Plus de 130 applications différentes étaient utilisées par les centres de gestion (CDG) en 2017, dont seulement 15 par plus de 10 % d’entre eux. Une telle diversité est préjudiciable aux échanges d’informations et à l’homogénéisation de la qualité des services rendus aux collectivités sur le territoire. D’où la création, en janvier 2018, du groupement d’intérêt public (GIP) informatique dont l’objectif est de rationaliser le parc applicatif des centres de gestion.
Il s’agit de parvenir à une, à deux, voire à trois solutions maximum par typologie de mission. Il ne devrait ainsi rester qu’une trentaine ou une quarantaine d’applications à terme.
Fini l’obsolescence
« Au-delà de favoriser la convergence des applications et de remédier à leur obsolescence, le GIP doit aussi accompagner ...
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Gazette des Communes
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