Qui est-ce ?

Qui suis-je ?
Je vis très souvent proche des humains. La forme de mes fruits ressemble à un cœur. Je ne mesure pas plus de 40 cm. On peut même manger mes feuilles en salade ou les faire infuser en cas d’hémorragie ou de diarrhée.

1. Bourse de Judas
2. Corbeille d’argent
3. Capselle Bourse-à-Pasteur

Qui suis-je ?
Je vis très proche des espaces cultivés. Mes fleurs blanches sont en forme de petits bâtonnets. Je ne mesure pas plus de 20 cm. Et pour mes feuilles, vous pouvez les consommer en salade !

1. Cardamine hérissée
2. Passerage de Virginie
3. Céraiste des fontaines

Qui suis-je ?
J’appartiens à la famille du chou, du radis, du navet et de la moutarde. je vis dans des endroits ombragés, sous les arbres et arbustes des parcs urbains par exemple. Je mesure entre 30 et 80 cm. Mes fleurs sont blanches. On peut consommer mes jeunes feuilles en salades pour mon goût aillé.

1. Sabline à feuilles de serpolet
2. Diplotaxis fausse roquette
3. Alliaire officinale

Qui suis-je ?
Je vis dans les lisères, aux bords de chemins forestiers, le long des haies et des pelouses. Je tire mon nom de mes tiges. On me retrouve également dans les parcs et jardins urbains. Mes feuilles ont un peu de pilosité et sont arrondies et dentées. Mes fleurs sont violettes avec de petites tâches. Je peux être utilisée en tisane contre la toux et les congestions nasales.

1. Lamier pourpre
2. Lierre terrestre
3. Véronique de Perse

Qui suis-je ?
Je suis d’origine méditerranéenne et je vis également sur un sol calcaire. j’aime les champs, les jardins, les friches ou encore les haies. Je mesure entre 30 et 80 cm. Mes fleurs sont composées de quatre pétales jaunes. On peut me consommer cuite, m’utiliser en huile pour traiter les cheveux cassants ou en cataplasme contre les bronchites et les angines.

1. Moutarde des champs
2. Fenouil commun
3. Panais cultivé

Qui suis-je ?
Je vis sur les pelouses, les rocailles et sur les bords de chemin. Je mesure jusqu’à 70 cm. Ma fleur est bombée et se compose de 5 pétales blancs. On me surnomme le pétard. On peut même me consommer, le goût de mes feuilles rappelle celui du petit pois.

1. Stellaire intermédiaire
2. Silène enflé
3. Mélilot blanc

Qui suis-je ?
J’aime les champs, les jardins, les bords de chemins et les berges de rivières.
Je mesure 30 à 50 cm. Mes fleurs sont de couleur rose-violet. On peut m’utiliser pour apaiser les inflammations et les irritations des muqueuses, et notamment celles des voies respiratoires.

1. Violette odorante
2. Gléchome lierre terrestre
3. Mauve sylvestre

Qui suis-je ?
Je suis très commune aux pieds des haies, sur les bords de chemins et dans les fissures des murs. J’ai des fleurs jaunes à 4 pétales très fragiles et mes fruits sont en forme de mini-haricots bosselés. Mon latex jaune a la réputation de faire disparaître les verrues.

1. Renoncule rampante
2. Grande chélidoine
3. Onagre bisannuelle

Qui suis-je ?
Je vis dans les décombres, les friches et le long des haies et des murs. je peux mesurer jusqu’à 1 m. de hauteur. mes fleurs sont bicolores et mes feuilles sont vert clair. Mon nom viendrait du fait que le jus de la plante fait pleurer, comme la fumée.

1. Trèfle rampant
2. Fumeterre grimpante
3. Mélilot blanc

Qui suis-je ?
Je vis aux bords des chemins, des haies et des friches, non loin des grandes orties. je peux mesurer jusqu’à 60 cm de hauteur. Mes fleurs sont blanches et mes feuilles sont en forme de coeur. Je peux être consommé en salade ou cuit comme les épinards. Je peux être utilisé en infusion pour soigner certaines maladies du système respiratoire. je peux également enrayer les hémorragies. On m’appelle aussi l’ortie blanche.

1. Mélilot blanc
2. Silène enflé
3. Lamier blanc

Qui suis-je ?
Assez petite, je pousse en touffes étalées. Ma tige est rougeâtre et ramifiée. Je ne fleuris qu’en avril, je suis visible sur les vieux murs bien exposés. Mes feuilles ovales et pointues sont très reconnaissables. Je suis de la même famille que l’ortie.

1. Plantain lanceolé
2. Oxalis corniculé
3. Pariétaire de Judée

Qui suis-je ?
Je suis une plante de la famille des Astéracées. Je possède une souche vivace épaisse. Mes fleurs ligulées sont jaunes. Je fais partie de ces plantes appelées les salades sauvages en raison de mes feuilles tendres que l’ont peut consommer.

1. Grande chélidoine
2. Pâquerette
3. Pissenlit

Qui suis-je ?
Je suis une plantaginaceae à fleurs violettes. Ma corolle est longue de 8 à 10 mm. et possède un éperon un peu courbé. On me retrouve sur de vieux murs et rochers humides, dans presque toute la France.

1. Véronique de Perse
2. Cymbalaire des murs
3. Anagallis arvensis

Qui suis-je ?
Je suis une petite plante grasse de couleur vert tendre, de moins de 40 cm. J’affectionne les vieux murs et rochers ombragés de l’ouest et du sud de la France. Mes feuilles sont très reconnaissables en raison d’un petit creux en leur centre. Elles peuvent être consommées crues en salade. Elles peuvent être utilisées pour calmer les brûlures. Mes inflorescences sont composées de petites clochettes blanches poussant en grappe le long de la tige.

1. Pourpier maraîcher
2. Orpin blanc
3. Ombilic Nombril-de-Vénus

Qui suis-je ?
Je suis une petite fougère aux feuilles – appelées frondes, à lobes courts, ovales, épais et de couleur verte à bleue grisâtre. On me retrouve sur les vieux murs et rochers dans presque toute la France et la Corse. On m’attribue des vertus curatives pour les maladies pulmonaires.

1. Asplenium cétérac
2. Asplenium capillaire
3. Asplenium rue-des-murailles

Qui suis-je ?
Je suis une petite plante qui pousse sur des sols riches en azote. On me trouve couramment dans les jardins et les friches. Mes fleurs jaunes sont d’un seul type, en tube. Je fleuris presque toute l’année. Attention je suis très toxique pour le foie. Certains animaux me consomment tout de même (lapins, oiseaux granivores).

1. Jacobée commune
2. Solidage géant
3. Séneçon commun

Qui suis-je ?
En ville, je suis présente sur les vieux murs et les surfaces caillouteuses. J’ai des feuilles charnues, longues et cylindriques, de couleur vert pâle à rougeâtre. Mes petites fleurs sont étoilées, regroupées au sommet d’une tige. Je ne suis pas du tout toxique : on peut consommer mes feuilles crues en salade ou cuites.

1. Ombilic Nombril-de-Vénus
2. Orpin blanc
3. Orpin âcre

Qui suis-je ?
Je suis une petite herbacée printanière aux feuilles glabres, luisantes et en forme de coeur. En ville, on me retrouve dans les pelouses ombragées et sous les haies. On peut utiliser mes feuilles en salade. J’ai des propriétés médicinales antitussives et je suis utile pour lutter contre les maladies de peau. Mes fleurs exhalent un parfum délicieux.

1. Liseron des haies
2. Fraisier de Duchesne
3. Violette odorante

Qui suis-je ?
Je suis une herbacée d’environ 70 cm de haut, aux propriétés antitussives et émollientes. Mes fleurs bleues inondent les jardins, décombres, et lieux cultivés un peu partout en France d’avril à septembre. Elles sont en forme d’étoiles tournées vers le sol. Elles ont un goût iodé rappelant l’huitre et sont parfois utilisées comme décoration culinaire. Je suis entièrement couverte de poils raides et piquants.

1. Lin cultivé
2. Bourrache officinale
3. Aphyllanthe de Montpellier

Qui suis-je ?
Je suis une plante qui possède des fleurs minuscules. Je suis présente partout en France métropolitaine. On me trouve couramment dans les jardins et les friches en ville. Mes feuilles forment une rosette de feuilles allongées. On les utilise pour soulager les piqûres d’insectes en les frottant sur la zone endolorie.

1. Plantain lancéolé
2. Rumex crépu
3. Pimprenelle mineure

Qui suis-je ?
Je suis une des plantes les plus communes des milieux urbains. Je suis une « salade sauvage » : on peut consommer mes jeunes feuilles en salade ou cuites. Bien que peu utilisée de nos jours, on me connaît des vertus thérapeutiques diurétiques. Mes fleurs sont des capitules jaunes. Je produis un lait poisseux lorsqu’on casse ma tige, et qui donne mon nom.

1. Matricaire suave
2. Chicorée amère
3. Laiteron maraîcher

Qui suis-je ?
Je suis une petite plante connue pour réguler les flux sanguins. Je supporte très bien le piétinement, on me retrouve donc beaucoup au pied des arbres, sur des parkings, ou dans des pelouses. Je possède de petites fleurs blanches et roses, très discrètes. Mes feuilles sont ovales, entières (non découpées). Les abeilles se régalent de mon nectar. Mes graines sont très appréciée des oiseaux, d’où mon nom.

1. Géranium découpé
2. Sorbier des oiseleurs
3. Renouée des oiseaux

Qui suis-je ?
Je suis une herbacée de 30 à 80 cm de haut. On me prête des vertus anti-inflammatoires et stimulantes. On peut utiliser mes fleurs et feuilles en cataplasmes contre les tumeurs et ulcères. Mes fleurs, très mellifères, peuvent être roses ou jaunes. Elles embellissent les vieux murs des villes et les voies ferrées. Elles sont en forme de bouche lippue, dans laquelle s’enfoncent les abeilles et bourdons pour butiner.

1. Linaire mineure
2. Muflier gueule-de-loup
3. Mélilot officinal

Qui suis-je ?
Je suis une herbacée de 15 à 50 cm de haut. Mes feuilles finement découpées pourraient faire penser que je suis de la famille de la carotte. Mais mes petites fleurs blanches sont regroupées en capitules regroupées en inflorescences plates : je suis une Astéracée. On utilise mes propriétés médicinales pour lutter contre les hémorragies. Mon nom fait référence à un héros de la mythologie grecque.

1. Achillée millefeuille
2. Ombilic nombril-de-Vénus
3. Pariétaire de Judée

Qui suis-je ?
Je suis une plante d’environ 50 cm de haut. Je possède de grandes feuilles veinées de blanc. Mon unique inflorescence, dressée, est en partie ornée d’une enveloppe protectrice (appelée spathe) blanchâtre. Cette organisation particulière permet d’attirer certains insectes, participant à la pollinisation. Mes baies rouges sont toxiques. On m’appelle aussi « pain de serpent ».

1. Houblon grimpant
2. Arum d’Italie
3. Bryone dioïque

Qui suis-je ?
Je suis une Astéracée à fleurs jaunes. En ville, on me retrouve au pied des murs et des talus. Je suis de grande taille, ma tige pouvant atteindre plus d’1,20 m. Mes feuilles d’un vert glauque sont couvertes d’épines sur la face inférieure du limbe sur la nervure principale. Lorsqu’on casse mes feuilles, s’écoule du latex, ce qui m’a valu mon nom de genre. Je suis l’ancêtre d’une plante cultivée que l’on mange crue.

1. Pissenlit
2. Pâquette
3. Laitue scariole