtrantes ».
— Errata relatifs à une Communication
du 30 mairgrointitulée:«.:, Action
que la chaleur exerce sur l’oxyde de
CAFRONE DRE, eeepc vien dei
GAUTIER (Armanp) et CLAUSMANN
(P.). — Action du fer et de ses
oxydes, au rouge, sur l’oxyde de
carbone; application à quelques
données géologiques..............
— Action des mélanges d'oxyde de
carbone et d'hydrogène, ou d’acide
carbonique et d'hydrogène, sur les
oxydosidafen tite. oh heurté
GAY (L.). — Équilibre osmotique de
deux phases fluides..............
— Sur l'équilibre osmotique de deux
phasestflnides. cage. AP anse ant
GENTIL (Lours). — Aperçu géolo-
gique sur le massif des Kebdana
(Märoctoriental) 4.1 :2n20 . tnt
— Le cours inférieur de la Mlouya
(Maroc oriental)..... CARS EL
GERARDS (Emire). — Une partie du
prix Houllevigue lui est attribuée.
GERNEZ (D.). — Sur la nature du pro-
duit désigné sous le nom de phos-
phoreinoiry:s su ikims sl do: se
— Érratarelatifs à cette Communication,
— Sur la couleur que prennent subite-
ment les solutions incolores de
corps colorés, au moment de la soli-
dification de leur dissolvant incolore.
— Erratarelatifs à cette Communication.
— Sa mort est annoncée à l'Académie.
GIARD.-— Le Comité d'initiative de la
souscription Giard adresse à l’Aca-
Pages.
1183
1324
502
706
847
264
272
626 |’
741
MM.
démie un médaillon reproduisant
les traits de l’illustre naturaliste. .
GIGNOUX (M.) et KILIAN (W.). —
Les niveaux de ‘cailloutis et les’
terrasses des environs de Saint-
Rambert-d'Albon (Drôme) et de
Beaurepaire (Isère) .............
— Erratarelatifs à cette Communication.
— Les terrasses fluvioglaciaires de la
Bièvre et de la Basse-Ilsère.......
— Essai de coordination des niveaux de
cailloutis et des terrasses du Bas-
Dauphiné mac st tn CRT
GIRARD (PrerrE). — Mécanisme élec-
trostatique de l’osmose...,... ÊTE
GLANGEAUD (Pw.). — La bordure
occidentale du bassin de Montbrison,
la surrection oligocène et la cuirasse
du-Fôréz ir 1948 07m Etape :
— Les phénomènes glaciaires dans les
montsrdu Forez tr
GLATZEL (Br.). — Nouvelles expé--
riences sur l'excitation par chocs
dans la télégraphie sans fil........
GLEY (E.). — Des modes d'extraction
de la sécrétine. Un nouvel excitant
- de la sécrétion pancréatique.......
GODARD (Il.) et MILLOCHAU (G.).—
Observations de la comète de Halley
à l'Observatoire du Pic du Midi,...
GODCHOT (Marcer). — Sur l’hexahy-
droacétophénone et sur l’hexahydro-
benzoylatétoneian vit +. ten
GODIN (Paur). — Asymétries nor-
males des organes binaires chez
PHommes. Fe. 5 BE
GODFROY. — Sur quelques résultats
de l'étude des marées antarctiques
observées au cours de l'expédition
française au pôle Sud. .....:......
GONNESSIAT. — Observations de la
comète de d’Arrest à l'Observatoire
d'Alger: tés dr. HSE ele
GOUGEROT (H.) SALIN (H.) et LAN-
DOUZY (L.). — Arthrites séreuses
bacillaires expérimentales... ......
GOURDON (E.). — Sur deux gisements
de zéolites dans l'Antarctique. . ::.
GOUY. — Sur le potentiel de décharge
dans le champ magnétique. .......
— Erratarelatifs à cette Communication.
GRAMONT (A. pe) est présenté en
Pages.
1131
G21
1405
STE
683
153
1020
1166
seconde ligne pour la place d’Aca- :
démicien libre vacante par suite du.
1
+
TABLE DES AUTEURS.
MM.
” décès de M.E. Rouché............
— Sur la. place des raies ultimes dans
lesyséries spectrales: su veit ... M
GRANDIDIER (A.).— Est élu membre
de la Commission chargée de pré-
senter une lise de candidats au poste
d’Associé étranger vacant par le
décès de M. Robert Koch..........
— Présente à l’Académie, au nom de
M. le Général Jules de Schokalsky,
la deuxième édition de la Carte
de Russie d'Europe à 35555455 com-
prise dans l'Atlas de A. Marcks..
— Fait hommage à l’Académie du
/ Volume XVII, 582 fascicule, de
l « Histoire physique, naturelle et
politique de Madagascar »..... sk
— Rapport sur le concours du prix De-
lalande-Guérineau (Géographie)...
GRANDJEAN (F.). — Sur une mesure
du laminage des sédiments (calcaires
et schistes) par celui de leurs cris-
taux clastiques de tourmaline. ....
GRANDJEAN (F.) et FRIEDEL (G.).
— Les liquides anisotropes de Leh-
— Les liquides anisotropes de et
— Les liquides à coniques focales......
Sur les liquides anisotropes....... é
GRAVIER (Cu. }: —: Sur les récifs coral-
liens de la baie de Tadjourah (golfe
d’Aden) et leurs Madréporaires....
— Sur la durée de la vie chez les Madré-
- DORUNES. HART TENTE MER Tee
— Sur la lutte pour l’ tee rs les
Madréporaires des récifs coralliens.
GRAY (Roserr WuavyrLaw) et RAM-
SAY (Sir Wiccram). — La densité
de l’émanation du radium..
GRENET (Francisque).— Étude sur
la porosité des bougies filtrantes...
GRENET (L.). La trempe des
bronzesti MICPE à
GRIFFON (Ep.). — aegue) dc Go
dronnage des routes sur la végéta-
tion avoisinante....,....:.,.... :
- GRIFFON et MAUBLANC. — re une
ea Pi des pere de Châtai-
ss...
GRIGNARD (V.). — Sur le dédouble-
ment des éthers oxydes de phénols
par les organomagnésiens mixtes. .
GRUVEL (A.).— Les Langoustes de la
côte occidentale d'Afrique, leur
C. R, 1910, 2° Semestre. (T. 151.)
Pages.
842
308
35
417
| 847
1198
1149
322
MM.
exploitation industrielle. .........
GUERIN. (C.) et CALMETTE (A.). —
Sur la résorption des bacilles tuber-
culeux chez les Bovidés à la suite
de l'injection de mélanges de
sérums d’animaux hyperimmunisés
et de bacilles cultivés en série sur
biléde Hub CU UIM ea a Lt
GUICHARD (Marcer).— Sur l’ Er
tion de l’iode par les corps solides.
GUIGNARD. — Rapports sur les con-
cours : du prix Montagne (Bota-
nique) NS A ha OR A NE à
— DPI IDOR. Re ee
— Notice nécrologique sur Treub re
GUILBERT (Gagrret). Le prix
Victor Raulin (Physique) lui.est dé-
GUILLAUME (J.).— Observations du
Soleil faites à l'Observatoire de
Lyon pendant le premier trimestre
— Observations de la comète Metcalf,
faites à l’équatorial coudé de J’ Ob-
servatoire de Lyon.........,.,..
Observations du Soleil faites à l’Ob-
servatoire de Lyon pendant le deu-
xième trimestre de 1910....:....n
Observations de la comète Cerulli,
faites à l'Observatoire de Lyon....
Observations de Soleil faites à l’Ob-
servatoire de Lyon pendant le troi-
sième trimestre de 1910.......,.:
GUILLAUME (J.) et MERLIN (J.). —
Occultation de n Gémeaux (3,8) par
Vénus, le 26 juillet 1910, observée
D MÉIVONAN Pt. tee de seiiitlie De sets
GUILLAUME (J.) MERLIN. (J.) et
LUIZET (M.). — Occultations
observées pendant l’éclipse totale
de Lune du 16 novembre 1910, à
l'Observatoire de Lyon..........
GUILLEMARD. — Une partie du prix
Cahours (Chimie) lui est attribuée.
— Une médaille Berthelotluiestdécernée.
GUILLEMARD (H.) et REGNIER (G.).
— Observations de calorimétrie ani-
male faites au mont Blanc........
GUILLEMIN (G) et DELACHANAL
(B.). — Recherche sur les gaz
occlus contenus dans les alliages
du cuivre. ..sssts.eserssenesie
539
913
I2II
1258
| De
1454
MM.
GUILLET (Léon). — Sur to revenu des
produits écrouis,, . Un
GUILLON (Rexé-F.) a adressé, à la dut
du 25 juillet, une Note intitulée :
« Monographie d’une famille fran-
caise au x1x£ siècle, en contribution
à l'étude de la consanguinéité »....
GUNTZ (A.) et GALLIOT, — Sur la pré-
paration du strontium cristallisé . : .
GUYÉNOT (Émirx) et DELCOURT
(AméDée).— De la possibilité d’étu-
CCC +
HACKSPILL (L.). — Sur la résistance
électrique des métaux alcalins....
HALLER, — Rapport sur le concours
du prix Jecker (Chimie). . ‘
HALLER et LASSIEUR (A de — Sue
deux alcools actifs et une troisième
cétone contenus dans l'essence de
COCO 6844 ee 0 5 0 5 5 à
HANRIOT, — Sur l'or brun.:::.::::
HAREL DE LA NOÉ. — Le prix Ca:
méré lui ést décerné.:,,::,.:...
HARTOG (Maraus). — Une forcé nou
velle : le mitrokinétisme. ....,..
HATON DE LA GOUPILLIÈRE fait
hommage d’un exemplaire de son
Mémoire : « Étude géométrique et
dynamique des roulettes ets ou
sphériques ii és isa
HATT. — Rapport sur le concours du
prix Binoux (Géographie) ...,... :
HECKEL (Ebovanrp). — De l’action
du froid et des anesthésiques sur
les feuilles de l'Angræcum fragrans
Thou (Faham) ct sur les gousses
vertes de la Vanille. ...:,..,,.:,.
— Fait hommage à l’Académie du
8e Volume (22 série, 1910) des
« Annales du Musée colonial de
Marseille p1:5565%..5. 2040004
HELBRONNER (P.). = Sur les Mika
gulations géodésiques complémen-
taires des hautes régions des Alpes
françaises (huitième campagne)...
HELBRONNER (A), RECKLING:
HAUSEN (Max DE) et HENRI
(Vicron).— Nouvelles recherches sur
la stérilisation de grandes quantités
d’eau par les rayons ultraviolets.
HEMSALECIH (G.-A.), — Sur les durées
Pages,
TABLE DES AUTEURS.
MM.
1197 fininet sen 1h asdue A0 ET
GUYON. — Rapport sur le concours du
prix Godard (Médecine et Chirurgie).
GUYOT (A.). — Une partie du prix
Jecker (Chimie) lui est attribuée. . .
787 |— Une médaille Berthelot lui est décer-
née...
813 GUYOU. — = Rapport sur le concours
DE à dé SD DNS LOS LE EE D D EE
du prix extraordinaire de la Ma-
rine (Navigation). oct
H
relatives des raies du calcium dans
305 l’étincelle de self-induétion. .....:
— Sur les durées relatives des raies spec-
1206 trales émises par la vapeur du ma-
gnésium dans l’étincelle électrique.
— L'influence du champ magnétique
sur la durée des raies spectrales
697 émises par les vapeurs lumineuses
135 dans l’étincelle électrique. .......
— Sur les modifications que subissent
1271 dans un champ magnétique les raies
spectrales émises pat la vapeur lu-
160 mineuse de l’étincelle électrique...
HENNEGUY. — Rapports sur les con-
cours : du prix Lallemand {(Physio-
logie) .
— Du prix Martin Duiouvetté (Phy-
siologie) ,
HENRI (Vraror), BIERRY (Hasit} et
CC Va 0 0e LORIE
CC
634
1193 RANC (ArBerT). — Action des
rayons ultraviolets sur cértains
hydtates de carbone: "0... M0
HENRI-CERNOVODEANU (Mme V.},
HENRI (Vicror) et BARONI (V.).
— Action des rayons ultraviolets sur
les bacilles tubereuleux et sur Ia
tuberculiné .. .... Pr, Come
HENRI (Vicror), HELBRONNER (A.)
128
464 et RECKLINGHAUSEN {Max DE).
— Nouvelles recherches sur la stéri-
lisation de grandes quantités d'eau
par les rayons ultraviolets........
664 | HENRI (Vrcror}, BARONI (V.) et
HENRI-CERNOVODEANU (Mme
V.). — Action des rayons ultra-
violets sur les baoilles tuberculeux
et sur la tuberculine,..... viens
677 | HÉRISSEY (I), = Préparation de
l’arbutine vraie,
nn
Pages.
dier certains Diptères en milieu dé=
255
1235
1206
1258
1104
220
668
750
938
1247
1250
316
734
677
724
A4
TABLE DES AUTEURS.
MM.
HERVÉ (Grorces). — Sur les instruc-
tions données par l’Institut national
(17e et 2€ classe) au capitaine Baudin
pour son voyage de découvertes aux
terres australes (1800-1804)......
HESSE (Eo.). — Trypanoplasma vagi-
nalis, n. sp., parasite du vagin de la
ÉD fot hameau à à «
HILLERET (G.). — Une partie du prix
extraordinaire de la Marine (Navi-
gation) lui est attribuée.......,...
HINKS (Arraur-Rogerr).
partie du prix Leconte lui est attri-
HO Die Me OU OPA RE
ITINRICHS (G.-D.). — Sur les poids
atomiques de précision de l’oxygène
et de l’argent....... EE À 0 ie
ICARD (Séverin), — Le prix Dugaste
(Médecine et Chirurgie) lui est dé-
CORTE une etre
IMBEAUX.— Une partie du nee Bel-
lion (Médecine et Chirurgie) lui est
attribuée , ....
trs eee t…
CCR CC
JAMMES et MARTIN. — Rôle de la
chitine dans le développement des
Nématodes parasites..,..........
JANET (Crarces). — Organes sensitifs
de la mandibule de l’Abeille (Apis
mebliiera lis D fai tats vers ce Thtate
JANET (Paur) prie l’Académie de le
compter parmi les candidats au
siège d’Académicien libre, vacant
par le décès de M. E. Rouché......
— Est présenté en seconde ligne pour
la place d'Académicien libre, va-
cante par le décès de M. E. Rouché,
JANIZEWSKI (Sicrsmonp). — Sur la
géométrie de lignes cantoriennes..
JAQUEROD (A.) et TOURPAIAN (M.).
— Application du principe d’Archi-
mède à la détermination exacte des
densités gazeuses..,,4...,4.......
JARKOWSKI (Wirozp), — pates
théorèmes sur les sustentateurs,
JAVELLE, — Observations de we Cor
Une, .
Pages,
1407
504
1184
1259
1240
1238
250
618
636
842
198
666
208
MM.
HITZEL (Epmoxp), — Sur un double
pli dans la paroi sud du soubasse-
ment de la pointe de Platé, près
Chedde (Haute-Savoie). ..,,,,,,.,
HOC. — Une partie du prix Bellion
(Médecine et Chirurgie) lui est attri-
buéer rene date Léon.
HONDA (Koraro). — La loi de varia-
tion du coefficient d’aimantation
spécifique des éléments par l’échauf-
ÉCREO E/es, SU: RTE TORRITE
HOUARD (C.). — Sur le mode d'action
des Asteraleconium, parasites ex-
ternes des tigess MAMERTEMMENMR
UE. — Sur la variation des gonidies
dans le genre Solorina Ach........
IMBERT (A.).— Influence exercée par
la douleur sur la forme des tracés
ergographiques de la fatigue. ,…..,
INIGUEZ (Fr). — Observations de
la comète de Halley ,,.,,:,:nh444e
mète de Halley faites par M. Javelle
à l'Observatoire de Nice (équatorial
Gautier de 0",76 d'ouverture) ....
— Le prix Valz (Astronomie) lui est
JÉGOU (Paur). — Réception d’un
signal horaire hertzien de la tour
JOANIN {A.) et BRISSEMORET (A.).
— Contribution à l'étude de l’action
physiologique des bases organiques.
JOLIBOIS (Pierre). — Sur les rela-
tions entre le phosphore blane, le
phosphore rouge et le phosphore
pyromorphique........... “HG
— Une partie du prix Cahours (Chimie)
lui est attribuée..,...... Sos voi
JONCKHEERE. (Romgrt). — Sür
l'éclipse totale de Lune des 16-17 no-
vembre 1910, à Hem.,..... FA
JOTEYKO (Miie J.). — Le prix sure
Mège (Médecine et Chirurgie) lui”
106
1238
1396
332
767
850
1188
10/42
TÔT
1456
MM. Pages. |
1240 | JOUAUST (R
estidécerné. TIR ft ENS 100
JOUAN (C.) et STAUB (A:).: — Pré-
sence de l’alexine hémolytique et
bactéricide dans le plasma des
Oisetibe. 0e. 460.0 an Moss :
KAMERLING ONNES (H.) et MA-.
THIAS (E.). — Le diamètre rec-
tiligne de l’oxygène.:...3....2...
— Le diamètre rectiligne de l’oxygène.
KAYSER (E.). — Influence des nitrates
sur les ferments alcooliques.......
— Une partie du prix Saintour lui est
Ar an D me ne ton ronsnasti# is
KERNBAUM (Mirosraw). — Décom-
position de la vapeur d’eau par
MASON rene acces
KILIAN (W.) et GIGNOUX (M. —
Les niveaux de cailloutis et les ter-
rasses des environs de Saint-Ram-
bert-d’Albon (Drôme) et de Beau-
TODATEM ISO Ode Deer es eee sie
— Erratarelatifs àcette Communication.
— Les terrasses fluvioglaciaires de la
Bièvre et de la Basse-Isère........
— Essai de coordination des niveaux de
cailloutis et des terrasses du Bas-:
KIMPELIN. — Une partie du prix
Jérôme Ponti lui est attribuée...
KLEIN a collaboré à un Ouvrage auquel
une partie du prix Bellion(Médecine
et Chirurgie) est attribuée ........
KNAPEN (A. — Imperméabilisation
des matériaux ou porosité .......
KŒNIGS (Gagrier) est présenté en
LABBÉ (Henri). — Contribution à
l'étude des échanges azotés.......
— Répartition ‘de l'azote dans les
exCréta intestinaux. NUM?
LABBÉ (Léon). — Rappérte sur le
concours du prix Montyon (Sta-
tatique) er Re rs ete PE
LACOUR (E.), FLORIAN (Cm) et
VIOLETTE (H.). — Lunette de
pointage pour pièces marines de
319
1023
1322
I100
1329
1276
1238
683
TABLE DES AUTEURS.
MM. :
gnétiques du fer aux REC
élovéescilamielianns dore fete
JUNGELEISCH: »— We Le + sur le
concours du prix Jecker (Chimie). .
deuxième ligne comme candidat
à la place vacante, dans la section de
Mécanique, par le décès de M. Mau-
TICOS DEVIENT detre eee CE
KOLOWRAT (Léon). — Sur les rayons
8 du radium à son minimum d’acti-
KORN ({A.). — Sur WE mouvements
stationnaires d’un liquide doué de
IPOPLOIDONL ee rem se
— Errata relatifs à cette Communication.
— Sur le problème biharmonique et
le problème fondamental dans la
théorie de l’élasticité............
KOWALEWSKI (G.). — Les formules
de Frenet dans l’espace fonctionnel.
KOWALSKI (J. pe). — La phospho-
rescence progressive à basse tem-
PORTO meer en ren
KOWALSKI (J. pe) et DZIERZ-
BICKI (J. ne). — Sur le spectre de
phosphorescence progressive des.
composés organiques à basse tem-
DOTARURe LA Er A SET Re
KÜNCKEL D'HERCULAIS (J.).
Rapport des Insectes RQ
avec les fleurs des Zingibéracées et
en particulier avec celles des Hedy-
chium. Leur capture, son méca-
nisme, ses conséquences. ,,........
L
petit 6alibre desnainn ls, ettapen y
399 | LACROIX (A.). — Conséquences géné-
822
1257
rales à tirer de l'étude de la consti-
tution pétrographique de Tahiti...
— Sur quelques minéraux formés par
l’action de l’eau de mer sur des
objets métalliques romains trouvés
en mer au large de Mahdia (Tunisie). *
— Fait hommage à l’Académie de la
deuxième partie du Tome IV de
Pages.
.). — Les propriétés ma-
1014
525
50
392
299
1338
810
943
1153
T119
121
296
TABLE DES AUTEURS.
MM. :
sa ( Minéralogie de la France et de
se one in us pe cpu, Noa,
— Fait hommage à l’Académie de la
première partie du Tome IX et der-
nier de sa (Minéralogie de la France
et de ses Colonies ».....,...,....
LADENBURG (A.). — Sur des com-
binaisons racémiques et liquides...
LAEDERICH et LANDOUZY.— Héré-
dotuberculose matérielle, expéri-
mentale ts 21400004 Jr mOsSeLE
LAFAY (A.). — Sur les pressions
moyennes supportées par un corps
maintenu dans un courant d’air
dont la vitesse est irrégulière... ...
— Sur l'influence d’un échauffement
local sur la valeur des pressions
supportées par un corps placé dans
un courant d'air régulier. .........
— Sur l’inversion du phénomène de
Magnus in za TiT.
LAFROGNE (J.-L.-H.). — Une partie
du prix extraordinaire de la Marine
luiiest'attnibuée. sortie
LAGUESSE. — Le prix Martin-Da-
mourette (Physiologie) lui est dé-
LALESCO (T.). — Sur les noyaux ré-
sobvants MAR ete Dern Es sic
— Sur les pôles des noyaux résolvants.
— Sur les noyaux symétriques gauches.
LALLEMAND (Cu). — Sur l’exacti-
tude probable de diverses évalua-
tions de l’altitude du lac Tchad...
-— Sur les affaissements du sol causés
par le tremblement de terre de Mes-
LALOU (S.):— Variations de quantité
et de composition du suc pancréa-
tique au cours de sécrétions pro-
voquées par la sécrétine.........,.
LAMBERT. — Sur une forme des équa-
tions du mouvement d’une petite
planète .. |
LANDOUZY est présenté en seconde
ligne pour la place d’Académicien
libre, vacante par suite du décès de
MEmRouché Hier) Rreriat
LANDOUZY (L.), GOUGEROT (H.) et
SALIN (H.). — Arthrites séreuses
bacillaires expérimentales. .......
LANDOUZY et LAEDERICH. — Hé-
rédotubereulose matérielle, expé-
mentale ...
dresser ses ses
Pages.
144
671
867
1184
1251
928
1033
1336
10
418
824
1028
842
683
797
MM. :
LANGEVIN (P.). — Sur les biréfrin-
gences électrique et magnétique...
LANKESTER (Rav) est élu Associé
étranger en remplacement de M. Ro-
bent Koëiist taire 4h Her:
LANNELONGUE (O.-M.) fait hom-
mage à l’Académie de son Ouvrage
intitulé : « Un tour du monde »....
— Rapport sur le concours du prix
Lonchamptiehen.te Sir n se. M
LANZENBERG (A) et FERNBACH
(A.). — De l’action des nitrates
dans la fermentation alcoolique...
LAPICQUE (Louis). — Relation du
poids encéphalique à la surface
rétinienne dans quelques ordres de
Mammifères dt. miennt nt
LAROSE (H.). — Sur le problème du
câble avec transmetteur..........
— Sur l'extinction des discontinuités
par réflexion aux extrémités d’une
ligne télégraphique .…...:...1, 42.
LASSIEUR (A.) et HALLER. — Sur
deux alcools actifs et une troisième
cétone contenus dans l’essence de
coco
LAUNOY (L.).— A propos de la toxi-
cité de quelques composés minéraux
et organiques de l’arsenie et sur
l’accoutumance à ce poison........
LAVERAN est élu membre de la Com-
mission chargée de présenter une
liste de candidats au poste d’As-
socié étranger vacant par le décès
deiMerRobertiKoch lente Lee HER
— Est désigné par l’Académie pour
prendre la parole en qualité de
Lecteur à la Séance publique an-
nuelle de l’Institut, le 25 octobre
CCC
— De l'efficacité d'un émétique d’ar-
senic et d’antimoine dans le trai-
tement de différentes trypanoso-
niañ6b: LIL Te do 2 0 DORA PAPA E
Rapports sur les concours : du prix
Montyon (Médecine et Chirurgie). .
Du prix Barbier (Médecine et Chi-
PP OT OO LI 0 ED
Du prix baron Larrey (Médecine et
Chirureie)) AL e.SLE ce attm.dae
LAVERAN (A. et PETTIT (A.). —
Sur les formes de multiplication
endogène de Hæmogregarina Sebai.
— Sur une épizootie des truites...... $
1027
1264
727
1393
435
747
697
897
288
580
1226
1230
1236
182
421
1458
MM.
— Sur une hémogrégarine nouvelle de
+ Damonia subtrijuga Schlegel
LÉAUTÉ (H.) est désigné pour faire
partie, pendant l’année 1910-1911;
du Conseil de perfectionnement de
l'Ecole Polytechnique ....
LEBEUF. — L'éclipse totale ds Los
du 16 novembre 1910, observée à
l'Observatoire de Besançon, par
MM. Chofardet et Goudey
LEBŒUF, ROUBAUD et MARTIN
(G.). — Un prix Montyon (Méde-
cine et Chirurgie) leur est décerné...
LEBON (Ernesr). — Le prix Binoux
..s..
rs.
(Iistoire des Sciences) lui est décerné.
LE CHATELIER. — Rapports sur les
concours : du prix Montyon (Arts
invalubres)iees At sus ER
— Du prix Alhumbert (Chimie).......
LECLERC DU SABLON. — Sur l’as-
cension de la sève...............
— Sur la théorie des mutations pério-
TIQUOS idee CNT A AE JR ee
LECOMTE (J.). — Une partie du prix
extraordinaire de la Marine lui est
attribuée. .
LECORNU (Léon) est présenté en pre-
mière ligne comme candidat à la
place vacante, dans la Section de
Mécanique, par le décès de M. Mau-
TLCOMEEPU date PANNE TON Le #1
— Est élu membre de la Section de
Mécanique, en remplacement de
MMauricerLeop ent MATARON. is
LEDERER (Cuarces). — Sur les com-
posés organiques du tellure tréta-
VARICES ARE ME. Die
LE -FLOCH. — Une niSñtièn lui est ac-
cordée dans le concours du prix
Montyon (Arts insalubres)........
LEGENDRE (René). Une partie
du prix Lallemand en) lui
est'attfifUbes, SNS 4h tt
LEGENDRE (R.) et FABRE DO-
MERGUE (P.). — Recherche du
Bacterium coli dans l’eau de mer
au moyen des méthodes employées
pour-l’eau douce... (aus:
— Procédé de recherches du ‘Bacterium
coli en cultures anaérobies dans les
. aux et dans les huîtres. ......,,,.
LÉGER (E.). — Action de l'acide
azotique sur les aloïnes, production
d’aloémodine tétranitrée et d’acide
CC
TABLE DES AUTEURS.
Pages.
1017
Q11
TAOI
MM.
trinitro-2.4-6-métaoxybenzoïque.. .
— Le goût de vase chez les Poissons
d’eau douce..,...4..,
— Errata relatifs à une Communieation
du 20 juin 1910 intitulée : « Sur l’aloï-
nose cristallisé, ete. ».,,,,.........
LEHMANN (J.) adresse une Note inti-
tulée : « Propulsion pneumatique
pour ballons dirigeables ».,.,..:..,
LELIÈVRE (Auc.) et RETTERER
(Ep.).— Origine épithéliale et déve
. loppement des plaques de Peyer des
Oiseaux ... :.4..
LÉMERAY adresse une Note Spitsile
«Sur la transformation de Lorentz ».
LEMOINE. — Sur la présence de dépôts
de cholestérine dans les tuniques
artérielles scléro-athéromateuses., .
LEMOINE (Émixe). — Le prix Fran-
cœur (Géométrie) lui est décerné...
….... trs.
.| LERICHE (Maurice). — Sur les pre-
miers Poissons fossiles rencontrés au
Congo belge, dans le système de
Lualaba ses fité 26e:
LEROUX (Henri). — Sur la chaleur de
combustion de quelques dérivés
hydronaphtaléniques......,.... NE
LESPIEAU. — Condensation du bro-
mure d’acroléine avec l’acide malo-
=miquertoner read sh PERTE
LEVY (Maurice). — ee prononcé
à ses obsèques par M, Emile Picard.
LÉVY (Pauz). — Sur quelques équa-
tions définissant des fonctions de
hgnerrs. fe halo a8t
— Sur l'intégrabilité :des équations
définissant des fonctions de ligne...
LEYDEN (Ernesr vox).— Sa mort est
annoncée à l'Académie ......4.
LINOSSIER (G.). — Influence du Fr
sur la formation des spores de l’As-
pergillus-nigeniiut eus ul es ELA
LIPPMANN (G.). — Contacts élec-
triques eflicaces sans pression. ....
— Est élu Vice-Président pour l’année
1910-1911
LIVON (Cu.). — Une partie va er
Montyon (Physiologie expérimen-
. tale) lui est attribuée...,...,.....
LORENTZ (H.) est élu Associé étran-
ger en remplacement de M. Schia-
CR
LŒWY (Rosenr), — Une partie dé
prix Lonchampt lui est attribuée.
shit Rereré > SEC
1128
900
264
623
457
623
1079
1182
968
1264
m2
eat
TABLE DES AUTEURS.
MM.
LOWELL (Percivaz) adresse un Mé-
moire intitulé : « On the action of
planets upon D dE NUE parti-
cleswiren PR TRE oo taches feet
LUC (ArmanD DE) ét REVERDIN
(FréDéric), — Nitration compa-
rative de quelques amines aroma-
tiques mono- et diacylées. .
LUCET. — Sur la présence de fre
chètes dans un cas de gastro-entérite :
MAGNAN (A.). — Sur une certaine loi
de variation du foie et du RAS
chez les Oiseaux. ,.,...
MAGNAN et PERRILLIAT. — ie
un monstre humain acéphale......
MAGUNNA ({H.). — Le prix Kastner-
Boursault (Physique) lui est décerné.
— Une médaille Berthelot lui est dé-
cernes menu ete cle ces
MAHLER (P.) et DENET (Ji), — Sur
la présence d’une petite quantité
d'oxyde de carbone dans l’atmo-
sphère des mines de houille. ...,..
MAHLER ({P.) et CHARON (E.). —
Errata relatif à une Communication
du 13 juin t910 intitulée : « Examen
de liquides dégagés par l’action de
l’air sur la houille, ete. »,......: :
MAILHE (A.) et SABATIER (Pauz). —
Préparation catalytique des oxydes
mixtes des alcools et des phénols..
— Préparation catalytique des oxydes
phénoliques et des oxydes diphé-
nyliques print ste dus hs mation
MALCLÈS (Lours), == Sur l'apparition
de certaines anomalies diélectriques
par SERSER Se d'état du milieu
isolant
MALFITANO (G) F” MOSCHKOFF
(Mie AN), — Sur la purification
de l’amidon ....
MALTÉZOS (C.). — Sur l'image réelle
de Purkinjenti ét ie
MANGIN (1), — Nouvelles observa-
tions sur la callose..,.,,..
MANSUY (H.), — La succession strati-
graphique aux environs de Luang+
Prabang (Haut:Laos) ..,:.4,,,...
MANSUY (Hi} et DEPRAT (J.). —
ahsrstie
sims isa
hs riris.
“ts sts
CR)
Pages,
1410
985
492
65
817
500
279
839
MM.
hémorragique chez le chien., ..,,.,
LUIZET (M.), GUILLAUME (J.) et
MERLIN (J.). — Occultations ob-
servées pendant l’éclipse totale de
Lune du 16 novembre 1910, à l'Ob-
servatoire de) Lyon.w..nn 41. AA.
LUMIÈRE (A. et L. ) et SEYEWETZ.—
Action des quinones et de leurs
dérivés sulfoniques sur les images
photographiques au sel d'argent...
Résultats stratigraphiques géné-
raux de la Mission géologique du
Yunsnant/ eds presannttet. nl - à
MANTOUX (Cu.). — Une mention lui
est accordée dans le concours du
prix Montyon (Médecine et Chirur-
E TE ET ET DRE M AS EU A PROS TP
MAQUENNE (Lu) mi élu membre d’une
Commission qui devra présenter
une liste de candidats à la place d’A-
cadémicien libre, vacante par le.
décèsde ME Rouché. han
MAQUENNE ({L.) et DEMOUSSY (E.).
— Sur la toxicité de quelques sels
à l'égard des feuilles vertes. .…...,
MARAGE. — Les bruits subjoctis
aUMICUlAITES >>... saint sh ’
MARCELIN (B.). — Sur la mécanique
des phénomènes irréversibles... .,,
MARCHAL (Paur). — Contribution à
l’étude biologique des Chermes...,
— Contribution à l'étude Disleniane
des Chermes:s sind. os he abus
— Contribution à l'étude biologique
desGhermess. MORE 6 du ‘
MARTEL (E.-A.). — Sur ue âbirnes
des Pyrénées.,...,... RAR AE,
— Sur la désobstruction artificielle des
abimes hs rer h :n2 LT TN ET NC è
— Prie l’Académie de le Comphémiles
parmi les candidats à la place d’A-
cadémicien libre, vacante par le
décès de M. J. Tannerÿ.ssssssss.
MARTEL{(E.-A.)et VAN pen BROECK
(Ernest). — Sur les conditions de
filtrage efficace des eaux souter-
rainés dans certaines formations
calcaires : ..... D Pate a M OR ‘
MARTIN et JAMMES. — Rôle de la
913
616
1228
1104
574
1460
MM. Pages.
chitine dans le développement des
Nématodes parasites. ............
MARTIN (G.), LEBŒUF et ROUBAUD.
— Un prix Montyon (Médecine et
Chirurgie) leur est décerné........
MARTONNE (EmmanuEz DE). — Une
partie du prix Binoux (Géographie)
3 lestiatiéibuée +140, ah. Gt
-. MARTY (Prerre). — Nouvelles obser-
vations sur la flore fossile du Cantal.
MASCART (Jean). — Photographies
de la comète de Halley............
MASSOL (G.). — Sur la composition
chimique des gaz spontanés de la
source thermo-minérale d’Uriage
(ISERE Re LR NT. FROLISS
MASSOL (G.) et SIZES (Garnier). —
Sur les harmoniques des instru-
ments à tube en cuivre............
— Comment vibre un diapason. Vibra-
tions tournantés 000.400. E
MASSOL (L.) et CALMETTE (A.). —
Sur les réactions de précipitation
des sérums de, tuberculeux et des
sérums d'animaux hyperimmunisés
contre la tuberculose en présence de
tuberculmes ts, Mimet. 16 ARE
MASSONNAT. — Le prix Thore (Ana-
tomie et Zoologie) lui est décerné...
MATHIAS (E.). — Rapport sur l'emploi
d'une subvention accordée sur le
Fonds Bonaparte... 21010
MATHIAS (E.) et KAMERLINGH
ONNES (H.).— Le diamètre recti-
ligne de l'oxygène .........:.....
— Le diamètre rectiligne de l'oxygène.
MATRUCHOT (L.). — Sur la culture
nouvelle d’un Champignon comes-
tible, le Pleurote Corne-d’abondance.
MAUBLANC et GRIFFON. — Sur une
maladie des perches de Châtaignier.
MAUGUIN (Ch.). — Cristaux liquides
en lumière convergente......,....
— Liquides biréfringents .à structure
hélicoidales ur rer, 2 HMEULE à.
MAZÉ (P.). — Maturation provoquée
des graines, Action antigerminative
de l’aldéhyde éthylique...........
MAZURKIEWICZ (Errenxe). — Sur
la théorie des ensembles. ..:......
MELCHISSÉDEC et FROSSARD. —
Sur la fatigue musculaire dans le
RATE ane rad ere te TU
MEMERY (Henri) adresse une Note
250
1226
1193
244
290
1124
303
437
285
1226
Fe”
213
474
1376
1149
886
1141
1383
296
1073
TABLE DES AUTEURS.
MM.
intitulée « Coïncidences remar-
quables entre les variations des
taches solaires et les variations de
Pages.
la température à Paris, Bordeaux
et Pau, pendant l'hiver et le prin-
temps 1910 D. 4444, 500 ve 8e kaër
MENGEL (O.) — Stratigraphie et
tectonique de l’ilot primaire de La
Guardia entre le Sègre et la Noguera
Pallaresas «rtéus .0n ve me PR En
MERCANTON (P.) — Etat magné-
tique des diabases de l’Isfjord au
SDITADEFE ES RE PANNE RTE
MERCIER ({(L.) et DROUIN DE BOU-
VILLE (pE).— Apparition de la
furonculose en France............
MERLIN (J.) et GUILLAUME (J.). —
Occultation de r Gémeaux (3,8) par
Vénus, le 26 juillet 1910, observée
à Lyon. ASS AUS ETS EE
MERLIN (J.), LUIZET (M.) et GUIL-
LAUME (J.). — Occultations ob-
servées pendant l’éclipse totale de
Lune du 16 novembre 1910, à l'Ob-
servatoire de Lyon:. 711 19.440
MEUNIER (Sraniscas) prie l’Acadé-
mie de le compter au nombre des
candidats à la place d’Académicien
libre vacante par le décès de
M. Jules Tannery.......... 1...
MICHAUD (F.).— Sur un capillarimètre
permettant la mesure de la tension
superficielle des liquides visqueux. :
MICHEL (Aucusre).— Sur la structure
des élytres d’'Halosydna gelatinosa,
spécialement sur des éléments épi-
dermiques en corbeilles et des élé-
ments conjonctifs en longues fibres
hélicines et en cellules étoilées à fins
prolongements entortillés.........
MICHEL-LÉVY (Arserr) et VÉLAIN
(Cu). — Les terrains primaires du
sud'dés Vosges... ARR rat
MILHIT (Jures). — Une citation lui
est accordée dans le concours du
prix Montyon (Médecine et Chirur-
de elec aa ea etets # Pure 5 © “n'a cs der e
Observations de la comète de Halley
à l'Observatoire du Pie du Midi....
MINISTRE DE LA GUERRE (M. £)
invite l’Académie à désigner deux
de ses Membres pour faire partie du
Conseil de perfectionnement de
174
836
1092
913
969
868
399
1080
1230
150
TABLE DES AUTEURS.
MM.
l'École Polytechnique. ...........
MINISTRE DE L'INSTRUCTION PU-
BLIQUE (M. zE) adresse ampliation
du décret du Président de la Ré-
publique approuvant l'élection de
Sir William Ramsag comme Associé
étranger à la place de M. Robert
HOT RES à RTE ARS RSR
prouvant l’élection de M. Edwin Ray
Lankester comme Associé étranger
à la place de M. Robert Koch.......
Adresse ampliation du Décret approu-
vant l’élection de M. Léon T'eisserenc
de Bort, dans la Section des Acadé-
.miciens libres, à la place de M. Eu-
generRouchélismrass ann es
Adresse ampliation du Décret approu-
vant l'élection de M. H.-A. Lorentz
comme Associé étranger à la place
dexMASchiaparellis sans: tn
— Adresse ampliation du Décret approu-
vant l’élection de M. Lecornu dans
la Section de Mécanique à la place
deM: Maurice Lepy. 3...
— Adresse ampliation du Décret auto-
risant l’Académie à accepter le legs
fait à son profit par M. Antoine-IHenri
Bécquereldes ubitehien deb use
Au nom de M. le Ministre des Fi-
nances demande à l’Académie de lui
présenter une liste de trois candi-
dats à une place d’essayeur vacante
à l'Administration des Monnaies...
Invite l’Académie à lui faire con-
naître ceux de ses Membres qui
pourraient se rendre, en qualité de
délégués de son département, au
« VIIS Congrès international contre
la ‘tuberculose », à Rome, en sep-
TETADTO TOR ee sets elone ns te sim +
Invite l’Académie à lui désigner un
de ses Membres qui devra re partie
de la Commission de contrôle de la
circulation monétaire. ...
Invite l’Académie à élire un de ses
Membres pour remplacer, à la Com-
mission technique de la Caïsse des
Recherches scientifiques, M. Mau-
TIC LEPY, AÉCÉAE, 4 3 à 01e an siste o » ee » ;
MIRAMOND DE LAROQUETTE. —
Une partie du prix du baron Larreÿ
(Médecine et Chirurgie) lui est attri-
buée.
nes es
AU nn 0 7606 07/0/8007 5 0 0" +" à,
Adresse ampliation du Décret ap-
Pages.
663
LU
©Q2
[Sas
[ee
OII
1099
1099
967
187
709
794
1332
1297
C. R., 1910, 2° Semestre. (T. 151.)
MM.
MIRANDE (Marcgr).— De l’action des
vapeurs sur les plantes vertes......
— Les effets du goudronnage des routes
sur la végétation. ...... EP RTO MERE
MOLLIARD (Mani), — Du mode d’ac-
tion de l’intensité lumineuse dans la
formation des fleurs cléistogames..
— Une partie du prix Montyon (Phy-
siologie expérimentale) luiest attri-
buée #3. to dreteted, nt Anmbes
MONIER (E.), CHESNEY (F.)tret
ROUX (E.). — Une partie du prix
Saïintour leur est attribuée . ......
MONTANGERAND. (L.}. -— Observa-
tions de la comète de Halley et d’oc-
cultations d'étoiles, faites à l’Obser-
vatoire de Toulouse, à l’équatorial
PBrumner-Henryasie cet 2h AE
— Olservation de l’éclipse totale de
Lune du 16 novembre 1910, faite à
l'Observatoire de Toulouse. .......
MONTEIL prie l’Académie de le
compter au nombre des candidats
au siège libre, vacant par le décès
do MM ROUCRER ET dise
MONVOISIN et MOUSSU. Une
mention leur est accordée dans le
concours du prix Montyon (Méde-
emblehiOhirurrie) 5. ane T4
MOREAU (L.) et VINET (E.).
les traitements insecticides en viti-
culture EPP PE TL re
— L'’arséniate de plomb en viticulture
et la consommation des raisins frais
DAC METIER En en 6 0 0 00 no
MOSCHKOFF (Mle A.-N.) et MALFI-
TANO (G.).— Sur la purification de
CAPE CR RE one
MOSSO (AnGeLo).— Sa mort est annon-
Ch L A CAEN Es nel e -
MOUGIN et BERNARD. — Sur la stra-
tification des névés et de la glace
dans les régions élevées des bassins
d'alimentation des glaciers.....,..
MOULIN (Manex:r) et BAUER (Eo-
môonp).— Le bleu du ciel et la cons-
tante d'AYOSAUTO............ 0e.
MOUREU (Cnarres) et BONGRAND
(J.-C). — Composés propioliques.
Cyanacétylène CNT. ....,..,....
MOUSSU et MONVOISIN.-— Une men-
tion leur est accordée dans le con-
cours du prix Montyon (Médecine
CHRORITULNE) ee poele me
19
Pages:
1228
1068
1083
864.
946
1228
:
. 258
454
ÿ LC ” % PR. = : à es
1/62 TABLE DES AUTEURS. a
MM. Pages. | MM.
MOUTON (A.) et COTTON (A.) —Me- entre le sol et la graine........... 7
sure absolue de la biréfringence ma- — Rapport sur le concours Fu ae Sain- ’
gnétique de la nitrobenzine....... 862 touts el 6 Se à ENT PET
MUNTZ (A.). — La lutte pour l’eau
N
NANTY. — Sur les équilibres entre le virus ; Rimidit * ML AN BAQUITIES
bicarbonate de potassium et le car- — Données éthétinis miiles nouvelles
._ bonate de magnésium trihydraté... 1352 sur le typhus exanthématique.....
NICOLARDOT (Paur) et CHERTIER — Propriétés du sérum des malades con-
(Grorces).— Sur les éthers nitreux valescents et des animaux guéris
dedañcellulose. rfi PRE 719 de typhus exanthématique........
NICOLAU. — Errata relatifs à une Com-
munication du 20 juin 1910 intitulée
« Sur la variation dans le mouvement
dela lune ee St -rie re
NICOLLE (Cnarzes) et CONSEIL (E.)..,
— Reproduction expérimentale du
typhus exanthématique chez le
Macaque par inoculation directe du
OCAGNE (M. »') prie l'Académie de le
compter parmi les candidats au poste
d’Académicien libre, vacant par le
décès de M. E. Rouché.’........22,
— Est présenté en seconde ligne pour
la place d’Académicien libre, va-
cante par suite du décès de M. Æ.
PAMPHIL (Georces) et DUPARC
(Louis). Sur l’issite, une nouvelle
roche filonienne dans la dunite...
PAPIN (E.) et AMBARD ([(L.). — Le
prix Godard (Médecine et Chirurgie)
1 AQU ROSE UÉCER es. A LE nn ctes
PECSI (A.).— Les lignes de fracture de
la croûte Lorrestre. ...:, hrs
PÉLABON (H.).— Sur les piles à anti-
moine et séléniures d’antimoine...
PELLEGRIN est présenté en seconde
ligne à M. le Ministre de l’Instruc-
tion publique pour la chaire de
Zoologie (Reptiles et Poissons) du
Muséum d'Histoire naturelle. .....
PÉNAU (Henry). — Cytologie d'Endo-
264| NORDMANN (Cxarces).
583|
NICOLLE (Cnarzes), CONOR (A.) et
CONSEIL (E.). — Sur quelques
propriétés du virus exanthématique.
— Sur un
moyen de déterminer par la photo-
métrie hétérochrome les parallaxes
d'une certaine classe d'étoiles.
Première application à deux étoiles.
—— Prie l'Académie de vouloir bien le
- compter au nombre des candidats à
la place d’Académicien libre vacante
par le décès de M. Jules Tannery..
OLIVIER (L.).— Sa mort est annoncée
à l'ACAUS AIO AP PR PTE
P
1136
1235
myces albicans P. Vuillemin (forme
lernrehé ts cie SOLS RE d .
— Cytologie d’Endomyces albicans
(P. Vuillemin) formes filamenteuses.
PEROT (A.).— Etude de la variation de
‘la longueur d’onde de la lumière so-
laire au bord du Soleil...,.,......
— Sur la rotation de l'hydrogène dans
l'atmosphère solaire...,.,,,,.... é
— Sur la mesure spectroscopique de la
rotation des astres possédant une
atmosphère, et en particulier du
Soleil ant devint te AR Eté
PEROT (A.) et BOSLER (J.).— Sur la
théorie de la luminescence de Lara
au mercure dans le vide. ..... ;
598
685
794
842
252
774
38
429
848
. 216
TABLE DES AUTEURS.
MM.
PEROT (A.) et FABRY (Cn.).— Une par-
tie du prix Wilde leur est attribuée.
PERRIER (A.).— Sur la combustion de
l’aldéhyde éthylique par les végé-
tauximiérours œxrmbe isasl. LS
PERRIER (Cx.).— Une mention lui est
accordée dans le concours du prix
Montyon (Statistique) ............
: PERRIER (Epmoxp) est élu membre de
la Commission chargée de présenter
une liste de candidats au poste d’As-
socié étranger vacant par le décès de
M Robert Koch. Mean, MEN, ’
— Rapports sur les concours : du prix
Tchihatchef (Géographie). ........
— Du prix Gay (Géographie) .........
— Du prix Binoux (Géographie).......
— Du prix du baron Larrey (Médecine
ct Ciirumene. Let, ne Te. den LE
PERRIER (Remy) et FISCHER
(HENRI). — Sur le mouvement dé
l’eau dans la cavité palléale et sur la
structure de la branchie chez les
Buena ere Dati be rie
— Sur quelques points particuliers de
l'anatomie des Mollusques du genre
PACERO RES rente do sera CL
PERRILLIAT et MAGNAN. —Sur un
monstre humain acéphale.........
PERRONCITO (Arno). — Une partie
du prix Lallemand (Physiologie)
Hiunestiatiriuée. Hero
— Un prix Montyon (Médecine et Chir-
rurgie) lui est décerné............
PERROT (F. Lours) et BAUME (G£or-
\ GEs). — Courbes de fusibilité des
mélanges gazeux; combinaisons de
l’oxyde de méthyle et de l’alcool
méthylique avec le gaz ammoniac..
PETER a collaboré à un Ouvrage auquel
une partie du prix Bellion (Médecine
et Chirurgie) est attribuée ........
PETTIT (A.) et LAVERAN (A.). — Sur
. une épizootie des truites..........
— Sur une hémogrégarine nouvelle de
. Damonia subtrijuga Schlegel......
— Sur les formes de multiplication
endogène de Hæmogregarina Sebai.
PETOT (A.).— Suy les moteurs désaxés.
PEYRON et ALEZAIS.— Sur les phéno-
nomènes nucléaires de la sécrétion
dans le lobe glandulaire de l’hÿpo-
physe humaïne........... Tree
PHILIPPE (L-I.). — Sur les acides
1263
163
1252
35
1190
1193
119
1236 |
102
528
1238
Pages,
9
421
1017
18
805
9
2
ESS
MM.
PICARD (Azrrep) présente à l’Acadé-
mie un Volume intitulé : « Commis-
sion des Inondations. Rapports et
documents divers, 1910 ».........
— Rapport sur le concours du prix Ca-
PICARD (Emire) donne lecture du
discours qu'il a prononcé aux ob-
sèques de M. Maurice Lepy..,.....
— Sur une équation fonctionnelle sin-
gulière du type de l'équation de
FPOUROIMRR Re Pen etre
— Est élu membre de la Commission
administrative pour I9I1.........
— Rapport sur le concours du prix
Francœur (Géométrie). ,..........
— M. le Président annonce la mort de
M. Schiaparelli, Associé étranger...
— M. le Président annonce la mort de
M. Eugène Rouché, Membre libre de
PACA PR cree Nantes
— M.le Présidentannonce àl’Académiele
décès de M. Treub, Correspondant de
la Section de Botanique, et lit une
Note biographique communiquée
par Mo nGuignard AV 14 APN
— M. le Président annonce à l’Académie
le décès de M. Ernest von Leyden,
Correspondant de la Section de
Médecine, et lit une Note biogra-
phique communiquée par M. Bou-
— M. le Président annonce la mort de
M. Gernez, Membre de la Section de
Physique, et prononce l'éloge du
— M. le Président annonce la mort de
M. Tannery,Membre libre de l’Acadé-
mie, et prononce l'éloge du défunt.
— M.le Président annonce à l’Académie
que les séances des lundis 26 dé-
cembre 1910 et 2 janvier 1911, jours
fériés, sont renvoyées aux mardi
27 décembre et mardi 3 janvier...
— M.le Président souhaïte la bienvenue à
S. E. M. Isvolski, Ambassadeur de
PIEDALLU (Anpré). — Sur une nou-
velle moisissure du tannage à
l'huile, le Monascus olei..........
PIERRON (P.).— Mode de préparation
des acylguanidines aromatiques...
627
628
741
845
R099
1323
397
1364
1464 TABLE DES AUTEURS.
MM. Pages. | MM. a
PLATRIER (Cu.). soumet au juge- techniques... 7.204 ENÉCECNE
ment de l’Académie un Mémoire
intitulé : « Un problème de Méca-
nique rationnelle et son application
à la théorie des hélices propulsives. »
POINCARÉ (H.) est élu membre de
la Commission chargée de présenter
une liste de candidats à la place
d’Associé étranger, vacante par le
décès de M. Schiaparelli..........
— Fait hommage à l'Académie del’« An-
nuaire du Bureau des Longitudes
DOUÉ TOI L DL te Mae RME
— Fait connaître à l’Académie ‘que
l'Observatoire de Paris et le poste
central de la télégraphie sans fil de
la tour Eïffel ont commencé le
21 novembre l’envoi de l'heure à
dématins es st none ci
— Est désigné pour faire partie, pen-
dant l’année 1910-1911, du Conseil
de perfectionnement de | École Poly-
QUÉNISSET (F.), ANTONIADI (E.-M.}
ct BALDET (F.). — Sur l’occulta-
tion de n Gémeaux par la planète
RADAIS et SARTORY. — Sur l’immu-
nisation du lapin contre le poison
des Amanites à phalline.....,...,
RADAU.— Rapport sur le concours du
prix Lalande (Astronomie).......
RAMSAY (Sir Wizzram) et GRAY (Ro-
Bert WuayzrLaAw).— La densité de
l’'émanation du radium.......,.4..
RANC (Aiserr), BIERRY Hi
et HENRI (Vicror). — Action des
rayons ultraviolets sur certains
hydrates de carbone... :.. 4. se
RAOULT est présenté en première ligne
à M. le Ministre de l'Instruction
publique pour une place d'essayeur
à l'Administration des Monnaies. ,
RATEAU est présenté en troisième
ligne comme candidat à la place va-
cante, dans la Section de Mécanique,
par le décès de M, Maurice Levy...
- comète Cerulli-Faye, faite à l’équa-
torial de la tour de l'Est......... |
187 | POUGNET (JEAN) adresse un Nééadire
intitulé « Action des rayons ultra-
violets sur les plantes à coumarine et
quelques plantes dont l’odeur pro-
vient de glucosides dédoublables »..
793|— Action des rayons ultraviolets sur
les plantes à coumarine et quelques
plantes dont l’odeur provient de
847 glucosides dédoublés.............
PRINGSHEIM. (E.). — Sur l'émission
des ma7.: ur AA RER EAN
PROSZYNSKI(G. DE). — Application du
gyroscope et de l’air comprimé à la
prise des vues cinématographiques.
911 | PUISEUX (P.). — Sur la genèse des
cirques et le tracé anguleux des cre-
vasses -lunaires. ion ere és
Q
VÉNUS: 2 NP SUR ER RTE
QUIDOR ({(A.). — Sur l’évolution et les
affinités des Philichthydæ........
R
RAVIT est présenté en deuxième ligne
à M. le Ministre de l'Instruction
156 publique pour une place d’essayeur
à l'Administration des Monnaies. .
1187 | REBATTU et TEISSIER (J.).— Sur le
phénomène de la glycosurie phlori-
zique envisagée comme signe d’in-
126 suflisance fonctionnelle du foie et
accessoirement sur l'influence de
l'injection sous-cutanée de glyco-
gène comme source de glycosurie
316 passagero 1. Rien OCTO RE
REBOUL (G.). — Réactions chimiques
etiomsatiantié LR CESR érn
RECKLINGHAUSEN(Max er ITENRI
365 (Vicror) et HELBRONNER (A).
— Nouvelles recherches sur la
stérilisation de grandes quantités
d’eau par les rayons ultraviolets..
1014 | REGNIER (G.) et GUILLEMARD (H.).
git
POPOVICI (G.). — Observation de la
ROIS
536
566
302
1342
133
366
834
365
677
TABLE DES AUTEURS.
MM.
— Observations de calorimétrie
animale faites au mont Blanc.:...
REPELIN (J.). — Composition des
divers termes de l’Aquitanien dans
ls Baradaii pool on ce ous
RESAL (JEAN) est présenté en troi-
sième ligne comme candidat à la
place vacante, dans la Section de
Mécanique, par le décès de M. Mau-
DUPONT ARNO TEL TELUS
RETTERER(Ep.)et LELIEVRE(Auc.).
— Origine épithéliate et développe-
ment des plaques de Peyer des
OSCAR Dent cet enterrée
REVERDIN (Frépéric) et LUC (Ar-
MAND DE), — Nitration comparative
de quelques amines aromatiques
mono- et diacylées ...,.,...,...,
A REVOUTSKY (Mie E,) et VER-
NADSKY (W.).— Sur la distinction
chimique entre l’orthose et le mi-
CLOCiN ES Er nr dise e
RINGELMANN. — Essais sur le ren-
dement en jus des pressoirs........
ROBIN (F.). — Loi de résistance à
l'écrasement de corps cylindriques
en fonction de leurs dimensions. ...
— Variations de la résistance à l’écra-
sement des aciers en fonction de
la température. Relation entre les
propriétés statiques et dynamiques
HÉSNACIO A esp e Œre rt
ROBINSON (R.). — Les vaisseaux de
de la fourche du nerf médian (con-
tribution à l’étude de la dextérité
manuelle de l'Homme)
— Contribution à l'étude de la circula-
tion veineuse dans les membres
inférieurs
RODER et BALENSI. — Une partie du
prix Félix Rivot leur est attribuée.
ROGER (E.) et DUCRETET (F.). —
Appareil pour la réception de l'heure
à domicile et à bord des navires pour
. la télégraphie sans fil
ROSENSTIEHL. — Des couleurs de
même intensité de coloration et des
vrais camaïeux
ROSER est présenté à M. le Ministre de
l’Instruction publique pour une
| place d’essayeur à l'Administration
r | des Monnaies m
ROST (H.) et DARZENS (G.). — Syn-
thèse de cétones dans la série tétra-
ss
oser sss
ss ss.
MM.
_ hydroaromatique....... Der sons
ROUBAUD (E.).— Bembex chasseur de
Glossines au Dahomey...........
— Evolution de l'instinct chez les Ves-
pides; aperçus biologiques sur les
Guêpes sociales d'Afrique du genre
Belonogasier Sauss..,..,,4,.,.,..,,.4
Influence des réactions physiolo-
giques des Glossines sur le dévelop-
pement salivaire et la virulence des
trypanosomes pathogènes........
Évolution et histoire de Roubaudia
rufescens Villen. Tachinaire para-
site des Guëpes sociales d'Afrique,
des genres Icaria et Belonogaster...
Précisions relatives aux phénomènes
morphologiques du développement
des trypanosomes chez les Glossines.
ROUBAUD, MARTIN (G.) et LEBŒUF
— Un prix Montyon (Médecine et
Chirurgie) leur est décerné
ROUCH. — Observations d'électricité
atmosphérique faites à l’île Peter-
mann pendant le séjour de l’expé-
diionRCharc ot ET ent
ROUCHÉ (Eucène). — Sa mort est
annoncée à l’Académie
ROULE est présenté en première ligne
à M. le Ministre de l’Instruction
publique pour la chaire de Zoo-
logie (Reptiles et Poissons) du
Muséum d'Histoire naturelle
ROUSSEL (Joserx). — Sur l'existence
de trois horizons de phosphate tri-
calcique en Algérie et en Tunisie...
— Sur le mode de formation du phos-
phate tricalcique d’Algérie et de
Tunisie en RO 0rvehre Fo cs
ROUX est élu membre de la Commis-
sion chargée de présenter une liste
de candidats à la place d’Associé
étranger, vacante par le décès de
M. Schiaparelli
— Rapports sur les concours : du prix
Montyon (Médecine et Chirurgie)...
— Du prix Bréant (Médecine et Chirur-
MO) RE ce PS SN nn ee HS tite
— Du prix Bellion (Médecine et Chi-
rurgie) .
ROUX (E.), MONIER (F.) et CHESNEY
(F.). — Une partie du prix Saintour
leur est attribuée.......... none
ROZET (Cz.) et AMANN. — Eclipse
totale de Lune du 16 novembre 1910
Pages.
596
071
1014
457
985
ss...
ss...
710
535
831
1277
sms.
53
96
sr
365
1465
Pages.
758
553
729
956
1156
36
556
Goo
795
1228
1233
1238
1265
Ne.
observée à Aoste (Italie)..........
RUCK. — Une partie du prix Lanne-
- longue lui est attribuée. ..........
RUFZ pe LAVISON (JEAN DE), — Du
rôle électif de la racine dans l’ab-
sorption des sels". #20...
RUSSO (Px.) adresse un Mémoire inti-
Pages.
1104
1259
TABLE DES AUTEURS.
MM.
sur l’action de quelques sels sur le
- pouvoir digestif de la pepe et de
la ‘papaïne 290. mr M
-|RUSSYAN (C.) adresse deux Notes inti-
- 675
tulé : « Étude a Ge à sl
tulées : « Quelques propriétés du
système d'équations différentielles
ordinaires canoniques généralisées». -
x
SABATIER As. — Sa mort est
annoncée à l'Académie. ..........
SABATIER (Pavur). — Sur un procédé
pour faire réagir ete corps dans
l'arc'elotinqué 2... mere
SABATIER {(Pauz) et MAILHE (A.).—
Préparation catalytique des oxydes
mixtes des alcools et des phénols..
— Préparation catalytique des oxydes
phénoliques et Vaydee Hphényi
ques...,...,......sssssssssseus
SAINMONT (G.) ‘et: WINIWARTER
(Hans von). — Une mention très
honorable leur est accordée dans le
* concours du prix DURS (Médecine
ot CHU) nn 4eme t ee aies
SAINTE-LAGUË (A). — La représen-
tation proportionnelle et la PAGESORE
des moindres carrés. .....,..::... 5
SALIN (EL), LANDOUZY (L.) et GOU:
GEROT (H.).— Arthrites séreuses
bacillaires expérimentales... ... se
SALLES (Enouarp). — Sur la diffusion
TOFIORNPAZEUR LU cer poases
— Erratarelatifs à cette Communication.
SALMON ({ E.-A.). — Sur un procédé
pour pre réagir deux corps dans
D'ARC ÉRECITIQUE 5 sun cet se rente
SARTORY et FROIS. — Une partie du
prix Bellion (Médecine et Chirurgie)
leut ‘est attribuéés..::725.t 0...
SARTORY et RADAIS. — Sur l'im-
munisation du lapin contre le poison
des Amanites à phalline ...:......
SAUSSURE (R. p£). — Au sujet d’une
réclamation de priorité de M. C.
DIN Se a 0 ve DA RESTE
SAUTON. (B.). — Influence du fer sur
la formation des spores......,..7,
SCAL (Cr.), FEIGE (A.) et URBAIN.—
Stérilisation des grandes masses
d’eau par l’ultraviolet. ..,.,.,...,
1332
1328
359
192
1235
SÉGUIER.— Errata relatifs à une Com-
. munication du 7 mars 1910: inti-
tulée : « Sur le groupe symétrique
et le groupe alterné ».....,.:,.:2.%
SCHAUMASSE. — Observations de la
* comète Metcalf faites à l'Observa-
toire de Nice avec l’équatorial
coudé de 0,40 d’ouverture..... Le.
SCHIAPARELLI. — Sa mort est
annoncée à l’Académie: :::.:.....
SCHŒN (M.) et FERNBACH (A.). —
De l'influence que la réaction exerce
sur certaines propriétés des macé-
rations do nralt.: 17.22.1200
SCHLŒSING (Tu. fils). — Sur la pro-
duction de la nicotine par la culture
AU FADACE NERO ER En
SCHOKALSKY (Jures DE). — Carte
de Russie d'Europe à 5 ......
{SCHULHOF. — Remarques sur les iné-
galités de la longitude de la Lune. : -
SCHUSTER (Juzrus). — De l’âge géo-
= logique du Pithécanthrope et de la
période pluviale à Java.......:...
SCHWŒRER (E.) soumet au juge-
ment de l’Académie un Mémoire
intitulé : « Les phénomènes ther-
miques de l’atmosphère »........
SEBERT. — Rapport sur le concours
du prix Montyon (Mécanique) Soc
SÉE (Azexanpre) communique une
Note relative à une formule
sur la poussée des hélices aériennes.
SEGONZAC {(pE).— Le prix Delalande-
Guérineau (Géographie) lui est
décerné :...,.,., A Mr cc
SENDERENS (J.-B.). — Réactions
catalytiques par voie humide fon-
dées sur l’ Emploi du sulfate d’alu-
— Préparation de l’acroléine...,...,...
SERBIN (E.) et TCHOUGAEFF (L.). —
Pages.
536
462
176
1182
174
1198
TABLE DES AUTEURS.
MM.
. Sur des sels complexes de certains
AMANOPACILES SL Lee de a demie s
SERGENT (Epmonp et ETIENNE). —
Sur l’immunité dans le paludisme des
Oiseaux. Conservation in vitro des
sporozoïtes de Plasmodium relictum.
Immunité relative obtenue par ino-
culation de ces sporozoïtes........
SERVANT (Maurice): — Sur les trans-
formations des surfaces applicables
sur les surfaces du second degré...
— Sur les transformations des surfaces
applicables sur des surfaces du
SeCOn AE nO o sillesd dolrure-s
SEYEWETZ et LUMIÈRE (A. et L.). .
— Action des quinones et de leurs
dérivés sulfoniques sur les images
photographiques aux sels d'argent.
SIZES (Garnier) et MASSOL (G.). —
Sur les harmoniques des instruments
Atube-en CUIVrES. . 4 .e + ne » à 0e LS
— Comment vibre un diapason. Vibra-
HONSALOUTRANRTES PER eee
SKRZYNSKI (Z.). — Contribution
à l'étude du sérodiagnostic myco-
sique
SOLLAUD (E.). — Sur les aflinités
réelles des genres Urocaris (Simp-
son) et Palæmonella (Dana) et con-
sidérations sur l’évolution des Cre-
vettes de la famille des Pontoniidés.
SOTTAS et ANTHIAUME.— Un encou-.
ragement leur est attribué dans le
concours du prix Binoux (Histoire
des Sciences)..... He de da ee
STAUB (A.) et JOUAN (C.). — Pré-
sence de l’alexine hémolytique et
bactéricide dans le plasma des
OSCAR PE Du D eee coaie
STEFANOWSKA (Mile). — Le prix
bis elalalote eloteltols yo vlerelefole.sie s-eisi =
TAFFANEL (J.). — Sur les explosifs
de sûreté employés dans les mines.
— Le prix Montyon (Arts insalubres)
lunes bidécerné 25e, 7 tt eee er
_— Une médaille Berthelot lui est décer-.
TRUSTe Ne OS DOS DO DE AN TN CE
TANAKADATÉ{(A.).— Étude photogra-
phique du courant d’air produit par
le mouvement d’une hélice........
Pages.| MM. j
(annuel) Mège (Médecine et. Chi-
1901 rurgie) lui est décerné....... RD
STEKLOFF (W.). — Sur le développe-
ment d’une fonction arbitraire en
séries de fonctions fondamentales.
— Une application nouvelle de ma
méthode de développement des
fonctions fondamentales. ........ :
— Sur la condition de fermeture des
systèmes de fonctions orthogonales.
STEVERLINCK (Paur) adresse un
Mémoire intitulé « Les phénomènes
ACTARN AOL DER ASE PE Ce
STŒCKLIN (E. px) et WOLEF (J.). —
Sur les earactères peroxydasiques
de l’oxyhémoglobine .....,...,...
STORMER (Carr). — Théorèmes sur
les équations générales du mouve-
ment d’un corpuseule dans un
champ magnétique et un champ
électrique superposés ...........,.
— Formes canoniques des équations
générales du mouvement d’un cor-
puscule dans un champ magnétique
et un champ électrique superposés,
— Erratarelatifs à cette Communication.
— Sur la situation de la zone de fré-
quence maximum des aurores bo-
réales d’après la théorie corpus-
culaire :
— Errata relatifs à une Communication
du 13 juin 1910 intitulée : « Photo-
graphies des aurores boréales »....
STUDY (E.). — Sur la « Géométrie. des
* feuillets » de MM. R. de Saussure
CM ART IIS re To SEA
SZRETER. — Sur l'oxydation de l’oxy-
hémoglobine pure par l’eau oxygé-
MÉBIPULOME A en ete clones pletels eee Ê
1158
1258
452
T
TANNERY (J.) fait hommage à l’Aca-
873 démie de la seconde édition de son
« Introduction à la Théorie des
1211 fonctions d’une variable »..,.....
— Rapport sur le concours du prix
1258 Montyon (Statistique). ...........
— Sa mort est annoncée à l’Académie.
TANRET (C:.). — Sur les relations de
211 la Callose avec la fongose...,...,..
462
483
.538
197
07
+ Etd'e
1468
MM.
TASSILLY (E.) et. CAMBIER (R.). —
Action abiotique des rayons ultra-
violets d’origine chimique ........
TAURELLI SALIMBENI (A.).
prix Bréant (Médecine et Chirurgie)
linniest décerné. 1 Reese
“TCHOUGAEFF (L.) et FOMIN (W.).—
L‘hydrogénation des thuiènes iso-
mères et du sabinène. Le thuiane..
TCHOUGAEFF (L.) et SERBIN (E.).—
‘ Sur des sels complexes de certains
Steele (1 LS NOR I TE
TEISSERENC DE BORT (Léon) prie
l’Académie de le compter parmi
les candidats au Siège d’Académi-
cien libre vacant par le décès de
MES ROUChE Eee ment ,
— Est présenté en première ligne pour
la place d'Académicien libre, va-
cante par suite du décès de M. E. :
FETE NEA PM M Ar Er
— Est élu membre de la Section des
Académiciens libres en remplace-
mont de:M. Foucher...
TEISSIER (J.) et REBATTU. — Sur
le phénomène de la glycosurie phlo-
rizique . envisagée comme signe
d'insuffisance fonctionnelle du foie
et accessoirement sur l'influence de
l'injection sous-cutanée de glyco-
gène comme source de BINEganrIs |
DASRAPONOE ST ua DE er ce
THIROUX (A.). — Une partie du prix
Barbier (Médecine et Chirurgie) lui
CHÉIALEN DUO ETS 0 ee da Career pue
THOMAS (Anpné) et DÉJERINE (J.).
_— Un prix Montyon (Médecine et
URBAIN (G.) et DE LAUNAY (L.) —
Sur la métallogénie des blendes et
des minéraux qui en dérivent.....
VAILLANT (Louis). — Une partie du
prix Tehihatchef (Géographie) lui
MA ATMDUOR, nn aps rite
VAN DEN BROECK (Ernest) et
MARTEL (E.-A.). — Sur les con-
Pages
342
663
842
JABLE DES AUTEURS.
[MM |
Chirurgie) leur est décerné......,.
THOVERT (J.). — Photométrie et uti-
lisation des sources colorées... .... |
TIAN (A.). — Sur l’action des rayons .
ultraviolets sur la gélatine. .......
— Sur la nature de la décomposition de
l’eau oxygénée produite par la lu-
mière .
TISSERAND (E.) prie l’Académie de
CR
le comprendre au nombre des can-
didats à la place d’Académicien
libre, vacante par le décès de M. J.
Tanner.
TOMMASINA (Tu.) adresse une Note
intitulée :
du train d’ondes aux lois du rayon
élémentaire D 7 rate
TOURPAIAN (M.) et JAQUEROD (A.).
— Application du principe d’Archi-
mède à la détermination exacte des
densités gazeuses. .:.............
mms
.[ TREUB. — Sa mort est annoncée à
847
110
1190
L'ACAdéM IE. 2e ce en ET
TROOST.— Rapport sur le concours du
prix Cahours (Chimie)..........:.. N
TROUESSART (E.-L.). — Sur la faune
des Mammifères d’'Europe........
TRUC (H.) et FLEIG (C.).— De l’action
oculaire expérimentale des pous-
sières de routes goudronnées....... |
— Erratarelatifs à cette Communication.
— De l’action oculaire expérimentale
et clinique des poussières et va-
Pours do, DIU rer rer
— Erratarelatifs à cette Communication
TZITZEICA (G.). — Sur un théorème
de MSDrbouS TE TER RE
U
URBAIN, SCAL (Cz.) et FEIGE (A.).
— Stérilisation des grandes masses
d’eau par l’ultraviolet............
ditions de filtrage efficace des eaux
souterraines dans certaines forma-
Cons CUIR FER LT. cu mn
VANDERNOTTE. — Sur la brookite
d’une syénite albitique des environs
« Irréductibilité des lois
1347
1028
350
666
627
I211
648
593
662
769
966
97
770
TABLE DES AUTEURS,
MM.
GE DS EC ES ET RP
VAN LINT. — Un partie du prix
* Bellion (Médecine ét Chirurgie) lui
est attribuée......... ÉLUS ENOU
VAN TIEGHEM (Px.) est élu membre
de la Commission chargée de pré-
senter une liste de candidats au
poste d’Associé étranger, vacant par
le décès de M. Robert Koch........
—— Est élu mémbre de la Commission
chargée de présenter une liste de
candidats à la place d’Associé
étranger, vacante par le décès de
PS CG DArelL, es +2
— Rapports sur les concours : du prix
Bordin (Sciences physiques)......
— Du prix Binoux (Histoire des
SCORE) ati ne Data toys sa e eris
— Des subventions du fonds Bona-
D ee mn ee Mur ON. Das
— M. le Secrétaire perpétuel donne lecture
*’ d’une lettre de M. À. Lacroix, fai-
sant hommage à l’Académie de la
première Partie du Tome IX et der-
nier de sa « Minéralogie de la France
et de ses colonies ».........,.....
— M. le Secrétaire perpétuel annonce
le décès de M. Armand Sabatier,
Correspondant de l’Académie pour
. la Section d’Anatomie et Zoolo-
DIE Ne ie ets aie leineccie
— M. ie Secrétaire perpétuel signale, par-
mi les pièces imprimées de la Cor-
respondance, des Ouvrages de M. B,
Mayor, de M. Stanislas Meunier et de
M. Sven Hedin, 133. — « Rapport
présenté à la Commission des do-
maines de l’État Égyptien, au sujet
des expériences relatives à l’in-
Îluence de la nappe souterraine sur
les cultures du coton », par M. Au-
debeau Bey, 288. — Un Ouvrage
anglais de MM. J. Arthur Thomson
et J.-J. Simpson, 510— «Le XXII
Bulletin » de la Société d'Histoire
naturelle d'Autun; la « Carte géo-
logique de Victoria » du départe-
ment of Mines de Melbourne, 523. —
Un Ouvrage édité en souvenir des
fêtes jubilaires de l'Université ca-
tholique de Louvain, 539. — Di-
vers Ouvrages de la Commission géo-
logique suisse; de MM. Ph. Daut-
_zenberg, Albert Colson, H, Guille-
CR;
1910, 2° Semestre. (T. 1514)
Pages.
151
1238
35
793
1219
1258
1277
463
1332
MM.
minot, V. Galippe, Henriot, 709. —
Divers Ouvrages de M. Woldemar
Voigt et de M. Arthur Korn, 794. —
Divers Ouvrages de Mme P. Curie,
de MM. Paul Montel, J. Grasset,
A.-L. de Almada Negreiros, Jean
Escdrd; une série de publications
relatives au « XIe Congrès interna-
tional de Géologie », à Stockholm,
912. — Divers Ouvrages de M. Jean
Brunhes et de M. Robert von Len-
denfeld, 1028. — Divers Ouvrages
ou Publications de MM. Jean Mas-
cart, Léo Errera, Alfred Angot, José
N. Rovirosa, Marius Dallont, L.
Vialleton, Georges Hervé; de l’Ins-
titut international d'Agriculture et
du Service géographique de l’ D
1333.
VELAIN (Cx.) et MICHEL-LÉVY (Az-
BERT). — Les terrains primaires du
SOCIC CNE RONA
VERBECK (C.-D.). — Une partie du
prix Tchihatchef (Géographie) lui
CSC ACPHDUOG Er rer eme
VERMOREL (V.) et DANTONY (E.).
— Des principes généraux qui doi-
vent présider à l'établissement des
formules insecticides .............
VERNADSKY (W.) et REVOUTSKY
(Me E.).— Sur la distinction chi-
mique entre l’orthose et le micro-
AT oi dia mana ip ve toi eur
VERNEUIL (A.).— Résumé du contenu
‘ de deux plis cachetés relatifs à la
reproduction artificielle du rubis
par un nouveau procédé de fu-
SION: se een ,
— Sur la nature des oxydes qui colorent
lesaphiroriental..2""........-.."
VIGNON (Léo). — Sur l’adsorption de
certaines matières colorantes......
— Influence de l’affinité chimique dans
certains phénomènes dits d’adsorp-
ÉLOTa Te cer en irc F Se
VIGUIER (C.).— Maturité très précoce
d’une larve de Spionide...,...... x
VILLARD (P.).— Rapports sur les con-
cours : du prix Hughes (Physique).
— Du prix Kastner-Boursault (Phy-
sique)..
VILLARD æ) et ABRAHAM (H.). —
Sur l'existence de deux potentiels
explosifs; réponse à une Note récente .
194
1469
Pages,
1080
1190
1144
1372
II
1063
70
673
104
1202
1204
an de 2"
r =
*
1470
MM:
— Sur les potentiels explosifs. ........
VILLAT (H.) adresse une Note inti-.
tulée : « Sur la résistance des fluides .
et la sustentation des aéroplanes ». .
— Sur la résistance des fluides limités
par une paroi fixe indéfinie.......
— Sur les mouvements d’un fluide
autour d'un obstacle de. forme
donnée. ...... APE TE PL ,
VILLEY (Jean). — Sur un micromano- .
mètre électrométrique............
— Sur la mesure des déplacements très
petits au moyen de l’électromètre..
VILMORIN (Pniripre DE). — Re-
cherches sur l’hérédité mendé-
VINET (E.) et MOREAU {L.). —
L’arséniate de plomb en viticulture
et la consommation des raisins frais
CPITESITANSIMS BBC. à à ete te cms due
— Sur les traitements insecticides en
aitieultner. Pacte 2
VIOLLE est élu membre d’une Com-
mission qui devra présenter une liste
. decandidats à la place d'Académicien
WEILL ‘(Emire-P.). — Une mention
lui est accordée dans le concours du
prix Montyon (Médecine et Chi-
at A tn ANPMNARR
WEILL (Henri) et AUDIBERT. —
° Une partie du prix Félix Rivot lui
CA DALEFID EC Me se Une ane ae doc e à
WEISWEILLER (G.) et BERTRAND
(GaBrteL). — Recherches sur la
cohstitüution du vicianose : hydro-
1ys6 diastasique. .......,........
—Sur la constitution du vicianose et de
7" TE VOISINS LAN Ne ee ue = 2 don Vos
WERTENSTEIN (Louis). — Sur les
projections radioactives..,.......
WHYTLAW GRAY (Rogerr) et
RAMSAY (Sim Wiczram). — La
; densité dé l’émanation du radin.
WINIWARTER (Hans von) ét SAIN-
MONT (G.). — Une mention très
honorable leur est accordée dans le
concours du prix Godard (Médecine
de M. Amaduzzi....... Fe ne
1147
_1068
1228 |
1276 |
MM.
libre, vacante par le décès de M. E.
269 Foubhé: see 00 0e ee et -
— Rapports sur les concours : du prix.
Victor Raulin (Physique) tr Ce)
557|— Du prix Wilde .......:.... ÉTÉ Tel
VIOLETTE (H), LACOUR (E) et
FLORIAN (Cu). — Lunette de
petit, calibre, 2-9 -0p- ces
mucilages des Algues d’eau douce. .
VOISENET (E.).— Nouvelles recherches
acrylique de la glycérine..........
tion d’acroléine dans la maladie de
l’amertume des vins . ............
VUILLEMIN (Pau). — Sur une en-
trave naturelle à la maladie des
VULQUIN (E.) et FERNBACH (A.).
— Sur le pouvoir microbicide des
macérations de levure et des macé-
rations de céréales,.......,.....
et Chipdtgié). 2 .mmabe ere eee à À
WINTER (J.). — De la quantité de
sécrétion contenue dans un liquide
gastrique donné, . 2" MEHR Ue
démie de son Ouvrage : « Dernière
WOLFF donne lecture d’une Notice
Schiaparelli, Directeur de l’'Obser-
32 | vatoire de Milan, Membre de
CR
884
WOLFF (J.) et STŒCKLIN (E. pe).
469
de l’oxyhémoglobine..............
WOLK (Darry). — Sur l’azoturé d’alu-
126. minium, $a préparation et sa fu-
WROCZYNSKI (A. et BRINER (E).
pérature sur le cyanogëne, .......:
VIRIEUX (J.). — Sur les gaines et les |
_— Errata relatifs à une Communication
du 13 juin 1910 intitulée. : (Forma-
CRÉNES TS RU ee RETIRE CR x
WITZ (Aimé) fait hommage à l'A 6 :
évolution du moteur à gaz »....... !
nécrologique sur Giopanni-Virginio
PCI au titre d’Associé étran-..
— Sur les caractères peroxydasiques
— Action de la pression et de la tem-
pointage pour pièces marines | de :
sur les vins amers et la fermentation
”,529
647
© 656
TABLE DES AUTEURS.
Z | £
MM. A ire cu Pages. | MM: 5 Pages.
__ ZBEILLER (R.) fait hommage, au nom en marche, en se basant sur les
Es: de M. le D' Julius Schuster, de trois essais au point fixe »............. 787
p- brochures de Paléontologie végétale. 746| ZORETTI (L.). — Sur la notion de
._ ZIEMBINSKI ({S.) adresse une Note ÉTÉ T SRE AN TR RE ue ve 20
<_OE _ intitulée : « De la possibilité de dé- — Sur les équations du mouvement
= terminer les conditions de fonc- d’un fluide visqueux.........2"713/0
“Dr tionnement des hélices propulsives _ | à
ARR RARE RNA EE LUPENNE AE SOICEN MEME LÉ MANN OL PS MANU MÉALETVe SO TRE
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