Saint-Étienne est au bord du gouffre après sa défaite in extremis contre Lens

Privés de treize joueurs au coup d'envoi, les Stéphanois ont livré un bon match, qu'ils ont encore perdu, et au buzzer. Les voilà plus que jamais relégables.

Ryad Boudebouz à la fin du match contre Lens. (P. Vacher/MAXPPP)
Ryad Boudebouz à la fin du match contre Lens. (P. Vacher/MAXPPP)
Ryad Boudebouz à la fin du match contre Lens. (P. Vacher/MAXPPP)

Saint-Étienne est au bord du gouffre après sa défaite in extremis contre Lens

Privés de treize joueurs au coup d'envoi, les Stéphanois ont livré un bon match, qu'ils ont encore perdu, et au buzzer. Les voilà plus que jamais relégables.

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Paul Bernardoni a planté ses poings rageurs dans le gazon maudit du Chaudron. Il n'a rien pu faire sur « le geste de grande classe » (Kolodziejczak), « le génie de Fofana » (Mahdi Camara). La frappe enroulée du capitaine lensois a été synonyme de défaite des Verts dans la cinquième des six minutes de temps additionnel, samedi après-midi. « Elle fait autant mal qu'elle est cruelle », résume « Kolo », promu capitaine en l'absence de Khazri.

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