Guy Verhofstadt au «Soir»: «Les populistes et nationalistes ont raison quand ils critiquent l’Europe»

Le chef de groupe ALDE, Guy Verhofstadt, considère que la désignation du président de la Commission est déjà conclue en coulisses. Et les populistes ont raison quand ils disent que l’Europe ne fonctionne pas.

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«
Le problème de l’Europe est qu’on nie les populismes, en continuant à faire des petits pas
: cela ne fonctionne plus
!
»

Chef du service Monde

Par Jurek Kuczkiewicz

Publié le 18/09/2018 à 18:32 Temps de lecture: 7 min

Lors d’une semaine dernière riche en actualité européenne – lancement par le Parlement européen d’une procédure de sanction envers la Hongrie, vote d’un projet de directive sur le droit d’auteur, discours de Jean-Claude Juncker sur l‘état de l’Union, Guy Verhofstadt a encore réussi à faire parler de lui. Dans un entretien à Ouest-France, il a paru annoncer prématurément une alliance de son mouvement avec le parti La République en Marche d’Emmanuel Macron.

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3 Commentaires

Posté par Jules Vandeweyer, mercredi 19 septembre 2018, 8:29

L'Europe est LIBERALE. La crise est donc normale… Chacun tire la couverture à soi. (demandez donc aux Grecs et aux Italiens qui se "tapent" les migrants alors que l'Angleterre les refuse -d'où les problèmes sur le continent- ce qu'ils ressentent) C'est le "struggle for life" au niveau des Etats. La solidarité, elle, est un principe de gauche.

Posté par stals jean, mercredi 19 septembre 2018, 0:24

Comme dit le proverbe: Chassez le naturel il revient au galop...Quand Verhofstadt Guy pour les intimes ce grand libéral flamand a débuté sa carrière en politique, les plus anciens se rappelleront qu'on l'avait surnommé "baby thatcher" (c'était pas pour des prunes)...et présentement, ami-ami avec le Roi Manu, ce parachuté à la tête du pays par l'oligarchie de multimilliardaires français...Avec ces zouaves la, pour une Europe des lobbys en tous genres qui n'en a rien à foutre de ceux qui n'ont que leur salaire pour sur-vivre, c'est déjà l'autoroute du bonheur et ce n'est pas fini...élections pièges à cons que nous sommes plus ou moins tous à l'insu de notre plein gré...

Posté par Van Wemmel Thierry, mardi 18 septembre 2018, 19:32

Je suis désolé de l'écrire, M. Verhofstadt, mais vous m'avez déçu par votre manque total d'esprit démocratique. Quand vous avez incité M. Reynders à entériner l'accord avec le Canada en dépit de l'opposition de 4 des 6 parlements belges, c'était une faute majeure. C'est sur ce point que j'aimerais vous entendre.

Posté par Jules Vandeweyer, mercredi 19 septembre 2018, 8:29

L'Europe est LIBERALE. La crise est donc normale… Chacun tire la couverture à soi. (demandez donc aux Grecs et aux Italiens qui se "tapent" les migrants alors que l'Angleterre les refuse -d'où les problèmes sur le continent- ce qu'ils ressentent) C'est le "struggle for life" au niveau des Etats. La solidarité, elle, est un principe de gauche.
Posté par stals jean, mercredi 19 septembre 2018, 0:24

Comme dit le proverbe: Chassez le naturel il revient au galop...Quand Verhofstadt Guy pour les intimes ce grand libéral flamand a débuté sa carrière en politique, les plus anciens se rappelleront qu'on l'avait surnommé "baby thatcher" (c'était pas pour des prunes)...et présentement, ami-ami avec le Roi Manu, ce parachuté à la tête du pays par l'oligarchie de multimilliardaires français...Avec ces zouaves la, pour une Europe des lobbys en tous genres qui n'en a rien à foutre de ceux qui n'ont que leur salaire pour sur-vivre, c'est déjà l'autoroute du bonheur et ce n'est pas fini...élections pièges à cons que nous sommes plus ou moins tous à l'insu de notre plein gré...
Posté par Van Wemmel Thierry, mardi 18 septembre 2018, 19:32

Je suis désolé de l'écrire, M. Verhofstadt, mais vous m'avez déçu par votre manque total d'esprit démocratique. Quand vous avez incité M. Reynders à entériner l'accord avec le Canada en dépit de l'opposition de 4 des 6 parlements belges, c'était une faute majeure. C'est sur ce point que j'aimerais vous entendre.